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Ecologie vraie et réelle..
26 avril 2018

Les frappes en Syrie et après ?..

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Les frappes en Syrie et après ?..

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Ces frappes exécutées en Syrie n’auront été qu’une fausse démonstration de force..

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Ces frappes, de plus, ne règlerons rien..

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Ce ne sont pas les nombreux missiles, même guidés par laser, qui

permettrons une ouverture de dialogue raisonnée !

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L’embarras du choix ou le choix de l’embarras après ces frappes ?

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Insolite et surprenant !

 

Roger Waters dénonce les faux « Casques Blancs » et la propagande pour les bombardements en Syrie !

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Lors d’un concert, le 13 Avril 2018 à Barcelone, le chanteur britannique de Pink Floyd, Roger Waters, a dénoncé les faux humanitaires qui se font appeler « casques blancs », et qui servent uniquement à fabriquer la propagande des terroristes djihadistes en simulant de fausses attaques chimiques pour pousser les gouvernements occidentaux à bombarder la Syrie.

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Roger Waters a déclaré :

« Les Casques blancs sont une fausse organisation qui n’existe que pour servir la propagande des djihadistes et des terroristes ».

Il a fait cette déclaration après avoir révélé qu’un représentant de l’ONG Casques blancs lui avait demandé l’autorisation de parler au public pour dénoncer l’attaque chimique qu’aurait perpétré le « régime » de Bachar el-Assad dans la région de Douma.
Il a également précisé:

« Si on devait écouter la propagande des Casques blancs et des autres, on serait encouragés à pousser nos gouvernements à aller lâcher des bombes sur la population en Syrie ». 
« Ce serait une erreur aux proportions monumentales. Ce qu’on devrait faire c’est persuader nos gouvernements de ne pas bombarder les gens et surtout de ne pas le faire sans réellement avoir des preuves de ce qui se passe là-bas »

 

Voir le lien ci-dessous :

http://alalumieredunouveaumonde.blogspot.fr/2018/04/roger-waters-denonce-les-faux-casques.html

 

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Moscou fournit les preuves de la mise en scène de l'attaque présumée à Douma

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Le ministère russe de la Défense a présenté, lors d'un briefing, les preuves attestant que l'attaque présumée dans la ville syrienne de Douma avait été mise en scène.

Le ministère russe de la Défense a réussi à retrouver les participants au tournage de la vidéo de l'attaque chimique présumée dans la ville syrienne de Douma et à recueillir leurs témoignages, a déclaré Igor Konachenkov, porte-parole du ministère russe de la Défense.

Selon lui, il s'agit de deux médecins qui travaillent dans un hôpital local, aux urgences. Igor Konachenkov a en outre fait savoir que la vidéo de l'attaque chimique présumée à Douma avait été filmée dans un hôpital local.

D'après les dires du porte-parole de la Défense russe, les «victimes» de l'attaque présumée à Douma n'avaient pas de traces de l'attaque par produits chimiques toxiques. Ils ont confié au ministère russe de la Défense comment s'est fait le tournage de cette vidéo.

«Nous avons réussi à trouver les participants du tournage de cette vidéo et à les interroger. Aujourd'hui nous présentons l'interview de ces personnes. Les habitants de Douma ont raconté en détail comment s'est faite la mise en place du tournage et à quels épisodes ils ont eux-mêmes participé.»

Halil Ajij, étudiant en médecin qui travaille à l'hôpital central de Douma, aux urgences, a confié que, lorsque le 8 avril un immeuble a été bombardé en ville et un incendie s'est déclaré à l'intérieur du bâtiment, ils ont apporté les premiers soins. C'est alors qu'un homme que Halil Ajij ne connaissait pas, s'est présenté et a dit qu'il s'agissait d'une «attaque avec des substances toxiques»:

«On a eu peur, des proches des blessés se sont mis à se verser de l'eau les uns sur les autres. Ceux qui n'avaient pas de formation médicale ont commencé à vaporiser dans la bouche des enfants un remède contre l'asthme. Nous n'avons vu aucun patient présentant des symptômes d'intoxication par des substances chimiques

La Défense russe fournit les preuves de la mise en scène de l'attaque présumée à Douma

Halil Ajij, étudiant en médecine:
«Je travaille à l’hôpital central de Douma, aux urgences. Le 8 avril un immeuble a été bombardé en ville. Les étages supérieurs de ce bâtiment ont été détruits et un incendie s’est déclaré aux étages inférieurs. Les habitants des étages supérieurs présentaient des signes d’asphyxie par les fumées de l’incendie. Nous avons apporté les premiers soins en nous basant sur les symptômes de l’asphyxie. 

Un homme est venu, je ne le connais pas. Il a dit que c’était une attaque avec des substances toxiques. On a eu peur, des proches des blessés se sont mis à se verser de l’eau les uns sur les autres. Ceux qui n’avaient pas de formation médicale ont commencé à vaporiser dans la bouche des enfants un remède contre l’asthme. Nous n’avons vu aucun patient présentant des symptômes d’intoxication par des substances chimiques.»

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«On était filmé et il y a eu un homme qui est venu et qui s'est mis à crier que c'était une attaque chimique. Cet homme, étranger au service, disait que les gens avaient été victimes d'armes chimiques. Les gens ont eu peur et ont commencé à se verser de l'eau les uns sur les autres, à se faire des inhalations», a confié un autre participant à la mise en scène de l'attaque présumée.

Au cours des derniers jours, la situation en Syrie s'est sérieusement tendue. Les pays occidentaux soutiennent qu'une attaque chimique a eu lieu le 7 avril dans la ville de Douma, près de la capitale syrienne. La Russie a démenti les informations concernant une bombe au chlore qui aurait été larguée par les forces gouvernementales syriennes. Les militaires russes ont qualifié de fausses les photos de victimes de la prétendue attaque chimique à Douma publiées par les «Casques blancs» sur les réseaux sociaux. Moscou estime que l'objectif de ces informations mensongères est de protéger les terroristes et de justifier d'éventuelles actions extérieures.

© SPUTNIK . VLADIMIR SERGEEV

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La Russie appelle l’Occident à ne pas faire «glisser le monde vers une ligne dangereuse»

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Damas a qualifié les accusations contre l'armée syrienne liées aux armes chimiques de peu convaincantes. La partie syrienne a plus d'une fois souligné que tout son arsenal chimique avait été évacué du pays en 2014 sous le contrôle de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC).

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Tout n’est que..manipulation et prétextes..

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 On sait combien les images peuvent choquer et impressionner, et de plus, on joue avec les mots..

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Lire la suite sur  https://fr.sputniknews.com

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On est toujours dans l'information et la désinformation..

Le secret des 3 I.I.I... I comme Intelligence..I comme images ou imageries et..I comme Investigation ou invasion et guerre..rien de plus..

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Les avis divergent et pas que dans la presse internationale..

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Les différentes analyses et points de vue dans la presse

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Poutine dénonce une négligence criminelle après ces frappes..

 

Première conversation Poutine-Macron après les frappes occidentales en Syrie

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Lors de leur première conversation après les frappes menées par Washington, Paris et Londres, les Présidents russe et français ont abordé la situation en Syrie, le travail de la mission de l’OIAC, ainsi que le dossier iranien.

Vladimir Poutine s'est entretenu par téléphone mardi matin avec Emmanuel Macron au sujet de la situation qui a été créée en Syrie après les frappes occidentales, rapporte le Kremlin. Lors de leur première conversation survenue neuf jours après l'attaque coordonnée menée par Washington, Paris et Londres contre Damas, le Président russe a dénoncé ce geste, soulignant qu'il était fait au mépris du droit international.

«La partie russe a souligné que cette opération, qui représente une violation flagrante du droit international, a débouché sur une complication supplémentaire du règlement politique de la crise syrienne. Dans ce contexte, elle a souligné l'importance de la mission de l'OIAC en Syrie», indique le communiqué diffusé par le Kremlin.

