Honneur au docteur Chenay !..Honneur à ce médecin !
Honneur au docteur Chenay !..Honneur à ce médecin !
Le doyen des médecins généralistes de France.
Honneur au doyen des médecins généralistes de France !
Il a « respecté », lui, le serment d’Hippocrate dans sa grandeur, beauté et légitimité !
Cet homme a tout donné durant toute sa vie et n’a jamais ménagé sa peine !
Comme il se plaisait à le dire : « mon métier a été mon moteur ! »
Quel homme et quel mérite surtout !
Photo ci-dessus prise en 2019.
Ce médecin généraliste après avoir consulté, soigné, guéri, et sinon soulagé tant de personnes tout au long de sa carrière, a souhaité mettre fin à sa longue, pour ne pas dire, très longue carrière, et enfin se mettre à la retraite..
Connu et respecté de tous, partout..même aux Etats-Unis !
De plus, il n’a jamais fait de différence !..
Une compétence au service de tous !
La simplicité, le respect, et surtout..l’accueil !
Du jamais vu..incroyable !
Un homme dévoué au service des autres !..
La retraite arrive..bien méritée !
Il a même écrit des livres.
Et si la vieillesse n’était pas un naufrage !
Il va, à nouveau, écrire et sortir un petit livre.
Manuel de santé et guide pour les personnes âgées..
Bravo Mr. Christian Chenay, et..mes respects !
Il l’avait dit lui-même: la France est un désert “médical”, on manque de médecins partout à travers la France, dans la ruralité comme à la campagne en général..
(Cette situation en constat avait déjà été observée et relevé, à l’époque, par Mr. Jacques Chirac !..)
2020
Le docteur Christian Chenay..
Il avait été invité et reçu à l’Elysée..
Le 1er mai 2020..
Il avait été reçu en grande pompe à l’Elysée, sur l’invitation du président Macron lui-même..
Comme il l’a dit lui-même, il n’attend ni les honneurs ni la gloire..
La France est devenue un grand désert médical !!!
Ce n'est pas la..Télé-médecine qui va remplacer une consultation, en oscultation, chez un médecin, même généraliste, et dans son cabinet !!!
Le président dans la tourmente..
Macron dans la tourmente au milieu du service hospitalier comme de l’ensemble des médecins, infirmières comme personnels médicaux..
Un malaise..profond !..
Cela ne date pas d’hier, certes, mais tout de même !
Un dialogue de sourd face aux besoins réels, sur le terrain, tant en hôpitaux que moyens aussi et surtout !
Le grand désert médical de la France !..
(Cette situation en constat avait été observé et relevé, déjà à l’époque, par Mr. Jacques Chirac !..)
Tout récemment..
Une charte de la ruralité pour mieux vivre ensemble à la campagne..
Face à la montée du vote FN et l'arrivée de nouveaux habitants qui peinent parfois à s'intégrer, le sénateur de l'Hérault Henri Cabanel (PS) a réalisé une charte de la ruralité. Les agriculteurs, aménageurs et élus sont invités à réfléchir aux changements démographiques qui recomposent les villages en déficit de services publics.
Quand on parle de croissance démographique, on évoque souvent les grandes villes et les métropoles. Depuis une vingtaine d'années, les villages changent eux aussi de visages. Dans l'Hérault, grâce aux prix modérés de leur foncier, la plupart gagnent de nouveaux habitants et s'étendent en même temps que les politiques nationales libérales les vident de leurs services publics. D'où un « sentiment d'isolement et d'abandon » qui se répand, lequel pousse certains citoyens à des votes d'extrême droite de protestation ou de dépit quand il ne s'agit pas d'adhésion.
A ce mécontentement vertical s'ajoute une incompréhension horizontale entre les populations rurales historiques vieillissantes et les nouveaux arrivants de milieux urbains qui peinent parfois à s'intégrer à leur nouvel environnement.
Partant de ce double constat qui voit la solidarité s'étioler et les conflits se multiplier, Henri Cabanel, à l'issue d'un travail de concertation avec des élus, des professionnels et des habitants, a réalisé une charte de la ruralité. Laquelle sera bientôt soumise aux maires, agriculteurs et aménageurs dans le but de faciliter le dialogue et le vivre ensemble. « C'est un outil parmi tant d'autres pour expliquer ce qu'est la vie dans la ruralité », indique le sénateur PS héraultais.
