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Ecologie vraie et réelle..
22 juillet 2018

Affaire Benalla..La sécurité au sein même de l’Elysée mise en doute.. !

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Affaire Benalla..La sécurité au sein même de l’Elysée mise en doute.. !

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Recrutement au sein de l’Elysée et des plus hautes instances mise en doute..une honte !..

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Recrutement au sein de l’Elysée et des plus hautes instances mise en doute..une honte !..

Affaire explosive..

L'affaire Benalla est explosive car elle contient 4 scandales

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Une bombe au sein de l’Etat et à l’intérieur de l’Elysée !

Si le ’’Benallagate’’ est si explosif, c'est qu'il combine quatre affaires : la violence gratuite, l'usurpation de fonctions, le retour des barbouzeries, et la tentative d'étouffer l'affaire.

La première affaire est la scène violente de la place de la Contrescarpe

La seconde affaire est l’usurpation de fonctionsL’homme qui frappe n’est pas policier.

La troisième affaire est la découverte que cet homme, grisé par son propre pouvoir, est un collaborateur du président de la République.

La quatrième affaire, peut-être la plus explosive, est la tentative manifeste d’étouffer le scandale.

 

Alexandre Benalla et Jean-Jacques Mormeck..

Affaire Benalla. Quel rôle a-t-il joué auprès de Jean-Jacques Mormeck ?

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Alexandre Benalla est arrivé à la Délégation interministérielle aux Outre-mer, quelques semaines après la nomination de Jean-Marc Mormeck, en juillet 2016 [ Capture d’écran Canal Plus]

Dans une enquête, France info rappelle qu'avant d’être chef de cabinet adjoint à l’Elysée, Alexandre Benalla avait travaillé avec Jean-Marc Mormeck à la Délégation interministérielle à l’égalité des chances des Français d’Outre-mer.

Alexandre Benalla, ex-collaborateur d’Emmanuel Macron à l’origine des secousses politiques les plus violentes du quinquennat, était arrivé à la Délégation interministérielle aux Outre-mer,quelques semaines après la nomination de Jean-Marc Mormeck, en juillet 2016, rappelle une information relayée par France Info

Selon la Délégation interministérielle aux Outre-mer, contactée par la1ere.fr, il avait une « lettre de mission de conseiller chargé des jeunes et de la banlieue », assurant cette fonction à titre bénévole. Mais d’après les informations de France Info, il était en réalité chef de cabinet de Jean-Marc Mormeck.

Alexandre Benalla apparaît à plusieurs reprises dans un documentaire consacré à Jean-Marc Mormeck Du ring au ministère », production Canal +, réalisé par Stéphane Groussard, diffusé sur Canal + Caraïbes en avril 2017) où il est systématiquement présenté comme « chef de cabinet ».

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Dans le documentaire, Alexandre Benalla est présenté comme étant chef de cabinet. | Capture d'écran Canal plus

 

Affaire Benalla

Après l’affaire de la manifestation du 1er Mai, il avait, et malgré cela, il avait encore été présent pour la mise au Panthéon de Mme. Simone Veille, puis, présent aux cérémonies du 14 juillet (dont pour l’accueil de l’acteur américain Tom Cruise..), bénéficiait d’un statut particulier, d’un badge d’accès à l’Assemblée Nationale, d’une voiture de service spéciale, d’un logement de fonction au 11 quai Branly (près d’Issy-les-Moulineaux,etc..

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Photo ci-dessus lors du défilé du 14 juillet, aux abords de la tribune officielle.

 

Alexandre Banalla..l’encombrant personnage douteux..

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Photo ci-dessus de Mr. Emmanuel Macron – Président, en compagnie d’Alexis Kohler – Directeur de cabinet.

 

Alexis Kohler

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Le secrétaire général de l'Elysée Alexis Kohler accusé de conflit d'intérêts par «Mediapart»

Selon une longue enquête du site d'informations, le haut fonctionnaire, très proche d'Emmanuel Macron, aurait dissimulé des liens familiaux avec l'armateur MSC, compagnie au cœur du dossier STX qu'il a eu à gérer durant ses années à Bercy.

 

Secrétaire général de l'Élysée

Il est nommé secrétaire général de l'Élysée le 14 mai 201712,19,20,21, et prépare le passage de relais avec le secrétaire général sortant, Jean-Pierre Jouyet22. Il est proche d'Édouard Philippe, qu'Emmanuel Macron connaît peu lorsqu'il le nomme Premier ministre23.

D'après Le Monde, « le président de la République, son secrétaire général et son conseiller spécial (Ismaël Emelien) concentrent tous les pouvoirs. À trois, ils dirigent la France »24.

Il supervise notamment les nominations des directeurs d'administration centrale les plus cruciales ; d'après Libération, « Alexis Kohler a la main haute et forte sur les nominations à Bercy »25.

Alexandre Benalla, son parcours..son ascension..

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Affaire Benalla : Alexandre Benalla devait diriger la sécurité présidentielle à Brégançon cet été

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INFO LE POINT. À la demande du chef de l'État, son ancien chef de la sécurité avait constitué un groupe au sein du GSPR dédié aux sorties privées d'Emmanuel et Brigitte Macron.

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Par Aziz Zemouri

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Le 18 juin 2017, Emmanuel Macron, quitte son domicile du Touquet (Pas-de-Calais), escorté par Alexandre Benalla, pour aller voter au second tour des législatives.  (ETIENNE LAURENT / EPA)

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il y a 45 minutes

DIRECT. Affaire Benalla : l'enquête est confiée à un juge d'instruction

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Placé en garde à vue pour des violences sur un manifestant le 1er mai dernier,Alexandre Benalla, chargé de mission auprès du chef de cabinet d'Emmanuel Macron, s'est vu confier des missions de service d'ordre et de sécurité auprès du président. "Cela m'étonne qu'on ait pu placer la sécurité d'un président dans un circuit parallèle", a commenté samedi 21 juillet sur franceinfo Alain Le Caro, fondateur du Groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR) en 1983.

