Une maison « écologique » et « bioclimatique » pour un meilleur compromis..
Une maison « écologique » et « bioclimatique » pour un meilleur compromis..
[Photo ci-dessus, il s'agit d'un "Earthship", en Dordogne, en fait c'est une école..]
Une maison « écologique » et « bioclimatique » pour un meilleur compromis..
Une maison ne peut être « écologique », comme surtout « bioclimatique », si elle ne s’intègre pas au paysage environnant, tout en tenant compte de la course du soleil, pour une durée dans le temps et avec un réel confort !
C’est l’implantation comme orientation du terrain, par rapport au soleil, dans le sens de son exposition, pour pouvoir « profiter » au maximum du soleil, tout au long de la journée, et ce du matin au soir, tout au long de l’année, été comme hiver, qui va « dicter » notre choix et nous dictera sur le bon choix..
Il ne sert à rien de « pavoiser » si on a pas fait le bon choix, tout en tenant compte de cela.
C’est bien le soleil, tout comme la course du soleil qui est le plus important !
Je tiens à préciser de suite qu’il n’y a pas besoin, à tout prix, de puits canadien (anciennement puits provençal..), à moins d’habiter dans le midi, et encore..
Il n’y a pas besoin, à tout prix, là non plus, de toit « végétalisé » pour être dans un contexte « écolo », loin delà..
Par contre, le principe de récupération de l’eau de pluie, avec un bac de récupération, peut être un vrai plus, non négligeable.
Il n’y a guère eu d’évolution depuis 1946-1947, en parlant de tout ça, sauf, un tout petit peu, à partir du début des années 80, et encore !..
Les réelles « évolutions », dans le domaine de la prise en compte réelle, l’ont été à partir de 2000, puis 2005, et surtout à partir de 2010.
Il s’en est suivi des réglementations diverses (non imposées..), appelées « R.T. » ou Réglementation thermique, pour la toute première en 2005 et R.T. 2005, puis R.T. 2010, et enfin..R.T. 2012, et qui allait (je dis bien..allait..) nous apporter là une réelle, non pas « révolution », mais bien approche et prise en compte d’un tas de choses, dans un tas de domaines, et concernant la construction de maisons individuelles, tant pour les techniques de construction que pour les matériaux utilisés et employés.
Il y a eu, et il s’en est suivi, également, un tas d’aberration, dans une « envolée » presque lyrique, en récupération, et concernant surtout tous les promoteurs comme constructeurs de maisons individuelles et pavillons, sans oublier en passant les architectes..
Photo ci-dessus d’une projection en exemple dans le cadre de cette R.T. 2012, et avec beaucoup de choses « inutiles » en rajout et autre.
Le plus important est et reste l’enveloppe dans le sens de l’isolation réelle et pour pouvoir ainsi éviter des pertes liées à une mauvaise étanchéité dans la continuité comme en jonction.
Des maisons.. « écologiques »..
Il ne faut jamais « confondre » une envie d’un moment avec un projet dans la durabilité ..
Fait suite une maison comme modèle un peu particulier..
Une maison écologique un peu particulière en Normandie..
(J’avais suivi, dans l’approche, le projet et la construction de cette maison, comme son aboutissement à terme..)
Cette maison a été le choix et un peu « coup de coeur », pour deux jeunes femmes souhaitant vivre ensemble..
Le projet et les plans..
Le concept de construction..
Tout comme l’habillage..
Le plan d’aménagement intérieur..
Un concept en longueur et dans une continuité linéaire.
Des ouvertures face au soleil.
Pour bien profiter du paysage et de la nature..
La cuisine..
(C’est un peu dommage que celle-ci soit dans un renfoncement et avec juste une toute petite fenêtre..surtout pour l’hiver..)
La chambre à coucher..
(Seule et unique !..)
La salle d’eau..
(Le coin douche et w.c., se référer au plan mis plus haut )
Il faut espérer que cette maison ne subira pas trop les affres du temps dans la durée…
Maison bioclimatique..
Le concept du « Dôme-espace »..
Le « Space- dôme »..
Ou
Domespace.
Un concept architectural innovant mais quelque peu complexe..
Une ossature en bois lamellé-collé.
