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Ecologie vraie et réelle..
9 janvier 2023

Je suis « contre » l’interdiction de la chasse le dimanche !..

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Je suis « contre » l’interdiction de la chasse le dimanche !..

 

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Sauf que..

Il faut « savoir » que 85% de l’ensemble de la forêt française comme « couverture » boisée (des bois et forêts en France) sont des biens appartenant à des personnes privées..donc..forêts..privées !!!

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Dimanche sans chasse: Pour Emmanuel Macron, c'est "niet de chez niet !"

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Interdire la chasse le dimanche..

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C’était un souhait de nos amis écologistes: Interdire la chasse le dimanche mais aussi le samedi et durant les vacances scolaires. Depuis l’été dernier, tout ce que le paysage de l’écologie et de la mouvance animaliste ou antispéciste compte de figures militait pour nous interdire de chasser un jour par semaine (de préférence le dimanche) voire deux avec en prime les vacances scolaires et ce pour permettre à tous de profiter de la nature « qui appartient à tout le monde », enfin presque: près de 85% des bois et forêts en France sont des biens appartenant à des personnes privées.

Mais il semblerait comme nous vous le disions hier, que ce souhait de nos adversaires n’ait pas été retenu par le gouvernement parmi les mesures au programme du plan chasse qui découle de la mission sénatoriale qui a rendu son rapport à l’automne dernier. Ce sont ces mesures que doit annoncer Bérangère Couillard, la secrétaire d’État chargé de l’écologie, lundi à 11h00, depuis des locaux de loffice français de la biodiversité (OFB) dans le Loiret où elle doit aller à la rencontre de ses agents.

Même si la principale intéressée avait déclaré en octobre dernier que le dimanche sans chasse « n’était pas un sujet tabou » , il semblerait que les arbitrages du gouvernement aient écarté cette possibilité. En effet, le président de la République aurait signifié à la secrétaire d’État que concernant le dimanche sans chasse c’était « niet de chez niet! » et que ce n’était  « pas le moment de faire des étincelles avec des gens susceptibles de manifester » selon un conseiller de l’exécutif qui a souhaité rester anonyme.

A cette mesure plus que coercitive et injuste le gouvernement aurait choisi plutôt de plaider pour le développement de l’application Suricate qui permet à une personne de signaler les problèmes rencontrés lors de ses activités sportives et de ses loisirs de nature et de l’adapter aux relations et à la communication entre chasseurs et autres usagers de la nature. On ne peut donc que se féliciter de cette future annonce qui, nous l’espérons, va clore définitivement le débat sur cette proposition déraisonnable et déconnectée du réel qu’était le dimanche sans chasse.

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Au seul nom de vouloir faire plaisir aux écolos bobos et bobos de ville comme écolos E.E.L.V. tel Sandrine Rousseau, Clémentine Autain et tant d’autres, je m’insurge contre leurs démarches comme « tentatives » de vouloir faire interdire la chasse le dimanche comme interdiction de la chasse tout court !..Haro contre ces gens totalement « décalés » de la réalité depuis 41 ans, à plus forte raison, et de ces droits « ôctroyés » comme permis et assuré à tout citoyen Français après la Révolution de 1789..qu’on se le dise !!!

 

NON  À L’INTERDICTION DE LA CHASSE LE DIMANCHE !

 

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Oui à la forêt « partagée »..en fonction.

 

Tous les chasseurs et toutes les personnes pour une «  ruralité vivante, capable d’accueillir toutes les pratiques et toutes les passions, en bonne intelligence et harmonie » sont donc invités à signer la pétition intitulée « Non à l’interdiction de la chasse le dimanche. Oui à la forêt partagée » 

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Accidents de chasse : "On ne peut pas faire comme si, en sanctuarisant une demi-journée, on réglait le problème", affirme Christophe Béchu

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Selon Christophe Béchu, "derrière, c'est plutôt la question du partage de la nature au sens large qui se pose, avec parfois d'autres conflits d'usages moins spectaculaires", comme par exemple entre des vététistes et des promeneurs.

"On ne peut pas faire comme si, en sanctuarisant une demi-journée, on réglait le problème de manière totale", affirme Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, sur franceinfo vendredi 6 janvier. La piste d'une demi-journée sans chasse, un temps envisagée par le gouvernement, semble donc s'écarter, alors qu'il dévoilera lundi son plan pour obtenir "zéro accident" de chasse. D'ici là, le président de la République, Emmanuel Macron, doit mettre la dernière main à ce plan.

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"Derrière, c'est plutôt la question du partage de la nature au sens large qui se pose, avec parfois d'autres conflits d'usages moins spectaculaires, qui ne font pas la une des journaux, entre des vététistes et des promeneurs" par exemple, a aussi déclaré Christophe Béchu. Ce plan prévoit notamment la création d'un délit d'alcoolémie, concernant les chasseurs, a appris jeudi franceinfo de source gouvernementale. Au-delà de 0,5 gramme par litre de sang (soit deux verres de vin), il leur sera interdit de chasser, sous peine de sanctions. Il s'agit des mêmes exigences que pour les automobilistes.

"Les infos de franceinfo sont souvent très justes, même quand elles devancent la communication gouvernementale", a commenté l'ancien maire d'Angers. La création d'un tel délit à la faveur des chasseurs. "Ça me va très bien", a en effet indiqué le président de la Fédération nationale des chasseursWilly Schraen, sur franceinfo."S'il le réclame, il sera content lundi", a réagi le ministre, confirmant de fait que cette mesure fait partie du plan du gouvernement pour obtenir "zéro accident" de chasse.

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France-Info pensait, sans doute, avoir un "scoop" par ce biais et avoir l'exclusivité d'une forme de révélations (Qui n'en sont pas, de plus, et qui n'en a pas été une..) et faire le "buzz" au travers..que néni !

Voir le lien ci-dessous :

https://www.youtube.com/watch?v=TCRKT7Lo9vA

Derrière la chasse, "c'est plutôt la question du partage de la nature", pour Christophe Béchu.

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Il y a bien plus "grave" que la chasse ou encore seule pratique de la chasse dans notre pays, je veux dire ici "La France", comme à travers l'ensemble du territoire national français !..

Que dire de nos hôpitaux en France et du système hospitalier comme en soins, sans oublier les E.P.H.A.D., maisons  de retraite, et tout le reste ?..

