Je hais le Monde moderne et tout ce qui va avec !.. (suite et fin)
Je hais le Monde moderne et tout ce qui va avec !.. (suite et fin)
Quelle évolution ?..
Ce monde est vraiment pourri. Il faudra tout reconstruire. Comme le disait Georges Marchais en 1990 dans son livre ’’Démocratie’’ « je pense que cette période est en voie de s’achever ». À nous de construire la nouvelle.
A new world for what happening ?..
Quelle..Révolution ?..
[Je tiens à préciser, de suite, je ne suis pas..communiste, je ne l’ai jamais été, et ne le serais jamais, pas plus que..socialiste, non plus !..]
Le communisme..Une histoire de..Pouvoir !..
Photo ci-dessus de Mr. François Mitterrand, et avec à ses côtés, un certain Jacques Atali.
Le communisme et François Mitterrand
Le vieux renard aimait courtiser les belles..
Photo ci-dessus, peu après les élections et son investiture, la marche triomphale, rose à la main, pour se rendre au panthéon.
(on remarquera, dans son dos, et en retrait, la chanteuse Dalida..)
Une vie sentimentale tourmentée..
Des relations..discrètes..
Les Landes..
Latché et Mitterrand..
Un doux havre de paix, pour pouvoir se reposer et se ressourcer.
Photo ci-dessus de la maison de Latché.
(La maison et la bergerie de Latché ont été achetées par les Mitterrand en 1965 au baron Etchegoyen..)
Photo ci-dessus, on reconnaîtra, tout à gauche et contre François Mitterrand, Pierre Bérégovoy (secrétaire général de l’Elysée alors..), tout comme également, Jacques Delors (alors ministre des finances..) et Pierre Joxe (alors ministre de l’industrie..).
Photo ci-dessus de l’âne « Noisette » de François Mitterrand.
Une trace pour la postérité à Soustons..
Le pouvoir et les convoitises..
Photo ci-dessus de Boris Eltsine aux côtés de Mr. François Mitterrand.
Les « socialistes » ont la peau dure..
Photo ci-dessus, lors d’une réunion de ministres et avec Mr. Lionel Jospin, alors premier ministre (premier ministre sous Chirac, du 2 juin 1997 au 6 mai 2002), au centre, et avec, à ses côtés, Mme. Martine Aubry (alors ministre de l’emploi et de la solidarité), ici à gauche, et Mme. Elisabeth Guigou (alors ministre de la justice et garde des sceaux), à droite sur la photo.
Les élections de 1981
François Mitterrand arrive au pouvoir
François Mitterrand est élu et nommé président..
Débat télévisé du second tour de l’élection présidentielle française..
Le débat télévisé du second tour de l'élection présidentielle est un événement politique et médiatique des élections présidentielles françaises sous la Cinquième République.
Bien que ne constituant pas une obligation, le débat télévisé entre les finalistes est devenu au cours des années une tradition. Apparu en 1974 avec la confrontation de Valéry Giscard d'Estaing et François Mitterrand, il s'inspire de la pratique américaine, le même type de rendez-vous existant depuis septembre 1960 aux États-Unis, date d'un débat entre Richard Nixon et John Fitzgerald Kennedy.
Prémices
Lors de l'élection présidentielle de 1965, Charles de Gaulle n'utilise pas son temps de parole officiel, pensant l'emporter dès le premier tour ; mis en ballotage par François Mitterrand, il accepte néanmoins de dialoguer à la télévision avec le journaliste Michel Droit. Au scrutin de 1969, Georges Pompidou ne débat pas non plus avec son adversaire Alain Poher mais accepte de converser à la radio avec le leader centriste Jacques Duhamel1.
Les affrontements télévisés en direct..
Coups bas, souci du détail, poignées de main... En 1974, 1981 et 1988, les joutes entre les deux finalistes prétendants à l'Elysée ont également eu lieu dans l'ombre ou de l'autre côté de la caméra.