«Il a été convenu de continuer à déployer des efforts communs en vue de renouveler les pourparlers de paix sur la base de la résolution 2254 du Conseil de sécurité de l'Onu, tout en prenant en considération les résultats du Congrès du dialogue national syrien à Sotchi», a ajouté la présidence russe.

Selon le Kremlin, Vladimir Poutine a informé son homologue français au sujet des démarches entreprises par Moscou aux côtés de ses alliés turc et iranien pour améliorer la situation humanitaire en Syrie.

«Les problèmes actuels des relations russo-françaises dans l'optique de la visite d'Emmanuel Macron en Russie en mai ont été abordés», ajoute la présidence russe.

Évoquant le dossier iranien, Vladimir Poutine et Emmanuel Macron ont réaffirmé leur attachement au Plan d'action global commun, soulignant que ce dernier constitue «un facteur important de la sécurité internationale».

Voir le lien ci-dessous:

https://fr.sputniknews.com/international/201804231036065757-poutine-macron-entretien/

 «Mise en scène» à Douma: la TV allemande diffuse des témoignages donnés «avec conviction»

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Une provocation qui s’inscrit dans une série de «plusieurs autres» à Douma: en direct sur la chaîne allemande ZDF, son correspondant, Uli Gack, a présenté des témoignages sur l’attaque présumée à Douma qu’il a personnellement recueillis auprès de Syriens. Ils confirment qu’il s’agissait d’une mise en scène.

Uli Gack, correspondant de la chaîne de télévision allemande ZDF, s'est rendu dans un grand camp de réfugiés en Syrie et y a discuté avec plusieurs civils qui lui ont confié avec assurance que l'attaque chimique présumée à Douma n'était qu'une mise en scène.

«Les gens racontent, avec conviction, qu'il y a eu plusieurs provocations pareilles à Douma», a déclaré Uli Gack dans l'émission de télévision Heute Europa diffusée sur la chaîne ZDF.

Et de poursuivre:

«Ils ont, par ailleurs, raconté que ces lieux servaient de point de commandement aux islamistes qui y avaient déposé des bouteilles de chlore et ne faisaient qu'attendre, en principe, que ce lieu, tellement "intéressant" pour les Forces armées syriennes, soit bombardé. C'est ainsi que cela s'est passé, les bouteilles de chlore ont explosé

Grâce à de nombreux témoignages, Uli Gack a pu également obtenir des détails sur les prétendues preuves de l'attaque qui aurait eu lieu à Douma:

«Les résidents ont confié également qu'au cours d'un de ces prétendus entraînements — comment peut-on l'appeler autrement?— les gens ont été exposés au chlore, ce qui a été filmé et publié en guise de preuves de l'attaque du 7 avril.»

Uli Gack, qui a indiqué ne pas connaître la vérité, a souligné que les témoignages des civils syriens qu'il avait rassemblés lui inspiraient confiance.

Auparavant, un petit Syrien de Douma, Moustafa, a évoqué devant les journalistes de Sputnik le tournage des scènes de la présumée attaque chimique du 7 avril dans cette ville de la banlieue est de Damas. Il a confié à Sputnik qu' il avait participé à cette mise en scène pour avoir des biscuits et des pommes de terre. Un autre garçon syrien, Hassan Diab, a également évoqué sur la chaîne de télévision Rossiya 24 la vidéo où il était présenté comme une victime de la présumée attaque chimique du 7 avril à Douma. Rossiya 24 a diffusé l'interview de ce garçon de 11 ans qui a participé au tournage de la vidéo sur «l'attaque», invité, comme de nombreuses autres personnes, par les Casques blancs.

© AP PHOTO / PETER DEJONG

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Les experts de l’OIAC ont prélevé des échantillons à Douma, en Syrie

Les pays occidentaux ont accusé Damas d'avoir perpétré une attaque chimique à Douma. La Russie a démenti les informations concernant une bombe au chlore qui aurait été larguée par les forces gouvernementales syriennes. Les militaires russes ont qualifié de fausses les photos de victimes de la prétendue attaque chimique à Douma, publiées par les Casques blancs sur les réseaux sociaux. Moscou estime que l'objectif de ces informations mensongères est de protéger les terroristes et de justifier d'éventuelles actions extérieures.

Les inspecteurs de l'OIAC ont annoncé dans l'après-midi du 21 avril avoir prélevé des échantillons sur le lieu de l'attaque chimique présumée à Douma. L'organisation qui procédera sous peu à leur analyse n'exclut pas de mener dans l'avenir une nouvelle inspection dans la ville.

Voir le lien ci-dessous:

https://fr.sputniknews.com/international/201804221036061498-douma-temoignages-tv-allemande/

Douma: les «preuves» de Macron partiraient-elles en fumée?

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© SPUTNIK . MIKHAIL VOSKRESENSKIY

Douma: les «preuves» de Macron partiraient-elles en fumée

Le gouvernement français se félicite du succès des frappes menées en Syrie en réponse à la supposée attaque chimique de Douma, invitant les députés à une introuvable union sacrée autour de cette cause. De fait, les certitudes sur ce gazage se lézardent au vu de reportages de terrain de journalistes anglo-saxons.

Les masques commenceraient-ils à tomber? Après les frappes occidentales en Syrie, menées dans la nuit du13 au 14 avril, la presse anglo-saxonne commence à se poser des questions concernant les preuves qu'Emmanuel Macron clame avoir en sa possession.

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© SPUTNIK .

Kurdes syriens: l’attaque chimique présumée à Douma loin d’être la vraie cause des frappes

Robert Fisk, grand reporter et correspondant de The Independent à Beyrouth depuis plus de 30 ans, s'est rendu dans la clinique où a été tournée la vidéo qui a ému la «communauté internationale» et servi de prétexte aux frappes menées par Londres, Paris et Washington. Dans son enquête, il s'étonne de ce que lui déclare alors dans un «bon anglais» un docteur de 58 ans. Si celui-ci valide l'authenticité de la vidéo tournée par les «terroristes» de Jaich-al-Islam (l'armée de l'Islam) dans sa clinique souterraine, il précise toutefois que:

«Les patients, dit-il, étaient atteints, non pas par du gaz, mais par un manque d'oxygène dans les tunnels et les caves remplis de débris dans lesquels ils vivaient, lors d'une nuit où des bombardements intensifs, associés à de forts vents, avaient soulevé une tempête de poussière et de sable.»

Le médecin en chef raconte la scène au journaliste: alors que des personnes souffrant d'hypoxie commençaient à affluer dans la clinique, un Casque blanc à la porte d'entrée s'est écrié «gaz!», provoquant un mouvement de panique et poussant les gens à s'arroser d'eau les uns les autres. Ainsi, si la vidéo est bien «authentique», celle-ci ne montre pas des victimes d'une attaque chimique, mais de personnes en manque d'oxygène.

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© REUTERS / BASSAM KHABIEH

Des journalistes américains n’ont pas trouvé de preuves d’une attaque chimique à Douma

Parmi les habitants avec lesquels Robert Fisk et ses deux amis syriens s'entretiennent au milieu des ruines, beaucoup lui disent «qu'ils n'ont jamais cru aux histoires de gaz». Des habitants dont, sur la vingtaine interrogée, pas «un seul ne montrait le moindre intérêt pour le rôle de la Douma dans les frappes occidentales», deux lui répondant même qu'ils n'avaient «pas fait le lien». Des habitants qui «haussent les épaules» lorsqu'on leur parle des 43 victimes de cette attaque chimique, dont «personne à Douma ne semble se souvenir», et qui racontent comment les djihadistes se sont emparés d'habitations afin d'échapper aux bombardements syriens et russes.

De leur côté, les fameux Casques blancs auraient, selon une femme, pris les bus affrétés par les autorités syriennes et russes pour rejoindre la province d'Idlib en compagnie des groupes armés.

Pearson Sharp, un autre journaliste de terrain américain a visiblement vécu uneexpérience similaire en présence des habitants de Douma et des médecins de la clinique d'où provenait la vidéo tournée par les Casques blancs.