Que dire alors de l'Affaire Chloredecon ?..ou encore "Lubrizol" ?..ou encore "AZF", rappelez-vous ?..et de tant d'autres choses comme sujets..bien plus grave, et où là..personne ne réagit, ni n'agit, ni les "écolos", ou encore "écolos" politiques, pas d'avantage "le" ou "ce"gouvernement en place ou les gouvernements d'avant depuis 41 ans..Alors ?...

- Affaire "Chloredecon": non lieu !

Chlordécone : le non-lieu ne remet pas en cause "le préjudice subi par ces populations"

Le non-lieu prononcé lundi dernier par les juges d’instruction dans l'enquête sur l'empoisonnement des Antilles au chlordécone "n'est pas une manière d'aller nier la réalité du scandale, ni les difficultés de ceux qui ont été marqué dans leur chair, c'est une décision sur une question pénale précise", justifie le ministre de la Transition écologique. Christophe Béchu assure que cette décision ne remet pas"en cause la peine de ces populations et le préjudice qu'elles ont subi".

- Affaire "Lubrizol": oubliée ?..

- Affaire "AZF": c'est du passé..

Et toutes les personnes et les gens directement concernés, impactés comme touchés, on les oublie ?..un peu trop vite à mon sens !

 

Concernant la « circulation » dans nos forêts tant « domaniales » que « communales »

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Photo ci-dessus, forêt "domaniale" de Liffré.

Juste à titre d'exemple et de comparaison:

La forêt "domaniale".

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La forêt domaniale de Compiègne compose avec celles de Laigue et de Retz, un ensemble de 32 000 hectares. Cette hêtraie-chênaie est la 3e forêt domaniale française de par sa taille, 14 485 hectares, après Orléans et Fontainebleau.

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Contrairement à ce que beaucoup « croient » et « pensent » là-dessus, l’accès comme la circulation en forêt n’est nullement « libre » ou permanent comme autorisé en permanence, loin delà…

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Seuls les itinéraires « dédiés » sont ouverts pour la pratique de la marche comme de la randonnée.

  • Grande Randonnée (GR)
  • GR de pays

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Il est à « rappeler » que la circulation dans et à l’intérieur d’une forêt « domaniale » et donc « gérée » par l’ONF, la circulation n’est pas « libre », mais bien « réglementée » !

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Il faut, pour cela, se référer aux différents articles du code rural, pour ne pas être dans l’embarras et se mettre en porte à faux avec un agent de l’ONF comme garde de l’ONFCS..

Rouler en forêt : je peux ou je ne peux pas ?

Qui n’a jamais emprunté une route forestière ? Ces axes qui traversent la forêt permettent de rejoindre le parking le temps d’une belle balade au vert, ou de circuler tout en observant la nature. Attention toutefois, sur les 30 000 kilomètres de routes gérées par l’ONF, 75 % sont interdites à la circulation des véhicules motorisés… Explications !

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La forêt est un milieu naturel dont il faut préserver la tranquillité et la richesse biologique. C'est pourquoi les véhicules motorisés sont parfois interdits à la circulation sur les routes forestières. Ne soyez pas trop déçus... Grâce à cela, vous permettez de limiter la pollution en forêt, y compris sonore, ainsi que l'érosion des sols. Voici un petit mémo indispensable aux promeneurs amateurs de deux et quatre roues :

  • Les routes carrossables : goudronnées ou empierrées, les routes carrossables sont accessibles aux véhicules motorisés (quads, voitures, 4x4, motos) s'il n'y a pas de barrière ou de panneau d'interdiction. Et si la barrière est ouverte ? Marche arrière, cette route n'est toujours pas pour vous, elle demeure réservée à l'usage des professionnels de la forêt... On vous l'accorde, l'envie d'aller voir au-delà est tentante, mais n'oubliez pas, cette interdiction n'a qu'un but : préserver la forêt !

Au même titre qu'une barrière, certains panneaux peuvent aussi entraver votre itinéraire routier. Le dénommé « B0 » n'autorise par exemple le passage que des piétons. Peut-être l'occasion d'une balade à pied ?

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Autre panneau qui a peut-être attiré votre regard : le « B7b ». Traduction : les randonneurs, les cavaliers et les cyclistes ont le droit de passer, mais pas les véhicules à moteur. Allez encore un peu d'effort, on continue la marche !

  • Les chemins non carrossables : ni goudronnés, ni empierrés, les chemins non carrossables et les sentiers sont interdits aux véhicules motorisés. Les risques sont nombreux : détruire la végétation, favoriser l'érosion des sols, déranger les animaux de la forêt, et embourber ou casser son véhicule.... Autant d'arguments qui ne se discutent pas non ?
  • Le stationnement : dernière règle à connaître, et il n'est pas évident d'y penser, le stationnement devant une barrière forestière n'est (lui non plus) pas autorisé. En effet, les véhicules liés à la gestion de la forêt et les forces de secours doivent toujours pouvoir emprunter ce chemin. Départ de feu, cheville foulée... Autant de raisons pour lesquelles le passage doit être accessible en permanence. 
Quel risque encouru en cas d’infraction ?

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Peu d'entre vous le savent : les forestiers de l'ONF peuvent verbaliser ceux qui, par méconnaissance ou imprudence, ne respectent pas ces règlementations. Et la note peut s'avérer salée : 135 euros d'amende pour le conducteur d'un véhicule motorisé circulant ou stationnant sur une route interdite d'accès, jusqu'à 1 500 euros pour circulation hors chemin... et risque de suspension du permis de conduire !

Interdire et verbaliser, ce n'est évidemment pas le cœur de métier du forestier... Reste que ces actes sont indispensables pour protéger la forêt et faire en sorte que nous puissions tous, générations actuelles et futures, profiter durablement de ces espaces naturels exceptionnels

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Profiter des bienfaits de la nature comme de la forêt..Oui..mais cependant pas n'importe comment ni faire n'importe quoi, cela va de soi.

Même en V.T.T. tout n'est pas permis ni autorisé !

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Photo ci-dessus de gens qui se croient tout permis et font n’importe quoi.

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Photo ci-dessus, étang dans la forêt ou bois de Cicé.

 Selon le code de l’Urbanisme :

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2ème thème : Les chemins de randonnée

Les chemins de randonnée

Les chemins de randonnée méritent un traitement à part. Ce n'est pas qu'ils relèvent d'un statut particulier. Au contraire, ces chemins prennent le statut de la voie qu'ils empruntent : il n'y a pas de statut juridique propre aux chemins de randonnée. Les conditions d'instauration de ces chemins dépendent donc de la nature juridique de l'assiette de la voie empruntée.