A l'image des plaintes reçues par les maires pour des tracteurs trop bruyants ou la peur des produits phytosanitaires, « un travail pédagogique est nécessaire » pour les nouveaux ruraux, estime le président régional de l'Union des aménageurs, Hervé Vanaldewereld. « Certains viennent à la campagne en pensant habiter dans un musée mais un village n'est pas figé », abonde Françoise Matheron, maire de Saint-Bauzille, un millier d'habitants contre 400 il y a 30 ans. La fracture numérique et le manque de transports sont d'autres sources de tension. « Les gens viennent s'installer dans les villages en pensant trouver les mêmes services qu'en ville », constate Jacques Gravegeal, maire de la commune de Campagne. Or, la ruralité compte 9 agents publics pour 1 000 habitants contre un ratio de 19/1 000 en ville. Pour éviter les déconvenues, les aménageurs sont invités à bien renseigner les arrivants potentiels en amont. De son côté, Françoise Matheron aimerait que les agriculteurs soient « associés aux plans communaux de sauvegarde ».
S'ils concèdent qu'à l'image de la pulvérisation au canon certaines de leurs pratiques à risques doivent cesser au profit d'alternatives comme les cépages résistants, les agriculteurs demandent aux maires de préserver le foncier. « Il faut sanctuariser nos caves en cœur de villages et maîtriser notre urbanisation », sous peine de « perdre l'identité viticole et la solidarité rurale », prévient Stéphane Simon, maire de Puéchabon. « Il faut créer des zones tampons entre les zones constructibles et agricoles », insiste Samuel Masse, président des Jeunes agriculteurs de l'Hérault.
Du côté de la Chambre d'agriculture, le président héraultais se dit favorable au développement d'actions de sensibilisation de la part des agriculteurs, quitte à les former pour cela. « Il faut faire vivre et partager le milieu rural en ouvrant les exploitations aux nouveaux arrivants (ndlr : opérations fermes ouvertes, marchés de producteurs de pays, ventes direct producteurs, Bienvenue à la ferme, fruits à la cantine...) Si on n'explique pas les produits et les techniques, on crée des peurs », assure Jérôme Despey. Samuel Masse ajoute qu’« un travail doit aussi être fait sur l'élevage et le bien-être animal ».
Henri Cabanel espère qu'un maximum d'acteurs se saisiront de cette charte incitative. « Le monde agricole, qui a souffert des crises, a toujours été défensif dans sa communication : il subit une attaque et il répond. Il faut passer à l'offensive. »
2020
La série "Passionnément maire" se poursuit sur France 3. Dans ce nouvel épisode, focus sur Michel Fournier, maire des Voivres, un village de plus de 300 habitants dans les Vosges, où les générations se mélangent grâce aux initiatives de l'élu.
Michel Fournier fait battre le cœur de son village des Voivres, dans les Vosges, depuis plus de 30 ans. Dans cette commune de 340 habitants, la désertification menace, alors le maire se bat de toutes ses forces. "Il faut être déterminé, souvent être courageux. Le maire, c'est lui qui va faire en sorte que tout rayonne autour de ses administrés. C'est une grande famille, en fait, et on a une responsabilité de chef de famille, selon moi", explique l'élu.
Une initiative pour redynamiser la commune
Pour faire revivre son village, le maire a eu une idée folle : faire d'un ancien corps de forme une pépinière de start-up, qui propose trois ans d'accompagnement et une bourse de 500 euros mensuels pour les entrepreneurs en herbe. L'une d'entre eux, Lucie Devoille, se lance dans la cuisine écologique. Dans ce petit écrin de modernité, on partage des bureaux, mais pas seulement. "On est tous liés par des liens d'amitié, maintenant",assure-t-elle.
Récompense..
Trente ans de combats au service de sa commune, et de la ruralité méritaient une récompense. En l'occurrence, promu Chevalier dans l'Ordre National du Mérite, Michel Fournier, maire de Les Voivres n'a que que ce qu'il mérite.