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Le GSPR

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Le GSPR est un service particulier pour la protection rapprochée du président au sein de l’Elysée et lors de ses nombreux déplacements, et pas..n’importe quel service !

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Photos ci-dessus de membres de l’équipe du GSPR entourant Mr. Macron.

Le GSPR, depuis Mitterrand à..

franceinfo : Vous avez dirigé le GSPR sous François Mitterrand jusqu'en 1988, avez-vous eu affaire à des conseillers du président pour des questions de sécurité comme semblait le faire Alexandre Benalla ?

Alain Le Caro : Non, heureusement que non ! C'était déjà assez compliqué, car nous devions nous installer au sein du service des voyages officiels, qui était en place depuis plusieurs présidents. Nous avions comme mission d'assurer la sécurité personnelle du président avec un groupe issu du GIGN. Le GIGN avait été choisi par souci d'efficacité dans le cadre de la lutte antiterroriste, mais aussi pour la confidentialité et la discrétion à avoir autour de la deuxième mission qui nous était confiée, à savoir la protection d'un secret d'État - la deuxième famille du président et sa maladie. Heureusement, nous n'avons pas eu affaire à ce genre de phénomène, qui aurait pu venir s'immiscer dans l'exécution de nos missions.

Est-ce que cela vous surprend qu'un personnage comme Alexandre Benalla se soit retrouvé dans cette situation-là ?

Tout à fait. Cela m'étonne beaucoup qu'on ait pu placer la sécurité d'un président dans un circuit parallèle, qui vient s'immiscer dans les services officiels de sécurité, que ce soit la police ou la gendarmerie. Ce qui m'étonne, c'est qu'il puisse avoir eu à connaître des décisions concernant la sécurité du président. On peut très bien concevoir qu'il connaisse l'organisation des voyages, puisqu'il était adjoint au chef de cabinet et qu'à ce titre, il pouvait avoir à connaître des dispositifs de sécurité. Mais jamais, en aucun cas, devoir s'immiscer dans l'organisation-même de la sécurité.

Après votre départ, savez-vous s'il y a eu d'autres volontés de l'Élysée de reprendre la main sur l'action du GSPR, ou est-ce une première ?

Il y a très certainement eu des volontés de reprendre la main sur l'action du GSPR et on a eu des difficultés à résister à toute la reprise de la sécurité personnelle du président par la police, à qui on avait enlevé cette mission. Légitimement, ils ont essayé de la reconquérir. La sécurité qui dépendait des services des voyages officiels de l'époque était reliée au ministère de l'Intérieur. Et nous au GSPR, nous ne devions rendre des comptes qu'au président en personne. On n'avait pas à rendre compte ni à notre hiérarchie, ni au ministère de l'Intérieur. Le GSPR a ensuite évolué et intégré à la fois des membres du GIGN et des éléments de la police nationale. Ils sont retombés sous l'égide du ministère de l'Intérieur.

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Alexandre Benalla

Un personnage douteux aux multiples facettes..

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Alexandre Benalla dirigeait une deuxième équipe de sécurité chargée de protéger la vie privée du chef de l'État. Pour se prémunir contre toute attaque armée et contre les atteintes à sa vie privée, Emmanuel Macron avait en effet confié à Alexandre Benalla la mission de constituer au sein du Groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR) composé de policiers du Service de la protection et de gendarmes issus du GIGN, une équipe chargée de protéger ses sorties privées au restaurant, au Touquet et lors de tous ses déplacements non officiels ainsi que ceux de la première dame. Il était d'ailleurs prévu qu'Alexandre Benalla dirige le dispositif de sécurité du couple présidentiel lors de ses vacances au fort de Brégançon. Comme il l'avait fait l'an dernier à Marseille où il était intervenu en première ligne contre « l'intrusion » des paparazzi dans le parc de la résidence où Emmanuel et Brigitte Macron passaient leurs vacances. Les paparazzi une obsession pour le couple Macron qui, s'il a engagé l'ex-reine du genre Michèle Marchand, craint néanmoins les jeunes « rats » sans foi ni loi.

Journalistes « paparazzis »

En décembre dernier, lors de leur séjour au ski, Alexandre Benalla et son équipe avaient eu maille à partir avec les journalistes de BFM. Il s'était confié par SMS à son entourage les comparant à des paparazzi :

- « Ils nous ont fait chier, c'était du harcèlement. Ils le suivaient partout. Comme des paparazzis.

Vous en êtes venus aux mains ?

- On en est resté à une discussion sur la vie privée entre eux et le GSPR sur le mode on fait notre boulot et vous le vôtre. Mais ils ont fait le pied de grue partout où le patron était. C'était abuser. ils avaient la pression de leur rédac pour avoir un son du patron. »

L'équipe de sécurité « privée » a été mise en place en juin 2017. Elle est composée de dix policiers et quatre gendarmes. Le colonel Lionel Lavergne, patron du GSPR s'est d'autant plus facilement laissé convaincre de la création de cette équipe parallèle qu'il a pu placer deux hommes à lui comme « sièges », ces officiers de sécurité qui partagent le privilège de s'asseoir dans la voiture du président et de celle de Brigitte Macron à la place du passager avant. Cet ancien du GIGN assurait le service d'ordre de la campagne présidentielle. Sorti de sa retraite, il a été réaffecté à la garde républicaine avant d'intégrer le GSPR pour devenir le « siège » du président. Le « siège » de Brigitte Macron, lui, a connu le couple à Bercy. Le colonel Lavergne partageait tous les secrets d'Alexandre. Il savait qu'il détenait un brassard police, et craint aujourd'hui d'être entendu par la justice.