De multiples textes s'intéressent aux chemins de randonnée : 

     . les articles L. 361-1 (relatif au plan départemental des itinéraires de promenade et de randonnée) et L. 362-1 (relatif au plan départemental des itinéraires de randonnée motorisée) du code de l'environnement, 

     . L. 380-1 du code forestier,

     . L. 130-5 du code de l'urbanisme, 

     . l'article L. 311-3 du code du sport relatif au plan départemental des espaces, sites et itinéraires relatifs aux sports de nature (ce plan inclut d'ailleurs le plan départemental des itinéraires de promenade et de randonnée susmentionné).

Mais un seul principe prévaut pour l'instauration de chemins de randonnée sur des voies privées : elle nécessite l'accord du propriétaire.

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En dehors des « seules » pistes « cyclables » et dites cyclables, en accès aux vélos de course comme V.T.T.

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I - Les voies de communication du réseau public

Depuis l'ordonnance du 7 janvier 1959, la voirie communale ouverte au public peut relever de deux catégories : celle des voies communales et celle des chemins ruraux. Dans la suite des développements, nous nous intéresserons à ces chemins ruraux. Dans le langage courant, un chemin rural pourrait être défini comme un chemin de campagne. Mais, en droit, le « chemin rural » répond à une définition et un régime précis.

1. Définition des chemins ruraux

Les chemins ruraux sont les chemins qui appartiennent aux communes, qui sont affectés à l'usage du public et qui n'ont pas été classés comme voies communales. Ils font partie du domaine privé de ta commune. Voici ce que nous dit l'article L. 161-1 du code rural et de la pêche maritime.

a) Propriété de la commune

En premier lieu, pour être qualifié de rural, le chemin doit appartenir à la commune et, plus précisément, faire partie de son domaine privé, ce qui entraîne diverses conséquences quant à son aliénabilité et son entretien. La commune du lieu de situation doit donc être propriétaire de l'assiette du chemin. D'une manière générale, la preuve de son droit de propriété est libre, c'est-à-dire que tous les moyens de preuve peuvent être retenus. Mais la commune bénéficie en outre d'une présomption pour justifier de son droit de propriété sur un chemin rural. En vertu de l'article L. 161-3 du code rural et de la pêche maritime, tout chemin affecté à l'usage du public est présumé, jusqu'à preuve du contraire, appartenir à la commune sur le territoire de laquelle il est situé. La jurisprudence est même allée plus loin en considérant que cette présomption s'applique toujours à un chemin qui a été affecté à l'usage du public mais qui a cessé d'être utilisé et entretenu. Dans ce cas, il demeure la propriété de la commune tant qu'il n'a pas été aliéné dans les conditions prescrites par la loi1. Le droit de propriété de la commune sur les chemins ruraux affectés à l'usage du public ne s'éteint donc pas par le non-usage. La présomption établie par l'article L. 161-3 n'est toutefois qu'une présomption simple qui peut tomber devant la preuve contraire de l'absence de propriété de la commune, même si le chemin est affecté à l'usage du public. En cas de contestation, c'est au demandeur qui revendique la propriété du sol servant d'assiette au chemin d'apporter la preuve de son droit de propriété, soit par la production d'un titre, soit en invoquant la prescription acquisitive. Par contre, l'absence de mention du chemin dans les actes de propriété du riverain et sur l'ancien cadastre ne suffit pas à renverser la présomption de propriété de la commune. Puisque les chemins ruraux font partie du domaine privé de la commune, celle-ci peut les vendre. Mais elle doit respecter une procédure précise, prévue par l'article L. 161-10 du code rural et de la pêche maritime : lorsqu'un chemin rural cesse d'être affecté à l'usage du public, la vente peut être décidée après enquête par le conseil municipal, à moins que les intéressés groupés en association syndicale conformément à l'article L. 161-11 du code rural et de la pêche maritime n'aient demandé à se charger de l'entretien dans les deux mois qui suivent l'ouverture de l'enquête. Lorsque l'aliénation est ordonnée, les propriétaires riverains sont mis en demeure d'acquérir les terrains attenant à leurs propriétés. Si, dans le délai d'un mois à dater de l'avertissement, les propriétaires riverains n'ont pas déposé leur soumission ou si leurs offres sont insuffisantes, il est procédé à l'aliénation des terrains selon les règles suivies pour la vente des propriétés communales. Un autre moyen existe pour qu'une commune perde son droit de propriété sur un chemin rural : la prescription acquisitive. Une personne peut se prévaloir d'une prescription acquisitive sur un chemin rural en cas de possession continue et non interrompue, paisible, publique, non équivoque, et à titre de propriétaire pendant plus de trente ans. La possession est la détention ou la jouissance d'une chose ou d'un droit que nous tenons ou que nous exerçons par nous-mêmes, ou par un autre qui la tient ou qui l'exerce en notre nom. Des actes de possession doivent pouvoir être prouvés afin d'invoquer utilement une prescription acquisitive. Par exemple, une opération de boisement de l'assiette du chemin constitue un acte de possession utile, à l'inverse de la présence de simples semis naturels. Il en va de même de la  Cour de cassation, Civ. 3 juillet 2002, 00-21996, publié au bulletin. Cour de cassation, 30 septembre 1998, 96-20524, non publié au bulletin. Cour de cassation, 10 novembre 1999, 97-12880, non publié au bulletin. Code civil, article 2261 Cour de cassation, Civ. 3ème, 2 février 2010, 08-18432, non publié au bulletin. En revanche, le simple entretien du chemin risque de ne pas suffire à prouver à lui seul une possession à titre de propriétaire, du fait de son caractère équivoque.