Une architecture comme ossature quelque peu complexe..
Un dôme posé sur un espace restreint..
(Non, il ne s’agit pas d’une soucoupe volante venue se poser là..)
Un dôme posé à même le sol..
L’auto construction un chantier énorme et pas évident, surtout pour ce type de maison en concept..pas facile..
Un projet qui capote en Normandie..maison à vendre..
Un gîte quelque part en France..
Une sphère « bulle »..
Un concept innovant..
La maison « Pop-Up »..
Un concept « innovant » mis au point par deux Marseillais.
(J’avais également suivi, en approche, ce projet comme réalisation..)
Un plancher support avec une ossature de bois et de polystyrène..
Une intégration au milieu de la nature et entourée d’arbres..
Seul « bémol » à tout ça..la maison est conçue avec une majorité de composants en polystyrène (polluants !..) et surtout..inflammables !..
Les « prospections » comme « perspectives » sur le plan architectural amènent et permettent toute sorte d’intégration comme de dérives aussi et surtout.
Il faut toujours proposer « plus » et « mieux » pour mieux « vendre » et vendre cher, très cher.. aussi !
Il n’y a pas besoin de construire aussi grand et sinon « trop » grand, pour être heureux, et surtout sinon, pour avoir juste à côté un immense jardin potager..
Quelle hérésie !
Tout le monde rêve et sinon recherche une ouverture vers l’extérieur, pour pouvoir mieux profiter du paysage et en essayant de s’y intégrer au maximum, par la vue comme en pensées..
Il y a des « projets » qui capotent et n’arrivent pas à se concrétiser..dommage.
La vision comme concept « écologique » en s’appuyant sur la nature et le bois.
Une maison ou « chalet » en fuste..
Michel a auto-construit son chalet en fuste en Ariège..
(Il se faisait aider par son fils..)
Le chalet en fuste, contrairement à ce que l’on croit et pense, n’est pas réellement bien isolé, et doit pour pouvoir être « intégré » dans le cadre de la R.T. 2012, être rendu plus étanche au montage, dans l’empilement des troncs d’arbres découpés, avec une isolation entre.
C’est d’ailleurs pareil pour un chalet en madriers.
Une maison en madriers..
2011.
Dans le journal LE PROGRÈS.
Construite à Saint-Cyr-au-Mont-d’Or, une maison témoin, réalisée en bois massif, montre toutes les possibilités d’un matériau à la mode mais mal connu. Il séduit néanmoins de plus en plus de candidats à la propriété
Des concepts plus modernes tout en s’intégrant dans le paysage..
Construite à Saint-Cyr au Mont d’Or, cette maison en bois massif a une surface de 140 m2. Très contemporaine, elle bénéficie du Label B.B.C. et par là même d’une excellente performance énergétique. Elle ne consommerait que 53,2 Kwh/m2/an/ Photo Philippe Juste.
Bruno Masarin est comme ça. Dans le bois il croit, dur comme fer. Il y croit tant, qu’à tant faire, aux maisons à ossature bois il préfère les maisons en bois massif édifiées avec d’épais madriers, à la manière d’un jeu de construction. « Ce matériau possède des qualités exceptionnelles, il respire tout en isolant naturellement, il stocke dans la journée la chaleur du soleil et la restitue quand la fraîcheur s’installe. Enfin, il régule tout aussi naturellement l’hygrométrie, absorbant le surplus d’humidité pour le restituer plus tard si l’atmosphère est plus sèche. Ces maisons sont saines, c’est leur nature ». Les maisons à ossature bois, en revanche, plus proches de la construction traditionnelle, se révéleraient pour lui moins performantes et surtout moins agréables à vivre. Le débat est ouvert (voir plus bas)
Seul souci, si la vogue de l’écologie fait une utile publicité à la construction bois - « aujourd’hui 10 % des maisons individuelles construites en France sont en bois » explique Bruno Masarin - le Français ne possède pas encore la culture de ce matériau, hormis dans les régions où il a toujours été utilisé, comme en Savoie notamment.
