La France n’est plus une démocratie mais une dictature déguisée !..
La France n’est plus une démocratie mais une dictature déguisée !..
Des Gilets jaunes dans les rues de Paris, samedi 22 décembre 2018. | SAMEER AL-DOUMY / AFP
Une manifestation spontanée à Paris, quelques rassemblements en province, des péages bloqués : ce samedi 22 décembre, « l’acte VI » des Gilets jaunes mobilise plus faiblement que les semaines précédentes avec 38 600 manifestants recensés à 18 h. Parmi les faits marquants : le décès, dans la nuit, d’un automobiliste en marge d’un barrage à Perpignan (Pyrénées-Orientales) et l’interpellation, dans l’après-midi, à Paris, d’ Éric Drouet, l’une des figures du mouvement.
Le ministère de l’Intérieur a recensé 38 600 manifestants à travers la France pour « l’acte VI » des Gilets jaunes, ce samedi à 18 h. Un chiffre suggérant une baisse de la mobilisation, qui s’était déjà essoufflée samedi dernier, où les autorités avaient compté 66 000 personnes mobilisées à la même heure. Ce sixième samedi de mobilisation consécutif intervient aussi au lendemain de l’adoption par le Parlement d’une série de mesures en faveur du pouvoir d’achat décidées dans l’urgence par l’exécutif pour tenter de mettre fin à la crise.
Une centaine d'interpellations, dont celle d'Éric Drouet
Quelque 220 personnes ont été interpellées et 81 placées en garde à vue lors des manifestations à Paris, dont Éric Drouet, un de leurs premiers meneurs, selon un décompte fourni peu après 19 h par la préfecture. Éric Drouet, 33 ans, un chauffeur routier de Melun (Seine-et-Marne), est une des voix qui pèsent dans la contestation qu’il définit lui-même comme « populaire » et « totalement apolitique ». Il a été arrêté vers 14 h 15 rue Vignon, dans le quartier de la Madeleine, au milieu de quelques dizaines de manifestants.
A Nantes, la manifestation a été émaillée d'incidents « violents », a indiqué la prefecture de police, avec des « tirs de mortiers » vers les forces de l'ordre et « plusieurs dégradations ». A partir de 13h30, les manifestants ont défilé dans plusieurs rues du centre et devant la préfecture, où « des incidents violents ont eu lieu, notamment [...] des jets de projectiles en direction des forces de l'ordre, qui ont fait 5 blessés légers ».
A Bordeaux, le calme était revenu en début de soirée mais la manifestation s'est soldée par « 15 interpellations qui ont donné lieu à 15 gardes à vue ». La préfecture a par ailleurs fait état« de 10 blessés légers, dont 6 parmi les forces de l'ordre ».
Après une matinée calme dans Paris, la fin de l'"acte VI" des gilets jaunes s'est tendue, sur les Champs-Élysées, ce samedi 22 décembre. Malgré une nouvelle baisse de la mobilisation par rapport à samedi dernier, les manifestants étaient encore nombreux à investir l'avenue en fin de journée. Des heurts entre policiers et gilets jaunes dans des rues adjacentes aux Champs ont été rapportés. L'avenue a finalement été évacuée par les forces de l'ordre à l'aide de canons à eau, dispersant les manifestants et ramenant le calme.
Une scène..incroyable !..hors du commun..
A Paris, en fin d'après-midi, une scène d'affrontements entre un groupe de manifestants vêtus de Gilets jaunes et trois policiers a été largement relayée sur les réseaux sociaux. On y voit trois policiers débordés par les jets de projectiles et les assauts des manifestants, contraints de battre en retraite, quitte à abandonner une moto de police derrière eux.
Et là, je tiens à préciser de suite, ce ne sont pas des « Gilets jaunes », mais bien des « casseurs » et connards de banlieues et rien d’autre..qu’on se le dise et pas comme à la télé, ou encore sur..BFM/TV…
On a l’habitude des flash-ball, gazeuses, matraques, et autres grenades de désencerclement, blindés de guerre et canons à eau. Cette fois-ci, un policier a dégainé son arme à feu contre des gilets jaunes qui manifestaient sur les Champs Elysées aux alentours de 17h30.