Valéry Giscard d'Estaing et François Mitterrand lors des ultimes préparatifs du premier débat d'entre-deux-tours de l'élection présidentielle, le 10 mai 1974. (DOMINIQUE GONOT / INA)
C'est la grand-messe de l'élection présidentielle. Le moment fatidique où les deux finalistes issus du premier tour s'affrontent en direct à la télévision, dans une joute finale, à quelques jours du second tour. Depuis 1974, les deux derniers prétendants à l'Elysée ont pris l'habitude de débattre – 2002 excepté – devant des millions de Français. L'exercice, ultra codifié et très périlleux, fait l'objet d'une préparation intense et se déroule souvent dans une grande tension. Si certaines séquences sont restées célèbres, comme le "monopole du cœur"giscardien ou le "Moi président" hollandais, d'autres sont tombées dans l'oubli ou restent peu connues. A quelques heures du duel qui doit opposer Emmanuel Macron et Marine Le Pen, mercredi 3 mai, franceinfo a relevé quelques-uns de ces moments d'histoire restés dans les coulisses des débats d'entre-deux-tours.
Quand un candidat récalcitrant veut tout contrôler..
Mai 1981. Le candidat socialiste, François Mitterrand, arrive en tête du premier tour de la présidentielle. Problème, il affronte le président sortant, Valéry Giscard d'Estaing, qui l'a battu sept ans plus tôt. Le candidat de la gauche garde un souvenir douloureux du débat qui les a opposés lors de l'entre-deux-tours. "Monsieur Mitterrand, vous n'avez pas le monopole du cœur !" avait alors attaqué le futur vainqueur, qui attribue lui-même sa victoire à cette fameuse tirade.
Pour le match retour, François Mitterrand est très méfiant. "Il n'avait pas envie d'y aller", raconte à France info Serge Moati, présent à ses côtés à l'époque. Il charge le réalisateur et son conseiller Robert Badinter d'établir des règles très exigeantes pour contrôler la réalisation du débat. Ces 21 règles portent notamment sur l'absence de plans de coupe, l'éclairage ou encore sur le fait que les journalistes ne doivent pas être des fonctionnaires de l'ORTF. Au grand étonnement des intéressés, l'équipe de Valéry Giscard d'Estaing accepte les 21 règles proposées.
La polémique de l’organisation du plateau télévisé et de la retransmission..
Et où il était déjà question au droit à la parole et à la scrupuleuse comptabilité, pour les échanges, tant pour l’un que pour l’autre..
Quand un candidat se sert d'un "faux" document
Ce serait la raison qui poussa l'équipe de François Mitterrand à interdire les "plans de coupe", ces passages à l'écran du candidat silencieux lorsque l'autre a la parole. En 1974, lors du débat jugé "catastrophique" par le candidat socialiste, les règles de réalisation ne sont pas encore établies. Au cours de certaines prises de parole, les caméras sont braquées sur Valéry Giscard d'Estaing qui regarde des notes, désapprouvant les propos de son interlocuteur. L'effet est immédiat : les chiffres mis en avant par François Mitterrand semblent faux et contredits par ce que le ministre de l'Economie et des Finances de Georges Pompidou a sous les yeux. Pourtant, après le débat, un conseiller du premier secrétaire du PS passe à côté des notes de Valéry Giscard d'Estaing et y observe... une feuille blanche, comme le relate Michel Field dans son ouvrage Le grand débat (éd. Robert Laffont, 2006).
Quand un camp bluffe pour faire paniquer l'autre
En 1981, face au trouble de Mitterrand qui déteste l'exercice, son équipe prépare un coup de bluff pour tenter de prendre l'ascendant contre le camp adverse. Dans son livre Trente ans après (éd. Seuil, 2011), Serge Moati raconte avoir joué un drôle de tour pour perturber le président Giscard d'Estaing, en pleine affaire dite "des diamants de Bokassa". Le président a été accusé d'avoir reçu en cadeau, en 1973, alors qu'il n'était "que" ministre de l'Economie et des Finances, une plaquette de diamants de la part du président de la République de Centrafrique, Jean-Bedel Bokassa.