Ainsi, même si les choses changent actuellement, les mairies se sont longtemps montrées réticentes à accorder des permis de construire. De même, les normes en vigueur ne sont pas toujours adaptées. Un exemple : pour obtenir le label « BBC » (bâtiment basse consommation) pour la maison témoin qu’il a construite à Saint-Cyr-au-Mont-d’Or, Bruno Masarin a dû la doter d’un isolant à base de laine de bois réputé onéreux mais surtout pas vraiment nécessaire à ses yeux– « son impact est négligeable » dit-il – d’un système de ventilation mécanique et d’une pompe à chaleur air-eau afin d’alimenter un système de chauffage par le sol à basse température. « Alors qu’un seul poêle à bois suffirait pour chauffer les 140 m 2 de cette maison où le renouvellement de l’air se fait naturellement. Ces équipements font grimper la facture à 1800 euros le m 2 alors que l’on pourrait s’en tirer à moins » ajoute le constructeur.
Or, la construction bois à déjà la réputation d’être une construction au coût plus élevé que la traditionnelle. La matière première est assez chère et, de surcroît, les techniciens et les ouvriers qui la mettent en œuvre sont généralement plus qualifiés. Enfin, il est presque toujours nécessaire d’avoir recours à des études techniques complémentaires ce qui augmente forcément la facture.
BM Bois (1), la PME que dirige Bruno Masarin, aux côtés d’un associé basé lui en Savoie, commercialise, bon an mal an, une vingtaine de maisons en bois massif chaque année sur la région Rhône-Alpes. Ces maisons qui peuvent être conçues par un architecte indépendant ou par celui employé par BM Bois sont ensuite préfabriquées en Finlande par le plus gros constructeur mondial, Honka, lequel a mis au point une technique d’assemblage ingénieuse et parfaitement rôdée qui rend aisé le travail des bâtisseurs. Enfin, les madriers ou les rondins - selon le style choisi - sont acheminés en France où ils seront assemblés et la maison montée. Ces madriers sont réalisés en pin du nord.
Dans une maison en bois massif, les murs sont fait uniquement de madriers ou de rondins en bois. Ces mêmes murs sont à la fois porteurs et isolent naturellement la maison. Ils sont donc visibles sur leurs deux faces, intérieures et extérieures.
Dans une maison à ossature bois, les murs sont constitués d’une « ossature » de poteaux et entraits en bois remplis intérieurement par un isolant. Par la suite, ces murs sont ensuite refermés intérieurement par un panneau de finition en Placoplâtre®, en fermacel ou encore, en lambris. Extérieurement, ils sont refermés par un revêtement étanche qui peut être un bardage bois ou aussi un enduit peint.
D’un long séjour d’étude au Canada, le jeune architecte lyonnais Damien Gallet a ramené son goût pour la construction bois. Une technique qu’il privilégie même s’il lui arrive encore de sacrifier au béton.
Reste qu’à ce jour il a déjà livré une demi-douzaine de maisons individuelles à ossature bois, toutes construites dans la région lyonnaise. Par ailleurs, plusieurs projets sont en cours : « en Rhône-Alpes, il existe un réel engouement pour le bois. Les artisans charpentiers, spécialisés dans la construction des maisons, ont généralement leurs carnets de commandes pleins » se réjouit Damien Gallet.
Alors qu’il vient de remporter un prix de la meilleure réalisation contemporaine pour une maison construite à proximité de Lyon, Damien Gallet explique pourquoi il défend, pour sa part, les maisons à ossature bois : « La technique est simple à mettre en œuvre, elle assure une meilleure étanchéité. De surcroît, on ne connaît pas de problème de compression alors que cela arrive avec le bois massif. Enfin, pour un architecte, les maisons à ossature bois laissent plus de possibilité à l’imagination. On peut oser des solutions qui seraient plus difficiles à mettre en œuvre même avec du béton ».
« Par ailleurs, ajoute l’architecte, une maison à ossature bois ne ressemble pas forcément à un chalet et le bois n’est pas omniprésent à l’intérieur, ce qui peut rebuter certaines personnes. Nous pouvons, en effet, utiliser toutes les surfaces, à commencer par les enduits à l’intérieur comme à l’extérieur ».
