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Ecologie vraie et réelle..
24 novembre 2021

Que sont devenues..Les Valeurs Fondamentales Du Patriotisme Français ?..suite (4)

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Que sont devenues..Les Valeurs Fondamentales Du Patriotisme Français ?..suite (4)

 

Le..patriotisme.

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CHAPITRE II

 

 

 

 

L’ÉCOLE

 

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LE MAITRE D’ÉCOLE

PAR ADRIAN VAN OSTADE (1662)

MUSÉE DU LOUVRE

 

 

 

 

 

LES TRAVAUX D’ÉCOLIERS SONT DES ÉPREUVES POUR LE CARACTÈRE, ET NON POINT POUR L’INTELLIGENCE. IL S’AGIT DE SURMONTER L’HUMEUR. IL S’AGIT D’APPRENDRE A VOULOIR/ ALAIN

 

 

DE LA FAMILLE

A L’ÉCOLE

 

L’enfant, dès sa sixième année, parfois même plus tôt, affronte brusquement un monde nouveau : l’École, institution aussi nécessaire que la famille à la promotion de la Personne, aussi nécessaire que l’Armée à la vie de la Nation.

 

OUVERTURE SUR

LE MONDE

 

Cette première ouverture sur la société s’opère par une prise de contact avec les enfants venant de groupes familiaux voisins.

 

APPRENTISSAGE

DE LA DISCIPLINE

 

Jusque-là, il avait été entouré d’êtres qui raisonnaient et décidaient pour lui ; qui lui fournissaient les aliments matériels et spirituels dont il nourrissait son corps, son intelligence, son âme ; qui s’ingéniaient à lui éviter les heurts brutaux avec les dures réalités da la vie. Dans ce groupe de tendresse, il ne lui était demandé que de vivre et grandir. Le voilà maintenant qui aborde seul un ensemble étranger, un homme qui n’est pas son père, et qu’on appelle le maître, va le plier à des règles qu’il ne connaît pas, l’astreindre à un travail contraire à ses habitudes.

 

DÉCOUVERTE DE

L’AMITIÉ

 

 L’enfant devra s’employer à se comporter comme il convient avec d’autres enfants qui ne sont pas ses frères : des égaux qui apparaîtront souvent comme des rivaux, mais aussi des camarades, et par le choix et le don du cœur, peut-être des amis. La place qu’il occupera parmi eux sera fonction de ses efforts, de ses mérites.

 

NÉCESSITÉ DE

RESPECTER L’ENFANT

 

Le plus souvent, l’enfant se plie volontiers à cette adaptation difficile.

Mais sa sensibilité est vive : si ce passage était par trop brutal, il en souffrirait toute sa vie. C’est une des raisons pour lesquelles le respect de l’enfant est, à l’école, un impératif irrévocable. Ce respect de chaque enfant et de ses croyances personnelles, par le maître et par tous les élèves, conduit le jeune être à la découverte et à la compréhension des autres dans leur originalité et leur diversité ; il l’initie à la tolérance.

 

TOLÉRANCE ET

LIBERTÉ

 

Cette tolérance, le respect grandissant de la Personnalité de l’enfant, l’affirmation toujours maintenue des droits de la Famille ont entraîné la liberté de choisir la nature des études et l’établissement d’enseignement.

 

Cette liberté de l’enseignement n’est qu’un des aspects de cette connaissance de la liberté de l’homme, de son libre arbitre, de son droit à une pensée libre, personnelle, réfléchie.

 

LA SOLIDARITÉ

 A L’ÉCOLE

 

LA CAMARADERIE

 

La notion de solidarité acquise à l’intérieur de la famille se développe à l’école sous un autre aspect, celui de la camaraderie, de l’esprit d’équipe : dans les manifestations de cette camaraderie, l’enfant agit en homme, avec déjà, libre décision, loyauté réciproque, affection raisonnée : une véritable fraternité unit tous ceux qui ont, chaque année, sous l’autorité des mêmes maîtres, ont partagé les mêmes joies et les mêmes difficultés.

 

L’idée de fraternité s’appuie d’ailleurs ici sur un sens très net d el’égalité entre les enfants marqués par l’identité du travail et de la discipline des examens.