URGENT - PARIS #22decembre - Les motards de la police attaqués par un groupe d’individus. Une moto a du être abandonnée pour exfiltrer les forces. Un policier a sorti son arme de service. #GiletsJaunes pic.twitter.com/2oiUI7w2Lk
#Paris Scène extrêmement violente sur les champs Élysées. Des policiers pris à parti, l'un d'eux sort son arme. #GiletsJaunes #ActeVI #Acte6 #ChampsElysees #22Decembre2018 #22Decembre
5 333 personnes parlent à ce sujet
#Paris Le policier revient tout de même récupérer sa moto. #GiletsJaunes #ActeVI #Acte6 #ChampsElysees #22Decembre2018 #22Decembre pic.twitter.com/nSI0fv5p0q
Ces gilets jaunes, que les médias disaient même pacificistes* en direct à l’antenne de BFM TV, comptaient simplement pouvoir exercer leur droit à pouvoir manifester à Paris, et aux Champs-Elysées, pour cet acte VI. Un droit qu’ils ne peuvent pas exercer depuis quelques semaines en raison d’une militarisation inédite de la ville de Paris, avec ses blindés et autres armes de guerre dans l’objectif de tout cadenasser.
Cet acte illustre que pour exercer notre droit à manifester, il ne suffit plus d’affronter gaz, matraques, possibles mutilations, mais aussi de prendre le risque d’être menacé par des armes à feu voire par de possibles tirs. Il s’agit bien ici de dénoncer cette nouvelle illustration du saut répressif. Une répression qui n’est pas invincible si en face d’eux ils ont des masses mobilisées et déterminées.
* Ils le sont toujours et pas faussement..
Ces « casseurs » et faux gilets jaunes, et pas « Gilets jaunes » ont saisi une occasion et forme d’opportunité pour acculer ces policiers et essayer d’avoir le dessus quitte à les lyncher..une honte !..
On fait tout, et on tente tout, pour décrédibiliser à tout prix les « Gilets jaunes » comme ce mouvement pacifique, et qui n’a rien à voir avec des « casseurs » tout court, et encore moins des « casseurs » de banlieues infiltrés !!!
Les réactions d’un certain Benjamin Griveaux..
Lui, n’a rien compris du tout , et de plus, c’est un jeune trou du cul de cette Macronie, et rien de plus..
Benjamin Griveaux et Richard Ferrand ont également condamné les violences. Le porte-parole du gouvernement et le président de l’Assemblée nationale ont tous les deux condamné sur Twitter le « lynchage » visant les policiers pris à partie sur les Champs-Elysées. « Nos forces de l'ordre ont été odieusement prises pour cible par des individus face auxquels elles ont réagi avec sang-froid et professionnalisme », a estimé le secrétaire d'Etat, Laurent Nuñez lui aussi dans un tweet.
Ce matin à Montmartre, ce soir sur les Champs-Élysées, nos forces de l’ordre ont été odieusement prises pour cible par des individus face auxquels elles ont réagi avec sans froid et professionnalisme.
Respect et soutien.
795 personnes parlent à ce sujet
Christophe Castaner a également réagi en considérant que les policiers avaient eu "une attitude exemplaire face à des attaques inqualifiables". Il a rendu hommage "au sang froid" des forces de l’ordre "agressées", "parce qu’elles représentent l’ordre, parce qu’elles représentent la République".
Donc, «on» lynche des policiers, «on» chante la quenelle de Dieudonné à Montmartre, «on» reprend les codes des années 30 pour renverser la République, «on» décapite l’effigie du président...
Derrière ces «on », un seul visage, lâche, raciste, antisémite, putschiste.
Stop.
