Le Printemps est là !..Vive le Printemps !..
Le Printemps est là !..Vive le Printemps !..
20 Mars 2022.
Aujourd’hui c’est le jour officiel et premier jour de Printemps..au calendrier.
Le Printemps est là..Vive le Printemps !..
Ah que Mars est un joli mois !
C'est le mois des surprises.
Du matin au soir dans les bois,
Tout change avec les brises.
Le ruisseau n'est plus engourdi ;
La terre n'est plus dure :
Le vent qui souffle du midi
Prépare la verdure.
Le rossignol n'est pas venu,
Rempli de douces notes,
Mais déjà sur le hêtre nu
Résonnent les linottes.
Par dessus la haie en éveil,
Fier de ses fleurs écloses,
On voit le pêcher au soleil
Ouvrir ses bourgeons roses.
Gelée et vent, pluie et soleil,
Alors tout a des charmes ;
Mars a le visage vermeil
Et sourit dans ses larmes.
Alfred de Musset
Photo ci-dessus d'une fresque (mur) représentant le printemps de Hockney posant lui-même devant.
Aujourd’hui c’est le jour officiel et premier jour de Printemps..au calendrier.
Photo ci-dessus "Le Printemps" un peu comme l'un des tableaux de Monet.
Photo ci-dessus d'un tableau "Le Printemps" de Kandinsky.
Le Printemps..enfin !..
Photo ci-dessus tableau de Claude Monet.
Des papillons et des fleurs..
C'est dans le mois de Mars que tente de s'ouvrir l'anémone sauvage aux corolles tremblantes.
Alfred de Musset.
Les sous-bois s’animent et les anémones font leur apparition..
Les pâquerettes égayent le parterre en herbe autour de la maison..
Les papillons..nous égayent de leur présence..
Photo ci-dessus du papillon citron.
Les anémones des bois comme anémones Sylvie nous enchantent..dans les sous-bois comme en forêt.
Les châtons ne sont pas en reste !..
Prendre la vie du bon côté..de la chose..
Dans les prés et les prairies..
Les crocus ne sont pas en reste.
Tout comme les jonquilles..
Et toujours et encore..
Tout comme les papillons..
Les oiseaux, à leur tour, nous enchantent par leurs gazouillis et doux chants mélodieux..
Que ce soit les mésanges ou autres..rouge-gorge comme rouge-queue..
Comme le Chardonneret..
J’ai également un magnifique pic vert (le grand pic-vert..) qui chaque fois vient presque me narguer près de la balançoire, derrière la maison, mais jamais ne se laisse approcher..de trop près.
Les papillons sont les messages d’amour que les fleurs s’envoient..
Le printemps redonne goût à l’insouciance et à la gaieté..
Des objets, parfois insolites, se trouvent rehaussés grâce aux fleurs et donnent un attrait particulier aux lieux..
L’amour renaît.. de ses fausses cendres laissées derrière lui par l’hiver..
L'amour traduit en peinture, sur l'un de ses nombreux tableaux, par Marc Chagall..
La complicité, à tout âge, une des clés du bonheur et de l’amour ..
L’hiver s’en est allé presque un peu rapidement, juste après l’apparition des perce-neige ou Galanthus Nivalis..
Place au florilège et parreterre de fleurs, avec son cortège de couleurs..
Les fleurs du Printemps sont le rêves de l'hiver racontés, au petit matin, à la table des anges.
Khalil Gibram.
Place aux oiseaux qui nous font revivre par leurs doux chants mélodieux..
Place aux papillons si divers par la coloration de leurs ailes..
Quoi de plus beau que..d'aimer ?.
Place enfin..à l’amour sous toutes ses formes..
Place à l'amour..le vrai !
Scarlett Johansson se prépare..en s'épilant les jambes..
Attention toutefois à ne pas vous brûler les yeux trop vite pour autant !..
Concours des meilleurs verres de contact (lentilles..).
La Nature sous toutes ses formes, il n'y a que ça de vrai !..