Carte blanche pour recruter

Le jeune professionnel de la sécurité et chargé de mission auprès du chef de cabinet du président de la République, qui roulait en 508 équipée Police avant de s'enticher de la Renault Talisman, avait carte blanche pour recruter au sein du vivier du service de la protection (SDLP) dont il tenait le chef Frédéric Auréal en piètre estime. Dans la réforme prévue du GSPR selon les révélations  du Point parues en avrilAuréal d'ailleurs a perdu la « tutelle » du GSPR.

Alexandre Benalla avait choisi d'anciens officiers de sécurité de Hacène Chalghoumi, connu comme « imam » de Drancy. Il avait aussi sélectionné des recrues hors SDLP. Notamment un ancien militaire, policier depuis peu, lequel a néanmoins passé avec succès les tests en vigueur dans la police sur la protection rapprochée. Il a donc atterri directement au GSPR malgré son inexpérience en protection de personnalité.

Hors GSPR, il avait également supervisé le recrutement du policier Jean-Yves H., qui figure aujourd'hui parmi les trois policiers suspendus par le préfet de police. Il était détaché de la préfecture de police à l'Élysée et avait la charge de tout le stationnement à l'extérieur de l'Élysée (autorisation de stationnement, etc.). Il s'agit d'un très proche de Benalla. Ils se sont connus durant la campagne présidentielle de François Hollande, dont Alexandre était membre du service d'ordre, puis se sont retrouvés pendant la campagne de Macron. Au vu de nombreux services rendus par Jean Yves H., Benalla lui avait promis un poste à l'Élysée. Celui-ci n'était pas affecté au GSPR, mais il avait son bureau attenant à celui des flics d'élite. Il a vite pris ses aises au sein de l'Élysée à la surprise de certains...

Lors des déplacements, Alexandre Benalla, ainsi que quelques membres du cabinet, sont équipés de radio afin d'écouter les discussions sécurisées de l'ensemble du GSPR. Les policiers - qui représentent la moitié des effectifs du GSPR - désapprouvaient cette mesure décidée par l'ex-chef de la sécurité du candidat Macron. Ils s'en sont ouverts à leurs syndicats. En vain.

Affaire Benalla

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"Cela m'étonne qu'on ait pu placer la sécurité d'un président dans un circuit parallèle"

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Le 18 juin 2017, Emmanuel Macron, quitte son domicile du Touquet (Pas-de-Calais), escorté par Alexandre Benalla, pour aller voter au second tour des législatives.  (ETIENNE LAURENT / EPA)

Macron voulait réformer son système de garde rapprochée

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 Le collaborateur d’Emmanuel Macron Alexandre Benalla a été placé en garde à vue vendredi dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte après la diffusion d'images le montrant frappant un manifestant le 1er-Mai à ParisVincent Crase, un gendarme réserviste et agent d’accueil pour LREM qui était avec lui le jour de la manifestation, a également été placé en garde à vue. Tout comme trois policiers, suspendus pour lui avoir transmis des images de vidéo-surveillance. L’Elysée a annoncé avoir engagé la «procédure de licenciement» du collaborateur pour des «faits nouveaux» le concernant. Il avait été mis à pied deux semaines en mai.

• Les travaux de l'Assemblée nationale ont été considérablement perturbés depuis la révélation de l'affaire, les députés d'opposition demandant que le gouvernement vienne s'expliquer devant eux. Ce dernier a annoncé dimanche la suspension de l'examen de la révision constitutionnelle.

• La commission des lois de l'Assemblée nationale, qui s'est dotée des prérogatives d'une commission d'enquête, auditionnera le ministre de l'Intérieur, Gérard Collomb, lundi matin.

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Photo ci-dessus de Mr. Alexandre Lecornu.

Quand le gendarme Benalla officiait sous les ordres de Lecornu

Info Libé.

En 2010, le tout jeune Alexandre Benalla a commencé sa carrière de gendarme de réserve dans l'Eure sous l'autorité d'un commandant de Peloton nommé Sébastien Lecornu, alors cadre de l'UMP et membre du cabinet du ministre de l'Agriculture, Bruno Le Maire. Aujourd'hui secrétaire d'Etat auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire, Lecornu est lieutenant dans la réserve opérationnelle de la gendarmerie nationale. Aujourd'hui, il n'a que du bien à dire de cet apprenti gendarme engagé et volontaire.

Logement de fonction.

L'adjoint au chef de cabinet d'Emmanuel Macron Alexandre Benalla est logé depuis début juillet dans une dépendance de l'Elysée, quai Branly, dans le VIIe arrondissement de Paris, selon un document de l'administration révélé par Le Monde, alors même qu'il avait été mis à pied deux mois auparavant. 63 logements de fonction se trouvent Quai Branly, où sont installées des dépendances de la présidence, précise le quotidien.

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Après Benalla, Vincent Crase placé en garde à vue

1er-Mai.

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Vincent Crase, un gendarme réserviste et agent d'accueil pour LREM qui accompagnait les forces de l'ordre lors des manifestations du 1er-Mai en compagnie d'Alexandre Benalla, a été placé en garde à vue ce vendredi, annonce le parquet de Paris cité par l'AFP. Vincent Crase a été placé en garde à vue en fin de matinée pour «violences en réunion par personne chargée d'une mission de service public» et «usurpation de fonction».