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3 671 personnes parlent à ce sujet
On va où avec ces propos et formes d'allégations à ce sujet ?..
22/12/2018 à 19h26 Mis à jour le 22/12/2018 à 19h30
Alors que la situation s'est tendue sur les Champs-Elysées en fin d'après-midi samedi, un groupe d'individus s'est attaqué aux forces de l'ordre. Un policier a sorti son arme pour essayer de faire reculer les agresseurs.
Il était près de 18h sur les Champs-Elysées samedi, lorsque le rassemblement des gilets jaunes, jusqu'ici pacifique, a dégénéré. Plusieurs policiers à moto, situés dans une rue adjacente à la célèbre avenue parisienne, ont été pris à partie par des manifestants.
Une dizaine d'individus*, qui ont aperçu ces motards en difficulté, ont commencé à leur jeté des projectiles, puis l'un d'eux les a physiquement attaqués, allant jusqu'à faire tomber une moto. Pour tenter de se dépêtrer de cette situation, un policier a sorti son arme et l'a pointée en direction des agresseurs.
A quelques mètres de la scène, un autre policier était à terre, le long du restaurant du Fouquet’s. Il a été exfiltré au dernier moment, avant que cette foule d'individus souhaitant s'en prendre aux CRS ne se jette sur lui. Des policiers en civil sont intervenus pour venir en aide à leurs collègues.
* Individus= quelconque, sans plus de précision, et non « Gilets jaunes », alors ?
Ce n’est pas « pareil », tout de même, non ?
Du côté de Versailles et du château der Versailles..
Un manifestant solitaire à Versailles. | Abdul Abeissa / AFP
Ailleurs en France..
Deux journalistes de France 2 Montpellier ont également déclaré avoir été « violemment »agressées samedi par des manifestants alors qu'elles couvraient un rassemblement au Boulou, près de la frontière franco-espagnole. Anne Domy, rédactrice, et Audrey Guiraud, journalistes reporter d'images (JRI), se trouvaient près du péage de l'autoroute A9 du Boulou, que des manifestants avaient partiellement bloqué au cours de la journée.
« Avec ma collègue, on a été prises à partie, pourchassées, frappées par une foule de manifestants qui nous a complètement encerclées », a-t-elle dit encore sous le choc.
Dans les Pyrénées du côté de la frontière espagnole..
Manifestation également à la frontière franco-espagnole
Plus de 300 Gilets jaunes bloquent depuis samedi matin une bretelle d’autoroute au niveau du Boulou, près de la frontière espagnole, refusant de baisser les bras plus d’un mois après le début de leur mobilisation. En milieu de matinée, des dizaines de militants séparatistes catalans, vêtus eux aussi de gilets jaunes et brandissant le drapeau indépendantiste, se sont joints aux manifestants français.
Ils avaient bloqué vendredi quelques axes routiers entre les Pyrénées-Orientales et la Catalogne.
Péage Le Boulou les #giletsjaunes66 intervention de Prescillia
Une dixième victime
En province, la nuit a été marquée par un drame en marge d’une manifestation de Gilets jaunes. Vers minuit, près de Perpignan, un automobiliste de 36 ans a percuté un camion qui était bloqué par un barrage filtrant. Il a été tué sur le coup.
C’est la dixième victime depuis le début du mouvement.
Des blindés par précaution
La semaine dernière, environ 69 000 membres des forces de l’ordre avaient été déployés, dont 8 000 à Paris, appuyées par des véhicules blindés de la gendarmerie. Ces véhicules blindés seront à nouveau mobilisés samedi, a fait savoir l’Intérieur. Ils seront « positionnés » en province, à Toulouse, Bordeaux et dans les Bouches-du-Rhône et « en alerte » à Paris.
Des manifestations sont aussi prévues à Lyon, à Toulouse, à Orléans ou en Bretagne, notamment.
