Lorsque les réseaux sociaux s’enflamment un peu trop vite !..Pour rien…
Lorsque les réseaux sociaux s’enflamment un peu trop vite !.. Pour rien…
Comment faire pousser des légumes sans jamais utiliser d’eau ? Dans cette vidéo* un producteur montre comment il fait !
* Pour la vidéo, reprendre le lien ci-dessous :
https://www.youtube.com/watch?v=-kJvPjAaokY
(vidéo insérée dans l’article paru dans le journal Le Parisien..)
Les canicules causent des sécheresses qui elles-mêmes causent la perte des plantations… Et non ! Un cultivateur utilise depuis des années, une méthode sans eau. Ses légumes n’en restent pas moins délicieux.
Marc Mascetti, habitant de l’Essonne, à Marcoussis, n’utilise pas une seule goutte d’eau pour que ces tomates mûrissent ni pour que ces herbes aromatiques grandissent, sans parler de ces patates douces et oignons qui ont l’air succulents.
Malgré avoir essayé de forer le sol pour essayer de trouver quelques gouttes d’eau, Marc et ses aïeux ont dû trouver une autre solution pour produire leurs légumes.
Par exemple, pour ses tomates, au lieu de les faire monter et grandir en hauteur, Marc va les laisser se développer sur le sol. En touchant la surface de la terre, les différentes branches des tomates vont s’enraciner. Ces racines permettent d’aller chercher le peu d’eau des sols, au lieu de devoir les arroser.
Il laisse même des mauvaises herbes sur les côtés de ses champs, cela attire les abeilles et insectes qui permettent de polliniser ses plantes.
Autre atout de ce type de production : le goût ! Marc Mascetti compare les fruits et les légumes à un verre de sirop “si vous mettez très peu d’eau il est très sucré, si vous mettez beaucoup d’eau il ne l’est pas”.
-Une production plus responsable
Cuisson des légumes.
Photo ci-dessus, Image d’illustration / Pixabay.
“Produire peu mais bien que de produire beaucoup et d’en jeter la moitié”, c’est un principe sur le quel le producteur insiste.
Il explique aussi pourquoi les plans de légumes sont devenus si fragiles à cause des hommes, il opte alors pour une solution où la nature se contrôle par elle-même.
De ce fait, il n’utilise ni eau, ni engrais, ni pesticides, pourtant sa production se porte bien.
-Des avantages indéniables
Des tomates , la tête à l'envers.
Photo ci-dessus, Image d’illustration / Pixabay.
Économies, de temps et d’argent, mais pas que ! Cela permet un meilleur rendement. Ses pieds de tomates produisent une dizaine de kilogrammes contre la moitié pour des pieds arrosés.
C’est même une bonne année pour lui malgré la sécheresse. Il explique pourquoi les plantes se multiplient davantage cette année “
’’ Avant de mourir, un légume pense toujours à se reproduire. Et en ce moment, les légumes pensent qu’ils n’auront bientôt plus rien à boire. Donc ils font encore plus de fruits que d’habitude !”.’’
Le sujet de la discorde comme des réactions..
Comme son grand-père avant lui, Marc Mascetti, dit Marco, cultive ses légumes à Marcoussis (Essonne) sans leur apporter la moindre goutte d’eau. Une contrainte qui a, depuis, fait sa force.
Depuis plus de trente ans, Marc Mascetti fait pousser tomates, oignons et autres aubergines sans eau ni pesticide, dans ses champs de Marcoussis (Essonne). LP/Florian Garcia
Et l'eau dans tout ça ?..
« L’eau ? Il n’y en a jamais eu ici et il n’y en aura jamais. J’ai creusé, à plusieurs endroits et profond, mais il n’y en a pas. » Marc Mascetti, dit Marco, n’est pas un maraîcher comme les autres. Depuis plus de trente ans qu’il cultive ses tomates, oignons et autres aubergines sans une goutte d’eau sur les 20 ha de terres familiales à Marcoussis (Essonne), ce producteur s’est forgé une solide réputation au point de devenir le maraîcher star des étals parisiens. Si son bagou, son franc-parler et sa légendaire bonhomie n’y sont pas pour rien, sa vision de l’agriculture y est à coup sûr pour beaucoup. À contre-courant, Marco revendique sa liberté : pour lui, les fortes chaleurs et le manque d’eau ne sont pas un problème… à condition de ne pas avoir peur des journées à rallonge.
Aussi, les réactions n’ont pas tardé !