Des observations lors d'enquête de terrain effectuées par des journalistes expérimentés et peu suspects a priori de sympathies prorusses et pro-Bachar, qui viennent quelque peu mettre à mal le «faisceau de preuves» sur lequel reposait l'attribution aux forces gouvernementales syriennes de la responsabilité de l'attaque chimique du 7 avril à la Ghouta.

Jugé «suffisant», ce «faisceau de preuves» reposait, selon les informations obtenues par «la France et ses alliés», sur les «témoignages, photos et vidéos apparus spontanément sur les sites spécialisés, dans la presse et les réseaux sociaux dans les heures et les jours qui ont suivi l'attaque», est-il expliqué dans le document déclassifié justifiant les frappes.

Des éléments dont la crédibilité tiendrait, au-delà de la «spontanéité» de leur mise en ligne, au fait qu'«une partie des entités ayant publié ces informations est reconnue comme habituellement fiable». En somme, une analyse des réseaux sociaux: publications et autres retweets.

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© AFP 2018 HASAN MOHAMED

Oui, cher L’Obs, la Défense russe a bien alerté d’une fausse attaque chimique en mars

Parallèlement, en France, la petite musique officielle continue et tous les membres du gouvernement, du Président, au porte-parole, en passant par le Premier ministre et la ministre des Armées se succèdent devant les Français, le Parlement et la Presse pour scander le succès d'une opération «justifiée» et«proportionnée», afin d'«éviter toute escalade.» «Avec les armes chimiques, c'est la raison et la civilisation qui vacillent durablement», déclarait ainsi, lundi 16 avril, Édouard Philippe devant l'Assemblée nationale.

Un discours qui, contrairement aux opérations militaires françaises passées, n'a pas suscité d'«union sacrée», loin de là et ce malgré les menaces à peine voilées de François de Rugy. Comme le relate France 24, le Président LREM de l'Assemblée nationale déclarerait que le débat devait permettre aux Français de «voir qui est avec qui», qui parmi les parlementaires «fait preuve d'une grande mansuétude, pour ne pas dire une grande faiblesse, à l'égard de la Syrie de Bachar al-Assad, mais aussi de la Russie La Russie, que les États-Unis avaient menacée dimanche de nouvelles sanctions pour leur soutien aux autorités syriennes dans cette crise.

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© SPUTNIK . SERGEY GUNEEV

Macron refuse de fournir à Poutine les détails de l’attaque chimique présumée à Douma

Il faut dire qu'avant même ces révélations dans la presse britannique, des voix s'élevaient en France, pour remettre en cause tant les moyens déployés que les objectifs ciblés par la France et ses alliés ainsi que dénoncer une intervention hors du cadre légal international.

En effet, si dès le 14 avril au soir Florence Parly, ministre des Armées, soulignait lors d'une conférence de presse à Balard qu'«un centre de recherche et des sites de production et de stockage du programme chimique clandestin du régime syrien» avaient été pris pour cible, la clandestinité du centre de Barzeh est vite remise en question: celui-ci faisant l'objet de deux inspections annuelles de l'OIAC, comme le rappelle Olivier Berruyer sur son site Les Crises. En novembre 2017, les experts de l'ONU n'avaient rien décelé d'anormal.

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​Un doute, quant à la véracité des objectifs, qui en Syrie vire à la dérision, comme le souligne Libération, certains parlant d'une «usine de liquide vaisselle» détruite. Par ailleurs, le volet opérationnel n'est pas exempt de critiques. Douze tirs de missiles continentaux, nécessitant la mobilisation de dix-sept vecteurs aériens et cinq bâtiments de la marine nationale, pour détruire un seul objectif.

Un déploiement de force particulièrement lourd et coûteux, pour une frappe très symbolique. Dans un billet, Jacques Sapir ira jusqu'à parler de «stupidité tactique», d'autant plus que selon la défense russe, près de 70% des missiles (71 sur 103) auraient été interceptés ou déviés par la défense antiaérienne syrienne. Un bilan à mettre en parallèle avec les déclarations de Florence Parly qui assurait devant les journalistes que «tous nos missiles sont parvenus à leur objectif, il y a donc lieu d'être fier du travail accompli!»

Autre son de cloche dissonant avec le discours officiel français, à nouveau du côté britannique: les interrogations, sur la BBC, d'un ancien haut gradé de la Marine et du Renseignement de Sa Majesté quant à la véracité des preuves françaises.

​«En fait, c'est le seul moyen qu'ils ont de stopper la victoire inévitable d'Assad déclare le baron Alan West, ancien Commandant général de la Royal Navy et ministre de la Sécurité de Gordon Brown, qui souligne les «énormes bénéfices» que les groupes rebelles pouvaient tirer de faire attribuer une attaque chimique à l'armée syrienne.

Favorable à des frappes en cas d'usage avéré d'armes chimiques, peu tendre à l'encontre des considérations russes, Lord West s'inquiète toutefois du manque d'impartialité des observateurs de terrain sur lesquels les occidentaux s'appuient en Syrie, en l'occurrence les Casques blancs et se réfère à sa propre expérience, en espérant que les preuves françaises ne se résument pas à de l'analyse de réseaux sociaux.

«Nous avons eu de mauvaises expériences concernant le Renseignement. Quand j'étais chef des renseignements de la Défense, je subissais d'énormes pressions politiques, essayant de me faire dire que notre campagne de bombardements en Bosnie accomplissait toutes sortes de choses qu'elle ne faisait pas.»

Quoi qu'il en soit, face aux critiques des parlementaires de droites et de gauche, Emmanuel Macron et son gouvernement peuvent se reposer sur l'absence de critique de la presse française ainsi que le soutien sans faille des jeunes députés de sa majorité.

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Voir le lien ci-dessous:

https://fr.sputniknews.com/international/201804171035987158-france-syrie-douma-macron/

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« Macron a-t-il bombardé une usine de Paic Citron ? »

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Mes amis, nous sommes soumis, vous êtes soumis à une propagande intense et il est très compliqué d’y voir clair dans cette affaire syrienne.

Il y a néanmoins quelques certitudes qui permettent d’être sûrs que l’on nous mène en bateau dans les grandes largeurs, et que rien de ce que l’on nous raconte ne tient sérieusement la route.

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J’ai la preuve.

« Nous avons la preuve que la semaine dernière, des armes chimiques ont été utilisées, au moins du chlore, et qu’elles ont été utilisées par le régime de Bachar al-Assad ».

C’est ce qu’avait dit Jupiter, devenu martien, à savoir dieu de la guerre le temps d’un week-end, c’est-à-dire notre illustre président (béni soit son saint nom) sachant descendre les escaliers de manière majestueuse avec la reine mère à ses côtés….

Bref, notre « chef des armées », qui fait ce qu’il veut conformément à la Constitution, vu que vous l’avez élu, même avec 24 % des voix, cela lui donne le droit y compris moral de bombarder en notre nom à tous qui il a envie, à tout moment de la journée.

Je précise, à ce stade du raisonnement, que ledit garçon dispose également d’un bouton rouge ultra puissant capable d’éradiquer la vie sur cette planète.

Donc notre Jupiter a les preuves.

Et Jupiter est un grand démocrate.

Il a donc fait publier, sur le site du ministère de la Défense, une « synthèse » permettant d’informer les abrutis de sans-dents que nous sommes des preuves en sa possession et qui ont justifié une attaque sans résolution de l’ONU, donc sans aucun cadre légal, d’un autre pays souverain quand bien même on ne l’aime pas…

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Voici les preuves… Accablantes !

Je vous rappelle que vous devez faire très attention en utilisant Internet et vous méfier des réseaux sociaux et autres site complotistes sur lesquels on peut trouver tout et n’importe quoi, ce qui n’est pas faux.

Méfiez-vous des « fake news », ce qui est l’un des grands chevaux de bataille de notre sainteté du Palais de Chaillot ou de l’Élysée sans oublier celui de Versailles.

