Honneur au personnel médical ! Hommage appuyé aux victimes et personnes décédées du COVID19..
Honneur au personnel médical ! Hommage appuyé aux victimes et personnes décédées du COVID19..
(photo ci-dessus du professeur Liang Wudong, premier médecin décédé en Chine des suites du coronavirus et Covid 19..)
"C'est un virus nouveau, unique. On n'a jamais vu ça !"
La ville d’où tout est parti..
WUHAN
Photo ci-dessus la ville de Wuhan, en Chine.
Les origines..
Le marché couvert aux poissons
Photo ci-dessus, la fermeture pour l’accès au marché couvert aux poissons de Wuhan, suite à ce virus en infection, déclenché par une chauve-souris.
Les premières victimes..comme victimes..
Photo ci-dessus du professeur Liang Wudong, hospitalisé pour atteinte du coronavirus et Covid 19.
Photo ci-dessus du professeur Liang Wudong, hospitalisé pour atteinte du coronavirus et Covid 19.
Photo ci-dessus du professeur Liang Wudong.
Photo ci-dessus du professeur Liang Wudong.
Une région, ville, et population, durement touchée..
A Wuhan le diable rôde partout !..
Des mesures drastiques prises dès le départ..
Il y a même des gens qui meurent, parfois, dans l’indifférence totale..
La liste sans fin des morts..
CHINE
Personnes décédées et nombre de morts..
3300 après un premier décompte total..
En fait 4162..après ( ?) !..
L’O.M.S. dans la tourmente..
L’O.M.S. n’a pas, et ce, dès le départ, et à mon sens, pris la mesure de l’ampleur que ce virus allait déclencher et engendrer sur son passage !..
L’épidémie se transforme, très vite, en..pandémie !..
"C'est un virus nouveau, unique. On n'a jamais vu ça !"
L’épidémie, d’abord, puis..pandémie, gagne toute l’Europe !..
Politiques, sportifs, artistes : de nombreuses personnalités sont décédées du nouveau coronavirus, hospitalisées ou convalescentes. Ce jeudi 16 avril, la mort de l’écrivain chilien Luis Sepulveda a été annoncée.
Au 16 avril 2020
Ils sont décédés..
– La mort de l’écrivain chilien Luis Sepulveda (70 ans), condamné à quitter son Chili natal sous la dictature de Pinochet, a été annoncé jeudi en Espagne. L’auteur du best-seller "Le vieux qui lisait des romans d’amour", était hospitalisé depuis fin février à Oviedo (Asturies) où il résidait.
– Sergio Rossi, 85 ans, fondateur de la marque italienne éponyme de chaussures de luxe, est mort le 3 avril à Cesena, en Italie, où il était hospitalisé.
– Le jazzman américain Ellis Marsalis a été emporté le 1er avril par la maladie Covid-19 à 85 ans.
– Le Sénégalais Pape Diouf, 68 ans, ancien dirigeant de l’Olympique de Marseille, club français de football, est décédé le 31 mars.
– Le saxophoniste camerounais Manu Dibango (86 ans) et le dramaturge américain Terrence McNally (81 ans) sont morts le 24 mars.
– L’ancien président du Real Madrid Lorenzo Sanz est mort le 21 mars à 76 ans.
– L’ancien président du Congo-Brazzaville Jacques Joaquim Yhombi Opango est décédé le 30 mars en France à 81 ans.
– L’ex-ministre et figure de la droite française Patrick Devedjian est mort dans la nuit du 28 au 29 mars, à 75 ans.
ITALIE
Personnes décédées et nombre de morts..
23 000.. à la date du samedi 18 avril 2020..
Un des plus grands architecte..décédé..
Décès, samedi 4 avril suite au Covid19 de l’architecte Vittorio Gregotti, à l’âge de 92 ans.
Compte « Twitter » de Joël Bofengo
L’architecte italien Vittorio Gregotti, qui a notamment conçu le centre culturel de Belem (Portugal) ou le Grand Théâtre de Provence à Aix-en-Provence, est décédé dimanche à 92 ans à Milan d’une pneumonie liée au nouveau #coronavirus
L’architecte italien Vittorio Gregotti a succombé à une pneumonie après avoir contracté le coronavirus. À 92 ans, ce « maître de l’architecture internationale » laisse derrière lui de nombreuses œuvres.
Il a bâti des monuments avant de tristement disparaître dimanche 15 mars dans une chambre d’hôpital à Milan. L’architecte italien Vittorio Gregotti est mort à l’âge de 92 ans d’une pneumonie liée au coronavirus, rapportent l’agence italienne AGI et le quotidien Corriere della Sera. Sa femme, Marianne Mazza, est elle toujours hospitalisée dans la même structure que son défunt mari. Vittorio Gregotti était considéré contre l’un des maîtres italiens de l’architecture du XXe siècle. Et pour cause, ce natif de la région du Piémont a signé de grandes réalisations.
Photo ci-dessus du bâtiment du théatre de Milan.
Photo ci-dessus du stade olympique de Barcelone.
Un architecte de renom qui a œuvré pour les Jeux olympiques..