Depuis le pic du 17 novembre et les 282 000 manifestants recensés, la mobilisation est en baisse. Ils étaient 166 000 Gilets jaunes à manifester le 24 novembre, 136 000 les 1er et 8 décembre et 66 000 le 15 décembre
On croit et pense mettre un terme et coup d’arrêt définitif à ce mouvement des « Gilets jaunes », en arrêtant l’une des figures emblématiques, en parlant d’un certain Eric Drouet..
Il n’a rien fait à part être un symbole !..
DROUET arrêté après ciblage ? - BFM donne la version de la Police : matraque, etc... - la Police de Macron/Castaner s'exprime avec un nouveau BenAlla ? Que va dire la Justice ?
Eric DROUET arrêté par la police - Justice à deux vitesses ?
On est en plein..délire, du grand..n’importe quoi !..
- Une marche surprise dans Paris s'est déroulée dans plusieurs quartiers de Paris (Opéra, Saint-Lazare, Hôtel de ville, Châtelet...). Selon la Préfecture de police de Paris, il y avait 2 000gilets jaunes sur la Capitale, selon le dernier bilan. 109 personnes ont été interpellés, dont 7 placées en garde à vue.
- L'un des leaders des gilets jaunes, Eric Drouet, a été arrêté rue Vignon, aux alentours de 14h15. Il a été placé en garde à vue pour "organisation illicite d'une manifestation sur la voie publique, port d'arme prohibé, et participation à un groupement formé en vue de violences ou de dégradations", selon une source judiciaire citée par franceinfo. Vendredi 7 décembre, le parquet de Paris avait déjà ouvert une enquête pour "provocation à la commission d'un crime ou d'un délit" et "organisation d'une manifestation illicite" à son encontre.
- En Province, de nombreux blocages ont lieu aux frontières, notamment au niveau du péage de Boulou, où la bretelle d'autoroute est bloquée par des manifestants. A Voreppe, Albertville, Rennes, Pau et bien d'autres villes, de nombreuses actions ont entravé la circulation.
Eric Drouet, l'un des leaders du mouvement "gilets jaunes", a été interpellé aujourd'hui avec 64 autres personnes, lors d'une marche organisée à Paris. Il a été arrêté vers 14h15 rue Vignon, dans le quartier de la Madeleine, au milieu de quelques dizaines de manifestants.
Arrestation en pleine manifestation à Paris d’un gilet jaune, en la personne de Eric Drouet l’une des figures de ce mouvement des « Gilets jaunes »…
D'après franceinfo, il a été placé en garde à vue en début d'après-midi, pour "organisation de manière illicite d'une manifestation sur la voie publique, port d'arme prohibé, et participation à un groupement formé en vue de violences ou de dégradations".
Eric Drouet avait appelé sur les réseaux sociaux les "gilets jaunes" à manifester aujourd'hui pour un "acte VI". Un groupe s'est formé à Montmartre avant d'entamer une marche dans les rues de Paris. Aux alentours de midi, la préfecture de police comptait environ 800 participants.
En début d'après-midi, 65 personnes ont été interpellées dont 4 placées en garde à vue.
Eric Drouet est un chauffeur routier de 33 ans, originaire de Seine-et-Marne, il est devenu une figure de la mobilisation en quelques semaines. Il s'exprime régulièrement sur ses propres réseaux sociaux ou sur les chaînes d'info. Le parquet de Paris avait ouvert une enquête après ses propos où il appelait à "rentrer dans l'Elysée".
Une centaine de personnes ont été interpellées et sept placées en garde à vue lors des manifestations de « l’acte VI » des Gilets jaunes, ce samedi 22 décembre, à Paris. Parmi elles, Éric Drouet un des premiers meneurs du mouvement.