Valéry Giscard d'Estaing et François Mitterrand, le 5 mai 1981. (BOCCON-GIBOD / SIPA)
Serge Moati affirme alors avoir fait courir le bruit que François Mitterrand comptait présenter un document accablant son contradicteur lors du débat. Il lui conseille même de se munir d'un dossier – vide – et de le tapoter régulièrement afin de déstabiliser le président sortant. Ce que François Mitterrand fait, sans jamais l'ouvrir.
Quand un candidat fait référence à la double vie de son concurrent
Tous les coups semblent ainsi permis dans la course à la fonction suprême. Même la vie privée des candidats – pourtant longtemps taboue dans la vie politique française – est utilisée dans le but de faire tanguer son adversaire. Lors du premier débat, en 1974, Valéry Giscard d'Estaing se distingue par une attaque difficilement perceptible pour le grand public. Peu de personnes connaissent alors la double vie que mène François Mitterrand avec l'historienne de l'art Anne Pingeot.
Au cours du débat, Valéry Giscard d'Estaing détaille les résultats du premier tour de l'élection présidentielle à Clermont-Ferrand. Il agrémente son commentaire d'un énigmatique "une ville que vous connaissez bien". Difficile d'y voir clair pour la majorité des téléspectateurs, mais pas pour les quelques initiés qui connaissent la ville d'origine d'Anne Pingeot : Clermont-Ferrand. Leur fille, Mazarine, verra le jour quelques mois plus tard, en décembre 1974. Mais le secret tiendra encore vingt ans.
Le Communisme..
On appelle communiste celui qui lutte pour que l’État lui assure une existence bourgeoise.
Une étude et analyse..
(trouvé sur le net..)
Bogota (Colombie), ville de naissance de Gomez Davila.
Il est difficile de présenter le Colombien Nicolas Gomez Davila (1913-1994), sans préciser que cet homme n’était pas un écrivain de profession, mais un grand bourgeois qui, du fait d’une légère infirmité, resta cloîtré en sa demeure sa vie durant, se passionna pour la littérature française et les cathédrales, et lut tout ce que contenait son immense bibliothèque. Catholique fervent, il est l’héritier d’un La Rochefoucauld pour la forme, de Pascal pour la profondeur de la pensée, de Rousseau pour le goût du paradoxe, et de Nietzsche, pour sa fascination des « forts ».
Nicolas Gomez Davila
Contempteur du progressisme sous toutes ses formes (politique, religieuse, littéraire), il enchante notre esprit par des phrases brèves et concises, suivant en cela le précepte de Boileau : « Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement ». Cette brièveté, souvent déconcertante, Gomez Davila s’en justifie ainsi: « L’écrivain bien élevé s’efforce d’être clair. Mais (...) expliquer plutôt que suggérer suppose un certain mépris du lecteur ».
Gomez Davila nous fait donc l’honneur de nous croire intelligents et nous entraîne, pour peu que l’on veuille bien le suivre, dans ses réflexions fulgurantes.
Pour vouloir le suivre, comprenons bien l'un des postulats de sa pensée : « Être réactionnaire, c'est comprendre que l'homme est un problème sans solution humaine ». Par « solution humaine » il pense à la Révolution française, aux droits de l'homme, au socialisme et à l’humanitarisme de Vatican II. Si la « solution » n'est pas humaine, elle est donc divine- le paradis terrestre n'existe évidemment plus, il n'existera dans aucune utopie ni aucun socialisme. On reconnaît là une pensée authentiquement catholique, reléguant le paradis à une existence future (après la mort) et cantonnant la vie terrestre à l'acceptation de la souffrance. Au débarras le Progrès donc. En attendant, la solution en sursis du paradis consiste en un catholicisme enraciné, dans lequel le triangle bourg, château, monastère, ne serait pas seulement une "miniature médiévale", mais « un paradigme éternel ».
Pour sa publicité, la quatrième de couverture des Horreurs de la démocratie, l’éditeur n’a rien trouvé de mieux à écrire que:
« Gabriel Garcia Marquez (1) aurait avoué en privé : « Si je n’étais pas communiste, je penserais en tout et pour tout comme lui ».