Reste la question, cruciale, du coût. « Certes, les maisons en bois sont toujours un peu plus onéreuses que la construction traditionnelle en béton. En revanche, elles se prêtent plus facilement à la performance énergétique. Ce qui est un atout alors que les normes, en la matière, ne cessent d’évoluer. Dans notre agence, une maison livrée clefs en mains, honoraires compris, revient entre 1 700 et 1 900 euros du m2 « annonce Damien Gallet.
Il ne faut jamais perde de vue qu’un chalet, même si intégré au décor, en parlant de la nature environnante comme forêt, s’il n’est pas exposé au soleil, prendra de l’humidité, car la proximité d’une forêt autour, tout comme d’un étang, va concentrer de l’humidité dans l’air comme autour..
Un concept simple de chalet..
Là, pour ce coup-là, et pour celui-ci, pas de problème, en parlant du soleil et pour l’exposition au soleil.
Le fait de s’être adossé à la pente, sur la droite, n’est pas faux ni idiot, cependant il faut toujours tenir compte des risques sur le plan géologique comme d’infiltration d’eau et écoulement.
La terrasse n’est pas entourée, pour la partie sécurité, ce qui, normalement, est interdit.
Le doux rêve de s’intégrer au milieu de la nature..au plus près..
Un cas particulier..
Il s'agit ici d'un ensemble et complexe mis en vente sur un site de vente immobilier pour "Lofts" et très fortunés, avec un prix pour la "bagatelle" de seulement..550 000 Euros !.
(Je vous rassure c'est bien en France..)
Dans le Nord, un concept innovant de maison bioclimatique, une première..
L’une des premières maisons bioclimatiques dans l’Avesnois, c’était au Sars-Bara à Berlaimont
Les maisons bioclimatiques ? On n’en parlait pas beaucoup dans les années 80 dans l’Avesnois. Les Legrand au Sars-Bara à Berlaimont ont construit la leur il y a plus de trente ans. Et en sont toujours contents.
La Voix du Nord | Publié le11/12/2015
Les maisons bioclimatiques ? On n’en parlait pas beaucoup dans les années 80 dans l’Avesnois. Les Legrand au Sars-Bara à Berlaimont ont construit la leur il y a plus de trente ans. Et en sont toujours contents.
Aujourd’hui, on parlerait de maisons passives en évoquant ces maisons dont on tire partie de tous les éléments naturels. À commencer par l’ensoleillement. Même dans le Nord... Trente ans après avoir construit leur habitation, avec le soutien de membres de leur famille spécialisés dans les métiers du bois, André et Dominique Legrand sont toujours heureux de l’habiter. Même si depuis, et comme pour tout, de nouveaux matériaux existent sur le marché. À l’époque, ils ont été culottés les Legrand ! Non pas que leur maison mérite de figurer dans.
Le plus important étant toujours le soleil et l’orientation par rapport au soleil..tant pour le terrain lui-même que pour la maison dessus également..surtout !
C’est la course du soleil qui va déterminer les zones d’ombre et de soleil ou de clarté..
On parle de projection.
Il n’est pas nécessaire, cependant bien utile, de se protéger contre les vents dominants..
C’est l’emplacement du terrain comme de l’environnement immédiat autour et lointain, à courte, moyenne, et longue distance, qui doit vous guider et vous aider dans votre projet comme choix..
Le plan de la maison a son importance, tout comme l’architecture et la forme générale..
Il faut, et sinon il vaut mieux toujours privilégier une forme générale qui s’inscrit dans un carré ou sinon dans un rectangle (mieux..).
Il faut « éviter » les formes spéciales ou en décrochement..
La forme générale rectangulaire est la mieux adaptée, en parlant de la course du soleil dans sa continuité, du matin au soir..
Le plan d’aménagement intérieur a également son importance, comme pour la partie « ergonomie » et fluidité en circulation..
Photo ci-dessus d’un plan d’aménagement intérieur peu adapté.
Pour atteindre une forme de labellisation en catégorie A, voir A+, tous les différents aspects abordés sont à prendre en compte..
Pour une classification en A, il faut tenir compte de l’isolation « thermique » réelle de la maison dans son ensemble..
Et toujours du soleil pour l’exposition.
Il ne faut pas tomber dans les pièges et aberrations tendues..
Les architectes y vont également de leur bon train.. « business » oblige..