Au Printemps
Lorsque les premiers beaux jours arrivent, que la terre s’éveille et reverdit, que la tiédeur parfumée de l’air nous caresse la peau, entre dans la poitrine, semble pénétrer au cœur lui-même, il nous vient des désirs vagues de bonheurs indéfinis, des envies de courir, d’aller au hasard, de chercher aventure, de boire du printemps.
L’hiver ayant été fort dur l’an dernier, ce besoin d’épanouissement fut, au mois de mai, comme une ivresse qui m’envahit, une poussée de sève débordante.
Or, en m’éveillant un matin, j’aperçus par ma fenêtre, au-dessus des maisons voisines, la grande nappe bleue du ciel tout enflammée de soleil. Les serins accrochés aux fenêtres s’égosillaient ; les bonnes chantaient à tous les étages ; une rumeur gaie montait de la rue ; et je sortis, l’esprit en fête, pour aller je ne sais où.
Les gens qu’on rencontrait souriaient ; un souffle de bonheur flottait partout dans la lumière chaude du printemps revenu. On eût dit qu’il y avait sur les villes une brise d’amour répandue ; et les jeunes femmes qui passaient en toilette du matin, portant dans les yeux comme une tendresse cachée et une grâce plus molle dans la démarche, m’emplissaient le cœur de trouble.
Sans savoir comment, sans savoir pourquoi, j’arrivai au bord de la Seine. Des bateaux à vapeur filaient vers Suresnes, et il me vint soudain une envie démesurée de courir à travers les bois.
Le pont de la Mouche était couvert de passagers, car le premier soleil vous tire, malgré vous, du logis, et tout le monde remue, va, vient, cause avec le voisin.
C’était une voisine que j’avais : une petite ouvrière, sans doute, avec une grâce toute parisienne, une mignonne tête blonde sous de cheveux bouclés aux tempes ; cheveux qui semblaient une lumière frisée, descendaient à l’oreille, couraient jusqu’à la nuque, dansaient au vent, puis devenaient, plus bas, un duvet si fin, si léger, si blond , qu’on le voyait à peine, mais qu’on éprouvait une irrésistible envie de mettre là une foule de baisers.
Sous l’insistance de mon regard, elle tourna la tête vers moi, puis baissa brusquement les yeux, tandis qu’un pli léger, comme un sourire prêt à naître, enfonçant un peu le coin de sa bouche, faisait apparaître aussi là ce fin duvet soyeux et pâle que le soleil dorait un peu.
La rivière calme s’élargissait. Une paix chaude planait dans l’atmosphère, et un murmure de vie semblait emplir l’espace. Ma voisine releva les yeux, et, cette fois, comme je la regardais toujours, elle sourit décidément. Elle était charmante ainsi, et dans son regard fuyant mille choses m’apparurent, mille choses ignorées jusqu’ici. J’y vis des profondeurs inconnues, tout le charme des tendresses, toute la poésie que nous rêvons, tout le bonheur que nous cherchons sans fin. Et j’avais un désir fou d’ouvrir les bras, de l’emporter quelque part pour lui murmurer à l’oreille la suave musique des paroles d’amour.
J’allais ouvrir la bouche et l’aborder, quand quelqu’un me toucha l’épaule. Je me retournai, surpris, et j’aperçus un homme d’aspect ordinaire, ni jeune ni vieux, qui me regardait d’un air triste.
– Je voudrais vous parler, dit-il.