La puissance de Gomez Davila, comme tout véritable écrivain « moderne », réside dans la condamnation tout entière de la « modernité » et de ses monstres. Sa vision du monde est un peu celle d’un moine médiéval, transplanté dans un espace-temps hostile, tel Ignatius Reilly, anti-héros de la formidable Conjuration des imbéciles –le ridicule en moins, bien entendu.
Je vous laisse donc découvrir cet écrivain par quelques extraits choisis, tirés des « Horreurs de la démocratie », dont le titre à lui seul est tout un programme.
Notre ultime espérance repose en l’injustice de Dieu.
Le psychologue hante les bas quartiers de l’âme, comme le sociologue les banlieues de la société.
Ceux qui excusent leur abjection en se prétendant « victimes des circonstances » sont des socialistes doctrinaires.
Le socialisme est la philosophie de la culpabilité des autres.
Se refuser à admirer, c’est le signe de la bête.
La religion n’est pas née d’un besoin urgent d’assurer la solidarité sociale, pas plus que les cathédrales n’ont été construites dans le dessein de favoriser le tourisme.
la cathédrale de Milan
Une lutte contre l’injustice qui ne débouche pas sur la sainteté débouche sur des convulsions sanglantes.
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La littérature française classique prouve que l’homme n’a pas besoin de s’aveugler pour être grand
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Éduquer l’homme, c'est empêcher la « libre expression de sa personnalité ».
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L’homme ne crée pas ses dieux à son image et à sa ressemblance, mais il se conçoit à l’image et à la ressemblance des dieux en lesquels il croit.
Murillo, Saint François
L’historien démocratique enseigne que le démocrate ne tue que parce que ses victimes l’obligent à les tuer.
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Tout individu susceptible de déplaire à l’intellectuel de gauche mérite la mort.
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Le communisme hait le capitalisme par complexe d’Œdipe.
Le réactionnaire, lui, ne fait que le considérer d’un œil xénophobe.
A Barad-Dur, l'oeil de Sauron (Tolkien, Le Seigneur des Anneaux, adapté par P. Jackson)
Le mal, comme l’œil, ne se voit pas lui-même.
Qu’il tremble, celui qui se voit innocent.
La foi, c’est ce qui nous permet de nous égarer dans n’importe quelle idée, sans perdre de vue le chemin du retour.
L’orgueil nous suffit pour pardonner à qui nous injurie, mais la charité elle-même n’est pas suffisante pour que nous pardonnions à qui injurie ceux que nous aimons.
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Quand les convoitises individuelles se rassemblent, nous avons pris l’habitude de les appeler nobles aspirations populaires.
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Un lexique de dix mots suffit au marxiste pour expliquer l’histoire.
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Le gauchiste hurle à la mort de la liberté quand ses victimes refusent de financer leur propre assassinat.
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Pour juger notre époque, il suffit de se rappeler que ses moralistes sont les sociologues.
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Le dialogue entre communistes et catholiques est devenu possible depuis que les communistes falsifient Marx et les catholiques le Christ.
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L’homme ne possède pas son intelligence : son intelligence est en visite chez lui.
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La vénération de l’humanité est répugnante, comme tout culte de soi-même.
Beaucoup n’aiment l’homme que pour oublier Dieu la conscience tranquille.
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Les opinions stupides cessent de nous irriter si nous les prenons comme des documents sur la personne qui les exprime.
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Le chrétien moderne ne demande pas à Dieu de lui pardonner, mais d’admettre que le péché n’existe pas.
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Le christianisme scandaliserait le chrétien, s’il cessait de scandaliser le monde.
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Il est facile de sympathiser avec n’importe quel homme, tant qu’il n’émet pas d’opinion.
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Le peuple n’envahit que des palais déjà désertés.
« Avoir le courage de s’accepter » est l’une des nombreuses formules modernes qui tâchent à occulter la bassesse de l’homme en appelant difficile ce qui est facile.