Affectation à l'usage du public

L'affectation à l'usage du public est un élément primordial. Elle participe en effet de la définition des chemins ruraux mais fait également présumer, comme nous l'avons vu, du droit de propriété de la commune. Sans en donner une définition précise, l'article L. 161-2 du code rural et de la pêche maritime fournit deux critères, à titre d'exemple, pour préciser à quoi peut correspondre cette affectation à l'usage du public. Ces critères résultent de la loi du 25 juin 1999 d'orientation pour l'aménagement et le développement durable du territoire et constituent un assouplissement certain par rapport aux critères précédents. Le premier de ces critères est l'utilisation du chemin rural comme voie de passage. Avant 1999, il était exigé une circulation générale et continue. Ce passage peut être le fait de véhicules mais également de piétons. Quant au deuxième critère, il correspond à la réalisation d'actes réitérés de surveillance ou (« et » avant 1999) de voirie de l'autorité municipale. Si la loi de 1999 a par ailleurs supprimé la notion de destination du chemin afin d'établir l'affectation à l'usage du public, il semble que ce critère doive conserver une certaine valeur. Peut logiquement être qualifié de rural un chemin dont la destination est de servir à l'intérêt général, parce qu'il permet d'accéder à une partie du territoire communal, d'assurer la communication entre les habitants de deux communes, de relier un ou plusieurs hameaux... Le code rural et de la pêche maritime le prévoit d'ailleurs encore explicitement en mentionnant que cette destination est notamment définie par l'inscription du chemin sur le plan départemental des itinéraires de promenade et de randonnée. Effectivement, dans ce cas, le chemin participe du réseau des itinéraires de promenade et de randonnée établi par le département et sert à au public qui souhaite s'adonner à ces activités. Ceci correspond à une destination nouvelle des chemins ruraux dont l'utilité ne se limite plus seulement à leur fonction traditionnelle : la communication entre membres de la population rurale et l'exploitation des fonds ruraux.

c) Absence de classement comme voie communale

En 1959, il fut décidé que constituaient des voies communales : 

  • ·  les voies urbaines,
  • ·  les chemins vicinaux à l'état d'entretien figurant sur une liste établie à cet effet par lepréfet,
  • ·  les chemins ruraux reconnus par la commune, dont le conseil municipal procéderait à l'incorporation dans la catégorie des voies communales.

Depuis cette date, le classement des voies communales est prononcé par le conseil municipal. Les voies ainsi classées font partie du domaine public de la commune. Depuis la loi de simplification du droit du 9 décembre 2004, les délibérations concernant le classement ou le déclassement sont dispensées d'enquête publique préalable sauf lorsque l'opération envisagée a pour conséquence de porter atteinte aux fonctions de desserte ou de circulation assurées par la voie, ce qui est peu envisageable dans le cas d'un classement.

2 - Régime des chemins ruraux

a) Assiette des chemins ruraux

Si le code rural et de la pêche maritime fournit des éléments précis sur la taille des chemins ruraux, ces prescriptions ne s'appliquent qu'aux chemins construits après le 3 octobre 1969 et à ceux faisant l'objet, après cette date, d'aménagements entraînant de profondes modifications de leurs caractéristiques.

c) Police de la circulation et conservation des chemins ruraux

Le maire est chargé, en vertu de l'article L. 161-5 du code rural et de la pêche maritime, de la police et de la conservation des chemins ruraux. Il doit donc veiller à la sécurité et à la commodité de la circulation sur les chemins ruraux et à la préservation de leur intégrité.

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Concernant les communes

Concernant les chemins ruraux, communaux et chemins viscinaux

À noter que dès lors qu'un chemin est ouvert au public, le maire de la commune détient un pouvoir de réglementation concernant les conditions d'utilisation de ces itinéraires.

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Concernant les forêts dites « domaniales et donc gérées par l’ONF », tout comme pour les forêts dites « communales » et donc gérées par la seule commune ou encore gérées par l’ONF en accord avec un contrat accord - tacite entre la commune et l’O.N.F.

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II Les voies de communication du réseau privé

Cette catégorie se trouve composée, pour l'essentiel, des chemins et sentiers d'exploitation, voies rurales privées servant exclusivement à la communication entre divers fonds, ou à leur exploitation, et dont l'usage peut être interdit au public.

1 Statut des chemins et sentiers d'exploitation

Les chemins et sentiers d'exploitation sont ceux qui servent exclusivement à la communication entre divers fonds (parcelles et autres..), ou à leur exploitation. Ils sont, en l'absence de titre, présumés appartenir aux propriétaires riverains, chacun en droit soi, mais l'usage en est commun à tous les intéressés. L'usage de ces chemins peut être interdit au public15.

15. 15 Code rural et de la pèche maritime, article L. 162-1.

Le maire peut réglementer la circulation sur le chemin en vertu de ses pouvoirs de police administrative .

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Selon..La secrétaire d'Etat chargée de l'Ecologie, Bérangère Couillard

Chasse: pas d'interdiction le dimanche, application pour les promeneurs, taux d'alcoolémie...Ce que contient le plan du gouvernement.

La secrétaire d'Etat chargée de l'Ecologie, Bérangère Couillard, a annoncé quatorze mesures visant à rendre la pratique de la chasse plus sûre.

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La Secrétaire d’État en charge de l’écologie assure que des consultations doivent encore avoir lieu vendredi 6 janvier et ce week-end au sujet d’une interdiction de chasse un jour par semaine, avant des annonces prévues le 9 janvier 2023. © Crédit photo : LUDOVIC MARIN/AFP

Il avait déjà vendu la mèche sur franceinfo"On ne peut pas faire comme si, en sanctuarisant une demi-journée, on réglait le problème de manière totale", avait affirmé Christophe Béchu, le ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, vendredi 6 janvier. Trois jours plus tard, la secrétaire d'Etat chargée de l'Ecologie, Bérangère Couillard, a confirmé que le gouvernement écartait la piste d'une demi-journée sans chasseun temps envisagée par les pouvoirs publics. La ministre était, lundi 9 janvier, à Dry (Loiret), pour annoncer quatorze mesures sur la sécurité à la chasse. Contrôle du taux d'alcoolémie, meilleure formation des chasseurs, application pour voir les chasses en temps réel près de chez soi... Franceinfo vous dévoile ce qu'il faut en retenir.

Pas d'interdiction le dimanche

France nature environnement n'aura donc pas eu gain de cause. L'association, comme d'autres, réclamait l'instauration d'une journée sans chasse, le samedi ou le dimanche. Cette dernière invoquait notamment des motifs sécuritaires. Pour la saison 2021-2022, l'Office français de la biodiversité a recensé 90 accidents de chasse (blessures corporelles liées à l'utilisation d'une arme de chasse), contre 80 la saison précédente. Parmi eux, huit ont été mortels, dont deux qui ont concerné des victimes non-chasseurs. Mais, le gouvernement a tranché : il n'y aura pas de journée sans chasse dans la semaine

Voilà qui devrait satisfaire les chasseurs. Si on interdit la chasse le dimanche ou pendant les vacances scolaires, "je ne vous donne pas cinq ans et vous avez la ruralité à feu et à sang", s'était insurgé Willy Schraen, président de la Fédération nationale des chasseurs, sur franceinfo. Le sujet pourrait néanmoins revenir dans le débat parlementaire puisque le député écologiste Charles Fournier a déposé une proposition de loi reprenant une mesure du programme de Yannick Jadot, ex-candidat à la présidentielle d'Europe Ecologie-Les Verts, pour interdire la chasse les week-ends, jours fériés et pendant les vacances scolaires.