Je fis une grimace qu’il vit sans doute, car il ajouta : – « C’est important. »
Je me levai et le suivis à l’autre bout du bateau : – « Monsieur, reprit-il, quand l’hiver approche avec les froids, la pluie et la neige, votre médecin vous dit chaque jour : « Tenez-vous les pieds bien chauds, gardez-vous des refroidissements, des rhumes, des bronchites, des pleurésies. » Alors vous prenez mille précautions, vous portez de la flanelle, des pardessus épais, des gros souliers, ce qui ne vous empêche pas toujours de passer deux mois au lit. Mais quand revient le printemps avec ses feuilles et ses fleurs, ses brises chaudes et amollissantes, ses exhalaisons des champs qui vous apportent des troubles vagues, des attendrissements sans cause, il n’est personne qui vienne vous dire : « Monsieur, prenez garde à l’amour ! Il est embusqué partout ; il vous guette à tous les coins ; toutes ses ruses sont tendues, toutes ses armes aiguisées, toutes ses perfidies préparées ! Prenez garde à l’amour !... Prenez garde à l’amour ! Il est plus dangereux que le rhume, la bronchite et la pleurésie ! Il ne pardonne pas, et fait commettre à tout le monde des bêtises irréparables. » Oui, monsieur, je dis que, chaque année, le gouvernement devrait faire mettre sur les murs de grandes affiches avec ces mots : « Retour du printemps. Citoyens français, prenez garde à l’amour ; » de même qu’on écrit sur la porte des maisons : « Prenez garde à la peinture ! » – Eh bien, puisque le gouvernement ne le fait pas, moi je le remplace, et je vous dis : « Prenez garde à l’amour ; il est en train de vous pincer, et j’ai le devoir de vous prévenir comme on prévient, en Russie, un passant dont le nez gèle. »
Je demeurai stupéfait devant cet étrange particulier, et, prenant un air digne : – « Enfin, monsieur, vous me paraissez vous mêler de ce qui ne vous regarde guère. »
Il fit un mouvement brusque, et répondit : – « Oh ! monsieur ! monsieur ! si je m’aperçois qu’un homme va se noyer dans un endroit dangereux, il faut donc le laisser périr ? Tenez, écoutez mon histoire, et vous comprendrez pourquoi j’ose vous parler ainsi.
« C’était l’an dernier, à pareille époque. Je dois vous dire, d’abord, monsieur, que je suis employé au ministère de la Marine, où nos chefs, les commissaires, prennent au sérieux leurs galons d’officiers plumitifs pour nous traiter comme des gabiers. – Ah ! si tous les chefs étaient civils, – mais je passe. – Donc j’apercevais de mon bureau un petit bout de ciel tout bleu où volaient des hirondelles ; et il me venait des envies de danser au milieu de mes cartons noirs.
« Mon désir de liberté grandit tellement, que, malgré ma répugnance, j’allai trouver mon singe. C’était un petit grincheux toujours en colère. Je me dis malade. Il me regarda dans le nez et cria : « Je n’en crois rien, monsieur. Enfin, allez-vous-en ! Pensez-vous qu’un bureau peut marcher avec des employés pareils ? »
« Mais je filai, je gagnai la Seine. Il faisait un temps comme aujourd’hui ; et je pris la Mouche pour faire un tour à Saint-Cloud.
« Ah ! monsieur ! comme mon chef aurait dû m’en refuser la permission !
« Il me sembla que je me dilatais sous le soleil. J’aimais tout, le bateau, la rivière, les arbres, les maisons, mes voisins, tout. J’avais envie d’embrasser quelque chose, n’importe quoi : c’était l’amour qui préparait son piège.
« Tout à coup, au Trocadéro, une jeune fille monta avec un petit paquet à la main, et elle s’assit en face de moi.
« Elle était jolie, oui, monsieur ; mais c’est étonnant comme les femmes vous semblent mieux quand il fait beau, au premier printemps : elles ont un capiteux, un charme, un je ne sais quoi tout particulier. C’est absolument comme du vin qu’on boit après le fromage.
« Je la regardais, et elle aussi elle me regardait, – mais seulement de temps en temps, comme la vôtre tout à l’heure. Enfin, à force de nous considérer, il me sembla que nous nous connaissions assez pour entamer conversation et je lui parlai. Elle répondit. Elle était gentille comme tout, décidément. Elle me grisait, mon cher monsieur !
« À Saint-Cloud, elle descendit, – je la suivis. – Elle allait livrer une commande. Quand elle reparut, le bateau venait de partir. Je me mis à marcher à côté d’elle, et la douceur de l’air nous arrachait des soupirs à tous les deux.
– « Il ferait bien bon dans les bois », lui dis-je.