Au départ, quand fraîchement élu il voulait sauver l'école du village, il avait énoncé cette évidence. Il ne peut y avoir d'enfants s'il n'y a pas de parents. Fort de cette idée, avec l'appui de toute la municipalité, il entreprit alors de faire venir des couples avec des enfants. Il n'y avait rien pour les loger. Qu'à cela ne tienne, il suffit de leur aménager des logements. C'est ainsi que plusieurs familles purent s'installer sur la commune dans des habitations rénovées en partie par le chantier d'insertion mis en place par la mairie. Quand les délais étaient trop courts, la même équipe municipale avec en tête leur maire, n’hésitait pas à retrousser ses manches pour que les travaux avancent plus vite.
Ensuite le problème de l'emploi de proximité se posa. Il n'y en avait pas. Il fallait donc faire venir des entreprises. Bientôt sur la Zone Aménagée créée, celles-ci s'installèrent. Une d'elle vendait des matériaux, l'autre des machines pour emballer. A celles-ci une couveuse d'entreprise a été ajoutée. In Bô le fabricant de skates, vélos en bambous et de lunettes en bois a pu atteindre ainsi le niveau industriel.
Une autre couveuse patronnée au départ par le Val de Vôge est ensuite implantée à la Ferme Saint Joseph. Maintenant elle abrite plusieurs jeunes entrepreneurs qui développent leurs projets.
C'est ainsi que le combat de Michel Fournier pour Les Voivres s'est transformé en combat pour la ruralité.
De fil en aiguille, à force de frapper à la porte du voisin du dessus, il a fallu qu'il s'implique au niveau cantonal puis départemental pour finir par tutoyer la chambre des députés et la présidence de la république. Cela ne l’effraie pas même s'il doit aller aller plusieurs fois par mois à Paris.
Sûr de lui il répète toujours :
"-Les ruraux valent les citadins et ont autant de droit qu'eux."
Michel Fournier entouré de sa famille.
Michel Fournier actuel maire de la localité Les Voivres dans les Vosges..
Michel Fournier, président des maires ruraux des Vosges © Maxppp - Philippe Rivet
Mr. Michel Fournier nommé ambassadeur de la ruralité.
Les nouveaux contrats de ruralité.
le 20-11-2018
Le Congrès des maires s'ouvre aujourd'hui dans un climat qui reste tendu entre la France rurale et le pouvoir central. Aux Voivres, dans les Vosges, Michel Fournier bataille pour sauver sa commune.
Emmanuel Macron était allé à la rencontre au mois d'avril de Michel Fournier et de ce village de 320 habitants et qui ne baisse pas les bras / REUTERS.
Il ne se rendra pas. C'est sa Grande Guerre à lui. Perdu sur le front de l'Est : celui de la désindustrialisation et de la France aux volets clos. À 68 ans, Michel Fournier est un habitué des escarmouches avec le pouvoir central.
Souvent acide. Comme lors d'un dîner avec le Premier ministre il y a quelques jours. « Je vous trouve un peu groggy », a-t-il glissé à Édouard Philippe, adepte de la boxe.
Le vice-président des maires ruraux de France est un habitué des coups d'éclat. Un Lorrain au caractère bien trempé. Capable de chanter « Ah ça ira, ça ira, ça ira les technocrates à la lanterne », face à un préfet livide. Ou de toiser le chef de l'État à l'Élysée avec un sourire matois en lui demandant : « Est-ce que vous valez plus que moi ? »
L'affaire aurait pu en rester là. Curieux, Emmanuel Macron est allé à la rencontre de ce village de 320 habitants qui refuse de capituler. C'était au mois d'avril.
Des projets défendus pied à pied
À une vingtaine de kilomètres d'Épinal dans le département des Vosges, la commune des Voivres ressemble à tous ces villages de l'Est de la France. De grandes maisons profondes, l'église et son clocher à bulbe au fond d'un vallon cerné par des forêts de hêtres et de chênes.