Voilà donc ce que nous explique le ministère de la Défense !

« Les services français ont procédé à l’analyse des témoignages, photos et vidéos apparus spontanément sur les sites spécialisés, dans la presse et les réseaux sociaux dans les heures et jours qui ont suivi l’attaque. Des témoignages obtenus par les services ont également pu être analysés. L’examen des vidéos et images montrant des victimes et mises en ligne ont permis de conclure avec un haut degré de confiance que la grande majorité est de facture récente et ne relève pas d’une fabrication. La nature spontanée de la mise en circulation des images sur l’ensemble des réseaux sociaux confirme qu’il ne s’agit pas d’un montage vidéo ou d’images recyclées. Enfin, une partie des entités ayant publié ces informations est reconnue comme habituellement fiable. »

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Hahahahahahaha !

Sinon, cela m’inspire aussi une autre réaction plus sérieuse cette fois : hihihihihihihhihi !

Ou encore un ineffable houhouhouhouhouhouhou.

Quel humour…

Donc, la source principale d’information c’est l’analyse de vidéos apparues spontanément sur Facebook….

Alors là, effectivement, cela vaut le coup que nous payons des satellites, des agents secrets, des espions, des bateaux qui écoutent avec de grandes oreilles sans parler de nos avions aussi espions à grands frais pour sortir de telles crétineries en une du site du ministère de la Défense.

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Je ne sais pas ce qu’il s’est passé, mais je sais quand on me prend pour un con !

Alors je ne prétends en aucun cas savoir ce qu’il s’est passé. Nous le saurons, plus tard. En revanche, je suis toujours agacé d’être pris ostensiblement pour un imbécile, ce qui est évidemment le cas ici.

Savoir que notre Président, aussi jupitérien soit-il, peut décider de la paix ou de la guerre sur l’analyse d’une vidéo postée sur le profil Facebook d’une association syrienne « habituellement fiable » me hérisse le poil.

Même Libération titre « Ils ont bombardé une usine de liquide vaisselle »…

Vu l’absence de réaction russe, le peu de trou dans le sable visible, l’absence de victimes humaines (ce dont on ne peut que se réjouir), cette série de frappes et cette aventure syrienne semblent tourner à la bouffonnade internationale.

Notre Macron national vient donc vraisemblablement de bombarder une usine de Paic Citron…

À propos de Jupiter !

Au fait à propos de Jupiter, vous savez comment s’appelle le tombeau sous l’Élysée ? Je dis tombeau parce qu’un abri antiatomique n’est rien de plus qu’un tombeau en cas de coup direct.

C’est le PC Jupiter… Que Monsieur Propre évite donc de se prendre pour Mars.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !

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Voir le lien ci-dessous:

https://lesmoutonsenrages.fr/2018/04/17/macron-a-t-il-bombarde-une-usine-de-paic-citron-ledito-de-charles-sannat/

Après les frappes occidentales, l'horizon toujours aussi incertain de la Syrie

AFP

Publié le 20/04/2018 à 13:03 | AFP

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Frappes occidentales contre le régime, passes d'armes diplomatiques, enquête bloquée: l'attaque chimique présumée sur Douma a déclenché un spectaculaire regain de tensions autour du conflit en Syrie mais, sur le terrain comme à l'ONU, les lignes n'ont pour l'instant guère bougé.

Les frappes menées par les Etats-Unis, la France et le Royaume-Uni ont visé le 14 avril trois sites servant, selon eux, au programme d'armement chimique du régime de Bachar al-Assad, accusé de l'attaque supposée aux gaz toxiques le 7 avril à Douma, alors ultime bastion rebelle près de Damas.

Le régime Assad et son allié russe ont démenti toute responsabilité dans cette attaque qui, selon des secouristes, a fait plus de 40 morts. Mais pour les Occidentaux, le pouvoir syrien a franchi une "ligne rouge".

Une mission de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) dépêchée pour enquêter, est pour le moment bloquée à Damas.

Après avoir présenté ces frappes comme un "succès", les Occidentaux ont dit vouloir relancer la diplomatie pour une "solution politique" au conflit qui a fait depuis 2011 plus de 350.000 morts et jeté des millions de personnes sur les routes de l'exil.

Ces raids "ne vont pas changer le cours de la guerre civile en Syrie", estime Joshua Landis, directeur du Centre d'études moyen-orientales à l'université d'Oklahoma.

"Piqûre d'anesthésie"

En Syrie, les frappes ont galvanisé les partisans de M. Assad.

Les civils pris au piège des combats, eux, n'ont guère d'illusions. "Ce n'est qu'une piqûre d'anesthésie. Le régime va de nouveau utiliser la force contre nous", soupire Ahmad, un évacué de Douma.

Un an plus tôt presque jour pour jour, une attaque au gaz sarin contre le village syrien Khan Cheikhoun (nord-ouest), où plus 80 personnes avaient péri, avait déjà entraîné des frappes américaines.

En 2013, après une autre attaque au gaz sarin (1.429 morts selon Washington), le régime Assad avait aussi nié toute implication mais s'était engagé à détruire ses armes chimiques.

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Des Syriens manifestent leur soutien au président Bachar al-Assad à Damas et condamnent les frappes occidentales, le 14 avril 2018 © LOUAI BESHARA AFP

L'OIAC avait ensuite confirmé que la Syrie s'en était débarrassée, même si les Occidentaux ont exprimé leurs doutes, après plusieurs accusations d'attaques chimiques ces dernières années.

L'OIAC est revenue en Syrie le 14 avril pour enquêter à Douma. Mais ses experts n'ont toujours pas eu accès à la ville, passée sous contrôle des forces syriennes et russes qui affirment que leur sécurité ne peut être assurée.

Les Occidentaux redoutent que d'éventuelles preuves biologiques (échantillons d'urine ou de sang de survivants, prélèvements sur cadavres) ou matérielles (bâtiments, sol...) disparaissent.

Selon des experts interrogés par l'AFP, si le chlore est moins facile à détecter après un certain délai, les traces de sarin peuvent être retrouvées durant plusieurs semaines, voire plus.

"Prestige"

Washington et Paris assurent avoir la preuve de l'utilisation d'agents chimiques. Leurs frappes en étaient une sanction.

"Les trois dirigeants (américain, français et britannique) ont bien dit qu'ils n'essayaient pas de changer le cours de la guerre, qu'ils ne voulaient pas changer le rapport de forces en Syrie. La question ne porte pas sur le fait de tuer des gens, mais comment ils sont tués", souligne Joshua Landis.

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Le Conseil de sécurité de l'ONU se réunit à New York après les frappes occidentales contre le régime en Syrie, à la demande de la Russie qui a condamné ces frappes, le 14 avril 2018 © HECTOR RETAMAL AFP

Les Occidentaux voulaient seulement "récupérer leur prestige", accuse l'opposant Yassin al-Haj Saleh. La Syrie est pour lui "un symbole mondial d'injustice et d'anéantissement et le régime reste à l'abri, sans perspective qu'on lui demande des comptes".

A l'ONU, les Occidentaux ont présenté une résolution au Conseil de sécurité, qui aborde pour la première fois simultanément les aspects chimique, humanitaire et politique du conflit. Moscou, qui a utilisé 12 fois son veto depuis 2011, l'a accueillie avec circonspection.

L'intervention en 2015 des forces russes en Syrie a permis aux troupes de M. Assad de renverser une situation militaire défavorable et de reprendre le contrôle de plus de la moitié du territoire, où vit deux tiers de la population.

Après la reconquête totale de la vaste région de la Ghouta orientale aux portes de Damas, le régime, qui apparaît plus fort que jamais, se concentre désormais sur les poches du sud de la capitale aux mains du groupe jihadiste Etat islamique (EI).

Une défaite de l'EI à Damas, avec son bastion emblématique de Yarmouk, permettrait à M. Assad de contrôler l'ensemble de Damas et ses environs pour la première fois depuis 2012.