L’esprit moderne affirme que rien ne demande plus d’efforts à l’homme que de céder à son animalité.
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Les prises de position révolutionnaires de la jeunesse moderne sont des preuves irréfutables de ses aptitudes à la carrière administrative.
Les révolutions sont de parfaites couveuses à bureaucrates.
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Celui qui écrit raison avec une majuscule s’apprête à nous duper.
Ce que l’écrivain invente tout d’abord, c’est le personnage qui va écrire ses œuvres.
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Seul le sociologue qui n’a pas de message à délivrer ne dit pas toujours que des bêtises.
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Si grande est la distance entre Dieu et l’intelligence humaine que seule une théologie pour enfant n’est pas infantile.
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La féodalité a été fondée sur des sentiments nobles : loyauté, protection, service.
Les autres systèmes politiques se fondent sur des sentiments méprisables : égoïsme, convoitise, jalousie, lâcheté.
La charité, pour un égalitariste, est un vice féodal.
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Le christianisme n’a pas inventé la notion de péché, mais celle de pardon.
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Le catholique progressiste va ramasser sa théologie dans la poubelle de la théologie protestante.
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Les concessions sont les marches de l’échafaud.
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Cette libération de l’humanité qu’a tant chantée le XIXe siècle s’est finalement résumée au tourisme international.
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Le Progrès se réduit finalement à voler à l’homme ce qui l’ennoblit, pour pouvoir lui vendre au rabais ce qui l’avilit.
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On appelle communiste celui qui lutte pour que l’État lui assure une existence bourgeoise.
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Nous appelons ère libérale les quatre siècles que prit la liquidation des libertés médiévales.
(1) Gabriel Garcia Marquez est un écrivain réputé pour ses opinions marquées à gauche, auteur notamment du roman L'Amour au temps du choléra.
La Macronie..
NOUVEAU MONDE
Le peuple, le premier floué est en train de s'apercevoir qu'on lui ment depuis quarante ans. Il est fermement attaché aux convenances stables comme vous dites, et il sait le prouver assez brutalement quand la France des petits marquis va trop loin.
To see a World in Grain of Sand
And a Haeven in a Wild Flower
Hold Infinity in the palm of your hand
And Eternity in an hour.
- by William Blake, the English poet.
Nostalgie du passé ou..simples regrets ?...
Le Monde « Bipolaire »..
Durant toute la période de la « Guerre froide » et jusqu’à la chute du mur de Berlin, le Monde était « faussement » divisé en deux, avec, d’un côté le Monde dit « communiste » et « Bloc de l’Est » ou Monde Oriental, et de l’autre, le Monde occidental et « Capitaliste », plus que.. « Démocratique »..
Mes impressions personnelles
Le café « Sybille »..
Un endroit particulier et avec une ambiance particulière !
(lorsque l’on voulait prendre le « pouls » de la R.D.A. ou D.D.R., il suffisait pour cela de se rendre dans ce café, lieu de rencontres des différentes classes et couches sociales, écrivains, intellectuels, philosophes, etc..)
[Mais, il existait, toutefois, bien d’autres endroits et pour cela..]
Avant la chute du mur..
Et juste peu..après..
Les vestiges visibles du passé..
Le café « Sybille » change de look..
Avant..
Juste après..
La promotion des grands groupes industriels..
Une ambiance qui reste malgré tout.. « Ostalgie » oblige..
(les gens restent « accrochés » et quelque peu, encore, « ancrés », dans la tête et leur esprit, de leurs origines, et surtout de cette nostalgie pour la ex..R.D.A. et D.D.R. pour eux..)
Photo ci-dessus, récente, et qui reflète bien cette ambiance..d’avant.
Le palais des congrès du parti de la ex. R.D.A.
(der Kongresspalast – Palast der Republik der S.E.D. partei der D.D.R. )
Le Präsidium
La grande parade militaire et défilé d’octobre, en commémoration..
Des bâtiments austères aux allures martiales..
Photo ci-dessus de bâtiments près de la « Straussbergerplatz », comme on peut le voir encore, à peu de choses près, de nos jours.