Diplômé de l’École polytechnique de Milan, Vittorio Gregotti est né en 1927 à Novare. Enseignant, rédacteur en chef de la publication Casabella et bien sûr, designer de talent, ce passionné d’architecture a laissé sa patte aux quatre coins du monde. C’est lui qui a conçu le stade Marassi de Gênes qui a servi à la Coupe du Monde de football 1990, organisée en Italie. Deux ans plus tard, il élabore certaines des installations olympiques pour les JO de Barcelone. Il est aussi l’auteur du Théâtre Arcimboldi à Milan et du Centre culturel de Belém au Portugal. Vittorio Gregotti a aussi œuvré en France, où il a signé le Stade des Costières de Nîmes et le Grand Théâtre de Provence à Aix-en-Provence.
Photo ci-dessus du bâtiment "PRELLI".
La tragédie dans l'architecture..
" The unfinished Italy !.."
Décès du grand chausseur et fabricant de chaussures de luxe pour dames..Sergio Rossi..
Sergio Rossi, 85 ans, fondateur de la marque italienne éponyme de chaussures de luxe, est mort le 3 avril à Cesena, en Italie, où il était hospitalisé.
[Ces chaussures, pour dames, coûtent, au bas mot, la bagatelle de 2700-3000 Euros la paire..pour commencer..pas rien !..]
"On craque pour la collection -Holiday Season - de Sergio Rossi !.."
"Bella gamba !.."
Les chaussures italiennes par définition élégantes !
Photo ci-dessus, sandales de Sergio Rossi de Cameron Diaz.
Le premier décès dû au coronavirus et Covid 19, et premier mort en Italie..
Le 21 février 2020, qui parmi les 60 millions d’Italiens aurait alors cru devoir se soumettre à un strict confinement dont personne ne sait quand il sera levé ?
Le vendredi 21 février, Adriano Trevisan s’éteint dans un hôpital proche de Padoue (nord), premier mort du coronavirus en Europe. Plus de 4.000 décès plus tard, l’Italie d’il y a un mois appartient au passé. Qui parmi les 60 millions d’Italiens aurait alors cru devoir se soumettre à un strict confinement dont personne ne sait quand il sera levé? Que le silence s’abattrait sur le pays, que les gondoles seraient amarrées sine die aux pontons de Venise et que l’on entendrait les oiseaux à Rome et Milan ?
Remarques
( Il a été remarqué, après analyse profonde et études très poussées et sérieuses, que le nombre important, tant de décès que de morts, en Italie, était du, pour une grande partie, au fait que toutes ces victimes et personnes avaient leur organisme très fragilisé, du fait d’antibiotiques*, en absorption, en trop grande quantité, et donc, d’un manque crucial d’anticorps, fragilisant ainsi leur système immunnodéficiant, pour pouvoir combattre efficacement les agressions pulmonaires virulentes liées à ce virus..)
* Dans ce monde de plus en plus moderne, la plupart des gens consomment, pour se rassurer, beaucoup trop d’antibiotiques en..sur médication !!!
ESPAGNE
Personnes décédées et nombre de morts..
20 400..
En 1978, il partagea pendant un an la vie des indiens shuars dans le cadre d’un programme d’étude pour l’Unesco afin d’étudier l’impact de la colonisation sur ce peuple. À partir de 1982, Luis Sepúlveda s’est installé en Europe, en Allemagne puis en Espagne.
Il a travaillé avec Greenpeace de 1982 à 1987 sur l’un de ses bateaux d’où il coordonnait différentes sections de l’organisme.
Luis Sepulveda L’écrivain du bout du monde..
https://www.arte.tv/fr/videos/044172-000-A/luis-sepulveda/
L'écrivain chilien du «Vieux qui lisait des romans d’amour» a succombé au Covid-19, ce jeudi en Espagne, à l'âge de 70 ans. Il s'était notamment illustré pour son engagement pour l'écologie et les Indiens.
Luis Sepúlveda est un écrivain chilien né le 4 octobre 1949 à Ovalle.
Figure de l'engagement pour les droits de l'Homme, Luis Sepulveda est l'une des voix les plus importantes d'Amérique latine.
Alors qu'il est encore étudiant en lettres, le militant proche des jeunesses communistes est condamné à 28 ans de prison par le régime de Pinochet. Libéré au bout de deux ans et demi grâce au soutien d'Amnesty International puis exilé, l'auteur voyage à travers l'Amérique latine, fonde des groupes théâtraux en Equateur, au Pérou et en Colombie et s'engage auprès de mouvements révolutionnaires.
En 1978, il participe à une recherche de l'Unesco sur l'impact de la colonisation sur les populations amazoniennes et passe un an chez les indiens Shuars. Cette expérience est à l'origine du roman 'Le Vieux qui lisait des romans d'amour' premier d'une série de best-sellers mondiaux parmi lesquels 'Le Monde du bout du monde', 'Un nom de torero', 'Histoire de la mouette et du chat qui lui apprit à parler'.
En 1982, l'écrivain s'installe en Allemagne jusqu'en 1996 puis en Espagne à Gijón où il écrit des chroniques régulières dans le quotidien espagnol El País.
Il meurt le 16 octobre 2020 des suites de la maladie du Covid-19.