 

DÉCOUVERTE

DES VERTUS SOCIALES

 

L’enfant vit aussi dans une société en miniature où chacun doit se plier à la règle commune comme il le fera plus tard dans les groupes plus étendus. Là il fera l’essai, l’application des vertus humbles mais nécessaires : sociabilité, probité, loyauté, tout ce qui permet à l’homme de vivre en société en préservant une autonomie morale plus que jamais désirable. Là il apprendra par l’histoire, la littérature et les arts, ce qui fait la grandeur de son pays. A l’école se formeront ses premiers sentiments de patriotisme.

 

Humanité, esprit de tolérance, solidarité, fraternité, égalité, apprentissage de la vie sociale sous toutes ses formes, --- voilà la leçon donnée par l’École au futur citoyen --- , voilà ce dont elle est, pour nous, le symbole.

 

A quoi s’ajoutent évidemment l’acquisition des outils mentaux, des méthodes, des connaissances indispensables, l’épanouissement des facultés intellectuelles et la préparation --- longtemps indirecte – au métier, seul capable de compléter par l’autonomie matérielle l’autonomie morale apportée par la Famille et par l’École.

 

 

 

LA CITADELLE

 

 

C’est pourquoi j’ai fait venir les éducateurs et leur ai dit :

---Vous n’êtes point chargés de tuer l’homme dans les petits hommes, ni de les transformer en fourmis pour la vie de la fourmilière.

Car, m’importe à moi que l’homme soit plus ou moins comblé. Ce qui m’importe c’est qu’il soit plus ou moins homme. Je ne demande point d’abord si l’homme, oui ou non, sera heureux, mais quel homme sera heureux. Et peu m’importe l’opulence des sédentaires repas, comme du bétail dans l’étable.

Vous ne les comblerez point de formules qui sont vides, mais d’images qui charrient des structures.

Vous ne les emplirez point d’abord de connaissances mortes. Mais vous leur forgerez un style afin qu’ils puissent saisir.

Vous ne jugerez pas de leurs aptitudes sur leur seule apparente facilité dans telle ou telle direction. Car celui-là va le plus loin et réussit le mieux qui a travaillé le plus contre soi-même. Vous tiendrez donc compte d’abord de l’amour.

 Vous ne vous appesantirez point sur l’usage.

Mais sur la création de l’homme, afin que celui-ci rabote sa planche dans la fidélité et l’honneur, et il la rabotera mieux.

Vous enseignerez le respect, car l’ironie est du cancre, et oubli des visages.

Vous lutterez contre les liens de l’homme avec les biens matériels. Et vous fonderez l’homme dans le petit de l’homme en lui enseignant d’abord l’échange, car, hors d’échange, il n’est que racornissement.

Vous enseignerez la méditation et la prière car l’âme y devient vaste. Et l’exercice de l’amour. Car qui la remplacerait ? Et l’amour de soi-même, c’est le contraire de l’amour.

Vous châtierez d’abord le mensonge et la délation qui, certes, peuvent servir l’homme et, en apparence, la cité. Mais, seule, la fidélité crée les forts. Car il n’est point de fidélité dans un camp et non dans l’autre. Qui est fidèle est toujours fidèle. Et celui-là n’est point fidèle qui peut trahir son camarade de labour. Mais j’ai besoin d’une cité forte et n’appuierait pas  par sa force sur le pourrissement des hommes.

Vous enseignerez le goût de la perfection car toute œuvre est une marche vers Dieu et ne peut s’achever que dans la mort.

Vous n’enseignerez point d’abord le pardon ou la charité. Car ils pourraient être mal compris et n’être plus que respect de l’injure ou de l’ulcère. Mais vous enseignerez la merveilleuse collaboration de tous à travers tous, et à travers chacun. Alors le chirurgien se hâtera à travers le désert pour réparer le simple genou d’un homme de peine. Car il s’agit-là d’un véhicule. Et ils ont tous le même conducteur.

ANTOINE DE SAINT-EXUPÉRY.

LA CITADELLE

 

 

 

GRATITUDE

 

 

M. Maxence Van der MEERSCH, prix

Goncourt, dans une lettre aux écoliers de

France, proclame sa reconnaissance envers

 les instituteurs qui furent ses premiers maîtres.

« Il m’a fallu les quitter, entrer dans la vie,

commencer la bataille pour comprendre tout

ce que je leur devais. Rien ne fut inutile

de ce qu’ils entassèrent de force et malgré

mes révoltes dans ma cervelle réfractaire.