Une application pour localiser les chasses

S'il n'y a donc pas d'interdiction de la chasse une journée par semaine, le gouvernement prépare une application pour smartphones dans le but de renforcer la sécurité des promeneurs. L'idée ? "Favoriser l'information des lieux et temps de chasse, le centraliser et la mettre à disposition sur une plateforme numérique en open data, grâce à l'obligation de déclaration par les organisateurs de chasse collective", explique le ministère de la Transition écologique. Cette application devrait être disponible à l'automne et permettra à chaque Français "d'identifier les zones et horaires non chassés à proximité de chez lui".

Une application qui ne s'annonce pas très populaire, du côté des chasseurs. "Il faut plutôt faire une application où sont cartographiés les territoires sans chasse, avait réagi Willy Schraen sur franceinfoUne cartographie, c'est différent d'une application, surtout quand la moitié du territoire rural n'est même pas couverte par internet."

Les promeneurs seront aussi informés des chasses en cours via la standardisation des panneaux de signalisation des chasses"En septembre 2025 au plus tard, les nouveaux panneaux harmonisés seront déployés partout sur le territoire", promet le ministère. "Dans chaque mairie, ajoute-t-il, seront affichés les jours chassés ou non chassés sur les territoires par l'Association communale de chasse agréée dès septembre 2023."*

Un renforcement de la formation des chasseurs

Première mesure du gouvernement dans ce domaine : renforcer les formations décennales des chasseurs en instaurant "un temps de manipulation pratique" alors qu'auparavant seul un rappel théorique était prévu. Les pouvoirs publics veulent aussi instaurer une formation obligatoire de tous les organisateurs de battue.

"D'ici fin 2025, tous les organisateurs de battues (environ 200 000 personnes) auront bénéficié d'une formation par les fédérations, élaborée avec l'Office français de la biodiversité rappelant, notamment, les règles de sécurité et les enjeux de communication avec les riverains."

Le ministère de la transition écologique

dans un communiqué

L'obtention d'un certificat d'aptitude auprès d'un médecin pour pouvoir passer le permis de chasse, un temps envisagé, n'a finalement pas été retenu. Selon les informations de franceinfo, le ministère de la Santé s'y est opposé, afin de ne pas surcharger les professionnels de santé.

Des règles de sécurité plus contraignantes

Le gouvernement promet la création début 2023 d'une contravention pour sanctionner le fait de chasser sous l'emprise excessive de l'alcool, avant la mise en place d'un délit par voie législative. Selon une source gouvernementale à franceinfo, au-delà de 0,5 gramme par litre de sang (soit deux verres de vin), il sera interdit de chasser, sous peine de sanctions. "J'en suis ravi, avait commenté Willy SchraenOn va enfin sortir du sketch des Inconnus, où les gens pensent qu'on est tous des alcooliques et des barbares. Il n'y a aucun problème." 

Dès la saison 2023-2024, les pouvoirs publics veulent aussi harmoniser les règles de sécurité sur tout le territoire, que ce soit le respect de l'angle de tir de 30 degrés, la généralisation des gilets fluo, le rappel avant la battue des règles de sécurité... Pour Willy Schraen"si l'Etat veut absolument enfoncer une porte ouverte, comme pour l'alcool, en disant qu'il faut tirer sur les animaux avec un angle de 30 degrés quand on est en battue, écoutez, pourquoi pas". Il explique ne pas être "contre" à partir du moment "où c'est accidentogène en interne des chasseurs".

Un durcissement des sanctions en cas d'accident

Ce plan prévoit aussi un durcissement des sanctions pour les chasseurs à l'origine d'un accident. "En fonction de la gravité de l'infraction, le gouvernement souhaite renforcer les peines complémentaires de type : retrait du permis et fixation d'une durée d'interdiction de le repasser", développe le ministère de la Transition écologique. Le gouvernement veut aussi "améliorer le suivi de détention des armes et le contrôle de l'inscription au fichier national des personnes interdites d'acquisition et de détention des armes".

*  Un tel dispositif d'affichage existe déjà pourtant bel et bien pour les communes concernées par la pratique de la chasse sur le territoire communal comme ban communal et concerné par la chasse dans le cadre des "A.C.C.A." ou Association de Chasse Comunale Agréée !

Sauf que..personne n'en tiens compte, et de plus, personne ne va consulter le ou les panneaux d'affichage(qui existent bel et bien !..), la veille ou le matin même pour une sortie "souhaitée" que ce soit à pied ou encore en V.T.T.

Là réside le seul et "vrai" problème pour moi, et vu par moi seul, par non foutisme, désinvolture et surtout pour "détourner" ou "contourner" La Loi, les lois comme règles, car le Français, à la base n'aime pas "obéir" ni se conformer à cela ou à des règles, pensant juste qu'il est dans son droit, comme bon droit, et simple droit de pouvoir disposer de tout simplement, comme bon lui semble, et sans rien demander, sans se soucier de quoi que ce soit ou plus exactement sans prendre la peine de"vérifier" avant..

 

L'Anarchie réside dans le non foutisme et le non respect des règles comme vis à vis des autres !

En laissant faire, et si on laissait faire, ce serait vite le chaos, que cela plaise ou non !!!

 

À la chasse, le maître-mot est et reste..avant tout..LA SÉCURITÉ !

 

Chasse: si on l'interdit le dimanche ou pendant les vacances, "dans cinq ans, la ruralité est à feu et à sang", s'insurge Willy Schrean.

Le président de la Fédération nationale des Chasseurs veut relativiser le nombre des accidents de chasse, alors que selon les informations de franceinfo, le gouvernement n'envisage plus l'interdiction le dimanche. "Il y a 67 millions de Français qui se promènent dans la nature et là, on parle de huit accidents, donc on ne peut pas parler d'une catastrophe nationale."