"Pour qu'une initiative diplomatique marche, l'équilibre sur le terrain doit changer, sinon le régime, soutenu par la Russie et l'Iran, aura toujours l'ascendant", estime Nabil Khoury, expert américain à l'Atlantic Council. "En l'état, même avec les dernières frappes, l'Occident n'a pas sa place autour de la table".

20/04/2018 13:01:17 -          Beyrouth (AFP) -          © 2018 AFP

Voir le lien ci-desous:

http://www.lepoint.fr/monde/apres-les-frappes-occidentales-l-horizon-toujours-aussi-incertain-de-la-syrie-20-04-2018-2212205_24.php

Qui veut la paix prépare la guerre..

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En présence de Macron, Trump fustige l'accord sur le nucléaire iranien

 16h50, le 24 avril 2018, modifié à 19h25, le 24 avril 2018

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Emmanuel Macron et Donald Trump lors de leur conférence de presse commune, mardi à Washington. @ Ludovic MARIN / AFP

Le président américain a fait cette déclaration alors qu'Emmanuel Macron veut le convaincre de ne pas sortir de cet accord, signé en juillet 2015. 

Donald Trump a fustigé mardi l'accord nucléaire iranien en présence d'Emmanuel Macron, qualifiant de "désastre"cet accord qui vise à empêcher Téhéran de se doter de l'arme nucléaire. "Les gens connaissent ma position sur l'accord iranien, c'est un accord horrible", a déclaré le président américain au début d'un séance de travail dans le bureau ovale. "Il n'aurait jamais dû être conclu".

Le président français espère, au cours de sa visite d'État à Washington, convaincre son homologue américain de ne pas sortir de cet accord signé en juillet 2015 entre Téhéran et les grandes puissances (Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie et Allemagne) après dix ans de négociations. "L'Iran paraît toujours être derrière quand il y a un problème" au Proche-Orient, a-t-il ajouté avant de menacer l'Iran. "S'ils relancent leur programme nucléaire, ils auront des problèmes plus graves que jamais", a averti le président américain.

L'air soucieux de MacronEmmanuel Macron a écouté les propos de son homologue américain l'air soucieux. "Sur l'Iran, nous allons inscrire ce sujet dans les défis de la région. Il y a la situation en Syrie, la sécurité dans toute la région", a-t-il indiqué. "Nous avons un objectif en commun qui est d'éviter une escalade et une prolifération nucléaire dans la région. La question est de savoir quel est le meilleur chemin", a ajouté le président français, qui avait prévenu avant son arrivée à Washington qu'il "n'y a pas de plan B" pour empêcher Téhéran de se doter de la bombe atomique.

"Nous n'avons pas les mêmes positions de départ sur ce point" et "nous avons eu une discussion très approfondie sur le sujet", a ajouté Emmanuel Macron, quelques heures plus tard lors d'une conférence de presse commune avec Donald Trump. Le président français a également dit souhaiter "pouvoir travailler à un nouvel accord avec l'Iran" à plus long terme. 

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Photo ci-dessus de l’ambassadrice des Etats-Unis (à droite sur cette photo et en robe bleue), au Conseil de Sécurité de l’ONU, en grande conversation..Accord ou pas..Accord ?..

(photo prise en 2017)

Voir le lien ci-dessous:

 http://www.europe1.fr/international/en-presence-de-macron-trump-fustige-laccord-sur-le-nucleaire-iranien-3634574

L'accord sur le nucléaire iranien, un «désastre» (Trump)
Par  Le Figaro.fr avec AFP 

Mis à jour le 24/04/2018 à 17:45 

Publié le 24/04/2018 à 16:50

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Le président américain Donald Trump a fustigé aujourd'hui l'accord nucléaire iranienen présence d'Emmanuel Macron, qualifiant de "désastre"cet accord qui vise à empêcher Téhéran de se doter de l'arme nucléaire.

"Les gens connaissent ma position sur l'accord iranien, c'est un accord horrible", a déclaré M. Trump au début d'un séance de travail dans le bureau ovale avec le président français qui espère au cours de sa visite d'Etat à Washington convaincre son homologue américain de ne pas sortir de cet accord signé en juillet 2015 entre Téhéran et les grandes puissances (Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie et Allemagne) après dix ans de négociations.

Propos tenus par Trump en présence de Macron :

C’était un accord « horrible » !

Il n’aurait jamais du être passé !

Nous aurions pu faire un bon accord !

Ou un accord raisonnable..

L’accord Iranien est un accord horrible !

On a payé 150 millions de dollars !

On a donné 1,8 milliards en liquide !

C’est de l’argent liquide. Des barils de liquide..

C’est fou c’est ridicule !

Ça n’aurait jamais du être fait !

Mais avec Macron nous allons en discuter..

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Voir le lien ci-dessous:

 http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2018/04/24/97001-20180424FILWWW00212-l-accord-sur-le-nucleaire-iranien-un-desastre-trump.php

Accord sur le nucléaire iranien : nouvelle mise en garde de Rohani à Trump

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© Atta Kenare, AFP | Hassan Rohani le 31 décembre 2017.

L'Iran multiplie les avertissements à Donald Trump, qui menace de se retirer de l'accord sur le nucléaire iranien. Mardi, le président Rohani a ainsi mis en garde contre de "graves conséquences".

Le jeu d'intimidation se poursuit. Le président iranien Hassan Rohani a de nouveau adressé une mise en garde à son homologue américain Donald Trump, mardi 24 avril, contre les "graves conséquences" qu'entraînerait un retrait américain de l'accord sur le nucléaire iranien. "Je dis à ceux de la Maison Blanche que s'ils ne respectent pas leurs engagements, le gouvernement iranien réagira fermement", a-t-il prévenu devant des milliers de personnes réunies à Tabriz.

L'Iran pourrait notamment se retirer du Traité de non-prolifération nucléaire (TNP), conclu en 1968, ou prendre d’autres mesures "surprenantes" si les États-Unis dénonçaient l'accord, a précisé le secrétaire du Conseil suprême de sécurité nationale de la République islamique, Ali Shamkhani, sans vouloir en dire plus.

Samedi 21 avril, le ministre iranien des Affaires étrangères, Javad Zarif, avait affirmé que l'Iran reprendrait "vigoureusement" l'enrichissement d'uranium si Washington rompait l'accord.

"Affreuses erreurs"

Le président américain, qui accueille actuellement Emmanuel Macron, a donné aux signataires européens jusqu'au 12 mai pour "réparer les affreuses erreurs" de l'accord signé sous la présidence de Barack Obama à Vienne en juillet 2015, faute de quoi il refusera de prolonger l'assouplissement des sanctions américaines contre la république islamique.

La Russie et la Chine ont quant à elles rappelé mardi leur "soutien indéfectible en faveur de l'application totale et efficace" de ce "fragile" accord. Dans une déclaration coécrite avec Pékin, le chef du Département de contrôle des armes et de la non-prolifération au ministère russe des Affaires étrangères, Vladimir Ermakov, a appelé les pays favorables à cet accord avec l'Iran à "ne pas rester silencieux dans l'espoir que la situation (...) d'une façon ou d'une autre [se tasse]".

Le JCPOA (Plan d'action global conjoint), signé par l'Iran, les États-Unis, la Russie, la Chine, la France, le Royaume-Uni, l'Allemagne et l'Union européenne, a mis en place un encadrement des activités nucléaires iraniennes en échange d'une levée progressive des sanctions contre Téhéran.

Avec Reuters et AFP

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Voir le lien ci-dessous:

 http://www.france24.com/fr/20180424-iran-etats-unis-hassan-rohani-mise-garde-trump-retrait-accord-nucleaire-iranien

Accords de Vienne sur le nucléaire Iranien

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Accords de Vienne sur le nucléaire Iranien

Il n'y a jamais de réelles concertations, tout se fait en coulisse..