Je dois à l’un, que j’ai vu s’époumonner,

ruisseler de sueur, la craie en main devant

le tableau noir, tout ce qu’à pu retenir de

mathématiques mon intelligence rebelle aux

chiffres. Sans un autre, dont la passion des

 lettres sut enflammer la mienne, je n’aurais

peut-être jamais écrit la première ligne d’un

roman. Et c’est avec ferveur que j’évoque le

 souvenir de mes vieux instituteurs de l’école

primaire qui, pendant la guerre, se cachaient

pour me parler du pays, poursuivaient leurs

cours dans des cabarest ou des ateliers vides,

s’acharnaient pour faire de nous, envers et

contre tous, de petits Français dignes de la

mère l’autre absente.

A combien de tous ces maîtres je voudrais

Citer aujourd’hui ma « gratitude ».

 

MAXENCE VAN DER MEERSCH

GRATITUDE

 

 

AUX INSTITUTEURS

 

Vous tenez en vos mains l’intelligence et

l’âme des enfants ; vous êtes responsables de

la Patrie. Les enfants qui vous sont confiés

n’auront pas seulement à écrire et à déchiffrer

une lettre, à lire une enseigne au coin de la

rue, à faire une addition et une multiplication.

Ils sont Français et ils doivent

connaître la France, sa géographie et son

histoire : son corps et son âme. Ils seront

citoyens et ils doivent savoir ce qu’est une

démocratie libre, quels droits leur confère,

quels devoirs leur impose la souveraineté de

 la Nation. Enfin, ils seront hommes et il

 faut qu’ils aient une idée de l’homme, il faut

 qu’ils sachent quelle est la racine de toutes

nos misères, l’égoïsme aux formes multiples ;

quel est le principe de notre grandeur ; la

fierté unie à une tendresse . Il faut qu’ils

puissent se représenter à grands traits l’espèce

humaine domptant peu à peu les brutalités

de la nature et les brutalités de l’instinct, et

qu’ils démêlent les éléments principaux de

cette œuvre extraordinaire qui s’appelle la

civilisation. Il faut leur montrer la grandeur

de la pensée ; il faut leur enseigner le respect

et le culte de l’âme en éveillant en eux le

sentiment de l’infini qui est notre joie, et

aussi notre force, car c’est par lui que nous

triompheront du mal, de l’obscurité et de la mort.

 

JEAN JAURÈS

 

 

NOS MAÎTRES

 

 

Pour moi j’ai la conviction qu’il se distribue

beaucoup plus de véritable culture, aujourd’hui

même encore, dans la plupart des écoles pri-

maires, dans la plupart des écoles des villages.

de France, entre les carrés de vignes, à

l’ombre des platanes et des marronniers,

qu’il ne s’en distribue entre les quatre murs

de la Sorbonne.

L’enseignement secondaire fait un admirable

effort pour maintenir, pour ‘sauver) garder,

pour défendre contre l’envahissement de la

barbarie cette culture antique, cette culture

classique dont il avait le dépôt, dont il

garde envers et contre tous la tradition.

Pourquoi. Par une indestructible probité. Par

une indestructible piété,. Par un invincible,

un insurmontable attachement de race et de

liberté à leur métier, àleur office, à leur

ministère, à leur vieille vertu, à leur fonction

sociale, à un vieux civisme classique et

français. Par un inébranlable attachement à

la vieille culture, qui en effet était la vieille vertu,

qui était tout un avec la vieille vertu,

par une continuation, par une sorte d’héroïque

attachement au vieux métier, au vieux pays,

au vieux lycée. Pourquoi. Pour tâcher d’en

sauver un peu.

 

CHARLES PÉGUY

NOTRE JEUNESSE

 

 

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Voilà pour ce cinquième petit volet sur le "Patriotisme", et surtout sur..

Les Valeurs Fondamentales du Patriotisme Français..