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Affaire Benalla

Macron voulait réformer son système de garde rapprochée

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Le GSPR
Groupe de sécurité de la présidence de la République

 

Le Groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR) est une unité de la police nationale française et de laGendarmerie nationale, rattaché administrativement au Service de la protection (SDLP). Les policiers sont issus du SDLP et les gendarmes de la Force Sécurité Protection du GIGN. Elle a deux missions distinctes mais complémentaires :

  • assurer la protection personnelle et immédiate du président de la République française, de sa famille (dont l'épouse ou la compagne), de certaines personnalités (anciens présidents, candidats à la présidence, certains conseillers présidentiels) ainsi que de leurs résidences officielles (mission souvent conjointe avec la Garde républicaine), comme le Palais de l'Élysée ;
  • mettre en œuvre l'ensemble des mesures nécessaires à l'organisation matérielle et à la sécurité des déplacements des personnes citées ci-dessus (mission conjointe avec l'Escadron de transport 60 lorsque le transport a lieu en avion ou en hélicoptère). Lors des voyages à bord de Cotam Unité, le personnel de sécurité entourant le Président se compose à la fois d'agents du GSPR et de fusilliers-commandos de l'armée de l'air.

Histoire

Le Groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR) a été créé, par le décret no 83-14 du 5 janvier 1983 et mis en place par le colonel de gendarmerie Christian Prouteau qui avait mis en évidence des failles dans le service de sécurité du Président de la République François Mitterrand ainsi que pour protéger sa fille cachée (Mazarine Pingeot).

Historiquement, avant cette date seul avait été créé en 1943 le GSP (Groupe spécial de Protection) affecté à la sécurité dePierre Laval, la protection du président étant confiée avant et après au Service de protection des hautes personnalités.

L'unité, composée majoritairement de gendarmes de l'ancien GSIGN à sa création, devient totalement mixte à partir de 1995, le groupe comptant alors 26 membres de lagendarmerie nationale et 26 membres de la Police nationale1.

La première femme intègre le GSPR en 1998.

Après la tentative d'attentat de Maxime Brunerie le 14 juillet 2002 sur la personne du président Jacques Chirac, les effectifs augmentent et passent à 60 fonctionnaires et militaires (30 gendarmes et 30 policiers, dont 4 femmes).

La direction du GSPR est alors également conduite sous l'égide de la parité, par une alternance tous les deux ans entre un lieutenant-colonel de la gendarmerie nationale et un commissaire de la police nationale.

À compter du 16 mai 2007, date de l'investiture du président Nicolas Sarkozy, il est mis fin, de fait, à la mixité police-gendarmerie au sein de l'unité. Les 30 gendarmes qui composaient le détachement gendarmerie du GSPR quittent l'Élysée et sont remplacés par des policiers, sélectionnés au sein du Service de protection des hautes personnalités (SPHP) ou du RAID2.

En septembre 2007, une partie des membres de l'ancien détachement gendarmerie du GSPR intègre le nouveau GIGN en cours de création.

Paru au Journal officiel du 18 décembre 2008, un décret du 17 décembre 20083 est venu abroger le décret du 5 janvier 1983 portant création de l'unité tandis qu'un arrêté duministre de l'Intérieur du même jour « relatif aux missions et à l'organisation du service de protection des hautes personnalités »4 a procédé à l'intégration du GSPR parmi les composantes de ce service.

À la suite de l'élection de François Hollande, les gendarmes font leur retour au sein de l'unité et, pour la première fois depuis sa création, une femme, la commissaire de police Sophie Hatt, prend le commandement du groupe5.

Depuis son élection, le président de la République Emmanuel Macron dispose dès à présent d’une nouvelle garde rapprochée experte dans la protection des hautes personnalités politiques issus du SDLP ainsi que de la Force Sécurité Protection du GIGN6.

Une situation fort controversée..

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Benalla : la version de l’Elysée démentie par des photos, Collomb auditionné à l’Assemblée lundi

Le 17 avril, le magazine Le Point révélait qu’Emmanuel Macron avait pris la décision de réformer le GSPR, inchangé depuis sa création sous la présidence de François Mitterrand. La nouvelle avait alors été annoncée par Patrick Strzoda, le directeur de cabinet d’Emmanuel Macron récemment passé sous les feux de la rampe pour son lien hiérarchique avec Alexandre Benalla.

Cette information a également été confirmée par le secrétaire national du Syndicat indépendant des commissaires de police (SICP), Jean-Paul Megret interrogé par Le Monde ce 21 juillet : «Il y a quelques mois, on nous a prévenus que le GSPR allait quitter le giron de la police nationale pour devenir une entité à part, sous l’autorité unique de l’Elysée, et qui pourrait recruter en dehors de la police et de la gendarmerie.»

Port d'arme, voiture équipée... Alexandre Benalla,
un "chargé de mission" aux allures
de vrai policier

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AMBIGUÏTÉ - Embauché comme "chargé de mission" auprès du chef de cabinet de l'Elysée pour assurer la protection ponctuelle d'Emmanuel Macron, sans faire partie du Groupe de sécurité de la présidence (GSPR), Alexandre Benalla, placé en garde à vue vendredi pour violences présumées en réunion, bénéficiait d'un équipement digne de la police nationale. Revue du matériel.

20 juil. 13:52 - La rédaction de LCI

Il ne lui manquait que l'uniforme. Alexandre Benalla, placé en garde à vue vendredi pour des faits présumés de "violences en réunion" et "usurpation de fonctions", ainsi que "port illégal d'insignes réservées à la police", n'avait manifestement pas attendu le 1er mai dernier, jour où il a été filmé frappant un manifestant, avec un brassard estampillé "police" et un casque de protection, pour s'équiper à la façon des forces de l'ordre, qu'il observait décidément de très près. 