Ecrivain humaniste et écologiste, Luis Sepulveda est traduit en 35 langues et jouit d'une renommée internationale.
Luis Sepulveda est mort ce jeudi 16 avril, à Oviedo (Asturies, dans l’État espagnol) du Covid-19 qu’il avait contracté à la fin février au cours d’un congrès d’écrivains au Portugal.
Luis Sepulveda était un grand écrivain et ses œuvres, traduites dans plus de 60 langues, ont connu un succès mondial.
Luis Sepulveda était aussi un militant. Adhérent du Parti communiste chilien dès l’âge de 12 ans, il avait rapidement évolué vers un engagement plus révolutionnaire. Ces dernières années, il avait pris de la distance avec les débats dans la gauche socialiste et révolutionnaire.
Luis Sepulveda nous était aussi très proche parce qu’il avait participé, en pratique et les armes à la main, à tous les débats du mouvement révolutionnaire du début des années soixante-dix au milieu des années quatre-vingt.
Aux origines de son engagement
Luis Sepúlveda est né le 4 octobre 1949 à Ovalle (Chili). Petit-fils d’un Andalou anarchiste (du côté paternel), contraint de fuir l’Espagne pour s’exiler en Équateur puis au Chili, et d’un chef indien Mapuche du Chili (par sa mère), il s’était engagé dès ses 12 ans auprès des jeunesses communistes. Militant des JC, il poursuit ses études tout en commençant à publier des textes de poésie dès l’âge de 17 ans.
Luis Sepulveda restait assez peu loquace sur ses années estudiantines. Il aurait été engagé par la Stasi (services secrets est-allemands) et aurait suivi une formation militaire. En tout cas, à la prise de pouvoir par l’Unité populaire dirigée par Salvador Allende en 1971, il n’est plus membre du PC (exclu en 1968) mais milite dans la tendance de gauche du PS « Ejercito de Liberacion Nacional », proche du MIR (Movimiento de la Izquierda Revolucionaria, dirigé par Miguel Enriquez). Il fait partie de la garde rapprochée et armée du président Salvador Allende (1908-1973) et reste dans la clandestinité pendant presque deux ans pour lutter contre la dictature d’Augusto Pinochet1 instaurée suite au coup d’État du 11 septembre 19732. Dénoncé, il sera condamné à vingt-huit ans de prison pour trahison et conspiration, puis déchu de sa nationalité.
Grâce à une large campagne internationale menée par Amnesty International Allemagne, il est libéré en 1977 en échange d’un exil en Suède. Il se soustrait à cet exil et devient vagabond en Amérique Latine. Il séjournera plus d’une année auprès des indiens Shuars en Équateur3 avant de rejoindre la Colombie où se mène une grande campagne de soutien à la lutte des Sandinistes pour libérer le Nicaragua. Il se retrouve en 1979, membre de la Brigade des Volontaires internationalistes Simon Bolivar (BSB). Après la joie de la victoire, les brigadistes sont priés de rester sage et de ne pas se mêler de la révolution en cours. Il connaîtra donc l’emprisonnement dans une prison dirigée par la Stasi à Managua avant d’être expulsé en Europe. Il en gardera une profonde amertume mais ne remettra pas en cause son engagement du côté des opprimés.
Le militant armé
Le parcours politique de Luis Sepulveda qui, à ma connaissance, ne fut jamais « trotskyste » traverse l’histoire de notre courant. L’expérience d’Unité Populaire au Chili (1971-1973) nous percutait directement par ses réalisations et la mobilisation populaire qu’elle suscitait. Les partis réformistes (PS et PC) la prenaient en exemple pour la mise en œuvre pacifique de leur « Programme commun » en cachant la mobilisation populaire, l’auto-organisation des masses et les menaces de coup d’État militaire au Chili. De notre côté, nous insistions pour une prise de contrôle totale de l’économie et l’armement de milices pour protéger le processus. Le gouvernement d’Unité Populaire était profondément divisé et ne prit pas les mesures nécessaires afin de ne pas rompre avec la Démocratie chrétienne chilienne et de ne pas effrayer l’impérialisme. Moscou et ses séides ne voulaient pas de la révolution tandis qu’Allende était plus sensible aux mouvements des masse et aux pressions de sa gauche. C’est dans ce cadre que fut formé le GAP, milice de protection armée d’Allende.
Luis Sepulveda, en raison de sa formation militaire, en fut membre. Ces quelques centaines de « soldats » du peuple avait bien compris que les promesses démocratiques de l’armée n’étaient qu’un leurre. Hélas, le courage ne peut remplacer une stratégie d’affrontement et de victoire contre les forces réactionnaires. Ces militants courageux le payèrent de leur vie, de la torture et de l’emprisonnement4.
Luis Sepulveda n’oubliera pas et lorsqu’en 1979, il retrouve la possibilité d’une révolution, il le fera les armes à la main au côté du FSLN au Nicaragua et il rentrera victorieux dans la capitale libérée. La victoire acquise, il se rangea auprès de ces camarades de la BSB qui voulaient continuer la révolution pour prendre le contrôle total de l’économie du pays et ne pas recommencer un nouveau Chili. Une nouvelle fois, il ne fut pas entendu et fut expulsé dans des conditions assez sordides avec les autres brigadistes étrangers. Il déclara alors : « Encore une fois, une belle révolution finit en enfer ». Direction l’Allemagne et Hambourg.