Photo ci-dessus d’une maison contemporaine et cependant écologique et bioclimatique, à Marseille même.
Un plan intérieur avec de réelles pertes pour la chaleur et surtout pouvoir chauffer intelligemment, malgré l’apport de lumière et clarté..
Les éléments à prendre en compte sont toujours les mêmes..
L’intégration au milieu de la nature ne fait pas tout..
Les aberration en taille..non plus !..
L’architecture avec ses apports modernes..
Il n’y a pas besoin, à tout prix, d’une maison de 360 m2 !..
Il faut toujours tenir compte du soleil..bénéfique en tout point..
L’hiver fait la différence..
Sans réelle concertation, au préalable, comme plan judicieux et surtout « isolation », on peut très vite avoir des surprises..
Les « earthships »..appelés par déformation la « Géonef »..
Bâtiment à énergie passive et autosuffisant.
Utilisation de bouteilles de verre dans la construction.
L'origine de ce type de projet remonte à la période hippie et la volonté de retour à la terre, durant les années 1970. Le promoteur des earthships est un architecte américain, Michael Reynolds. La première communauté créée sur ce principe l'a été au Nouveau-Mexique à Taos sur un terrain de 640 hectares, et depuis les géonefs sont fréquemment bâties dans le cadre de chantiers participatifs4.
La construction des maisons se fait souvent à l'aide de matériaux de réutilisation, notamment des pneus, descanettes en aluminium, des bouteilles en verre et des boîtes de conserve5. Le bois est également un matériau couramment utilisé dans les géonefs.
Les constructeurs reprennent aussi des techniques utilisées depuis longtemps comme les murs en pisé,adobe, torchis ou autres. La vie de tous les jours au sein de ces earthships se fait elle aussi en adéquation avec la nature, le but étant l'autosuffisance. Les eaux de pluie sont récupérées, l'énergie est produite à l'aide de panneaux solaires, on utilise souvent des toilettes sèches, une serre est intégrée et utilise les eaux usées pour faire pousser des plantes comestibles, etc.
Photo ci-dessus – intérieur du Solaria Earthship (Taos, Nouveau – Mexique).
Photo ci-dessus - Première géonef expérimentale, au Nouveau-Mexique à Taos.
Photo ci-dessus - Une géonef à Brighton, Angleterre..
Un Earthship en Normandie..
Un Earthship dans l’Oise..
Il y a même un jardin en permaculture !
La technique du bois cordé..
(Technique canadienne..)
Une « miellerie » en bois cordé..
Le Jardin des petites rûches.
Photo ci-dessus d’une « miellerie », près d’Auxerre dans l’Yonne.
2016.
Dans le journal « LE PROGRÈS ».
Photo ci-dessus - Martine Longchampt devant la façade Est, en bois cordé. Photo R. PANSARD.
Lieu : Rogna, altitude 810 m. Maison ossature bois de 1994. Toiture en partie végétalisée, murs en bois cordé et brique alvéolaire.
Isolants : paille, vermiculite, chanvre.
Panneaux solaires : de16 m², sud, inclinaison 45 degrés.
Chauffage solaire avec ballon 500 litres. Appoint chaudière à granulés et poêle masse. Plancher chauffant 125 m² sur 30 cm.
Consommation chauffage et eau chaude : 92 kWh/m²/an
Facture eau chaude sanitaire et chauffage : 656 euros/an
Maison à ossature bois avec paille..
Un concept simple vaut mieux..
Mais attention toutefois aux trop grandes ouvertures comme baies vitrées !..
(Cela vaut tant pour la chaleur en été que pour l’hiver avec le froid..Le verre prend la chaleur comme le froid équivalent au fer, aluminium, etc..)
La simplicité est le meilleur gage..
Seul bémol pour cette maison est qu’elle repose en assise sur de simples plots en béton et agglos..
2018.
Dans le journal La Dépêche du Midi.
La petite maison en bois de Céline.
Céline Fugetta agent spécialisée des territoires au groupe scolaire du Mas-d'Azil a voulu une petite maison à ossature bois avec un plafond en rondins. Cette maison, elle l'a rêvée, aujourd'hui, elle est faite ! Elle l'a choisi e dans un coin de terre, en pleine nature, idéal pour ce genre de construction avec des prairies tout à côté.