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Photo ci-dessus, Alexandre Benalla était affecté à la sécurité de Martine Aubry et à son service.

Statutairement, l'ancien membre bénévole du service d'ordre du Parti socialiste, réserviste de la gendarmerie, était un simple "chargé de mission" auprès du chef de cabinet de l'Elysée. Il n'appartenait pas à la police, et encore moins au Groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR), dont la mission est précisément d'assurer la sécurité du chef de l'Etat. 

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Cette absence de statut clair ne l'empêchait pas pour autant de bénéficier des équipements dédiés aux forces de sécurité. Certains de façon parfaitement légale, d'autres, comme l'insigne de la police et le casque portés le 1er mai, de façon manifestement illégale. De quoi entretenir le flou sur rôle joué par Benalla en doublon des forces de l'ordre, pointé du doigt par les syndicats de police et étayé par les dernières révélations sur l'affaire. 

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Photo ci-dessus, Alexandre Benalla était au service de Mr. Arnaud Montebourg avant d’aller rejoindre Mr. Macron lors de sa campagne électorale.

Port d'arme

Bien que n'appartenant pas aux forces de l'ordre, Alexandre Benalla est un homme armé. Il bénéficie à ce titre d'un permis de port d'arme qui a été délivré par la préfecture de police de Paris, à une date qui n'a pas été précisée. 

Selon les mails internes de la campagne présidentielle d'En Marche dévoilés à travers les "Macronleaks", celui qui s'occupait alors de la sécurité du candidat Macron possédait déjà l'autorisation en mars 2017. C'est en tout cas ce qui avait été répondu à Cédric O., l'un des proches d'Emmanuel Macron, qui s'inquiétait qu'un mouvement politique puisse embaucher des vigiles armés, et accessoirement, que Benalla ait proposé un devis pour acquérir des flashball et autres boucliers anti-émeute... 

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Toutefois, l'information publiée vendredi matin par Libération jette le trouble. Un ancien responsable de place Beauvau y affirme qu'une demande de port d'arme avait été refusée au printemps 2017 par le cabinet de l'ancien ministre de l'Intérieur Matthias Fekl, en raison des très mauvais retour des fonctionnaires du Service de la protection (SDLP), qui décrivaient Benalla "en Rambo"...

Du reste, raconte Le Monde vendredi, l'équipe chargée de la protection du candidat Macron pendant la présidentielle avait été généreusement équipée par Benalla en bombes lacrymogènes, "grenades de dispersion, matraques téléscopiques", des armes "nécessitant des autorisations qu'on n'avait pas toujours". 

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Voiture équipée

Selon une photo que s'est procurée BFMTV, le véhicule de fonction dont bénéficiait le chargé de mission, enlevé vendredi matin, était équipé à la manière d'une voiture de police. La chaîne a en effet noté la présence de dispositifs lumineux en principe réservés aux forces de l'ordre installés sur la Renault avec laquelle circulait Alexandre Benalla

Toutefois, la mise à disposition d'un tel véhicule ne semble pas être exceptionnelle, y compris pour un chargé de mission de l'Elysée. Des fonctionnaires comme des contractuels n'appartenant pas aux forces de police bénéficient régulièrement de voitures équipées de gyrophares, notamment lorsqu'ils sont rattachés aux ministères de l'Intérieur et de la Justice, ou à des cabinets ministériels. 

Selon des informations du Monde publiées vendredi, le chargé de mission avait toutefois un goût pour les véhicules de ce type avant même l'élection d'Emmanuel Macron. Il avait ainsi loué, durant la campagne, un monospace bleu foncé similaire à ceux des forces de l'ordre, les faisant équiper de gyrophares bleus. Un témoin cité par le quotidien raconte avoir été à bord d'une voiture transportant Emmanuel Macron, faisant des pointes "à 200 km/h" au point de faire un "aquaplanning sur l'autoroute". 

Accès à des images de vidéosurveillance

En revanche, l'accès présumé à des images de vidéoprotection ce 18 juillet, qui a valu une suspension immédiate à trois fonctionnaires de la préfecture de police, serait totalement illégale pour une personne étrangère aux forces de l'ordre. 

"C'est gravissime", a tonné, vendredi sur LCI, Axel Ronde, secrétaire général du syndicat Vigi-CGT Police, qui a porté plainte. "On a usurpé la qualité de fonctionnaire de police. On a sali l'image de la police nationale."

Ces révélations nouvelles sur l'utilisation supposée d'extraits de vidéosurveillance au profit de Benalla ont d'ailleurs servi de justification à la procédure de licenciement engagée vendredi par l'Elysée à l'encontre du chargé de mission.

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Benalla, le faux policier préféré de Macron hors-la-loi

L'affaire Benalla qui sort grâce à la presse ( journal Le Monde ) est gravissime, explosive.

Ici les pratiques insensées d'un proche du premier cercle de la macronie.

Elle expose à la lumière crue ce que Emmanuel Macron fait de la présidence française. 

Une gouvernance autoritaire, à son bon vouloir avec son entourage aux fonctions indéterminées parfois.

On avait déjà évoqué le phénomène de cour avec l'article sur laCour du Roi de la République française.

Macron  installe autour de lui des individus aux fonctions troubles, en autarcie. (Tous les collaborateurs n'apparaissent pas dans les organigrammes ...) Benalla est un "chargé de mission policier ". Nervi issu à l'origine du service d'ordre du PS (Martine Aubry, Montebourg)

Quel est le lien exact entre ce nervi de 26 ans non policier mais homme violent  qui "joue au policier" à ses heures perdues et le Président ??

Question majeure car tout a été pardonné à cet homme. 

Pire le sommet de l'Etat a voulu étouffer cette affaire !