Il a 33 ans et travaille comme chauffeur routier du côté de Melun (Seine-et-Marne). Mais depuis quelques semaines, Éric Drouet est aussi devenu l’une des figures du mouvement des Gilets jaunes. On l’a vu à plusieurs reprises sur les plateaux de télévisions et même jusque dans le bureau de François de Rugy, le ministre de l’Écologie, où il avait été reçu, fin novembre, aux côtés de Priscillia Ludosky, une autre représentante de la contestation. Ce samedi, il était dans les rues de Paris, pour « l’acte VI » de la mobilisation. C’est lui qui avait appelé les Gilets jaunes à manifester à Versailles, avant de lancer ce matin sur Facebook un nouvel appel à se rassembler à Montmartre.
« Attroupements en vue de commettre des violences »
Il a été arrêté, vers 14 h 15, rue Vignon, dans le quartier de la Madeleine, au milieu de quelques dizaines de manifestants. La plupart des interpellations l’ont été « pour des attroupements en vue de commettre des violences », a précisé une source policière à l’Agence France Presse.
Créée mi-octobre, la page Facebook d’Éric Drouet appelant au « blocage national contre la hausse des carburants » a été rapidement suivie par des dizaines de milliers de personnes, amorçant la mobilisation nationale du 17 novembre.
Il a, par ailleurs, été entendu samedi 8 décembre au cours d’une audition libre par la police judiciaire de Versailles dans le cadre d’une enquête pour « provocation à la commission d’un crime ou d’un délit » et « organisation d’une manifestation illicite », après un signalement du préfet de police de Paris. Cette enquête fait suite à des propos prononcés sur le plateau de BFM TV, mercredi 5 décembre.
Alors qu’on lui demandait dans une interview ce qu’il comptait faire samedi s’il arrivait devant l’Élysée, Éric Drouet avait répondu : « On rentre dedans ».
ENQUÊTE - Il fait déjà l'objet d'une enquête après avoir appelé publiquement à "rentrer dans l'Elysée". Eric Drouet, l'une des figures des Gilets jaunes a été placé en garde à vue samedi pour "organisation illicite d'une manifestation sur la voie publique", "port d'arme prohibé de catégorie D", et "participation à un groupement formé en vue de violences ou de dégradations".
07 déc. 2018 13:57 -
C'est l'une des figures des Gilets jaunes depuis plusieurs semaines. Eric Drouet a été placé en garde à vue ce samedi pour "organisation illicite d'une manifestation sur la voie publique", "port d'arme prohibé de catégorie D", et "participation à un groupement formé en vue de violences ou de dégradations".
Les enquêteurs cherchent à déterminer son degré de responsabilité dans le rassemblement "spontané" organisé au départ de Montmartre ce samedi. Près de 800 Gilets jaunes ont déambulé dans Paris en allant du Louvre aux Champs-Elysées et jusqu'à la place de la Bastille.
Celui qui est à l’initiative du premier "acte" sur Facebook, et dont le groupe Facebook rassemble près de 260.000 membres, avait proposé de se rendre à Versailles en précisant que le lieu définitif du rassemblement devait être décidé au dernier moment. Et de fait, c'est à Montmartre que les Gilets jaunes ont afflué. Un stratagème similaire avait déjà été mis en place la semaine dernière, lorsqu'un "sit in" avait été organisé sans préavis sur la place de l’Opéra.
Déjà visé par une enquête
Eric Drouet fait déjà l'objet d'une enquête pour "provocation à la commission d'un crime ou d'un délit et organisation d'une manifestation illicite." Il avait indiqué lors d'un débat télévisé : "Si on arrive à l'Elysée... on rentre dedans".
L'homme avait déclenché de vives réactions après ce qui a été considéré comme un appel à la violence envers un des symboles de la République. La secrétaire d'Etat Marlène Schiappa - sur le même plateau de télévision - avait dénoncé des propos d"inacceptables". D'autant que cette phrase semble mûrement pesée. Le chauffeur routier avait aussi déclaré sur Facebook que la manifestation de ce samedi à Paris devait être "l'aboutissement final" du mouvement des "Gilets jaunes" : "Samedi c'est l'Elysée (...). Il faudra vraiment que samedi (...) on avance en direction de l'Elysée", ajoutait-il. L'intéressé avait tenté par la suite de s'expliquer, indiquant qu'il n'avait dit qu'il voulait aller à l'Elysée pour casser mais "pour se faire entendre".