« Elle répondit : « Oh ! oui ! »
– « Si nous allions y faire un tour, voulez-vous, mademoiselle ? »
« Elle me guetta en dessous d’un coup d’œil rapide comme pour bien apprécier ce que je valais, puis, après avoir hésité quelque temps, elle accepta. Et nous voilà côte à côte au milieu des arbres. Sous le feuillage un peu grêle encore, l’herbe, haute, drue, d’un vert luisant, comme vernie, était inondée de soleil et pleine de petites bêtes qui s’aiment aussi. On entendait partout des chants d’oiseaux. Alors ma compagne se mit à courir en gambadant, enivrée d’air et d’effluves champêtres. Et moi je courais derrière en sautant comme elle. Est-on bête, monsieur, par moments !
« Puis elle chanta éperdument mille choses, des airs d’opéra, la chanson de Musette ! La chanson de Musette ! comme elle me sembla poétique alors !... Je pleurais presque. Oh ! ce sont toutes ces balivernes-là qui nous troublent la tête ; ne prenez jamais, croyez-moi, une femme qui chante à la campagne, surtout si elle chante la chanson de Musette !
« Elle fut bientôt fatiguée et s’assit sur un talus vert. Moi, je me mis à ses pieds, et je lui saisis les mains, ses petites mains poivrées de coups d’aiguille ; et cela m’attendrit. Je me disais : – « Voici les saintes marques du travail. » – Oh ! monsieur, monsieur, savez-vous ce qu’elles signifient, les saintes marques du travail ? Elles veulent dire les commérages de l’atelier, les polissonneries chuchotées, l’esprit souillé par toutes les ordures racontées, la chasteté perdue, toute la sottise des bavardages, toute l’étroitesse des idées propres aux femmes du commun, installées souverainement dans celle qui porte au bout des doigts les saintes marques du travail.
« Puis nous nous sommes regardés dans les yeux longuement.
« Oh ! cet œil de la femme, quelle puissance il a ! Comme il trouble, envahit, possède, domine, Comme il semble profond, plein de promesses, d’infini ! On appelle cela se regarder dans l’âme ! Oh ! monsieur, quelle blague ! Si l’on y voyait, dans l’âme, on serait plus sage, allez.
« Enfin, j’étais emballé, fou. Je voulus la prendre dans mes bras. Elle me dit : « À bas les pattes ! »
« Alors je m’agenouillai près d’elle, j’ouvris mon cœur ; je versai sur ses genoux toutes les tendresses qui m’étouffaient. Elle parut étonnée de mon changement d’allure, et me considéra d’un regard oblique comme si elle se fût dit : – Ah ! c’est comme ça qu’on joue de toi, bon bon ; et bien : nous allons voir.
« En amour, monsieur, nous sommes toujours des naïfs, et les femmes des commerçantes.
« J’aurais pu la posséder sans doute ; j’ai compris plus tard ma sottise, mais ce que je cherchais, moi, ce n’était pas un corps ; c’était de la tendresse, de l’idéal, j’ai fait du sentiment quand j’aurais dû mieux employer mon temps.
« Dès qu’elle en eut assez de mes déclarations, elle se leva ; et nous revînmes à Saint-Cloud. Je ne la quittai qu’à Paris. Elle avait l’air si triste depuis notre retour que je l’interrogeai. Elle répondit : – « Je pense que voilà des journées comme on n’en a pas beaucoup dans sa vie. » Mon cœur battait à me défoncer la poitrine.
« Je la revis le dimanche suivant, et encore le dimanche après, et tous les autres dimanches. Je l’emmenai à Bougival, Saint-Germain, Maisons-Laffitte, Poissy ; partout où se déroulent les amours de banlieue.
« La petite coquine, à son tour, me « la faisait à la passion. »
« Je perdis enfin tout à fait la tête, et, trois mois après, je l’épousai.
« Que voulez-vous, monsieur, on est employé, seul, sans famille, sans conseils ! On se dit que la vie serait douce avec une femme ! Et on l’épouse, cette femme !