L'individu à la carrière fulgurante  va  casser du manifestant le 1er mai. Problème : la scène est filmée.  Il se livre à des violences et l'Elysée le protège.

 Ce personnage a commis plusieurs délits: usurpation de fonction, de titres en plus des  violences volontaires.

Protégé par l'Elysée, grassement payé, logé depuis le 9 JUILLET par la République Quai Branly dans l'ancien appartement Pingeot !!

APRES le 9 juillet,ce qui signifie que l'Elysée n'a pas sanctionné contrairement aux fausses affirmations du service de com' de Emmanuel Macron.

L'individu semble avoir tous les droits. Qui lui a   donné les attributs de fonctionnaire d'Etat, de  policier  ( girophare, casque etc..) ? Qui a donné à Alexandre Benalla un véhicule de police super équipé ?

A 26 ans il a même été porté au grade de  lieutenant  colonel réserviste de gendarmerie(!).

Dès lors, une tempête politique et judiciaire démarre, un scandale d'Etat qui discrédite totalement le coeur de la  gouvernance Macron.

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La démission de Gérard Coulomb est demandée car le 2 mai il n' a pas alerté la Justice. Il sera auditionné par l'Assemblée lundi et le Sénat mardi. Le ministre de l'intérieur n'a pas fait jouer l'article 40 qui demande à tout fonctionnaire de dénoncer des faits.

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                               BENALLA "BARBOUZE"PROCHE DE MACRON

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Macron et sa garde rapprochée tellement enfermés dans leur morgue et leur  sentiment de toute puissance ont cru que cela allait passer. Il est supposé au départ avoir été "mis à pied" deux semaines...Gag : sans retrait de salaire  !

 

Pour se défendre l'Elysée croyant s'en tirer ainsi va jusqu'à mentir :

1-en affirmant que l'individu avait été sanctionné. Faux.Mensonge du service com de l'Elysée !

2-mis au placard . Faux car lundi dernier  Benalla, à Roissy a voulu prendre le contrôle de la sécurité des bleuscontre la ..gendarmerie !

Gestion de crise catastrophique de l'Elysée.

Macron tord les cou aux pratiques légales. Benalla occupait sous statut privé des responsabilités dans le fonctionnement de la sécurité du président  en dehors du service spécialisé GSPR !

Le pouvoir aujourd'hui se débine. La commission des Lois(macroniste) n'a toujours pas pris la mesure des faits.

Macron drapé dans son  orgueil pathologique n'assume rien. Et fait actuellement  porter le chapeaux sur les policiers qui  ont fourni à Alexandre Benalla des vidéos hors cadre légal.

Raz de marrée de colère chez les policiers, leurs syndicat qui voient un type usurper leur métier juste parce que "proche "de Macron.

L'homme agissait avec des brassards de police, leur matériel. 

"BENALLA" est un dossier poupées russes. Dès qu'on soulève le tapis Benalla plusieurs affaires surgissent qui entachent la présidence.

Quelle est  exactement  la nature du lien de cet Alexandre Benalla qui skie avec Macron  et clairement occupe un rôle au delà de son rôle dit de "sécurité".

Jean -Paul Mégret du Syndicat de police donne une excellente interview qui résume tout. L'exécutif dans ce dossier est responsable. Selon lui , les barbouzes n'ont pas à gérer la sécurité du président ! Alors que Macron voulait s'orienter vers une privatisation des services de sécurité du sommet de l'Etat !

Macron qui a fait voter une loi de moralisation est silencieux sur la dérive de son entourage barbouze que lui  même organise autour de SA personne. 

C'est, mine de rien une affaire d'Etat majeure.

Ne pas réagir à ceci serait un signe de pourrissement de la démocratie française, laquelle est bousculée chaque jour par la présidence autoritaire et solitaire de Macron Bonaparte, Roi de la République française.

                                                                                        Sylvie Neidinger

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Alexandre Benalla, Vincent Crase, Patrick Strzoda... Qui sont les personnes concernées par l'affaire de l'agression d'un manifestant le 1er mai ?

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"Le Monde" a révélé mercredi qu'un collaborateur d'Emmanuel Macron, Alexandre Benalla, a violemment frappé à plusieurs reprises un manifestant, le 1er mai à Paris. Franceinfo revient sur les différentes personnes impliquées dans cette affaire. 

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La polémique prend de l'ampleur, après les révélations du Monde sur les violences commises par Alexandre Benalla, collaborateur de l'Elysée, lors des manifestations du 1er-MaiL'homme est en garde à vue, depuis vendredi 20 juillet au matin, à Paris, et l'Elysée a annoncé son licenciement. Un gendarme réserviste employé par LREM et qui se trouvait à ses côtés, Vincent Crase, a également été placé en garde à vue pour "violences en réunion" et "usurpation de fonction", annonce le parquet de Paris vendredi.

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Alexandre Benalla, le collaborateur de Macron auteur des violences

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Il est, à ce stade, la principale personne mise en cause dans cette affaire. Alexandre Benalla a été identifié par Le Monde comme étant l'auteur de violences sur un manifestant, lors d'un rassemblement le 1er mai place de la Contrescarpe, dans le 5e arrondissement de Paris. 

Le conseiller a été reconnu par le quotidien sur des images filmées et diffusées sur les réseaux sociaux ce jour-là, le montrant entouré de CRS, en train de frapper à plusieurs reprises un jeune manifestant à terre. L'homme, muni d'un casque de policier, "agissait dans le cadre de l'un de ses jours de congé", et"ne devait avoir qu'un rôle d'observateur" auprès des forces de l'ordre, a précisé Bruno Roger-Petit jeudi. 