Un fantastique conteur qui continuait à résister
En Allemagne, il rencontre sa nouvelle compagne, une infirmière, avec laquelle il aura trois enfants. Pour faire bouillir la marmite, il écrit pour différents journaux allemands et français et finit par s’établir en Asturies, au nord de l’Espagne. Une région dont il louait la « tradition de lutte politique instaurée par les mineurs et la fraternité qui y règne ». Une région à son image où il y reprit ses travaux d’écrivain.
Dès son premier roman publié en 1992, le Vieux qui lisait des romans d’amour (traduit en France par François Maspero), le succès est au rendez-vous. L’histoire d’Antonio José Bolivar, un vieux qui connaît tous les secrets de la forêt amazonienne et de ses habitantEs, le peuple des Shuars, est traduite en 60 langues et même adaptée au cinéma. Dès lors, son œuvre sera marquée par l’expérience de l’exil, ses combats pour les droits humains et pour l’écologie.
En 1996, il publie un récit de voyage, le Neveu d’Amérique, qui conte une traversée depuis l’Amérique jusqu’en Andalousie. Suivront Rendez-vous d'amour dans un pays en guerre (1997), les Roses d'Atacama(2001).
En 2009, fidèle à ses engagements et à ses combats contre les dictatures, Sepulveda « revient » au Chili avec l’Ombre de ce que nous avons été. Il y raconte les retrouvailles à Santiago de trois anciens militants de retour d'exil trente-cinq ans après le coup d'État de Pinochet, bien décidés à participer à une ultime action révolutionnaire. L’écrivain déclare alors sur France Culture : « La littérature, parfois, devient l'ombre de la mémoire. Seulement ce qui existe a une ombre et donc en ce sens, la littérature est l'ombre de ce qui se passe réellement. La littérature a un rôle de rappel de ce qui s'est passé et on ne va pas admettre une solution facile comme les amnisties par exemple ou le fait d'oublier pour aller de l’avant. »
Mais le meilleur outil en littérature pour continuer le combat contre l’impérialisme, le capitalisme et ses monstres et se placer du côté des perdants, des anonymes ou des oubliés de l’histoire, c’est évidemment le polar. Par le biais du thriller et d’un alter ego romanesque, Juan Belmonte, un ancien de la GAP chilienne et de la BSB nicaraguayenne, l’écrivain règle ses comptes avec ses ennemis de toujours et avec ses souvenirs. Dans un Nom de torero (1994), puis avec la Fin de l’histoire (2017), Belmonte, retiré des affaires, repart au Chili et y retrouve des ex de la Stasi et d’ex-tortionnaires de la junte chilienne ainsi que les contempteurs de l’économie de marché « par tous les bouts »5.
Enfin, pour être complet et parce que « Raconter, c’est résister », Luis Sepulveda a aussi écrit pour la jeunesse avec Histoire d'une mouette et du chat qui lui apprit à voler (1996) et Histoire d'un chien Mapuche (2016).
Toutes les œuvres de Luis Sepulveda sont publiées aux Editions Métailié et en poche chez Points. Le tragique de cette mort due au Covid, c’est que les librairies sont fermées en France. Les librairies que le chilien chérissait.
On les aura Luis !
Parmi ses œuvres
Le Vieux qui lisait des romans d’amour (Métailié, 1992; Le Seuil, 1995) : Roman écologique évoquant la vie des Indiens Shuars dans la forêt amazonienne de l'Équateur, entre l'Équateur et le Pérou. Ce premier roman de l'auteur est dédié à Chico Mendez, dont Sepúlveda a partagé la lutte.
Le Monde du bout du monde (Métailié, 1993; Le Seuil, 1995) : Une sorte de polar écologiste où l'on voit un journaliste chilien de Hambourg revenir dans son pays pour enquêter sur le mystérieux naufrage d'un baleinier industriel japonais dans la région de la Terre de Feu.
Un Nom de torero (Métailié, 1994; Le Seuil, 1996) : Un polar austral mettant aux prises d'anciens agents secrets allemand et une compagnie d'assurance pour un trésor qui serait caché en Patagonie.
Histoire d'une mouette et du chat qui lui apprit à voler(Métailié-Le Seuil, 1996) : Une mouette empoisonnée par une nappe de pétrole, confie juste avant de mourir son œuf à un chat. Elle a toutefois le temps de lui faire promettre d'en prendre soin jusqu'à son éclosion et d'apprendre à voler au nouveau-né... Un livre pour enfants écrit par l'écrivain chilien en exil à Hambourg.
Le Neveu d'Amérique (Métailié , 1996; Le Seuil, 1998) : Un récit autobiographique romancé. L'auteur raconte comment, suite à une promesse faite enfant à son grand-père de retrouver la famille éparpillée et de revenir un jour sur la terre de ses ancêtres en Andalousie, il parcourra l'Amérique du Sud pendant plusieurs années, rencontrant des personnes aux destins singuliers avant d'atteindre son but.