Il existait pourtant un tas de coins sympas !..
[ Je tiens à préciser, de suite, que je connaissais bien, et même très bien, la ville de Berlin, de jour comme de nuit, et des deux côtés, je veux dire..Berlin Ouest, tout comme Berlin Est..et même un peu plus..]
En tout cas, j’ai vécu tout cela, en parlant du mur de Berlin, et du fameux rideau de fer, de très près, et ce, chaque jour, entre 1985 et 1990.
Les points de passage, entre Berlin ouest et Berlin est et la R.D.A. vers la R.F.A.
Le point de passage et de contrôle de la "Chausseestrasse"..
(celui-ci était situé en secteur Français, peu après et au bout de la Müllerstrasse..
Photo ci-dessus du mur à côté de la porte de Brandenburg, côté est, avec le cadrige visible et l'hôpital "Charité" également à l'est..
La « N.S.A. », les tous premiers débuts..
(cela avait commencé, juste peu après la fin de la seconde guerre mondiale, juste pour préciser..)
Photo ci-dessus de Edouard Snowden, l’homme qui révéla les dessous de la N.S.A.
Avec la guerre froide..
Le site d’écoute du « Teufelsberg » à et dans Berlin-ouest..
Le site d’écoute Américain du « Teufelsberg », pour toutes les lignes téléphoniques !
(C.I.A. oblige..)
Photo ci-dessus datée de..2015.
A l’époque là, il n’y avait pas de téléphones portables ou « Smartphone », mais toutes les cabines étaient sur écoutes, surtout celles situées près du mur et des différents points de passage, côté Berlin ouest !!!..
[ Je tiens toutefois à préciser que les allemands de l’Est, avec la « Stasi », tout comme les Russes, avaient un équivalent, à Berlin-est, avec la « Fernseh-turm » de la D.D.R., ou tour de la télévision et radio nationale, non loin de la Alexander-platz, et ou l’étage situé juste au-dessus du restaurant circulaire et tournant, dans la fameuse boule de cristal, pour le surnom, il y avait des systèmes d’écoute et c’était bourré d’électronique..En plus, ils avaient plusieurs sites répertoriés à travers la R.D.A. dont un, tout contre la R.F.A. non loin de Helmstedt sur une petite montagne appelée « Der Brocken »..]
Le pont des échanges et pont de « Glienicke-brücke »..
Photo ci-dessus prise au milieu du pont et côté soviétique, avec le dernier échange d’espions, de l’affaire « Tcharanski », et que j’ai vu et vécu sur place.
L’aérodrome militaire Américain de « Tempelhof », en secteur sud..
(C’est celui qui a permis d’assurer les ponts aériens durant la guerre froide..pour alimenter la ville de Berlin ouest en nourriture, charbon et autre..)
Photo ci-dessus prise en 1984.
(il s'agissait d'une opération "portes-ouvertes" avec présentations d'avions et de matériels militaires divers..)
Le monument symbolisant les trois couloirs aériens autorisés, pour pouvoir traverser la ex. R.D.A. et D.D.R. et espace aérien, pour se rendre depuis la R.F.A. vers Berlin-ouest, et dans les deux sens.
Il existe le même monument et pendant, pour la jonction tout contre et près de l’aéroport de Francfort en R.F.A.
Une commémoration en souvenirs des ponts aériens et de ce blocus..
A présent, il y a un immense terrain vague et avec des plantations, un peu partout, et à tout va, de jardins partagés..
Terrains de jeux en tous genres et disciplines diverses, comme pour les radio-amateurs..
La « Reichsbahn »..
Les trains de la ex. R.D.A. et leur locomotives, si caractéristiques de la « Reichsbahn »..
Photo ci-dessus d’une locomotive de la « Reichsbahn » de la R.D.A., à l’époque, dans la gare de « Helmstedt », en R.F.A.
Photo ci-dessus de militaires anglais dont officiers des chefs de convois pour le train, au moment du contrôle (dont pour toutes les pièces d’identité des personnes à bord du train..), avec et en présence d’une délégation Russe chargée de ce contrôle, tant au départ, en gare de Helmstedt en R.F.A. que à l’arrivée à Potsdam peu avant d’entrer dans Berlin-ouest.