 

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Commentaires
J
Bonsoir Mo.<br /> <br /> Je suis d'accord avec toi pour..<br /> <br /> le patriotisme est devenu "ringard" pour les nouveaux progressistes sans frontières, "no borders" qu'ils disent... Je dois être ringarde car j'aime mon pays et sa culture. <br /> <br /> Je te rassure, tu n'es pas "ringarde", car je le serai aussi dans ce cas..<br /> <br /> J'aime également mon pays et sa culture..LA VRAIE !..<br /> <br /> Pour le "Patriotisme", c'est bien la gauche socialiste qui a voulu et fait cela depuis Mitterrand, comme la droite après, et surtout pour Chirac et avec l'arrêt du Service Militaire National voulu et décidé par lui, aussi il ne faut pas s'étonner ni être étonné !..<br /> <br /> (Les "racailles", comme la délinquance datent déjà de cette époque, sans le Service Militaire, seul lien qui existait entre la Nation et l'Etat!..)<br /> <br /> Je te rassure, j'aime également beaucoup mon pays.."ma" France, celle de toutes les Françaises et Français dignes citoyens de ce nom comme nous !..<br /> <br /> Je n'ai pas aimé et encore moins apprécié le fait que l'on dénigre le drapeau Français, comme j'ai pu m'en rendre compte par moi-même, à partir de 1986 et surtout 1989 et après, comme pour la Marseillaise et ce que la "Marianne" est censée représenter..<br /> <br /> (Je ne te parle pas de ce buste représentant B.B.)<br /> <br /> L'école..<br /> <br /> En parlant de l'école et pour ces nouvelles pédagogies délirantes, j'ai connu cela et avec des changements, en cours de route(méthodes..), bien trois à quatre fois en seulement quelques années..du grand n'importe quoi !..<br /> <br /> (J'ai pourtant bien fait, avec le Latin et le Grec, l'Allemand et l'Anglais de sixième en troisième..aujourd'hui, on est bien loin de tout ça !..)<br /> <br /> On voulait faire table rase des anciennes méthodes, voilà tout..<br /> <br /> Je peux également dire que l'école fabrique des "illettrés" égotistes et indisciplinés..surtout indisciplinés !..<br /> <br /> Dans ce cadre, j’ai eu, par hasard, à une époque (avec l’appui des logiciels bureautiques et informatiques..) à « recenser » les illettrés dans un programme bien détaillé pour une zone comme région. J’avais recueilli des informations « fiables » et non truquées ni « modifiées » qui me faisait apparaître un taux de 30-40% d’illettrés « réels » !!!..<br /> <br /> Mes compte-rendu soignés et détaillés et avec des paragraphes comportant des graphiques précis avec des camemberts et autres et un distinguo filles-garçons, là-aussi très précis et par tranches d’âge..pas rien. Ces compte-rendu étaient destinées aux hautes sphères dont de l’Education Nationale, et qui au vu de cela, m’avaient pris en grippe et même convoqué..cela ne m’impressionnait pas ni ne me faisait peur ! J’ai eu beau « argumenter », j’avais l’impression de parler à des murs et dans une fin de non recevoir..qu’à cela ne tienne..<br /> <br /> Leurs chiffres comme taux, si on peut appeler cela ainsi ne voyaient et ne « percevaient » qu’un faible taux de l’ordre d e7à 8% (je ris..), loin de mes résultats, chiffres comme pourcentage (preuve à l’appui..).. A côté de cela, il y avait, et il existait d’autres personnes, dans trois bureaux différents (qui faisaient tous la même chose que moi, ben voyons !..), et ces mêmes personnes se concertaient entre eux, pour en arriver au final à une forme acceptable en pourcentage, au fur e t à mesure, de l’ordre de 18%, au bout du compte et à la longue..<br /> <br /> Il a fallu que j’arrête pour que, après mon départ, et peu après, ils conviennent et admettent enfin mes chiffres comme pourcentage..UNE HONTE !!!..<br /> <br /> <br /> <br /> J'ai également "souffert" au travers de l'école, non pas à l'école communale de mon village natal, mais après, au collège, et de sixième jusqu'à la troisième et mon B.E.P.C. Je n'ai pas souhaité poursuivre mes études à cause de cela et de ce fait..