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Willy Schraen lors d'une assemblée générale de la Fédération nationale des Chasseurs, le 22 mars 2022. (STEPHANE DE SAKUTIN / POOL / AFP)

Si on interdit la chasse le dimanche ou pendant les vacances scolaires, ainsi que le demandent par certains parlementaires écologistes comme le député d'Indre-et-Loire Charles Fournier, "je ne vous donne pas cinq ans et vous avez la ruralité à feu et à sang", s'insurge vendredi 6 janvier sur franceinfo Willy Schraen, président de la Fédération nationale des Chasseurs.

>> Entre chasseurs et usagers de la forêt, un impossible dialogue autour du partage de l'accès à la nature

Lundi 9 janvier, le gouvernement doit dévoiler ses annonces pour la chasse, mais selon les informations de franceinfo l'interdiction de la chasse le dimanche ne figure plus dans les mesures envisagées par l'exécutif. Le gouvernement prépare une application pour smartphones pour aider les promeneurs à suivre en temps réel les chasses en cours et ainsi renforcer leur sécurité. Une mesure loin d'être saluée par Willy Schraen. Le président de la Fédération nationale des chasseurs juge"ridicule" de créer une application alors que "les promeneurs et vététistes (...) ont déjà des applications". Il se dit plutôt favorable à une "cartographie des territoires sans chasse", ce qui réglerait le problème des zones blanches.

franceinfo : Avez-vous confirmation que l’interdiction de la chasse le dimanche n’est plus dans le projet gouvernemental en cours d’élaboration ?

Willy Schraen : Pour l'instant, je suis comme vous, on ne sait pas exactement ce que va annoncer la ministre lundi [Bérengère Couillard, secrétaire d'Etat auprès du ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires chargée de l'Ecologie]. Évidemment, nous sommes totalement contre un dimanche sans chasse ou une demi-journée sans chasse qui n'aurait aucune cohérence sur notre territoire où les propriétés privées représentent plus de 85% du territoire chassable. Ce qui pose problème, dans le fond, c’est les accidents avec les non-chasseurs.

Projet de loi chasse : "l'année dernière il n'y a eu que 8 accidents impliquant des non chasseurs dont 2 mortels", affirme le président de la fédération des chasseurs, "on ne peut quand même pas parler de catastrophe nationale", estime Willy Schraen.

L’année dernière, il y a eu huit accidents avec des non-chasseurs, dont malheureusement deux mortels. Ce sont huit de trop, j'en suis tout à fait conscient, mais il faut remettre les chiffres dans le contexte. Il y a 30 millions d’occurrences de chasse tous les ans, il y a 67 millions de Français qui se promènent dans la nature et là, on parle de huit accidents, donc on ne peut pas parler d'une catastrophe nationale.

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"Maintenant, rassurez-vous, on a divisé par cinq les accidents et par quatre les accidents mortels, et ce, sans aucune aide de personne. Ce sont les chasseurs eux-mêmes qui se prennent en main depuis 20 ans et qui diminuent de façon drastique les accidents."

Willy Schraen, président de la Fédération Nationale des Chasseurs

à franceinfo

Qu'on laisse les chasseurs continuer à travailler et en plus, il y a des tas de mesures [gouvernementales] que nous allons soutenir. Je suis tout à fait pour améliorer les choses, on ne fait que ça. Mais rappelons que 85 % de la forêt est privée en France. Ça veut dire que dans ce pays des droits de l'Homme qui a inventé le principe de la liberté individuelle, on va expliquer aux gens qu'ils ne peuvent pas chasser chez eux. Si on met des lois comme ça en place, je ne vous donne pas cinq ans et vous avez la ruralité à feu et à sang.

>> Comment ont évolué les accidents de chasse depuis vingt ans ?

Selon un rapport du Sénat, si le nombre d’accidents baisse, c’est aussi grâce à la loi, comme celle qui impose depuis 2019 un gilet fluorescent*, celle qui édicte que toute faute à un examen de permis de chasse est éliminatoire depuis 2014...

* Le gilet "fluo" orange comme rouge ou encore la veste orange "fluo" ou rouge exitait déjà bien avant, comme en vigueur, sauf que cela n'étais pas respecté partout en France et à travers la France, voilà tout !

Mais qui a demandé à mettre le gilet orange dans la loi ? Il était déjà dans tous les schémas départementaux des fédérations de chasseurs. C'est nous qui l'avons demandé, comme la formation décennale qui porte déjà ses fruits. C'est moi qui l'ai demandée, je n'ai pas attendu une loi ou un rapport du Sénat pour le demander.

Le gouvernement, dans son futur projet, envisage une application pour signaler les zones de chasse aux promeneurs. Qu’en pensez-vous ?

Il y a deux types de promeneurs. En France, on a des gens qui sont un peu des professionnels de la promenade comme les vététistes, les randonneurs, des gens qui se déplacent sur plusieurs kilomètres. Eux ont tous des applications pour ça. Créer quelque chose en parallèle serait ridicule, il suffit simplement de rajouter la chasse dans leur application. Par contre, on a beaucoup de gens qui, le dimanche, après avoir mangé, ont envie de faire un tour dans la nature pour digérer. Ces gens, qui à force d’écouter les médias ont peur, ils s'en foutent de savoir où ça chasse, ce qu'ils veulent, c'est savoir où ils peuvent se promener et où il n'y a pas de chasseur. Il faut plutôt faire une application où sont cartographiés les territoires sans chasse. Une cartographie, c’est différent d’une application, surtout quand la moitié du territoire rural n'est même pas couverte par internet.

Délit d'alcoolémie pour les chasseurs : "On n'est pas contre ça du tout, au contraire, ça nous va très bien", assure Willy Schraen, le président de la fédération nationale des chasseurs qui demande à "retrouver un pouvoir de police de la chasse"

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Autre mesure envisagée par le gouvernement, le contrôle de l’alcoolémie des chasseurs. C’est une mesure que vous jugez acceptable ?

J’en suis ravi. D'abord, il y a très peu d'accidents qui sont liés à l'alcool, moins de 10%. C'est quatre fois moins que ce qui se passe au volant d'une voiture. Mais ça me va très bien. On va enfin sortir du sketch des Inconnus, où les gens pensent qu'on est tous des alcooliques et des barbares. Il n'y a aucun problème. Après, il faut mettre en phase avec des moyens. Je veux bien d'ailleurs qu'on laisse la possibilité aux fédérations de retrouver leur pouvoir de police de la chasse, y compris le contrôle [de l’alcoolémie], ce qui permettra à mon avis de faire un bon travail de fond.