Sur la façade de la mairie, un panneau de bois encadré par un drapeau tricolore donne le ton : « À jamais libre et non incorporable ».« C'est la devise de La Mothe, la dernière forteresse lorraine à avoir résisté à Louis XIV. Mais ça ne s'est pas bien terminé. Mazarin a ordonné de la raser et les habitants ont été dispersés. »
Lui ne se rendra pas. Trente ans d'affrontements et de projets défendus pied à pied. D'abord dans l'opposition face à un maire résigné. « Pourquoi la campagne serait-elle condamnée au déclin, peste le maire des Voivres. Il n'y a pas de fatalité. » Élu dans l'opposition en 1983, ce fils de paysan devenu commercial et qui a « connu le chomdu » casse les codes. Les habitants se bousculent pour assister aux joutes. « On faisait le plein. C'était Au théâtre ce soir », glisse-t-il en riant.
La mairie est arrachée de haute lutte en 1989. Mais son prédécesseur ne veut pas rendre la clé. « Il a fini par me la faire parvenir. Avec l'engagement de rendre la boîte en plastique qui la contenait. » Début d'une contre-offensive.
Dans son bureau, une armoire lorraine en chêne, une photo prise lors de la visite du président de la République-sa fierté mine de rien-, la lettre de trois institutrices qui soulignent son caractère ombrageux. L'autodérision ne lui fait pas peur.
S'appuyer sur ses atouts
Des bois, des terres agricoles et d'anciens bâtiments industriels gagnés par la friche... Ce paysage à la beauté mélancolique, Michel Fournier le connaît comme sa poche. Il l'a parcouru à pied et en assure la promotion avec un talent de commercial mis au service de l'intérêt général. « Dans mon métier, j'ai toujours été payé à la commission, au résultat. »
En trente ans, la population est passée de 200 à 320 habitants. La clé du succès ? Attirer des familles et créer des emplois. « On a racheté des maisons abandonnées et lancé des chantiers pour les rénover. » La pub grâce à une petite annonce passée dans la presse a fait le reste. « J'ai proposé à des familles qui n'arrivaient pas à se loger de venir s'installer aux Voivres. »
Trois décennies d'escarmouches avec les autorités. Les banquiers s'agacent des montages location-vente imaginés par le maire. Le ton monte aussi à la préfecture, à l'académie. Lui tient bon.
Pas donneur de leçons pour autant. « Il n'y a pas de recette miracle. Chaque territoire doit s'appuyer sur ses atouts. Ici, c'est l'eau et le bois. Ailleurs, ce sera autre chose. » Et tout n'a pas été simple. « J'ai eu des échecs. La greffe n'a pas pris avec certaines familles. »
« L'intelligence n'est pas qu'en ville »
Aujourd'hui, la création d'une pépinière d'entreprises centrée sur le bois fait sa fierté : quatre jeunes pousses accueillies à ce jour. In Bo, treize salariés, a pris racine. Elle fabrique des lunettes, des skateboards en bois et des vélos en bambou.
De cette France périphérique, Michel Fournier sent monter la colère. « Les élus des collectivités rurales sont sous tension. On ne les laisse pas assez expérimenter. La loi NOTRe (NDLR votée en 2015 et consacrée à la réforme des collectivités territoriales) a abouti dans certains cas à une recentralisation. La solidarité liée à l'espace qui est une chance pour la France devrait être mieux prise en compte. Après tout, on contribue bien au financement des transports en région parisienne. »
Plus qu'à Emmanuel Macron dont il salue l'effort pour le haut débit en zone rurale, c'est à l'esprit parisien qu'il en veut. Pas tendre non plus avec la nostalgie cultivée par certains élus. « C'est aussi à nous d'entreprendre avec d'autres. Faisons confiance aux jeunes. »
Aux dernières élections présidentielles, ses administrés ont voté à 52 % pour Marine Le Pen. Ça le désole : « Ils ont l'impression qu'on ne les écoute pas. Mais je ne vais pas baisser les bras pour autant. L'intelligence n'est pas qu'en ville. »
C’était en..2018..
La ruralité..
A Saint-Sauveur-le-Vicomte près de Cherbourg.
La ruralité attire les foules
Avec une météo au beau fixe, les visiteurs étaient nombreux à se promener entre les stands.© OUEST-France
Environ 13 000 personnes ont participé au festival de la terre et de la ruralité, dimanche 2 septembre 2018, à Saint-Sauveur-le-Vicomte (Manche). Retour en images.