Accord de Vienne sur le nucléaire iranien

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Les ministres des Affaires étrangères (de gauche à droite montrés à droite) de la Chine, la France, l'Allemagne, l'Union européenne, l'Iran, la Russie, le Royaume-Uni, et les États-Unis annonçant la conclusion réussie des négociations pour le plan global d'action conjoint, à Vienne, Autriche, le 14 juillet à 2015.

Accord de Vienne sur le nucléaire iranien

L'accord de Vienne sur le nucléaire iranien ou plan d'action conjoint (en persan : برنامه جامع اقدام مشترک ) est un accord signé àVienne, en Autriche, le 14 juillet 2015, par les huit parties suivantes : les pays du P5+1 (les cinq membres permanents du Conseil de sécurité des Nations unies : les États-Unis, la Russie, la Chine, la France, le Royaume-Uni et l'Allemagne), ainsi que l'Union européenne et la République islamique d'Iran. Cet accord-cadre a pour but de faire cesser le Programme nucléaire iranien et faire lever les sanctions économiques qui touchaient le pays.

Il s'agit d'un accord permanent entre les parties visant à lever les sanctions imposées à l'Iran par les États-Unis, l'Union européenne et les Nations unies, et en contre-partie l'Iran restreint son programme nucléaire à long terme1. Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moonespère que cet accord permettra une meilleure coopération internationale sur les problèmes de sécurité au Moyen-Orient2.

Initiative iranienne

Le déclic dans cette discussion fermée est amorcé dans un premier temps par le Guide Suprême iranien Ali Khamenei qui a dit «ne pas s’opposer à un dialogue avecWashington». Mais l’élément décisif sera l’élection le 14 juin 2013 du progressiste et ancien négociateur nucléaire de 2003 à 2005, Hassan Rohani, qui a déclaré être prêt à des «négociations sérieuses».

Conférence de Genève

C’est en 2013 que se tient une conférence à Genève entre l’Iran et les cinq membres permanents du conseil de sécurité de l’ONU et l’Allemagne (dit les « P5+1 ») qui aboutira sur l’arrêt temporaire du programme nucléaire iranien et une levée des sanctions économiques partielle.

Négociations de Lausanne

Suite à la conférence de Genève, une nouvelle rencontre a lieu à Lausanne, le 2 avril 2016.  Le but étant d’arriver à un accord-cadre. C’est ce qui a permis de préparer la rencontre de Vienne la même année. Cette rencontre est tenue comme l’acte décisif qui mène à l’accord dit « historique » entre l’Iran et les P5+1.

L'accord

 Cet accord est axé sur trois points principaux qui sont « une limitation du programme nucléaire iranien pendant au moins une décennie ; une levée des sanctions internationales contre l’Iran ; un renforcement des contrôles. »3.

En pratique, cela consiste à des inspections de l’AIEA mais limitées à certains lieux et à certains matériaux afin de limiter l’enrichissement en uranium, et à un arrêt progressif des sanctions économiques. Cet accord peut être considéré comme historique et novateur car contrairement aux négociations faîte en 2003 et 2005, la communauté internationale veut seulement éviter le développement d’un programme nucléaire militaire clandestin et non cesser toutes les activités nucléaires du pays, surtout les sources civiles d'énergie.

Le 16 janvier 2016 est publié un rapport de l’AIEA indiquant que l’Iran a respecté les contraintes de l’accord en cessant son enrichissement d’uranium.

Conséquences

Conséquences économiques

C’est une nette amélioration de l’économie iranienne grâce à la levée des sanctions économique qui pesaient sur la pays. L’Iran peut à nouveau être un partenaire commercial de premier plan car avant tout, c’est la deuxième réserve mondiale de gaz et un gros producteur de pétrole.

Enjeux géopolitiques

La France et la République islamique ont déjà renoué des relations diplomatiques4. Nous pouvons aussi y lire un enjeu géopolitique car les États-Unis et la République Islamique pourraient renouer le contact, voire en faire un allié pour tenter de régler les problèmes de la région du Moyen-Orient comme la situation en Irak et en Syrie qui sont très problématiques. Néanmoins, le côté géopolitique est implicite, c’est un espoir. Malgré toutes ces bonnes nouvelles pour le pays et la communauté internationale, le gouvernement pourrait très bien relancer un programme d’enrichissement d’uranium secret. Mais cette menace est d’une faible probabilité parce que la levée des sanctions et la relance de leur économie est une bien meilleure opportunité que le programme nucléaire.

Limites

Limites géopolitiques

Il demeure que la situation diplomatique tendue et la crainte de tensions militaires comme de sanctions économiques multiplient les enjeux de ce pays. Les accords auxquels les différentes puissances sont parvenues au terme de temps et de compromis sont cependant fragiles et tandis que les enjeux se complexifient, les leaders politiques semblent s'emporter de plus en plus dans leurs propos, et délaissant la diplomatie.

Remise en question de l'accord par Donald Trump

Donald Trump a déclaré durant sa campagne présidentielle qu’il allait « déchirer » l’accord de Vienne car c’est le « pire accord jamais négocié » et qu’il pourrait déclencher un « holocauste nucléaire »5.

En octobre 2017, des précisions sont apportées. Il ne quittera pas l'accord mais refuse de le certifier6.

Le 12 janvier 2018, Trump lance un ultimatum aux signataires de l'accord, leur donnant 120 jours pour adopter de nouvelles mesures coercitives visant l'Iran, faute de quoi Washington sortira de l'accord7.

Document ci-dessus en lien sur Wikipédia

Accord sur le nucléaire : l'Iran menace avant la rencontre Trump-Macron

 12h37 , le 22 avril 2018, modifié à 19h18 , le 22 avril 2018

L'Iran menace de reprendre son activité d'enrichissement d'uranium si les Etats-Unis se retirent de l'accord sur le nucléaire iranien. Le dossier du nucléaire sera à l'ordre du jour de la rencontre entre Donald Trump et Emmanuel Macron à Washington.

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Donald Trump pourrait se retirer de l'accord sur le nucléaire iranien. (Reuters)

La pression monte à quelques semaines de la décision de Donald Trump sur le dossier iranien. Le président américain a posé la date du 12 mai comme ultimatum à ses alliés européens pour qu'ils "remédient aux terribles lacunes" du texte de l'accord. A quelques jours de cette date butoir, l'Iran menace de reprendre son activité d'enrichissement d'uranium si Washington se retire du "deal" . Le ministre iranien des Affaires étrangères, Javad Zarif a déclaré a des journalistes à New York que l'Iran ne cherchait pas à se doter de la bombe nucléaire, mais que la réponse "probable" de Téhéran à un retrait américain serait une reprise de la production d'uranium enrichi, un élément clé dans la fabrication de l'arme atomique.

"L'Amérique n'aurait jamais dû craindre que l'Iran produise une bombe nucléaire, mais nous poursuivrons vigoureusement notre enrichissement" d'uranium", a-t-il dit, "si le président Trump se retire officiellement de l'accord" nucléaire.

Trump et Macron vont discuter de l'accord sur le nucléaire iranien

Les commentaires du chef de la diplomatie iranienne marquent un nouvel épisode dans l'escalade de la rhétorique sur ce dossier, le président iranien Hassan Rouhani ayant affirmé il y a deux semaines que les Etats-Unis allaient "regretter" un éventuel retrait de l'accord et que l'Iran réagirait "en une semaine", dans une telle situation. Le sort de l'accord sur le nucléaire iranien sera un des points clé de la visite d'Emmanuel Macron aux Etats-Unis à partir de lundi, suivie vendredi de la chancelière allemande Angela Merkel.

Interrogé dimanche sur Fox News, le président français a d'ailleurs évoqué le sujet. "Je n'ai pas de plan B pour le nucléaire contre l'Iran" si les Etats-Unis mettaient à exécution leur menace de sortir de l'accord nucléaire, a-t-il déclaré. Et d'indiquer quel message il compte délivrer à Donald Trump lundi soir : "Ne quittez pas l'accord tant que vous n'avez pas de meilleure option pour le nucléaire, et complétons-le."