Gilets jaunes: 65 interpellations à Paris dont Eric Drouet, figure du mouvement
Delégation de 8 représentants ? Eric Drouet donne ses explications. Qu'en pensez-vous ?
Figure du mouvement des gilets jaunes, Éric Drouet avait appelé à investir l'Elysée avant de finalement proposer de manifester sur le périphérique.
Éric Drouet visé par une enquête après son appel à "rentrer" dans l'Élysée
GILETS JAUNES - L'un des initiateurs du mouvement des gilets jaunes, Éric Drouet, qui a appelé à "rentrer" dans l'Élysée samedi, est visé par une enquête pour "provocation à la commission d'un crime ou d'un délit" et "organisation d'une manifestation illicite", a appris l'AFP ce vendredi 7 décembre auprès du parquet de Paris.
Selon cette source, qui confirmait une information de BFMTV, le parquet a été destinataire jeudi d'un signalement du préfet de police de Paris visant despropos de Drouet tenus la veille sur la chaîne d'informations en continu. Le gilet jaune sera entendu dans le cadre de ces investigations et devra "préciser la portée des propos qu'il a tenus", a indiqué une source proche de l'enquête.
Sur Facebook, Éric Drouet a indiqué que son domicile avait été perquisitionné, et sa femme auditionnée. "Deux choses à reprocher: manifestation interdite (et) incitation à commettre un délit de rentrer dans un lieu du gouvernement (un truc comme ça)", a précisé le gilet jaune dans un message relayé sur la pages Facebook des manifestants.
Alors qu'on lui demandait dans une interview diffusée mercredi soir sur BFMTV ce qu'il comptait faire samedi une fois devant l'Élysée, il avait répondu "on rentre dedans". Dans une vidéo postée jeudi sur Facebook, Drouet s'est défendu d'avoir appelé à commettre des violences.
"Je vois tout ce qui se dit comme quoi je serais un anarchiste, je voudrais remettre les choses au clair", y déclarait-il. "J'ai jamais dit que je voulais aller à l'Élysée pour tout casser mais pour se faire entendre. Les seuls interlocuteurs qu'on a, ce sont des ministres, le Premier ministre ou des secrétaires d'Etat mais jamais le président. Donc c'était plutôt pour le symbole", expliquait-il.
A la veille de l'"acte IV" du mouvement des "gilets jaunes", l'alerte maximale est décrétée en France. Le gouvernement a décidé de déployer un dispositif "exceptionnel", avec 89.000 membres des forces de l'ordre mobilisés dans toute le pays, dont 8000 à Paris, pour tenter d'éviter les mêmes scènes d'émeutes que le samedi 1er décembre.
Si on arrive à l’Elysée on rentre dedans..
Eric Drouet s'est fait connaître en créant une page Facebook appelant au blocage national.
La France n’est plus une démocratie mais une dictature déguisée !..
Les débuts de cette colère, en parlant de l’augmentation des taxes sur le prix du carburant à la pompe..
La pétition lancée par une certaine Priscilla Ludowsky..
Cette pétition a rassemblé plus de 800 000 signatures ! pas rien !..
La pétition de Priscillia Ludosky a rassemblé plus de 800 000 signatures.
L’une des principale responsable de cette situation, tant pour l’augmentation des taxes sur le carburant, comme aussi et surtout pour ces augmentations successives du prix des péages pour l’autoroute, et en arrangement avec le gouvernement et le groupe « VINCI »..
Ségolène Royal était à La Baule mercredi pour présenter son dernier livre.
CHARLY TRIBALLEAU AFP
L’ancienne candidate à la présidentielle a pu échanger avec des gilets jaunes lors d’une discussion "impromptue" en marge d’un déplacement pour son dernier livre.