2017
Handicap et ruralité - Inauguration de la 1ère édition
Mise à jour le 30/10/2017
Alexander Grinaud, sous-préfet d'Avesnes-sur-Helpe a participé, le samedi 28 octobre 2017 à Gommegnies, à l'inauguration de la 1ère édition des rencontres "handicap et ruralité" organisées par la communauté de communes du pays de Mormal, sous l'impulsion de son vice-président Denis Lefebvre, en charge de l'action sociale.
La communauté de communes du pays de Mormal a défini un plan d'actions "handicap" dont l'objectif est de faciliter la vie des personnes porteuses d'un handicap.
Le forum avait pour objet de présenter des stands des institutions et des associations autour de 5 thématiques : les droits, les services, les matériels, les loisirs et le sport. Un espace scénique permettait d'apprécier les talents sportifs ou artistiques d'habitants en situation de handicap, d'écouter les témoignages et de mettre en valeur des démonstrations handisports.
Le sous-préfet a rappelé la thématique du comité interministériel du handicap : « Vivre avec un handicap au quotidien » et a souligné que, pour agir efficacement sur le quotidien des personnes handicapées, « il faut investir l’ensemble des champs de l’école, de l’emploi, du logement, de la santé, de l’accessibilité de la ville et des transports, de l’accès aux sports, à la culture et aux loisirs ».
En 2017..
Corse
A Bigorno, on avait voté Macron pour « une ruralité moderne et innovante »..
La vue sur la vallée et les montagnes enneigées, le ciel où plane un aigle, les hauteurs couvertes de maquis: tout est magnifique. - D.R.
Ce village de Corse avait voté Macron au premier tourd e l’élection présidentielle, le 23 avril dernier..
Voilà, vous êtes à Bigorno, bienvenue ! Christophe Graziani, 26 ans, maire de la commune de Bigorno, championne de France des votes pro-Macron (77,11%), est heureux de faire visiter son village : des grappes de maison accrochées à la montagne, exposées plein sud. La vue sur la vallée et les montagnes enneigées, le ciel ou plane un aigle, les hauteurs couverts de garrigues et maquis…
La campagne électorale battait son plein comme le pavé des routes..
Le monde de la ruralité va connaître son printemps..
Déjà à l’époque, c’est peu dire..
La ruralité un atout à défendre ensemble – Sénat
Photo ci-dessus lors du colloque sur la ruralité, au Sénat, à l’époque.
Photo ci-dessus lors du colloque sur la ruralité, au Sénat, à l’époque.
Photo ci-dessus lors du colloque sur la ruralité, au Sénat, à l’époque.
La ville selon Chirac..
Celui qui ne saute pas n'est pas un Francilien..
Chirac le précurseur..
Une très grande popularité !
Il n’empêche que..
EMPLOI
RURALITÉ
FIERTÉ
SOLIDARITÉ
DROITE/GAUCHE
DROITE comme GAUCHE
ILS ONT TOUT CASSÉ !..
La désertification rurale existe bien !
Les communes se sentent de plus en plus seules, abandonnées par l’Etat, et de plus, les jeunes ne trouvent pas d’emploi..
Un abandon de la ruralité comme de nos campagnes depuis bien 40 ans !..
Depuis bientôt 40 ans..
L’obsession des économies a assommé les territoires ruraux..
A la campagne le silence grésille !..
Il n’empêche que Jacques Chirac était bel et bien, cependant, pour la ruralité !
(lui qui était originaire de la Corrèze..)
La désertification rurale une réalité !
On se croirait presque revenu au temps des aventures de Mr. Hulot et avec Jacques Tati..
La ruralité, nos campagnes, comme tous les agriculteurs délaissé depuis trop longtemps déjà, et quelque peu mis de côté !
Jacques Chirac, les agriculteurs et le salon de l’agriculture..
Photo ci-dessus de Mr. Jacques Chirac, au salon de l’agriculture régional des Vosges, avec, sur la droite et visible, monsieur Daniel Gremillet.