Alexandre Benalla est diplômé de droit et lieutenant-colonel réserviste de la gendarmerie*. Il travaille depuis plus d'un an pour Emmanuel Macron, il a été responsable de sa sécurité pendant sa campagne pour l'élection présidentielle, selon Le Monde. L'homme s'est fait remarquer à plusieurs reprises sur cette période : selon les documents "Macron Leaks", cités par le quotidien, ce collaborateur d'Emmanuel Macron a souhaité commander deux pistolets à balles en caoutchouc, mais aussi un Flash-Ball et des boucliers anti-émeutes pour l'équipe de la sécurité du candidat. Il avait évacué avec force un photographe au cours d'un meeting à Caen (Calvados), en mars 2017, le jugeant trop près d'Emmanuel Macron

*Comment peut-il se targuer et afficher ce grade de Colonel de réserve à..26 ans ?...

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>> Du service d'ordre du PS au premier cercle de Macron : l'ascension express d'Alexandre Benalla, ce collaborateur de l'Elysée qui a frappé un manifestant

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Entre 2011 et 2012, le chargé de mission a également été chargé de la sécurité de Martine Aubry, puis a fait partie du service d'ordre en charge de la protection de François Hollande, alors candidat socialiste à l'élection présidentielle. Il a aussi travaillé pour Arnaud Montebourg, précise Le Monde. Ce dernier a mis fin à leur collaboration "au bout d'une semaine", après qu'Alexandre Benalla a provoqué un accident de voiture et "voulait prendre la fuite", a relaté au Monde l'ancien ministre de l'Economie et du Redressement productif.

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D'après les informations du Monde, Alexandre Benalla a été en parallèle salarié du groupe de sécurité privée Velours et a lancé une Fédération française de la sécurité privée au printemps 2016, avec l'homme qui l'accompagnait le 1er mai, Vincent Crase

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Vincent Crase, le gendarme réserviste présent lors du 1er-Mai

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Il s'agit du deuxième collaborateur de l'Elysée mis à pied dans le cadre de cette affaire, et placé en garde à vue vendredi 20 juillet. Vincent Crase, un gendarme réserviste basé dans le département de l'Eure, était "employé de la République en marche", et "très ponctuellement mobilisé, comme d'autres réservistes, par le commandement militaire de la présidence de la République", a révélé Bruno Roger-Petit jeudi. 

Présent au côté d'Alexandre Benalla lors des manifestations du 1er-Mai, il a lui aussi "outrepassé" son autorisation d'assister à une intervention des forces de l'ordre, a précisé le porte-parole de l'Elysée. 

Selon les informations du Monde, Vincent Crase travaille depuis plusieurs années dans le milieu de la sécurité privée. En avril 2016, Alexandre Benalla a créé une Fédération française de la sécurité privée avec Vincent Crase. D'après les "Macron Leaks", cités par le quotidien, le gendarme a lui aussi travaillé au service de la sécurité d'Emmanuel Macron pendant sa campagne présidentielle, en 2017. Il était impliqué dans la commande, par Alexandre Benalla, de pistolets à balles en caoutchouc. 

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Patrick Strzoda, le directeur de cabinet de Macron qui a délivré une autorisation à Benalla 

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Le directeur de cabinet du chef de l'Etat est celui qui a autorisé Alexandre Benalla à assister, auprès des policiers, aux rassemblements du 1er-Mai. Le chargé de mission "m'avait prévenu deux jours plus tôt qu'il souhaitait participer à une intervention auprès de la préfecture de police, pour voir comment se gérait une grande manifestation", a révélé Patrick Strzoda au Monde"Il m'en a demandé l'autorisation, je la lui ai donnée, mais en précisant bien qu'il y allait en observateur", a-t-il ajouté. 

Le directeur de cabinet a été informé dès le lendemain des faits commis par son collaborateur. Il a alors alerté Emmanuel Macron sur ces violences, qui lui a répondu que "si les faits sont avérés, il faut prendre des sanctions", rapporte Le Monde. Patrick Strzoda a par la suite convoqué Alexandre Benalla, qui a reconnu les faits face à lui. 

Condamnant un "comportement manifestement inappropriéqui a "porté atteinte à l'exemplarité qui est attendue, en toutes circonstances, des agents de la présidence de la République", le directeur de cabinet a annoncé par courrier au chargé de mission qu'il était mis à pied pour une période de deux semaines. "Je vous invite (...) à faire preuve, à l'avenir, d'un comportement exemplaire", lui a-t-il écrit. "A défaut, je mettrai fin définitivement à votre collaboration au sein des services de la présidence de la République." 

Directeur de cabinet du chef de l'Etat depuis le 16 mai 2017, selon Ouest-France, Patrick Strzoda doit prendre sa retraite au mois d'octobre, d'après le quotidien régional. A 66 ans, il a été directeur de cabinet de Bernard Cazeneuve lorsqu'il était ministre de l'Intérieur, en 2016. Il avait auparavant été préfet dans les Hautes-Alpes, les Deux-Sèvres et les Hauts-de-Seine, avant d'être nommé préfet de la région Bretagne en 2013, puis préfet d'Ille-et-Vilaine.

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Un parfum de roses, l’âpreté d’un beau sentier, la mort..

 

L’affaire du badge d’accès à l’Assemblée Nationale..

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Alexandre Benalla : Patrick Strzoda, le directeur de cabinet d'Emmanuel Macron, a été entendu par les enquêteurs

Nouveau rebondissement judiciaire dans l'affaire Alexandre Benalla. Le directeur de cabinet d'Emmanuel Macron, Patrick Strzoda, a été entendu ce jeudi par les enquêteurs dans le cadre d'une audition libre au coeur de l'enquête préliminaire ouverte à la suite de la diffusion de la vidéo des violences commises par Alexandre Benalla, lors des manifestations du 1er mai.