<br /> <br /> (Je ne l’ai pas regretté, ni par la suite, à aucun moment, et de plus, dès l’âge de mes 15 ans, je me suis fait moi-même, tout seul, et je me suis fait ma vie professionnelle tout seul tout au long, et je ne regrette rien..Happy End !..)<br /> <br /> Le directeur du collège s'était même moqué de moi devant tous les élèves rassemblés à cause de l'origine de mon père, d'origine Allemande(bien que « naturalisé » Français !..peu après la fin de la seconde guerre mondiale..), et de nationalité allemande et venant de Freiburg im Breisgau en Forêt Noire, alors qu'il n'avait rien, absolument "rien" à se reprocher au travers de la seconde guerre mondiale, en tant que « simple » soldat et « Gebirgsjäger » (Chasseur Alpin..)..[Et pas un assassin sanguinaire..], et ayant participé au front russe (à 350-380 km de Moscou..), puis en repli, pour venir en renfort pour la bataille de l’eau lourde en Norvège (pour la bombe atomique et nucléaire..), en passant par « Stalingrad » puis « Varsovie », et poursuivre vers et sur Kiehl avec la base des sous-marins (U-Boot)1. et la base de « Peenemûnde »(2) avec les rampes d e lancement des « V1 » Fieseler (du nom de la société..), comme pour les « V2 »chers à Werner von Braun..<br /> <br /> (2)<br /> <br /> https://www.fortlitroz.ch/le-centre-dessais-ultra-secret-de-peenemunde-pomeranie-allemagne/<br /> <br /> Le centre d’essais ultra-secret de Peenemünde – Poméranie – Allemagne<br /> <br /> https://fr.wikipedia.org/wiki/Peenem%C3%BCnde<br /> <br /> Peenemünde.<br /> <br /> On en parle peu, et pourtant c’était en France :<br /> <br /> https://www.leblockhaus.com/fr/presentation/<br /> <br /> Le Blockhaus d’Eperlecques<br /> <br /> https://www.lieux-insolites.fr/cicatrice/mur/v1cotentin/v1cotentin.htm<br /> <br /> Les sites de lancement de V1/V2 du Cotentin<br /> <br /> Les « V2 » :<br /> <br /> https://www.universalis.fr/encyclopedie/wernher-von-braun/2-peenemunde/<br /> <br /> Peenemünde – Werner von Braun.<br /> <br /> https://www.youtube.com/watch?v=Ap3cy4m_inM<br /> <br /> Tests de lancement de missiles A 4 à Peenemunde – von Braun<br /> <br /> https://www.cairn.info/revue-guerres-mondiales-et-conflits-contemporains-2010-4-page-141.htm<br /> <br /> Un français à Peenemünde (mai-août 1943)<br /> <br /> 1. Les « U-BOOT »<br /> <br /> https://fr.wikipedia.org/wiki/U-Boot-Bunker_Kilian<br /> <br /> U-Boot – Bunker kilian<br /> <br /> https://www.battlefieldsww2.com/la-base-des-sous-marins-kiel.html<br /> <br /> Base navale Kiehl.<br /> <br /> https://www.fortlitroz.ch/letrange-secret-du-u-864-allemagne/<br /> <br /> L’ETRANGE SECRET DU U-864 – Allemagne<br /> <br /> Puis, ils ont poursuivis pour traverser et se rendre au Danemark, puis la Norvège, et avec les différents fjords où il a pu voir de ses propres yeux les deux plus grands cuirassés allemands, à savoir le « Scharnhorst » et le « Tirpitz », ensuite en remontant jusqu’à Bergen et jusqu’au cercle polaire Arctique (là où il y a cette borne..), puis, en redescendant, et vers le centre de la Norvège, traverser en Suède, puis remonter en biais, traverser à nouveau en Finlande, avec les anciens « vrais » lapons et peuplades « S.A.M. », et ensuite également remonter vers et jusqu’à Rovaniemi* (sans rendre visite au père Noël en passant..), pour remonter et venir finir à l’extrémité nord-est du pays face à la Russie et prendre part à la terrible bataille de Murmansk « Der Kessel von Murmansk », et à l’issue, bien après, être fait prisonnier par les russes sur l’arc polaire arctique et sur la banquise..) en construisant des igloos et manger du phoque (Roben..) cru pour survivre..<br /> <br /> *Petit clin d'oeil..en passant.<br /> <br /> https://santaclausvillage.info/fr/<br /> <br /> Le village du Père Noêl à Rovaniemi.<br /> <br /> https://santaclausvillage.info/fr/perenoel/pere-noel-maison-laponie-rovaniemi/<br /> <br /> Maison du Père Noël.