Photo ci-dessus de la maison et du rêve d’une femme spécialiste des territoires au groupe scolaire du Mas-d’Azil.
(Elle avait souhaité une petite maison, en bois, et pour vivre heureux, et avec cependant tout ce qu’il faut..)
Céline Fugetta agent spécialisée des territoires au groupe scolaire du Mas-d'Azil a voulu une petite maison à ossature bois avec un plafond en rondins. Cette maison, elle l'a rêvée, aujourd'hui, elle est faite ! Elle l'a choisi e dans un coin de terre, en pleine nature, idéal pour ce genre de construction avec des prairies tout à côté.
«Le bois c'est noble, dit-elle, ma maison exhale la bonne odeur»
L'entreprise Fauroux bois de Ste Croix a répondu à sa demande, ravie de compter un amoureux de plus, au féminin, parmi ses clients.
Autre exemple..
Ne riez pas, ça existe aux Etats-Unis..
Une solution originale..
Au regard du prix du foncier (terrain à bâtir pour construire..), et qui a « explosé » et augmenté de 200% en 50 ans, beaucoup de jeunes comme jeunes couples ne peuvent plus construire, et de ce fait, se tournent vers une autre forme d’alternative, en parlant de la « Tiny House »..une solution pas si idiote que ça.
Ils la construisent eux-mêmes ou avec des amis, et sinon avec l’aide des parents.
Ils installent de plus leur « Tiny-House » sur le terrain de leurs parents ou grands-parents, et sinon sur des parcelles qui existent pour cela pour ne pas être en infraction au regard de la Loi…
La « Tiny-House » un habitat qui a le vent en poupe !..
Il ne s’agit pas, non plus, de finir au fond des bois, et d’aller s’installer dans une simple cabane au fond des bois, mais..voilà..
À deux pas du Ballon d’Alsace dans les Hautes Vosges, l’abri Schahling est un beau chalet en rondins de bois qui surplombe le lac d’Alfeld. Autant dire que le point de vue est simplement magnifique ! Pour votre nuit insolite dans les Vosges, vous y trouverez un petit poêle et une grande table.
Dans les Vosges il existe un tas d’abris, de cabanes, comme petits chalets, pour y passer une nuit insolite et inoubliable, et pouvoir y dormir.
Il en existe cependant bien trois qui sortent du lot avec un côté vrai coup de coeur.
Photo ci-dessus de la cabane de l’étoile mise en place par le Club Vosgien de Rouffach.
Une vue à couper le souffle !
2021.
L’exemple d’un maquis reconstitué dans le Morvan..
La mémoire de nos aînés et anciens..Le Devoir de mémoire.
Dans le journal LE BIEN PUBLIC
Photo ci-dessus – Le maquis Socrate, une reconstitution pour ne pas oublier.
Photo JSL / Sandrine MICHELIER.
À quelques kilomètres d’Anost, en plein cœur du Morvan, la forêt abrite un site particulier, le maquis Socrate. Le campement a été reconstitué l’année dernière et pour s’y rendre, on emprunte un agréable chemin. Une jolie randonnée et de l’histoire à l’arrivée, voici une escapade à double effet.
Deux cabanes en bois, une table, un drapeau français. Au bord du ruisseau, une marmite semble attendre un repas qui ne viendra jamais. Le campement du maquis Socrate surgit en pleine forêt au cœur du Haut-Morvan. Au bout d’un chemin, sur un petit promontoire entouré d’eau, l’endroit est si paisible que l’on peine à imaginer les événements qui s’y sont déroulés il y a 80 ans.
Ici, des hommes et des femmes ont pris les armes et sont entrés en résistance. Leur chef, Georges Leyton, dit “Socrate” était garde des Eaux et forêts, poste qui lui donnait une certaine liberté de mouvement dans cette partie de la France occupée. Avec sa femme Marie-Reine, il s’était engagé très tôt en échangeant des renseignements entre premiers résistants, puis en organisant des réunions clandestines chez lui avant de fonder le campement en pleine forêt.
Au plus fort du mouvement, le maquis a compté jusqu’à 800 personnes et devait se déplacer régulièrement pour échapper à la surveillance des Allemands.