Rendez-vous d'amour dans un pays en guerre (Métailié, 1997; Le Seuil, 1999) : Un recueil de 27 nouvelles relatant chacune un destin singulier, souvent désenchanté.
Journal d'un tueur sentimental (Métailié, 1998) : Parodie d'un roman noir, six journées de la vie d'un tueur, de la Turquie au Mexique, à la poursuite d'une cible fuyante. L'histoire sentimentale d'un tueur professionnel perturbé par la rencontre d'un Française.
Yacaré suivi de Hot Line (Métailié, 1999) : Deux nouvelles policières.
Les Roses d'Atacama (Métailié , 2001) :Une sorte de carnet de voyage où l'auteur fait les croquis de ses rencontres : 34 portraits se succèdent, autant de destinées singulières, en particulier ceux qui « se sont fait baiser, ceux qui perdent sans qu'on leur ait demandé s'ils voulaient perdre » (recueil de nouvelles).
Les pires contes des frères Grim (Métaillé, 2005) : Un roman burlesque où deux professeurs tentent de reconstituer, à travers une correspondance assidue et faussement érudite, les aventures des « jumeaux légendaires », Abel et Caïn Grim dans l'Amérique de la première moitié du XXe siècle.
Décès des suites du coronavirus et mort de Lorenzo Sanz, ancien président du club de foot du Real Madrid..
L'ancien président du Real Madrid Lorenzo Sanz est mort le 21 mars à 76 ans.
Photo ci-dessus, de la gauche vers la droite, le président du club du Real Madrid, monsieur Lorenzo Sanz, le joueur allemand Matthaüs et Franz Beckenbauer.
L’ancien joueur Français du Real Madrid, Karembeu, a rendu un hommage appuyé à l’ancien président du club Mr. Lorenzo Sanz..
FRANCE
Personnes décédées et nombre de morts..
19 718..déjà presque..20 000 !
Et au départ, on osait dire que seules les personnes âgées et au-delà de 70 ans décédaient..
Photo ci-dessus de Mr. Pierre Filippa et qui livre habituellement 6à à 80 repas
en tout midi et soir tous les jours dans les hôtels ou les migrants sont confinés. photo-er-paul-henri-piotrowski.
Le cas des enfants !..
Plusieurs enfants tués
- Le 25 mars 2020, une adolescente de 16 ans est décédée des suites d'une contamination au coronavirus à l'hôpital Necker-Enfants malades à Paris. Il s'agit de la première victime mineure en France.
- Le 28 mars 2020, un bébé de neuf mois est décédé des suites d'une infection au covid-19 aux Etats-Unis. Il s'agissait du premier mort infantile du virus aux États-Unis.
- Le 29 mars 2020, un adolescent portugais de 14 ans infecté par le covid-19 est décédé à l'hôpital São Sebastião, à Santa Maria da Feira, à 30 km au sud de Porto.
- Le 30 mars 2020, un adolescent de 13 ans est décédé au Royaume-Uni, après avoir été testé positif au Covid-19, placé sous assistance respiratoire et plongé dans un coma artificiel.
- Le 31 mars 2020, une adolescente de 12 ans est décédée du covid 19 en Belgique. La jeune fille avait de la fièvre depuis trois jours et avait été "testée positive" au coronavirus.
- Le 1er avril 2020, un bébé de six semaines est mort dans le Connecticut, aux Etats-Unis. Il est à ce jour la plus jeune victime du virus.
Les données chinoises, portant sur quelque 40000 patients et publiées le 24 février dernier, ne faisaient apparaître aucun décès chez les moins de 10 ans.
Et un taux de mortalité de 0,2% entre 10 et 39 ans, avant de s'envoler avec la montée en âge, pour atteindre 15% chez les plus âgés.
Les dernières données françaises connues font apparaître un risque de décès faible, mais non négligeable pour les plus jeunes.
Selon Santé Publique France, au 31 mars 2020, aucun patient de moins de 15 ans n'est mort du covid-19 en France.
Ce graphique montre les 1931 premiers morts du covid-19 en France, selon leur âge et la présence ou non de facteurs de comorbidité.
En revanche, 16 patients décédés avaient entre 15 et 44 ans, dont 3 sans aucun autre facteur de risque. Ils représentent 1% de l'ensemble des patients décédés.
151 patients âgés de 45 à 64 ans sont morts, soit près de 8% des 1931 morts recensés à l'époque.
Parmi ces 1931 patients, 320, soit 17%, avaient entre 65 et 74 ans. Enfin, l'écrasante majorité (75%) avaient plus de 75 ans.
On note que plusieurs dizaines de patients décédés étaient à la fois jeune et en parfaite santé. Mais on remarque aussi qu'un gros tiers des patients, tous âges confondus, sont morts alors qu'ils ne souffraient d'aucune autre pathologie que le covid-19.
Du côté des patients admis en réanimation, on retrouve les mêmes ordres de grandeur: plus d'un tiers ne souffrait d'aucune maladie et ne présentait aucun facteur de risque avant d'être infecté par le virus.
Et 8%, environ, avaient moins de 45 ans.