L’ancien président de la Chambre d’agriculture des Vosges a été celui qui a guidé Jacques Chirac à travers le salon de l’agriculture de Paris en 2011. Un moment fort pour le leader paysan, qui a croisé la route de l’homme politique à de nombreuses reprises.
En tant que jeune syndicaliste aux responsabilités déjà nationales et en tant que leader paysan, Daniel Gremillet a croisé à de nombreuses reprises la route de Jacques Chirac. Notamment au sommet de Vittel en l’an 2000, où le président de la coopérative, l’Ermitage, avait pu passer la soirée avec le président.
Mais la rencontre la plus marquante fut sans aucun doute la journée qu’ont pu passer les deux hommes au salon de l’agriculture à Paris, le 22 février 2011. « J’ai été chargé de l’accompagner en tant que vice-président des Chambres d’agricultures au niveau national. C’était sa dernière visite au salon et il n’était plus président mais il y avait énormément de monde autour de lui » se souvient Daniel Gremillet, qui décrit une visite où l’ancien président, très accessible était en communion avec les Français et le monde agricole. « Je l’ai guidé des vaches aux stands des provinces et notamment aux bières ! Le salon, ça fait quarante ans que je le fais et j’ai vu toute sorte de gens. Il y a ceux qui dégustent et ceux qui trempent leurs lèvres. Jacques Chirac y a quasiment passé la journée. Au fil des salons, il avait une mémoire remarquable » explique l’ancien responsable du monde paysan vosgien, devenu aujourd’hui sénateur.
« J’ai beaucoup de respect aussi pour Jacques Chirac en tant que ministre de l’agriculture. C’est ce qui lui a permis de se lancer en politique. Il a aussi mis en place de grandes lois, tout ce qui a permis à la France d’être ce qu’elle est aujourd’hui. C’était également très impressionnant de voir sa détermination notamment sur le couple franco-allemand et par rapport à l’administration européenne. Il savait tenir tête. Il a été capable de tenir tête aux Américains par rapport à la guerre en Irak ». Daniel Gremillet, qui était présent au sénat jeudi une minute de silence a été respectée, salue le rassembleur. « L’élu enraciné dans sa Corrèze qui a été capable de devenir maire de Paris » Un homme qui aimait Paris mais aussi la ruralité.
Chirac et la bouffe : quand j’ai faim, je deviens agressif..
Les « chasseurs », pièce « maîtresse » de la stratégie présidentielle de Chirac..
La France audacieuse..
Jacques Chirac un président visionnaire..
Jacques Chirac : éclairé, rassembleur, et visionnaire..
Lors de la journée internationale des femmes..
Photo ci-dessus de Mr. Jacques Chirac, dans une péniche-restaurant, entouré de 22 femmes du Doubs..
C’était en..2018..
Les Voivres..
Sénateur Jackie Pierre : « Un coup de force ».
Les deux sénateurs vosgiens, Jackie Pierre et Daniel Gremillet, sont intervenus cette semaine dans le cadre d’un débat sur la revalorisation des retraites agricoles. En chœur, les deux élus, tous deux issus du monde agricole, dénoncent un coup de force du gouvernement qui a bloqué une proposition du groupe communiste visant à revaloriser les retraites agricoles grâce à l’article 44-3 de la constitution, très rarement utilisé.
La proposition, votée à l’unanimité par les députés et sénateurs, prévoyait notamment de faire passer le minimum garanti pour les anciens chefs d’exploitation de 75 % à 85 % du SMIC net agricole. Ce qui aurait fait passer la retraite de 871 euros à 987 par mois.
Le gouvernement a donc gelé ce texte par un amendement qui propose de reporter cette réforme en 2020 et par une procédure rare de « vote bloqué »."
Lu dans Vosges Matin
Le sénateur Daniel Gremillet lors de l'inauguration de la maison des Services à Bains Les Bains.
Nous ajouterons notre coup gueule à ceux des deux sénateurs des Vosges, Jackie Pierre et Daniel Gremillet. Nous sommes certains aussi qu'un de nos plus fidèles et interactifs lecteurs, Jean Noël, y ajoutera le sien.
Nous évoquions justement il y a peu, en parlant de Roland Didier, Roland Didier l'agriculteur, ce que la France devait à la profession.