« Alors, elle vous injurie du matin au soir, ne comprend rien, ne sait rien, jacasse sans fin, chante à tue-tête la chanson de Musette (oh ! la chanson de Musette, quelle scie !), se bat avec le charbonnier, raconte à la concierge les intimités de son ménage, confie à la bonne du voisin tous les secrets de l’alcôve, débine son mari chez les fournisseurs, et a la tête farcie d’histoires si stupides, de croyances si idiotes, d’opinions si grotesques, de préjugés si prodigieux, que je pleure de découragement, monsieur, toutes les fois que je cause avec elle. »
Il se tut, un peu essoufflé et très ému. Je le regardais, pris de pitié pour ce pauvre diable naïf, et j’allais lui répondre quelque chose, quand le bateau s’arrêta. On arrivait à Saint-Cloud.
La petite femme qui m’avait troublé se leva pour descendre. Elle passa près de moi en me jetant un coup d’œil de côté avec un sourire furtif, un de ces sourires qui vous affolent ; puis elle sauta sur le ponton.
Je m’élançai pour la suivre, mais mon voisin me saisit par la manche. Je me dégageai d’un mouvement brusque ; il m’empoigna par les pans de ma redingote, et il me tirait en arrière en répétant : – « Vous n’irez pas ! vous n’irez pas ! » d’une voix si haute, que tout le monde se retourna.
Un rire courut autour de nous, et je demeurai immobile, furieux, mais sans audace devant le ridicule et le scandale.
Et le bateau repartit.
La petite femme, restée sur le ponton, me regardait m’éloigner d’un air désappointé, tandis que mon persécuteur me soufflait dans l’oreille en se frottant les mains :
– Je vous ai rendu là un rude service, allez.
Guy de Maupassant
A présent, les derniers petits frimas de l’hiver vont s’en aller et le froid avec, laissant place, peu à peu, à des températures un peu plus clémentes.
Déjà peu avant, les perce-neige nous annonçaient..timidement..la fin toute proche de l'hiver..
Les perce-neige traditionnels « Galanthus-Nivalis », en forêt, comme un peu partout, là, où on peut les rencontrer habituellement sont bien sortis et avec leurs clochetons si particulier.
Au début, les perce-neige étaient à peine visibles, car, bien souvent, recouverts de neige ou sous une couche de neige.
Nature et santé..
La Nature et le sport c’est la santé, aussi, comme les fleurs pour pousser et grandir, un peu d’exercice, chaque jour, ou, trois fois par semaine, nous fera le plus grand bien, pour sortir indemme de notre létargie momentannée dûe à l’hiver et au manque d’activités de ce fait.
Photo ci-dessus lac près de Mimizan.
Photo ci-dessus de Christian (un ami en blog) du côté de Lugos dans les Landes et qui se reconnaîtra..
Photo prise par christian lorsque je suis venu et passé le voir durant nos vacances d'été en août 2016 (45 km aller et 45 km retour..)..
Photo ci-desus de la forêt du côté de Labenne dans les Landes.
La marche, à une allure modérée (au début) pour reprendre le dessus avec soi-même et dérouiller nos articulations et chauffer doucement nos muscles est un bon procédé et revitalisant.
Une bonne attitude comme en déplacement..
Photo ci-dessus du lever de soleil au travers des pins maritimes dans la forêt des Landes.
Par la suite, avec un peu plus d’allant et de courage, on pourra augmenter le rythme à souhait comme la distance, selon, et l’appréciation de chacun et du moment..
Il n'y a pas..36 solutions pour ça..
Bonne entrée dans le Printemps et découverte progressive de la Nature, cette si belle et grande nature, et tout ce qui nous entoure et va avec..
Mille baisers printaniers !..
Portez vous bien, le plus important à mes yeux !
Revivez..revivons..enfin !
A présent, il nous faut remplir nos cœurs de gaieté et nos esprits de douceurs..
Mon attitude favorite face aux turpitudes du monde qui nous entoure..
Eine Fabelhafte Gelassenheit !..
Un profond laisser aller et libre cours avec un profond réconfort intérieur comme en sentiments du moment..
Bon Printemps revigorant et bénéfique à toutes et à tous !