Le covid-19 touche donc toujours majoritairement les personnes âgées déjà fragiles. Mais à mesure que l'épidémie se développe et se propage à travers le monde, un nombre conséquent de patients jeunes et en bonne santé sont susceptibles d'en mourir. Sans, à ce jour, que l'on puisse expliquer pourquoi, alors même qu'il ne cause que des symptômes bénins dans l'immense majorité des cas.
"C'est un virus nouveau, unique. On n'a jamais vu ça", nous expliquait la professeure Karine Lacombe cette semaine.
La jeunesse emportée dans la tourmente de ce virus « COVID19 »..
Un premier test était revenu négatif. Julie était soignée à l'hôpital pour enfants, Necker en région parisienne. - © SEBASTIEN BOZON – AFP
On n’aura jamais de réponse", dit sa mère. A 16 ans, Julie A. est morte du coronavirus à Paris, faisant d’elle la plus jeune victime française de la pandémie, pourtant réputée toucher principalement les personnes âgées ou vulnérables.
En France, une adolescente de 16 ans est décédée des suites du Covid-19. À ce jour, il s’agit de la plus jeune victime dans le pays. Un décès troublant, alors que l’on pensait que les enfants et adolescents étaient épargnés par le virus.
JULIE
"C’est invivable", dit simplement Sabine, la mère de la jeune fille. En parlant à toute vitesse, elle évoque "le choc de perdre un enfant", "le sens de la vie", l’obligation de "continuer".
’’ Elle avait juste une toux ’’
On devait avoir une vie classique", dit-elle finalement, jointe ce jeudi au téléphone par l’AFP, à son domicile en banlieue parisienne.
"Elle avait juste une toux", répète Sabine. Une petite toux d’apparence bénigne apparue il y a une semaine, qu’elle avait tenté de soigner avec du sirop, des plantes, des inhalations.
Ce samedi, Julie commence à ressentir des essoufflements. "Pas énorme, elle avait du mal à reprendre son souffle", se souvient sa mère. Puis viennent les quintes de toux, qui la poussent ce lundi à conduire sa fille, sans problème de santé particulier, chez le médecin.
Là, le généraliste constate une déficience respiratoire "acceptable". Il décide d’appeler le Samu, finalement ce sont les pompiers qui arrivent.
Combinaisons intégrales, masques, gants, "c’est la 4e dimension", dit la mère. Ils emmènent la jeune fille, équipée d’un masque en papier sous son masque à oxygène, vers l’hôpital le plus proche, à Longjumeau, dans l’Essonne.
Sabine rentre chez elle. Lorsqu’elle appelle l’hôpital un peu plus tard, on lui parle d’un scanner, d’opacités pulmonaires, "rien de grave".
Un test au Covid-19 est en cours.
’’ A 16 ans, c’est encore la pédiatrie, on est jeune ’’
Mais dans la nuit, Julie, en insuffisance respiratoire, est transférée à l’hôpital Necker pour enfants, à Paris. Deux autres tests au Covid-19 sont menés.
Julie est admise en réanimation mardi. Elle est installée dans une petite chambre aux murs bleus, avec des oursons. "A 16 ans, c’est encore la pédiatrie, on est jeune", dit Sabine.
Décédée à l’âge de 16 ans, Julie est la plus jeune victime française du coronavirus. Une douleur terrible pour sa famille, par ailleurs incapable de pouvoir lui adresser un dernier adieu digne de ce nom.
Aucune forme de catégories de gens, tant en rang social comme en forme de statut ou autre n’a été épargnée !..
Sur la photo qui circule depuis jeudi sur les réseaux sociaux, Aïcha Issadounène ne sourit pas. Le visage est presque sévère, regard sérieux derrière ses lunettes, front dégagé, cheveux rassemblés en chignon.
L'image contraste avec le souvenir que laisse à Saint-Denis cette caissière du magasin Carrefour, fauchée jeudi soir à l'âge de 52 ans par le coronavirus. Aïcha Issadounène était sans doute la plus ancienne parmi les caissières de l'hypermarché.
Une salariée de l'enseigne Carrefour en Seine-Saint-Denis est décédée des suites du coronavirus.
Une caissière de 52 ans, travaillant dans un supermarché de Saint-Denis, récemment élue déléguée syndicale, est morte des suites du coronavirus, jeudi 26 mars, a annoncé la direction du groupe.
Aicha Issoudène, caissière et déléguée CGT quinquagénaire du grand magasin Carrefour de Saint-Denis, est morte du Covid-19. En arrêt de travail depuis le 17 mars, elle est morte jeudi 26 mars. Devant l'entrée du magasin, les clients du supermarché s'arrêtent, attristés par la nouvelle : "C'est forcément quelqu'un que je connais, alors forcément, j'ai une pensée pour elle et pour sa famille", dit l'un de son accent de titi parisien. "Ca fait de la peine, c'est quelqu'un qu'on connait, qui est mort en faisant son travail", se désole un autre. La CGT Carrefour Hypermarchés, amère, voyait dans cette mort celle d'"une de ces travailleuses de l'ombre smicarde de plus à tomber au champ de travail", tandis que la direction du groupe déplorait "un drame absolu".