Dans les années soixante, lui et ses compagnons ont œuvré pour mettre en place une agriculture moderne en France qui, non seulement a permis de nourrir correctement la population mais a dégagé des excédents. Cette branche de l'économie est un des secteurs qui fait rentrer des devises dans le pays. Maintenant les français peuvent se nourrir avec des produits de qualité et à bas prix. Depuis des décennies le gouvernement profite des denrées agricoles vendues le moins cher possible pour combattre l'inflation.
On pourrait s'attendre à ce que nos dirigeants aient au moins la reconnaissance du ventre. Même pas, ce serait trop demander. Le croquant donne, travaille à perte et eux se servent et les contraignent à finir leur vie dans la misère. Pour beaucoup d'entre eux il n'aura même servi à rien de cotiser. Ils auraient autant sinon plus avec le RSA. Ma mère est dans ce cas. Sans la pension de réversion de mon père, elle serait dans la misère, sans même pouvoir payer sa facture de chauffage. Et combien d'autres sur la seule commune de Les Voivres sont dans le cas là.
Oui c'est vrai, souvent il n'y avait qu'un seul conjoint déclaré comme chef d'exploitation. Mais il étaient deux à travailler, ils étaient deux à produire l'alimentation des français et à enrichir le pays.
Tout le monde à la mémoire courte. Pour le commun, c'est normal. Mais que nos énarques, nos présidents, nos technocrates, oublient que dans les années d'après guerre, même dans une France libérée du joug de l'occupant et de son pillage des denrées alimentaires, qu'ils oublient, ou fassent semblant d'oublier que nos concitoyens avaient faim dans ces années là, c'est inacceptable.
Les français avaient faim et les tickets de rationnement avaient toujours cours car la France n'était pas auto-suffisante en denrées agricoles. Elle avait besoin de l'apport des colonies pour survivre tant bien que mal.
Ce sont ces agriculteurs qui depuis leur enfance, avant même d'être sortis de l'école, se sont éreintés à travailler sur la ferme familiale, puis se sont usés la santé pour l'agrandir, la moderniser, faire vivre leur famille et nourrir le pays que nos dirigeants veulent laisser dans la misère.
Ce sont ces personnes qui en acceptant de produire toujours plus pour toujours moins cher, ont permis aux ménages français de vivre décemment en ne consacrant qu'une partie de plus en plus réduite de leur budget au poste alimentation.
Ce sont ces hommes et ces femmes qui par leur travail, leurs efforts pour mieux produire ont permis que le kilo de bœuf puisse être acheté par la ménagère à un prix abordable, que la calorie alcool ne soit plus, comme c'était le cas il n'y a pas bien longtemps, celle qui permettait de calmer sa faim à meilleur marché, que la part du blé dans le coût de fabrication d'un pain soit maintenant si ridiculement faible que, s'il était gratuit, çà ne changerait pas grand-chose. Ce sont eux qui se voient refuser le droit de prendre leur retraite dans des conditions décentes.
Ces mêmes gouvernants après guerre, de peur de voir le pays bloqué par de grandes grèves et manquer d'énergie, ont accordé la retraite à 55 ans aux mineurs et aux cheminots en invoquant le fait que c'était un métier pénible. Sans doute que pour le gouvernement un agriculteur n'a pas un métier pénible. Il ne respire pas de produits toxiques, il ne porte pas de lourdes charges, il ne se casse pas le dos sur son tracteur. Il travaille dans un environnement bucolique.
En fait, messieurs les décideurs, les agriculteurs se tuent en travaillant, les agriculteurs ont un taux de suicide effroyable. Vous pourriez au moins avoir la décence de le reconnaître et de donner la possibilité aux survivants de finir leur jours à l'abri du besoin.
Ils prennent aux pauvres pour donner aux riches !..
La médecine pour tous !
L'accès aux soins pour tous !
Des hôpitaux pour tout le monde !
Des médecins pour tout le monde !
D'avantage d'hôpitaux !
D'avantages de médecins !
D'avantages de médecins "généralistes" !
Plus de médecins généralistes, à la campagne et dans la ruralité !!!
La "Télé-médecine" ne remplacera jamais un médecin, même généraliste, et ne remplacera jamais non plus..un médecin !