<br /> <br /> A la fin de la seconde guerre mondiale ils avaient été rapatriés par convois alliés en train dans le nord-est de la France pour être internés dans un camp à Metz (camp de tri et de « dispatching »..), et ensuite rejoindre un autre camp de moindre taille à Creutzwald (où je suis d’ailleurs né..), et là, commencer à travailler à la mine de charbon, au fond, à la pioche et avec des genouillères de protection en cuir et à la pioche et avec des chevaux (bien avant la "haveuse" et autre..), et ce sont eux qui ont et avaient posé les premières lignes de conduites d’eau chaude pour la mine..Et c’est « toujours » en tant que prisonnier de guerre qu’ils étaient envoyés à la campagne pour « suppléer » les agriculteurs (paysans d’autrefois..), dans les champs comme pour la moisson, et c’est dans ce cadre là, en se retrouvant, par hasard, dans mon village natal, auprès de ma grand-mère maternelle, qu’il a appris à connaître ma mère et que par la suite ils se sont mariés ensemble..voilà pour la petite histoire, et non des moindres !..<br /> <br /> A présent je ne veux plus rien savoir de quoi que ce soit, que ce soit de l’Education Nationale (à plus forte raison !..), des entreprises (et j’aurai beaucoup de choses à dire là-dessus et non des moindres..), tout comme de nos Forces Armées également..No comment ! Aussi STOP !<br /> <br /> <br /> <br /> J’aimais également beaucoup l’école ( de la découverte et de l’épanouissement..).<br /> <br /> Et je suis pareil pour..<br /> <br /> Moi, j'aimais l'école. Je me souviens encore de mon émerveillement quand j'ai compris les phrases du premier livre que j'ai lu. Je le revois : un album découpé en forme d'écureuil avec beaucoup d'images dedans et quelques phrases écrites en gros caractères. Jusqu'à présent, à l'école primaire, j'en étais au B.A. BA (vieille méthode qui fonctionne!) et on nous faisait lire et répéter à haute voix quelques mots écrits au tableau. <br /> <br /> Quand la première phrase que j'ai lue dans le livre a fait sens pour moi, quelle découverte! Ensuite, j'ai toujours adoré la lecture.<br /> <br /> J’ai toujours aimé lire, très tôt, et très tôt la lecture m’avait gagné et envahie et jusqu’à ce jour encore.<br /> <br /> Au travers de la lecture comme des livres, on découvre et on apprend un tas de choses, on « parfait » en quelque sorte sa propre culture (non pas par « manque », mais en complément..).<br /> <br /> Très bonne soirée tout comme fin de soirée à toi et Marc, à plus..Denis.
Répondre
M
Bonjour Denis,<br /> <br /> <br /> <br /> le patriotisme est devenu "ringard" pour les nouveaux progressistes sans frontières, "no borders" qu'ils disent... Je dois être ringarde car j'aime mon pays et sa culture.<br /> <br /> <br /> <br /> Quant à l'école avec les nouvelles pédagogies délirantes mettant "l'élève au centre du système" sans vouloir leur imposer de travailler, elle fabrique des illettrés égotistes et indisciplinés.<br /> <br /> Moi, j'aimais l'école. Je me souviens encore de mon émerveillement quand j'ai compris les phrases du premier livre que j'ai lu. Je le revois : un album découpé en forme d'écureuil avec beaucoup d'images dedans et quelques phrases écrites en gros caractères. Jusqu'à présent, à l'école primaire, j'en étais au B.A. BA (vieille méthode qui fonctionne!) et on nous faisait lire et répéter à haute voix quelques mots écrits au tableau.<br /> <br /> Quand la première phrase que j'ai lue dans le livre a fait sens pour moi, quelle découverte! Ensuite, j'ai toujours adoré la lecture.<br /> <br /> <br /> <br /> Bonne journée à toi<br /> <br /> Mo
Répondre
T
il est vrai que sorti du cocon familial, quand il existe, un enfant découvre ce qu' est le monde, et les enseignants doivent l' aider et l' accompagner !<br /> <br /> Il a besoin de connaître le passé de son pays pour l' apprécier !<br /> <br /> Mais plus j'entends de reportages sur l' enseignement actuel, oplus il me semble que tout a volé en éclat, et que notre pays est au moins divisé en deux communautés !<br /> <br /> C' est bien triste, car l'une des deux profite, mais ne s'intègre pas<br /> <br /> Passe une bonne journée Denis<br /> <br /> Amitié<br /> <br /> pas moyen de répondre aux commentaires sur mon blog, c' est déjà arrivé
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