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Le directeur de cabinet d'Emmanuel Macron, Patrick Strzoda, a été entendu jeudi soir par les enquêteurs, selon des informations de France info

Le proche d'Emmanuel Macron a été entendu en audition libre dans le cadre de l'enquête préliminaire ouverte après la diffusion de la vidéo montrant le collaborateur du président, Alexandre Benalla, frapper des manifestants, en marge du défilé du 1er mai. Cette vidéo a été dévoilée par la rédaction du Monde.

Patrick Strzoda a indiqué avoir prévenu le président de la République que des faits de violence en réunion avaient été commis en marge du 1er Mai, selon des informations de France Info. Patrick Strzoda avait donné son aval pour la participation d'Alexandre Benalla en tant qu'observateur dans les rangs de la police ce jour-là.  

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Photo ci-dessus de Mr. Patrick Strzoda, en compagnie de Bernard Cazeneuve, alors ministre de l’intérieur.

 

Patrick Strzoda

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Patrick Strzoda, né le 5 janvier 1952 à Thann, est un haut fonctionnaire français.

Depuis mai 2017, il est directeur de cabinet du président de la RépubliqueEmmanuel Macron.

Biographie

Titulaire d’une licence d'anglais obtenue à l'université de Franche-Comté, et d’une licence de droit obtenue à l'université de Strasbourg1, il commence sa carrière en tant que conseiller d’administration scolaire et universitaire au ministère de l’Éducation nationale en 1975. En 1983, il intègre l'ENA (promotion Léonard de Vinci) et rejoint la préfectorale comme directeur de cabinet du préfet de la Dordogne en 1985. Il devient ensuite sous-préfet de Saint-Jean-de-Maurienne en 1987, puis secrétaire général du comité d’organisation des Jeux olympiques d'hiver de 1992 à Albertville, toujours en Savoie2.

Il devient secrétaire général de la préfecture de la Drôme en 1992, puis sous-préfet d’Arles (Bouches-du-Rhône) en 1995 et chef du service de l'information et des relations publiques (SIRP) au ministère de l'Intérieur en 1996. En 1997, il est nommé secrétaire général pour les affaires régionales de Rhône-Alpes (1997-2002) avant d'être promu préfet des Hautes-Alpes en 2002, puis préfet des Deux-Sèvres en 20042.

Il passe aux collectivités locales comme directeur général des services du conseil général de la Savoie en 2005, puis directeur général de l'office public d'aménagement et de construction du Rhône en 2008.

Il retrouve le monde préfectoral en 2009 comme préfet des Hauts-de-Seine, puis assume la fonction de préfet de Corse entre 2011 et 2013, puis comme préfet de la région Bretagne de 2013 à avril 2016.

En avril 2016, il devient directeur du cabinet du ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve. Il est ensuite nommé directeur de cabinet du Premier ministre en décembre 2016 lorsque Bernard Cazeneuve accède à cette fonction3.

Il est nommé préfet de Paris, préfet de la région Île-de-France, avec une prise de fonction au 16 mai 20174 mais n'exerce pas cette fonction en raison d’une nouvelle nomination en tant que directeur du cabinet du président de la RépubliqueEmmanuel Macron5,6 prenant effet le même jour.

Le 5 juillet 2018, il est admis par limite d'âge à faire valoir ses droits à la retraite à compter du 6 octobre 2018. Le 20, il est entendu comme témoin dans l'enquête sur l'affaire Benalla7.

Controverses

Lorsqu'il a quitté la préfecture de Corse, en 2013, Patrick Strzoda a déclaré à la presse que les élus de l'Assemblée de Corse qui "ont voté contre la coofficialité [de la la langue corse] étaient protégés" par ses services. Cette réponse a été jugée scandaleuse par les nationalistes corses, qui ont rappelé qu'aucun élu n'avait voté "contre la coofficialité" (le vote sur le statut de la coofficialité a été obtenu à une très large majorité : 36 voix pour, 11 non-participation, 4 absents. Il n’y a donc eu aucune voix contre). Laisser entendre que la préfecture a organisé une protection de personnes opposées à cette coofficialité des langues et que les élus qui s'opposeraient à l'officialisation de la langue corse risqueraient d'être assassinés aboutit donc à remettre en cause la légitimité du vote historique de l'Assemblée de Corse et a provoqué l'indignation des nationalistes corses.8.

Alors qu'il était préfet de Bretagne, il se fait connaître pour superviser et défendre l'action de la police pendant les manifestations contre la loi travail notamment lorsqu'un étudiant est éborgné9. La co-responsable des jeunesses communistes de Rennes l'accuse d'avoir toujours démenti l'utilisation d'arme de type Flash-ball par la police10 alors que celle-ci en ferait systématiquement usage en tir tendu. Cet événement lui vaut le surnom de « Monsieur flashball » de la part de ses détracteurs11.

 

La France a bien changée

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La France a bien changée, sa gouvernance, les plus hautes instances, comme différentes institutions au sein de l’appareil d’Etat.

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Avec cette affaire, l’Affaire Benalla, on découvre, un peu plus, chaque jour, la cacophonie et le désordre réel qui régit au sein de l’Elysée, et donc, aux plus hautes instances de la République…

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L'Heure est grave..Je dirais même..très grave...

 

 

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Commentaires
Z
Tu as fort bien posé les 4 problèmes que pose ce Ben Alla...<br /> <br /> <br /> <br /> La république irréprochable... dans les rêves de monsieur "Et en même temps"...<br /> <br /> <br /> <br /> Bonne soirée
Répondre
Ecologie vraie et réelle..
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