[C’est à partir de là, que tous les convois ferroviaires transitaient entre la R.F.A. et Berlin ouest, pour la traversée de la R.D.A., et avec un arrêt « obligatoire », en gare de trafic de fret, peu avant la gare principale de Potsdam et sous la surveillance de militaires soviétiques en armes et d’officiers soviétiques pour un nouveau contrôle, avant de pouvoir utiliser le point de passage du côté de Steinstûcken, et d’arriver enfin, en longeant le mur, côté ouest, parfois est, avant d’arriver, en gare de Tegel, pour les Français et en secteur Français..]
Photo ci-dessus de deux officiers soviétiques.
Photo ci-dessus du train, à la sortie du couloir avec le mur, pour entrer dans l’enclave de « Steinstücken » avant de pouvoir poursuivre dans Berlin-ouest et rejoindre l’une des gares alliées, en secteur Français, Anglais, ou encore Américain tout proche.
Les autres voies de transit étaient réservés aux seuls Allemands de la R.F.A. et de Berlin ouest ..
Le genre de chose et/ou spectacle que l’on pouvait voir durant le trajet de transit..
Photo ci-dessus d’un convoi militaire soviétique.
La Potsdamerplatz..
(avec le fameux bunker de Hitler au centre et sous terre du « Noman’s land..qui le reliait directement avec le bâtiment de la « Reichskanzlerei..)
Photo ci-dessus avec La Potsdamerplatz..avec le fameux bunker de Hitler au centre et sous terre du « Noman’s land..qui le reliait directement avec le bâtiment de la « Reichskanzlerei..
Les contrôles lors de l'ouverture du mur à la "Potsdamerplatz" pour pouvoir se rendre de l'Est à l'Ouest..
Photo ci-dessus de contrôles de papiers, et avec deux véhicules de type « Wartburg », pour la première devant et en bleu, et une « Traban », pour la seconde, au premier plan.
A présent tout va changer et tout..change !..
1990..
Photo ci-dessus, le mur à peine tombé ou effondré, même si encore debout à bien des endroits, on attend pas, on attend plus..on construit..spéculation immobilière..oblige !
Le côté « lugubre » des choses..
Une..particularité cependant et malgré le mur
Le point de passage pour les camions poubelles chargées d’ordures et pour se rendre à l’Est, pour y déposer toutes les ordures, en arrangements, et avec un trafic, en « magouilles » d’argent aussi !
Du côté de « Steinstücken », enclave située au sud, et en secteur Américain, non loin et à proximité du pont des échanges ou « Glienickbrücke »..
Photo ci-dessus(datée de 1987..) du bus, si caractéristique et avec sa couleur authentique de l’époque, venant du quartier de « Kohlhasenbrück »(se référer à la carte juste au-dessus..), et entrant dans l’enclave de « Steinstücken » après avoir traversé le long couloir, situé de part et d’autre et juste derrière, avec le mur de chaque côté. Une impression très particulière.
Le train provenant de « Helmstedt » et arrêté en gare de Potsdam, avant de poursuivre pour entrer dans l’enclave de « Steinstücken » et par une brèche ouverte dans le mur.
Photo ci-dessus de deux officiers soviétiques et contrôlant le convoi du train avec les wagons en gare de fret, peu avant la gare centrale et principale de Potsdam.
Photo ci-dessus, le train entre dans l’enclave de « Steinstücken », grâce à la brèche ouverte dans le mur, juste derrière la locomotive, et faite uniquement pour ça et rien d’autre.
(il y a un mirador juste à côté et à proximité..)
Rien est laissé au hasard !
Photo ci-dessus, une rue dans Potsdam.
Photo ci-dessus, une rue dans Potsdam, du côté de Altglienicke-Köpenicker-strasse.