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L’Alcoolémie est un problème et reste un problème partout en France, et pas seulement à la chasse et dans le "seul"  monde des chasseurs

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Cependant, la base de tout et avant tout réside tant dans les formations dont « pratiques » que sur le plan de la sécurité surtout, et, en action de chasse, permettant ainsi d’éviter tout accident, et à plus forte raison un risque de mort d’homme, à éviter dans tous les cas !

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Le gouvernement va annoncer s'il interdit ou non la chasse le dimanche..

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Chasse en cours dans les Hautes-Pyrénées, le 7 janvier 2023.

AFP - CHARLY TRIBALLEAU

Après plusieurs mois de débats, le gouvernement doit annoncer lundi 9 janvier 2023 ses décisions pour mieux sécuriser la pratique de la chasse et réduire le nombre d'accidents. Chasseurs et militants anti-chasse semblent croire qu'une interdiction dominicale était exclue.

Délit d'alcoolémie, formation, information du public sur une application mobile : la secrétaire d'Etat à l'Ecologie Bérangère Couillard présentera les arbitrages du gouvernement à 11h00, dans le Loiret, à l'issue d'une rencontre avec les agents de l'Office français de la biodiversité (OFB), qui délivre les permis en France et participe à la police de la chasse.

L'interdiction du dimanche n'est pas "tabou"selon le gouvernement.

Selon ses chiffres, le nombre d'accidents de chasse est tendanciellement à la baisse depuis 20 ans. Néanmoins, pour la saison 2021/22, l'OFB a recensé 90 accidents (blessures corporelles liées à l'utilisation d'une arme de chasse), contre 80 la saison précédente. Parmi eux, huit accidents mortels, dont deux avec des victimes non-chasseurs. Ce week-end encore, un chasseur de 84 ans qui rangeait son arme dans sa voiture s'est tué accidentellement en Haute-Corse.

L'idée la plus radicale à émaner de la concertation menée ces derniers mois était la création d'une journée - ou a minima d'une demi-journée - sans chasse au niveau national. Selon un sondage Ifop mené à la mi-décembre auprès de 1.000 personnes pour diverses associations de protection de l'environnement, 78% d'entre elles étaient favorables à un "dimanche non chassé" (2,5 point de marge d'erreur).

Mais cette interdiction, qui n'était pas "tabou" selon Bérangère Couillard, ne semblait plus à l'ordre du jour selon plusieurs sources ayant participé aux dernières discussions. Préparant le terrain, une source gouvernementale confiait la semaine dernière que "rien au niveau statistique n'indique que le dimanche soit un jour plus accidentogène que les autres".

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Des chasseurs se préparent à dépecer un chevreuil, le 5 novembre 2022 à Jurvielle, dans les Pyrénées (AFP - Lionel BONAVENTURE)

[En fait de "chevreuil" ici, il s'agit d'un cerf !..]

Un argumentaire déjà évoqué par les chasseurs et par certains députés comme le sénateur de l'Ain Patrick Chaize"Empêcher la chasse un jour se traduirait par un report sur les autres jours et ne limiterait donc pas l'activité de chasse et le risque", avait-il déclaré en septembre, au moment de la remise d'un rapport sénatorial. Ce rapport montrait que sur la période 2003-2022, 71% des accidents avaient eu lieu le week-end, le dimanche pour 46% et le samedi pour 25%.

Willy Schraen, le patron des chasseurs, a dit jeudi à l'AFP ne pas imaginer "une seule seconde" un dimanche sans chasse, estimant que cela mettrait la ruralité "à feu et à sang". "On doit partager l'accès à la nature et ça ne se discute pas juste entre Emmanuel Macron et Willy Schraen, qui se targue d'avoir table ouverte à l'Elysée", a fustigé dimanche la nouvelle patronne des Verts Marine Tondelier, sur France Inter.

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Parmi les pistes retenues, et qui recueillent l'assentiment des chasseurs, le gouvernement devrait instaurer un délit d'alcoolémie, à l'image de ce qui se fait pour les automobilistes - "dérisoire", se désespèrent les leaders de la Ligue de Protection des Oiseaux (LPO).

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Un chasseur et ses chiens à La Bastide de Sérou, en Ariège, le 16 octobre 2022 (AFP/Archives - Valentine CHAPUIS)

Autre décisions possibles : une meilleure formation pratique, via notamment la "remise à niveau décennale"des chasseurs, qui leur rappelle les principes de sécurité et portait jusqu'ici essentiellement sur éléments théoriques; et un durcissement des sanctions après un accident.

Pour mieux informer riverains et promeneurs, une application mobile dont les contours sont encore flous devrait être créée pour répertorier les zones de chasse... ou de non-chasse. Mais rien qui réponde à l'espoir du camp anti-chasse. Brigitte Bardot, fervente défenseure des animaux, a écrit à Emmanuel Macron pour l'accuser d'être "un pantin" des chasseurs.

"Si le plan sécurité chasse se limitait finalement à quelques mesurettes comme l'interdiction de chasser en état d'ébriété (c'est quand même la moindre des choses!) ou l'idée d'une application mobile pour que les chasseurs volontaires se signalent, le gouvernement va grandement décevoir les 4 Français sur 5 qui souhaiteraient le dimanche sans chasse", lâche Matthieu Orphelin, directeur général de la LPO. La confirmation, ou une surprise, est prévue lundi matin.

18 octobre 2022

Les écolos du Sénat demandent à Christophe Béchu une interdiction temporaire de la chasse, 3 après-midi par semaine..

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Alertant le ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires sur les derniers accidents de chasse, les sénateurs écologistes lui demandent dans un courrier de suspendre la pratique sur le territoire trois après-midi par semaine.

Ils réclament des mesures d’urgence. Les sénateurs du groupe écologie, solidarité et territoire ont adressé un courrier à Christophe Béchu, le Ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires pour tirer la sonnette d’alarme sur les derniers accidents de chasse qui ont défrayé la chronique. Ils réclament une interdiction « temporaire » de la chasse trois après-midi par semaine, le temps que le gouvernement prenne des dispositions ou légifère pour garantir une meilleure sécurité des promeneurs.

Dimanche dernier, une Britannique de 67 ans a été tuée par un tir de son compagnon lors d’une battue aux sangliers à Goudelin, dans les Côtes-d’Armor. Selon des précisions du procureur de la République de Saint-Brieuc, l’homme tenait son arme sur l’épaule, canon à l’arrière, lorsque le coup de feu est parti. Une semaine plus tôt, la journée 9 octobre avait été marquée par deux accidents de chasse, survenus à quelques heures d’intervalle, dans le Rhône et dans la Drôme.