C'est un dialogue de sourds

Avant ces déclarations, le ministre iranien a dit que les dirigeants européens devaient faire pression sur Donald Trump pour qu'il maintienne l'accord si les Etats-Unis "entendent conserver leur crédibilité au sein de la communauté internationale" et le respecter "plutôt que d'exiger davantage" de conditions. "Essayer d'apaiser le président, je pense, serait un exercice futile", a-t-il estimé.

Si les Etats-Unis enterrent l'accord, il est "fort improbable" que l'Iran continue de le respecter avec les autres signataires, la Grande-Bretagne, la Chine, la France, l'Allemagne et la Russie, a dit le chef de la diplomatie iranienne. "Pour l'Iran, il est important de recevoir les bénéfices de l'accord et en aucun cas l'Iran acceptera de l'appliquer unilatéralement". Javad Zarif a encore assuré, sans autre précision, que son pays allait adopter des "mesures drastiques".

Un accord complémentaire va-t-il être signé?

Les Européens, initialement surpris par l'ultimatum mais décidés à sauver un accord durement négocié, estiment avoir joué le jeu en proposant des solutions. La France, la première, est allée à la rencontre des inquiétudes américaines en s'alarmant du rôle de l'Iran au Moyen-Orient et de ses missiles balistiques. Là-dessus, les parties pensent avoir bien avancé dans la rédaction d'engagements politiques assortis, éventuellement, de nouvelles sanctions européennes pour le volet balistique, même si les membres de l'Union européenne sont encore divisés sur cette dernière question.

Plus difficile est le travail sur l'accord lui-même, notamment les "sunset clauses" selon lesquelles certaines restrictions aux activités nucléaires iraniennes tombent progressivement à partir de 2025. Comment durcir un texte sans impliquer ses autres signataires, l'Iran, la Chine et la Russie, qui ne veulent pas y toucher? "C'est un dialogue de sourds", peste un diplomate européen quand, côté américain, on reconnaît un problème "épineux".

Washington souhaite un "accord complémentaire" conclu entre les Etats-Unis d'une part, la France, le Royaume-Uni et l'Allemagne de l'autre. En fait, cela prend là aussi la forme d'une déclaration politique dans laquelle les Occidentaux s'engagent à ne pas laisser Téhéran se doter de la bombe même après l'expiration de l'accord de 2015. Les Européens semblent prêts à qualifier d'"accord" ce "document" qui sera finalisé d'ici début mai, si cela peut convaincre le président américain de rester dans le "vrai" accord.

(Avec AFP)

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Voir le lien ci-dessous:

https://www.lejdd.fr/international/accord-sur-le-nucleaire-liran-menace-avant-la-rencontre-trump-macron-3632747

Ce qui dérange Trump comme les Etats-Unis c'est cet accord entre la Russie, la Turquie et l'Iran..

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Macron chez Trump : "l'amitié" de deux francs-tireurs à l'épreuve des tensions internationales

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Le président Donald Trump et son invité le président Emmanuel Macron, au sortir du Bureau Ovale , discourant dans les jardins de la Maison-Blanche, à Washington, le lundi 23 avril. (Crédits : Reuters)

Neuf mois après la visite de Donald Trump à Paris, marquée par le dîner en haut de la Tour Eiffel et le défilé militaire du 14-Juillet, cette visite d'Etat fait figure d'acte II dans la lune de miel prolongée entre Donald Trump et Emmanuel Macron, qui ont en commun d'être tous deux arrivés au pouvoir en déjouant tous les pronostics. Après le bain de foule, le survol de Washington à bord de Marine One, le dîner privé à la résidence historique de Mount Vernon, Emmanuel Macron et Donald Trump vont-ils discuter Iran, Syrie, commerce mondial ? D'après son entourage, le président fraçais est venu non pas pour "passer des accords", mais "faire passer des messages"...

Emmanuel Macron a été reçu lundi en grande pompe à Washington par Donald Trump au premier jour d'une visite d'Etat que la France et les Etats-Unis veulent riche en symboles et en démonstrations d'amitié en dépit des divergences persistantes sur l'Iran, le commerce et le climat.

Visite du bureau Ovale, survol de Washington à bord de l'hélicoptère présidentiel et dîner à la demeure historique de Mount Vernon : le chef de l'Etat français - premier dirigeant étranger en visite d'Etat sous la présidence Trump - a eu droit comme attendu à tous les honneurs de la part de son homologue.

Après un petit bain de foule avec son épouse Brigitte au mémorial de Lincoln où il s'est notamment prêté au jeu des selfies, Emmanuel Macron s'est rendu à la Maison blanche en fin d'après-midi où il a été accueilli par Donald et Melania Trump.

Un an après leur première poignée de main qui avait été très commentée en marge du sommet de l'Otan à Bruxelles, les deux présidents, très souriants, ont échangé une longue accolade sur le perron devant les objectifs, avant de rejoindre brièvement le bureau Ovale.

Voir le lien ci-dessous:

https://www.latribune.fr/economie/international/macron-chez-trump-l-amitie-de-deux-francs-tireurs-a-l-epreuve-des-tensions-internationales-776445.html

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Les 20 raisons des États-Unis d’en finir avec la Syrie

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Par El Manifiesto, média espagnol dirigé par Javier Portella ♦ Ce texte est la traduction, menée par nos confrères Metamag.fr, avec qui nous sommes en relation,  de dix-huit raisons mises en ligne par le groupe espagnol El Manifiesto.
Metamag a ajouté deux autres raisons inspirées d’ailleurs par les commentaires des lecteurs de la péninsule.
  1. En Syrie, il n’y a pas de banque centrale Rothschild.
  2. La Syrie a interdit les aliments génétiquement modifiés ainsi que leur culture et leur importation.
  3. La Syrie est le seul pays arabe qui n’a pas de dettes avec le Fonds monétaire international, ni avec la Banque mondiale, ni avec qui que ce soit d’autre.
  4. La famille Al Assad appartient à l’orientation tolérante alaouite de l’Islam.
  5. Les femmes syriennes ont les mêmes droits que les hommes en matière d’études, de santé et d’éducation.
  6. En Syrie, les femmes ne sont pas tenues de porter la burka. La charia (loi islamique) est inconstitutionnelle.
  7. La Syrie est le seul pays arabe doté d’une constitution laïque et ne tolère pas les mouvements islamistes extrémistes.
  8. Environ 10% de la population syrienne appartient à l’une des nombreuses branches chrétiennes qui ont toujours été présentes dans la vie politique et sociale.
  9. Dans les autres pays arabes, la population chrétienne n’atteint pas 1% en raison de la répression subie.
  10. La Syrie est le seul pays méditerranéen qui possède encore sa compagnie pétrolière, qu’il n’a pas voulu privatiser.
  11. La Syrie a une ouverture vers la société et la culture occidentales comme aucun autre pays arabe.
  12. Tout au long de l’histoire, cinq papes étaient d’origine syrienne. La tolérance religieuse est unique dans la région.
  13. Avant la conspiration mondialiste ou de la mondialisation, la Syrie était le seul pays pacifique de la région sans guerres ni conflits internes.
  14. La Syrie est le seul pays au monde à avoir admis des réfugiés irakiens sans aucune discrimination sociale, politique ou religieuse.
  15. Bashar Al Assad a une approbation extrêmement populaire.
  16. La Syrie possède des réserves de pétrole de 2,5 milliards de barils, dont l’exploitation est réservée aux entreprises d’État.
  17. La Syrie a osé préférer un oléoduc qui, venant d’Iran, atteindrait la Méditerranée, en rejetant un autre qui, venant du Qatar, atteindrait la Turquie.
  18. La population syrienne est bien informée et discute fréquemment de l’établissement du Nouvel Ordre Mondial.
  19. Les néo-conservateurs américains se droguent de la Prophétie d’Isaïe: «  Voici, Damas cessera d’être une ville et deviendra un tas de ruines. Abandonnés sont les villes d’Aroerb. Ils seront pour les troupeaux, pour y être jetés, et il n’y aura personne pour les effrayer. Ephraïm disparaître la force et de la souveraineté de Damas, et le reste de Aram sera comme la gloire des enfants d’Israël » .
  20. In fine, pour les néo-cons, les ultra-orthodoxes et toutes les Eglises du Septième jour qui pullulent plus que jamais dans un monde sans philosophie : « La fin des temps approche »… oui avec une telle vision eschatologique, le pire est possible.