Photo ci-dessus d’un groupe d’allemands de l’est, essayant de vendre quelque peu des légumes et des fruits de leur production, du fait de la situation catastrophique et pour eux, peu après la chute du mur et la période appelée « Die Wende », ou le changement.
Une liesse au pont des échanges de « Glienickebrücke »..
Photo ci-dessus, d’une voiture est allemande (une Wartburg..), et qui franchit le pont, en venant de Potsdam, pour se rendre dans Berlin-ouest.
( On remarquera la présence de policiers allemands de Berlin- ouest, tout comme des officiers soviétiques juste à côté..)
Le jour ou tout bascula !..
Près de la porte de Brandenburg..
Au fameux « Check-point Charlie »..
L’ouverture vers la liberté et surtout liberté de circuler librement..
J’ai vécu cette soirée folle et impensable, avec cette ouverture du mur, juste à côté et contre la Porte de Brandenburg, et non loin du Reichstag, et tout ce qui a suivi après..
Je ne suis pas prêt..d’oublier, et cela restera gravé, à tout jamais, dans mon esprit, comme en pensées et en moi, et ce, jusqu’à la fin de ma vie..
Photo ci-dessus du palais de la culture, non loin du Reichstag et appelé à l’époque, le sourire de Jimmy Carter ou encore l’huître.
La fin du communisme..vraie fin ?..
Depuis la chute du mur de Berlin, tout n’a été tourné que vers le « Capitalisme », le Marché, le Marché libre, la productivité et la surproduction, et..la consommation, et surtout surconsommation effrénée et surtout..exagérée..point de non retour !!!
Monde moderne ( !)
Monde d’avant et Monde d’après ( ?)
Covid 19..
Devant l’ampleur de la pandémie, il est trop tôt pour se risquer à des conclusions hâtives. Mais elle nous oblige (cependant..) sur deux points essentiels. Tout d’abord, cette crise sanitaire se superpose à deux autres dérèglements majeurs, l’effondrement de la « biodiversité » et le réchauffement du climat. Or, toutes trois ne sont pas localisées sur une zone du globe, mais concernent l’humanité toute entière, sans exception. Agir pour les atténuer nécessite un effort « universel » et coordonné. Nous en sommes loin et les virus de la « cupidité » (cupidité humaine aussi et surtout..) et de l’égoïsme des nations restent particulièrement « infectants ». Ensuite, il nous est impossible de nous asseoir autour d’une table de négociation avec le « SARS-Cov2 », les plantes et les animaux, ou encore les molécules de l’atmosphère pour leur proposer un quelconque « deal ».
Ces trois « bouleversements » n’ont rien à voir avec un conflit entre humains idéologique ou territorial, ou une course aux armements. Ceux-là peuvent – devraient ! – se résoudre en quelques jours pour autant que les belligérants en aient l’audacieux courage et l’intime volonté.
Non, on ne négocie pas avec un « Coronavirus », des espèces menacées et des bouleversements du climat ; ils sont d’une autre nature, car ils sont la « Nature ».
La seule réelle négociation possible est donc avec nous-mêmes, en conscience, et entre nous, entre humains.
Saurons-nous y parvenir ?
Prendre à temps le virage vers un monde stoppant son « ébriété d’énergie » et de matières premières, sa « boulimie » d’artificialisation des sols, son « addiction » au superflu ?
Le grand défi de la première moitié de ce siècle est que la seconde soit tout simplement « vivable ». Pour cela, dénoncer, critiquer est une condition nécessaire mais non suffisante. Prenons garde à la séduction des « duettistes » Yaka et Fokon : il nous faut « réinventer » notre façon de d’habiter la maison Terre, tout revisiter parce que tout est lié, tout fait système, de l’intime au planétaire, de nos modes de vie aux modes de gouvernance.
Inspirateur de l’analyse systémique, le précurseur Richard Fuller nous y incitait déjà il y a plus de 50 ans : « On ne change pas les choses en s’opposant à ce qui existe déjà. Pour que les choses changent, il faut construire un nouveau modèle qui rend l’ancien « obsolète. »
Vers une forme de non retour et un chaos mondial prévisible ?..
Pour terminer