En déplacement en Loire-Atlantique mercredi, Ségolène Royal a été "cueillie" par un petit groupe de gilets jaunes venus de Saint-Nazaire. Leur échange d’une dizaine de minutes a été filmé et diffusé sur Facebook par l’un des leurs.
L’ex-ministre de l’Environnement a ensuite repartagé la vidéo sur son propre profil, évoquant un "dialogue respectueux et utile bien qu’impromptu". Côté gilets jaunes, on entend l’un des manifestants la féliciter pour cet acte "très courageux".
Durant cet échange animé mais cordial, Ségolène Royal a notamment été interrogée sur le travail des forces de l’ordre et le référendum d’initiative collective (RIC), tant réclamé par les gilets jaunes.
"J’ai soutenu le référendum. Le RIC, je l’ai même proposé dès 2007. Moi je suis pour la démocratie participative", a déclaré l’ancienne candidate à la présidentielle, incitant aussi les manifestants à participer au grand débat national voulu par le gouvernement.
"Ce que je vous conseille, c’est de participer au débat qui va s’ouvrir. Il faut vraiment y aller, il faut prendre la parole", a-t-elle ajouté.
La discussion a également permis aux gilets jaunes d’évoquer leurs conditions de vie et la "déconnexion" de certains politiques. "Qu’est-ce que vous savez de mon monde ? Qui vous dit qu’à un moment, je n’ai pas eu faim et froid comme vous ?", a lancé Ségolène Royal avant de se justifier.
"J’ai donné toute ma vie à la politique, je pense avoir donné à la France des choses très positives. J’aurais pu gagner beaucoup d’argent dans le privé (…)."
Concernant la taxe carbone, l’ancienne présidente de la région Poitou-Charente a affirmé qu’elle avait été "la première à dire qu’il fallait la retirer".
Quant aux prix pratiqués par les fournisseurs d’énergie, sa déclaration a donné lieu à quelques éclats de rire dans l’assemblée :
"Moi quand j’étais ministre, je leur serrai le kiki. Il n’y avait ni augmentation de l’électricité, ni augmentation du gaz.
Selon le site d’information actu.fr, Ségolène Royal était venue présenter son dernier livre "Ce que je peux enfin vous dire" au palais des Congrès de La Baule, quand elle a reçu la visite d’un petit groupe de gilets jaunes.
Une délégation a réussi à entrer dans la salle pour prendre le micro, mais l’échange a vite tourné court, les manifestants repartant sous les huées du public.
Leur discussion a finalement pu reprendre à la fin de la soirée, à l’extérieur du bâtiment. C’est cette conversation qui a été filmée et partagée sur les réseaux sociaux.
C’est Mme. Ségolène Royal, et avec le gouvernement sous Hollande, dont un certain Macron, alors ministre à Bercy, qui ont accordé et permis au groupe « Vinci » qui gère les autoroutes, des augmentations successives pour les différents péages d’autoroute jusqu’en..2023 !!!..
Depuis les tous débuts du quinquennat de Nicolas Sarkozy, comme aussi et surtout sous le quinquennat de François Hollande, dont et avec, un certain Emmanuel Macron, et avec Mme. Ségolène Royal, sans oublier la campagne et le financement de la campagne de Mr. Emmanuel Macron, élu président..
Et je pèse mes mots !!!
Info à chaud..
Pendant que cette sixième journée de manifestation des "Gilets jaunes" a eu lieu à Paris, Mr. Macron, lui, était au Tchad, pour recontrer le président corrompu..Idris Debi, et négocier les affaires de la France..
Pour terminer
S’il fallait ressortir tous les dossiers comme gens impliqués, en parlant de gouvernements comme gouvernants et hommes politiques, aussi et surtout, ce sont eux qui, à coup sûr, se feraient lyncher, sans parler bête, ni le souhaiter !..
Mais, les preuves, réelles, existent, et de plus, sont bien toujours là !
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