Traduction de Michel Lhomme, pour Metamag.fr
22/04/2018

 

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Syrie : un false flag pour déclencher la guerre mondiale ?

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Selon la propre définition des pays de l’OTAN, étalée en long et en large dans les grands médias et remise à jour à chaque attentat, la raison d’être des terroristes est d’utiliser tous les moyens, parfois au prix de leur vie, pour tuer et massacrer des innocents. Ainsi, après chaque tuerie aveugle touchant des innocents, la première idée qui s’impose aux médias est qu’il pourrait s’agir d’un acte terroriste, et ce, quel que soit l’endroit du monde où cela se passe, sauf en Syrie où tout est inversé. Et alors, bizarrement, les terroristes qui, dans les discours des responsables des pays de l’OTAN et dans leurs médias, sont capables de tout, seraient incapables d’utiliser des armes chimiques. Leur conscience ou leur morale le leur interdit, sans doute…

S’il n’y avait autant de victimes derrière les attaques et les false flag en Syrie, il y aurait de quoi s’étrangler de rire devant la manière dont les médias occidentaux traitent la guerre au Moyen-Orient. Selon eux, bien que Bachar Al Assad dispose d’une armée aguerrie soutenus par des alliés puissants, celui-ci ne pense qu’à occire son peuple de manière sournoise en détruisant les hôpitaux ou en étouffant des civils inoffensifs avec des gaz chimiques. Et pour nous le prouver, ils nous montrent les productions vidéos des Casques Blancs, qui avaient mystérieusement disparu d’Alep après sa libération, et qui réapparaissent comme par enchantement pour filmer des scènes de sauvetage de victimes parmi lesquelles ne figure curieusement aucun terroriste (ils ne doivent savoir sauver que des enfants).

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En Syrie, les vidéos des Casques Blancs et les témoignages suffisent pour accuser Bachar Al Assad ou la Russie, alors que pour Mossoul, les bavures de la coalition dirigée par les Etats-Unis nécessitent des enquêtes qui, pour être crédibles, doivent nécessairement être menées par ceux-là mêmes qui sont largué les bombes mortelles. En Syrie, seule l’émotion doit compter avec les bons d’un côté (les terroristes), et un méchant de l’autre (Assad). On ne sait comment les médias occidentaux et leurs patrons arrivent à concocter leur salade, mais pour eux, plus les terroristes commettent de crimes, plus grande est la culpabilité de Assad. Car il faut qu’il soit un monstre pour pouvoir déclencher contre lui la guerre d’envergure tant attendue par Israël.

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Voir le lien ci-dessous:

https://reseauinternational.net/syrie-un-false-flag-pour-declencher-la-guerre-mondiale/

VOICI LA VRAIE RAISON DE LA CAMPAGNE ANTI-RUSSE MENEE PAR LES ETATS-UNIS

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http://www.jovanovic.com
Le Département d'Etat américain a sorti les couteaux pour s'opposer à la construction du pipe-line Nord Stream qui pourra amener le gaz russe de Gazprom directement en... Europe.
Evidemment cela met en grave danger les vendeurs d'autres énergies comme par exemple les Saoudiens qui viennent d'acheter pour des dizaines de milliards de dollars d'armes aux... Etats-Unis.

Et du coup, les Américains menacent toute entreprise française (dont GDF, pardon, Engie) qui pourrait participer de près ou de loin à la construction de ce pipe-lien, pardon "line"...

"As many people know, we oppose the Nord Stream 2 project, the US government does" a déclaré Heather Nauert la porte-parole du DoS lors d'une conférence de presse.

"We believe that the Nord Stream 2 project would undermine Europe's overall energy security and stability. It would provide Russia [with] another tool to pressure European countries, especially countries such as Ukraine."

Si GDF et EDF, pardon, Médor et Kiki, touchent à ce projet, ils seront mis à jamais sur la liste noire des ennemis des Etats-Unis, avec interdiction de faire du business dans le reste du monde !!!!

Rappel: Berlusconi était un partisan à l'époque du South Stream, partisan de tout ce qu'il pouvait faire avec Poutine... Ci-dessous les lignes des pipe-lines -nord en haut et sud en bas

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Photo ci-dessus d'une carte avec tous les pipelines entre la Russie, l'Ukraine, la Biélorussie et les pays baltes, puis, vers l'Europe..

1

En fait il s'agit, ni plus ni moins, que de contrer la Russie pour les nouveaux projets de pipelines en partie nord, et donc "Gazprom"..et ainsi affaiblir la Russie sur le plan économique et siloer la Russie, mais aussi et surtout Poutine..

2

Il y avait déjà eu un projet de pipeline, à l'époque de Sarkozy, et pour contrer la Russie, avec le projet "Nabuccodonosor" et qui en était resté là..

Capture-d’écran-2017-01-05-à-18

Il y a bel et bien, un nouveau projet de pipelines, avec deux options possibles, et apparemment une seule de retenue..

carte_pipeline

Ben voilà.... chers lecteurs... effectivement, en cas de guerre, les Européens seront moins enclins à se joindre à eux pour une guerre nucléaire contre les Russes.

Pour résumer: nous sommes devenus otages des seuls intérêts des multinationales américaines et saoudiennes... 

Lire ici, entre autres Gazprom ou ici ZH ou ici Balkan News IBNA

Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.jovanovic.com

Voir le lien ci-dessous:

http://alalumieredunouveaumonde.blogspot.fr/2018/03/voici-la-vraie-raison-de-la-campagne.html

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L’échiquier Mondial..un grand puzzle fragile..

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Conclusion

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Avec ces frappes en Syrie on a fait que de rajouter de la tension aux différentes tensions qui existent déjà à travers le Monde et qui sont bien palpables !

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Commentaires
J
Re..encore..<br /> <br /> La Tchétchénie, c'était, en plus, pour faire diversion..<br /> <br /> Pendant que les yeux du Monde sont rivés sur cette partie du globe, on peut continuer à faire la guerre ailleurs et tuer comme bon leur semble (en parlant de s Américains..)..<br /> <br /> Pour les Américains, la Tchétchénie servait de faux leurre (diversion) pour les Russes pour les gêner et les affaiblir et tester, par là-même leurs matériels..<br /> <br /> Il ont fait pareil pour le Soudan, en faisant croire qu'il y avait un problème de religions, pour semer le doute et la zizanie, et pouvoir s'emparer des ressources de la partie sud la plus intéressante.<br /> <br /> Ils ont même appauvris des sols pour rendre les gens sur place dépendants..Peu de gens savent cela..!<br /> <br /> Pourtant Ben Laden venait du Soudan, celui-là même sur lequel les Américains se sont appuyés, avec ses djihadiistes, pour se passer des Moudjahidins et du commandant Massoud (assassiné par la C.I.A...) pour s'emparer de l'Afghanistan, pour leur projet de pipeline par l'Afghanistan, en parlant justement de la Mer Caspienne..<br /> <br /> Bon, cette fois, bonne fin de journée..Denis.
Répondre
Z
Juste une remarque : La Russie de Poutine est championne en désinformation, en assassinats de journalistes et quant au droit international... Quand on voit les affaires Crimée, Dombass, Tchétchénie, Afghanistan, Ossétie du sud... Ils sont mal placés pour faire la morale... Mais pourquoi se priverait-il de faire le beau dans l'affaire Syrienne ? Après tout c'est de bonne guerre de faire l'innocent et sage de la région...<br /> <br /> <br /> <br /> Bonne journée
Répondre
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