Pour se rendre au maquis..
Pour se rendre au maquis Socrate, le plus simple est de se garer face à la stèle commémorative, au bord de la route qui traverse la forêt domaniale d’Anost.
En face de la stèle, le début du chemin. Le maquis est indiqué tout le long du parcours, impossible de se perdre. Photo JSL / Sandrine MICHELIER.
Nous voilà arrivés.Photo JSL / Sandrine MICHELIER.
Le coin repas a été reconstitué comme à l’époque. Photo JSL / Sandrine MICHELIER.
Une attention particulière a été apportée aux détails pour rendre la reconstitution la plus réaliste possible. Photo JSL / Sandrine MICHELIER.
L’infirmerie a été remontée par les jeunes sapeurs pompiers d’Anost. Photo JSL / Sandrine MICHELIER.
Voilà pour cette petite insertion concernant ce maquis dans le Morvan et pour que rien ne tombe dans l’oubli…
Je n’ai pas « inséré » ce petit volet pour me moquer, loin delà, en comparaison d’une cabane dans les bois, mais je souhaitais tout simplement le relater.
Photo ci-dessus sur une façade d’une ancienne maison traditionnelle au Japon.
Les avancées « modernes »..
L’ère du..Tout connecté !
(Il n’y a pas besoin de tout ça pour pouvoir être heureux et vivre bien, à moins d’avoir trop d’argent à jeter par les fenêtres, sans oublier tous les risques en cas de coupure d’électricité ou de panne..surtout !..)
Des maisons sans âme !
La « complexité » n’apporte rien et sinon pas grand-chose pour de réelles économies comme confort surtout !
Une maison traditionnelle peut parfaitement faire l’affaire et convenir..
Il faut pour cela qu’elle soit dans un état « impeccable », et pas seulement en aspect extérieur.
Le plus important étant l’ossature et le gros euvre, tant pour les murs et surtout fondations, comme toiture, et en passant par les ouvertures comme huisseries.
Les pavillons neufs..
Des exemples d’arnaques pour des maisons individuelles, en proposition, pour les futurs acheteurs et acquéreurs, il y en a un peu partout..
Des pavillons « témoin » pour allécher et donner envie.
Des maisons de 70 m2 et à..155 000 Euros !!!..
Le pire à vivre..
Voilà, c’était un petit « florilège » en guise d’intermède et de détente pour les yeux..sans plus.
La vie ne peut pas être qu’une vie de loisirs, de « farniente », ni de laisser-aller total..
En Italie au lac de Braies..
Le lac de Braies est un petit lac alpin situé dans le val de Braies à 1 496 m d'altitude, dans la municipalité de Braies, à environ 97 kilomètres de Bolzano.
Pragser Wildsee.
(Ce lieu est situé dans le Tyrol du sud..)
Le Lago di Braies (ou lac de Braies), considéré comme la perle des lacs des Dolomites.
Effectivement, le Pragser Wildseec’est un lieu très prisé au sein des Dolomites, ce parc naturel classé au patrimoine mondial de l’UNESCO. Et il y a quand même une raison : il est vraiment très beau. Il offre des reflets magnifiques sur la surface de l’eau et sa légendaire cabane de bois qui donne une ambiance poétique au lieu.
Tour du Lac de Braies | Lac de Pragser est un sentier en boucle de 3.5 kilomètres très fréquenté situé près de San Vito | St. Veit, Sud Tyrol en Italie.
- Distance : 3,8 Km
- Dénivelé positif : 221 m
- Altitude maximum : 1 592 m
- Dénivelé négatif : 221 m
- Altitude minimum : 1 485 m
- Temps en mouvement : 1 h 11 m
(à un rythme de 3-4 km/h..)
En attendant de voir l’hiver pointer son nez en regardant par la fenêtre..
Je suis déjà prêt et avec mon bois coupé et rangé, le feu dans la cheminée qui brûle et avec une vraie et douce chaleur, tout en regardant les flammes tournoyer au travers de la vitre.
Tout doucement, nous avançons à petits pas vers Noël..
L’hiver peut attendre encore un peu..
Un Très bon weekend à toutes et à tous !
PORTEZ-VOUS BIEN !