Youtube, Facebook, et j’en passe…
Les gens, très souvent, s’enflamment..pour rien !
Tout d’abord sur youtube..
Intervention, suite au reportage retransmis sur TF1, et à la vidéo mise dans l'article du journal Le Parisien, du jardinier youtubeur Olivier Puech..
Olivier Puech, le youtubeur « star » des potagers…
Olivier Puech s’est indigné et a insulté l’agriculteur Marc Mascetti, de quel droit ?..un peu facile, non ?..
Voir le lien ci-dessous:
https://www.youtube.com/watch?v=PovBbmDzBWk
Olivier Puech le jardinier youtubeur..
Comme le dit si bien la chanson, en parlant justement de.. «Followers »..qui m’aime me suive, ou..s’abonne…
Il y avait également eu son livre..
J’avais « apprécié », à juste titre, ce jardinier « youtubeur », au début, et avec ses conseils pratiques et autres, mais plus après, et certainement pas depuis sa réaction négative..désolé.
Autre réaction :
Il y a également eu une riposte postée sur Youtube par Sylvain Couderc, la ferme La Cagnolle..peu après celle mise par Olivier Puech, le jardinier youtubeur…
Voir le lien ci-dessous:
https://www.youtube.com/watch?v=pxhpSdgsAqU
Mon point de vue "personnel" là-dessus:
Le problème des réseaux sociaux est que chacun veut garder sa place, certains même à tout prix, mais aussi et surtout pour « accrocher » et avoir le maximum de « followers » ou poursuiveurs et ''abonnés'', voilà tout !
Chacun veut garder son petit pré carré, carré vert, potager ou maraîcher, pour exister et sinon « survivre » !...
Quel gâchis de temps, en propos tenus comme en comportement !
Personnellement, je soutiens cet agriculteur (cultivateur..) à..200% !
Il y a eu, cependant, des réactions de bon sens (aucune contre-offensive, loin-delà..), pour soutenir cet agriculteur, malgré ses propos tenus qui ont valu ces réactions à la suite, n’en déplaise..
Pour preuve, voir le lien ci-dessous :
https://www.youtube.com/watch?v=zKbOWxt5O8A:24
Ce n’est pas là le « seul » soutien, pour cet agriculteur et maraîcher, je rassure..
Tout n’est pas toujours rose, comme on pourrait le penser, pour preuve :
Mr. Marc Mascetti a eu un incendie dans sa ferme (accidentel ou criminel sans doute..), il y a peu, en mai,dans la nuit du 14 au 15 mai, et a, pour ainsi dire..tout perdu..ou presque !
Il faut avoir les reins solides dans cette aventure, et ces aventures..
Photo ci-dessus de Marc Mascetti.
Le feu s’est déclaré dans la nuit du 14 au 15 mai pour des raisons encore indéterminées. Très connu sur Paris pour ses savoureux légumes, vendus sur les marchés de la place Monge et Port-Royal, l’agriculteur tente aujourd’hui de poursuivre son activité, grâce à un grand élan de solidarité.
Marcoussis, le vendredi 20 mai 2022. Depuis l'incendie, le téléphone de Marc Mascetti, dit Marco, maraîcher star des étals parisiens n'arrête pas de sonner. LP/Nolwenn Cosson
Ce sont trente années de travail qui se sont envolées en fumée. De la grange du couple Mascetti, il ne reste que quelques morceaux de charpente. Seules les carcasses de quatre véhicules se distinguent encore dans cet amas de tôles noircies par les flammes. « C’est l’un de mes pires souvenirs », souffle Marc, Marco pour les...
Photo-cidessus, titre dans Libération.
Presque 35 ans d'une vie, toute une vie..partie en fumée..
Quand la jalousie (ou fausse jalousie..) l’emporte sur tout le reste..
Photo-Marc-Mascetti.
Face à la sécheresse et aux restrictions d'eau imposées partout en France, le travail des agriculteurs et des maraîchers se complique. Sauf pour Marc Mascetti dont la famille a développé une philosophie et un travail de la terre sans arrosage.
Photo-Sécheresse-Marc-Mascetti.
Au milieu de ses 17 hectares de terre, les tomates de Marc Mascetti font bonne figure. "À part un peu quelques culs noirs au bout, elles résistent. Elles ne sont pas grosses, par contre, elles sont goûteuses", se félicite-il. Pourtant ses sols sont craquelés comme partout ailleurs dans cette France en proie à la sécheresse.