Durant cette pandémie du coronavirus, les personnels de la grande distribution font partie des professionnels en première ligne. Jeudi, la CGT a annoncé qu'une femme qui travaillait pour Carrefour à Saint-Denis, en Ile-de-France, était décédée des suites du coronavirus. «Décès de notre camarade Aïcha déléguée syndicale CGT du CarrefourSaint Denis, atteinte du virus», a fait savoir le syndicat sur Twitter.
Sur la photo qui circule depuis jeudi sur les réseaux sociaux, Aïcha Issadounène ne sourit pas. Le visage est presque sévère, regard sérieux derrière ses lunettes, front dégagé, cheveux rassemblés en chignon.
L'image contraste avec le souvenir que laisse à Saint-Denis cette caissière du magasin Carrefour, fauchée jeudi soir à l'âge de 52 ans par le coronavirus. Aïcha Issadounène était sans doute la plus ancienne parmi les caissières de l'hypermarché.
L’employée travaillait depuis trente ans au sein de l’hypermarché de Saint-Denis. C’est la première victime du Covid-19 parmi le personnel du groupe de grande distribution.
Une seconde personne décède dans un supermarché de Seine-Saint-Denis..
Said était LE boucher du supermarché G20 à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), il est décédé des suites du coronavirus, samedi 4 avril 2020.
Saïd était boucher au supermarché G20 dans le quartier du Franc Moisin à Saint-Denis. (©Google Street View)
Depuis samedi 4 avril 2020, le quartier du Franc Moisin, à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), est en deuil. Et pour cause, Saïd, le boucher très connu du supermarché G20 est décédé des suites du coronavirus.
Saïd était une personne indispensable au quartier du Franc Moisin, il travaillait en tant que boucher dans ce supermarchédepuis plusieurs années et il avait toujours un petit mot pour ses clients.
Saïd est le deuxième employé d’un magasin de Saint-Denis à décéder du coronavirus. Il y a quelques jours, Aïcha, caissière au Carrefour de Saint-Denis, n’a pas survécu.
Aïcha I. était caissière depuis plusieurs années au sein du Carrefour de Saint-Denis, elle était aussi déléguée et animatrice de sa section CGT dans le groupe Carrefour.
« Elle a peut-être été contaminée dans le métro, qu'elle prenait tous les jours »
Le chanteur Christophe..
Le chanteur français Christophe, 74 ans, est décédé le 16 avril dans la soirée. Il souffrait d’un emphysème depuis longtemps. Il a d'abord été hospitalisé le 26 mars dans un hôpital parisien avant d'être transféré en réanimation à Brest.
Le chanteur français Christophe, 74 ans, souffrait. Il souffrait d’un emphysème depuis longtemps. Photo AFP - JOEL SAGET.
Le saxophoniste Manu di Bango..
Le saxophoniste camerounais Manu Dibango (86 ans)
L’ex patron de l’équipe de football de Marseille, Pape Diouf..
Le Sénégalais Pape Diouf , 68 ans, ancien dirigeant de l’Olympique de Marseille, club français de football, est décédé le 31 mars.
Le Sénégalais qui était plus Marseillais que Sénégalais..
Un homme sérieux et compétent dans son domaine, et avec toujours..le sourire, cependant..
Le maire et député Patrick Devedjian..
L'ex-ministre et figure de la droite française Patrick Devedjian est mort dans la nuit du 28 au 29 mars, à 75 ans.
Le neveu de Charles De Gaulle, le père François De Gaulle..
Et j’en oublie tant d’autres, bien-sûr, et non volontairement..
GRANDE-BRETAGNE
Personnes décédées et nombre de morts..
16 060..
Le 5 avril 2020
Les enfants sont moins touchés par l'infection... mais peuvent tout de même être affectés, parfois gravement. Photo Oli SCARFF/AFP
Ona longtemps cru et répété que les plus jeunes étaient à l'abri face à la pandémie de covid-19. Mais à mesure que la maladie progresse, de nombreux cas de formes graves voire de décès frappent de jeunes adultes, des enfants, et même des bébés.
Ce samedi, c'est un enfant de 5 ans qui est mort du covid-19 au Royaume-Uni, selon les autorités de santé britanniques.
Sur les 708 personnes mortes en 24 heures dans le pays, les autorités de santé ont dénombré 637 patients décédés à l'hôpital, âgés de 5 à 104 ans. Parmi eux 40, âgés de 48 à 93 ans, ne souffraient d'aucun autre problème de santé.
Mourir si jeune du covid-19 reste rare... mais possible. Cet enfant de 5 ans est le plus jeune patient décédé en Europe.
Les politiques et leurs attitudes décalées par rapport à la réalité !
Il plaisantait d’abord, et au début, mais a, cependant, failli y laisser sa peau..
Jeudi 9 avril
Le Premier ministre britannique Boris Johnson, atteint du COVID-19, est sorti ce jeudi de l'unité de soins intensifs de l'hôpital St Thomas de Londres où il avait été placé il y a trois jours en raison d'une détérioration de son état de santé, a annoncé son porte-parole.
Le Premier ministre britannique est hospitalisé depuis presque une semaine. Toujours souffrant du nouveau coronavirus, il fait de "très grands progrès", ont annoncé ses services.
Boris Johnson reste néanmoins hospitalisé.
Le Premier ministre britannique est hospitalisé à Londres depuis dimanche soir. Il aurait reçu un traitement à "base d'oxygène".
Boris Johnson, testé positif au covid-19 il y a dix jours, a été transféré dans une unité de soins intensifs ce lundi 6 avril. Dimanche, il avait été hospitalisé dans le centre de Londres (St Thomas' Hospital), alors que ses symptômes persistaient. Selon The Times, le Premier ministre britannique aurait reçu un traitement "à base d'oxygène" après son admission.
Des policiers sont en faction, lundi, devant l’hôpital St Thomas' où a été admis Boris Johnson. REUTERS/Simon Dawson.
Le Premier ministre britannique, testé positif au Covid-19 le 27 mars, a été admis lundi soir en soins intensifs. Boris Johnson a mis du temps à reconnaître la dangerosité du virus, pariant au début de la crise sur une stratégie d'immunité collective.
Le Premier ministre britannique Boris Johnson a été admis en soins intensifs lundi. (illustration)
REUTERS
Le 7 avril 2020
Ce mardi, le Premier ministre britannique n'a pas commencé sa journée par ses réunions habituelles, au 10 Downing Street à Londres. Depuis lundi soir, Boris Johnson est en soins intensifs, à l'hôpital St Thomas, occupé à lutter contre le coronavirus. Une maladie dont il a été testé positif le 27 mars.
Lundi matin encore, les échos à son sujet étaient rassurants. Boris Johnson est hospitalisé, certes, mais « ceci est une mesure de précaution car le Premier ministre continue de présenter des symptômes persistants du coronavirus, dix jours après avoir été contrôlé positif », lisait-on dans un communiqué officiel. Son état s'est pourtant aggravé en quelques heures.
Une aggravation qu'il n'aurait certainement pas prédite. Il a en effet fallu du temps à Boris Johnson pour prendre le Covid-19 au sérieux. Partisan de l'immunité collective et du « laisser-faire, laisser-passer », le Premier ministre a préféré gérer la crise sanitaire à rebours des autres pays. Jusqu'à sa propre contamination.
Celui-là même qui prenait cela à la légère..
Boris Johnson, le 31 janvier 2020.Crédit : SCOTT HEPPELL / POOL / AFP
REUTERS
Etats-Unis
Personnes décédées et nombre de morts..
40 000..
Le jazzman américain Ellis Marsalis a été emporté le 1er avril par la maladie Covid-19 à 85 ans.
L’homme qui avait pris cela à la légère et au départ..
Ce virus disparaîtra avec les beaux jours…
(There is no new happening..!)
Le déclenchement et les zones d’ombre..
Beaucoup de zones d’ombre restent cependant autour de ce virus très..virulent !..
Tout avait commencé en Chine, tout d’abord..
On avait parlé d’une infection liée à une chauve-souris et sur le marché couvert aux poissons de Wuhan..
Puis, il avait été question du pangolin, animal de mets choyé par bon nombre de Chinois..
Il avait été dit que, soit disant, le virus avait été transmis par le pangolin, en consommation, lui-même atteint et infecté par une chauve-souris..
(cette piste a très vite été écartée ..)
Mais, depuis le 15-16 avril, il y a eu, également, la version évoquée, par les Etats-Unis d’abord, puis relayée par d’autres pays dont la France, en pointant du doigt deux laboratoires de type « P4 » et « P3 », et qui travaillent sur le développement de vaccins anti-viraux, dont contre le « COVID2 » et « SRAS »..
Le professeur Tian Hunjua spécialiste en chauve-souris..
Le professeur Tian Hunjua, avec son nouveau jouet d'étude..un"cafard" !..
Non, le virus ne s'est pas échappé de l'un de ces laboratoires d'étude et de recherche !
On en saura, malheureusement, guère plus..hélas !..
Pour conclure
Je suis toujours aussi attristé et atterré, par le nombre de décès et morts (même si les chiffres annoncés sont faibles au regard de la population d’ensemble et pour chaque pays concerné, cependant..)..
Je suis toujours autant en colère après l’O.M.S. et qui n’a pas pris de suite, les mesures nécessaires dans le sens de pouvoir « endiguer » cette épidémie puis..pandémie !
L’ O.M.S. n’a pas, et ce, dès le départ, et à mon sens, pris la mesure de l’ampleur que ce virus allait déclencher et engendrer sur son passage !..
La date du 11 mai, restera gravée comme un point de repère au lointain, mais sans réel espoir d’une amélioration, tant dans les conditions de vie, liées au confinement, comme reprise « possible » et lente de toute activités, même si..pour relancer l’économie..
La vie..Une vie..n’a pas de prix, à mon sens et à mes yeux..quelle qu’elle soit !!!
"Notre vie après le 11 mai ne sera pas la vie d'avant et probablement pas avant longtemps"
Liste des personnes décédées et mortes dans le monde..
https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_de_personnalit%C3%A9s_mortes_de_la_maladie_%C3%A0_coronavirus_2019