Fier de ses légumes en forme, Marc Mascetti fait la visite : "Là, deux variété de poivrons, les aubergines. Çà, ce sont les potirons. Là, des haricots, là, les salades. Elles ont été plantées il y a quinze jours. Elles ont eu la sécheresse, elles ont pris deux canicules et elles ne sont pas mortes !"
Le secret est dans la terre
Pas d'irrigation, pas d'arrosage pour le maraîcher qui sait pourtant qu'un légume, c’est "98% d'eau". Le secret se cache dans la terre qui reste humide en profondeur."Au début c’est sec en surface. Puis arrivé à deux-trois centimètres, on arrive à faire une motte de terre. Donc, ça veut dire qu’il y a de la fraîcheur, il y a de l’humidité dans mon sol", explique-t-il. "Ça fait trois générations qu’on est sur notre plateau et qu’on n’a pas d’eau. La seule eau qu’on pourra garder, c’est l’eau du ciel".
Et pour ça, Marc Mascetti prépare son terrain dès la fin de l'hiver. Il laisse pousser les mauvaises herbes, les mélange avec des déchets organiques issus de ses récoltes, puis il les enfouit avant de laisser travailler les vers de terre."Les micro-organismes vont transformer tout ce que j’ai enfoui en engrais et en matière organique humide dont la plante peut se servir." Un sol argileux, retravaillé, re mélangé dès qu'il pleut pour emmagasiner l'humidité. "
"Quand on prend 10 millimètres d’eau, c’est génial ! On attend un jour ou deux et on pense tout de suite à re mélanger la terre humide avec la terre un peu plus sèche du dessous. C’est-à-dire qu’à chaque fois, on garde l’humidité en profondeur."
Ensuite le maraîcher fait confiance à ses légumes. "On doit essayer de lui faire comprendre qu’on ne va pas lui donner à boire en surface et l’obliger à former un système racinaire qui va descendre en profondeur. Il peut vivre largement les pieds dans l‘humidité, dans la fraîcheur. Les légumes normalement, on doit les laisser vivre. Ce sont eux qui décident, pas nous."
Pas une solution pour tous les types de sol
Une méthode qui ne pourrait pas marcher partout, reconnaît Marc Mascetti, notamment dans le Sud, ni sur tous les types de terres. "Les sols sablonneux, je ne suis pas sûr que ça marche. Le problème c’est que ça descend beaucoup trop vite alors que nous l’argile, quand on fait une semelle de labour [couche de sol très dense qui se trouve immédiatement sous les passages fréquents du soc de la charrue], l’eau ne passe plus. Nous, on le fait parce que c’est nos terres, on les connaît mais chaque paysan doit connaître sa terre."
Pas une solution miracle donc mais il faudra, selon lui, réfléchir au modèle de production face aux sécheresses qui s'accentuent. "Il va falloir que les gens réfléchissent. Plus on va donner à boire, plus le jour où ils n’auront plus d’eau à donner à boire à leurs légumes, qu’est-ce qu’ils vont devenir ? Ça fait déjà plus de 40 ans qu’on sait que le climat va changer, qu’il va faire de plus en plus chaud et on n’essaie pas de trouver des solutions", se désespère-t-il. Le risque pour lui est d'avoir trop de pluie, avec un risque important d'inondations. C'est arrivé en 2016. Il avait alors presque tout perdu.
On ne se fait pas agriculteur (ou cultivateur..), ni maraîcher, du jour au lendemain, ni comme ça, d'un simple coup de baguette magique !
Il faut des années de travail, de dur labeur, d'expériences, parfois d'échecs aussi, et d'informations recueillies, au fur et à mesure, au fil du temps...
Il était connu de tous et fort apprécié sur les étals dans Paris..
Voilà pour ça et pour mon article mis qui n’est pas « glauque » ni inutile, loin delà, bien au contraire…
Le propre de l’être humain et de l’homme est dans sa façon de penser et surtout d’interpréter les choses à sa façon..
Tant que l’être humain, dans sa conception d’origine, sera basé sur son propre égo, sa forme de jalousie et autre, on avancera guère vers une forme de meilleur..
Très souvent les hommes sont jaloux par nature, jaloux pour une femme (la convoitise..), jaloux en comparaison idiote pour une maison, une voiture de luxe, une piscine, etc.., et tout ça..Pour rien !...
Il n’y a rien a attendre pour l’avenir comme pour l’avenir de nos propres enfants et petits-enfants à la suite..à venir…
Il n’y aura aucun changement, ni de comportement..hélas aussi !
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