Sur la commune de Pommiers, au nord de Lyon, une randonneuse et ses deux enfants, âgés de 10 et 7 ans, ont été légèrement blessés aux jambes par des plombs. « J’ai tiré et ça a fait ricochet », a expliqué à France 3 le chasseur de 81 ans qui visait un lièvre. À Vinsobres, à une trentaine de kilomètres d’Orange, c’est un cueilleur de champignons qui a été grièvement blessé à l’abdomen le même jour, par une balle de calibre 270 Winchester. « Il ressort des premiers actes d’enquête que le tireur aurait cherché à pister un sanglier en utilisant le collier GPS d’un chien. Une fois sur place, il affirme avoir confondu la victime avec un sanglier dissimulé par les fourrés. C’est dans ces conditions qu’il dit avoir tiré sur cette personne qui ramassait des champignons », a indiqué le parquet de Valence.

Suspendre la chasse les mercredis après-midi, samedis après-midi et dimanches après-midi

« La répétition de ces drames nourrit un sentiment d’insécurité croissant chez les promeneurs. Nos compatriotes demandent à pouvoir se promener dans les espaces naturels de nos régions sans devoir craindre pour leur vie », écrivent les écologistes du Sénat dans cette lettre datée du 14 octobre. « Nous vous demandons d’enjoindre aux préfets d’adopter une mesure temporaire portant interdiction de la pratique de la chasse les mercredis après-midi, samedis après-midi et dimanches après-midi. Cette mesure conservatoire, justifiée par l’urgence de la situation, permettra au Gouvernement d’évaluer l’opportunité d’adopter des mesures pérennes de partage des milieux naturels », arguent les élus.

« Nous avons choisi les jours où il y a le plus de promeneurs », précise auprès de Public Sénat le sénateur EELV Daniel Salmon, membre du groupe d’étude Chasse et pêche au sein de la Chambre haute, et l’un des signataires de ce courrier. Outre les questions de sûreté, il faut valoir le droit des usagers à profiter des espaces naturels en toute sérénité : « On sous-estime la question de la sécurité ressentie. Chaque promeneur à le droit d’arpenter des chemins sans tressaillir à chaque coup de feu, même tirés à plusieurs kilomètres de distance ».

En ligne de mire de cette initiative, certaines des recommandations formulées par la mission sénatoriale de contrôle sur la sécurisation de la chasse, dans un rapport publié le 13 septembre dernier. Les élus se prononçaient en faveur d’une interdiction de l’alcool et des stupéfiants* à la chasse, avec des règles en la matière alignées sur celles du Code de la route ; pour un durcissement de l’obtention du permis de chasse, notamment avec « une épreuve vérifiant l’habileté au tir » ; ou encore sur la nécessité de publier sur Internet, en open data, les périmètres de chasse.

* Qu'en est-il justement au sujet des nombreuses infractions comme accidents de la route liés à cela ??..On en parle ?..

» Retrouvez dans cet article le détail des préconisations de la mission sénatoriale de contrôle sur la sécurisation de la chasse

 " Le moment est mûr"

Ce travail parlementaire a eu pour origine une pétition déposée auprès du Sénat par le collectif « Un jour un chasseur », ayant récolté plus de 100 000 signatures en moins de deux mois. Ce texte, motivé par la mort de Morgan Kean, un jeune homme de 25 ans abattu par un tir de chasseur en décembre 2020 alors qu’il coupait du bois dans son jardin, réclamait initialement une interdiction de la chasse le mercredi et le dimanche, sur l’ensemble du territoire. Mais cette option a été rapidement balayée par le rapporteur qui n’a pas voulu créer un précédent pouvant ouvrir la voie à l’interdiction d’autres pratiques de plein air. Par ailleurs, la mission a estimé qu’il n’y avait pas de surreprésentation des accidents de chasse les week-ends et les mercredis.

Des conclusions qui n’ont pas reçu l’approbation des élus écologistes, favorables quant à eux à une interdiction. Ils espèrent désormais que l’actualité des dernières semaines poussera le gouvernement à franchir le guet, via des arrêtés préfectoraux. « Notre lettre est un appel à la réaction dans le court terme. Je ne me positionne pas comme un anti-chasse, mais il faut aller de l’avant et trouver de vrais compromis. On ne peut pas attendre la fin de la saison et compter le nombre de morts. Le moment est mûr pour aller plus loin », martèle le sénateur Daniel Salmon.

Un rapport critiqué par les associations et les chasseurs

Le rapport de la mission sénatoriale avait soulevé la colère des associations, moins parce qu’il délaissait la possibilité d’une interdiction hebdomadaire que pour avoir proposé un délit d’entrave à la chasse, avec à la clef un an d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende. De son côté, la Fédération nationale des chasseurs n’avait pas non plus caché son mécontentement face à ce document, dénonçant un « mille-feuille de contraintes inadaptées et irréalistes ».

 

Les accidents de chasse, c’est..tout d’abord..affaire de sécurité à la chasse et en action de chasse !

 

Le plus important:

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Avant la chasse, comme surtout avant les battues, pour la saison des battues et période de chasse à la battue l'hiver..

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Il faut s'entraîner au tir, en stand de tir "adapté" pour cela, et sur sanglier au courant, avec une cible spécifique.

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Photo ci-dessus silhouette de sanglier avec les organes internes dont vitaux.

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Photo ci-dessus cible de sanglier au courant, silhouette tournée vers la droite.

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Photo ci-dessus cible de sanglier au courant, silhouette tournée vers la droite.

(On remarquera les zones avec les points d'atteintes en points "positifs" comme "négatifs"..)

 

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Il n'y a qu'en s'entraînant au tir, tant pour se "familiariser" avec son arme, comme pour son maniement et avec le tir proprement dit qu'on s'améliore et pourra s'améliorer en vue de la chasse et de la pratique pour le tir lors de battues..Rien de neuf  !

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C'est d'ailleurs pareil pour la chasse du chevreuil et tir du "brocard" ou chevreuil mâle portant des bois.

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Il existe l'épreuve du "Brevet Grand Gibier"..

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[J'ai, non seulement, passé mon examen de "Permis de chasser", avec épreuve théorique et épreuve pratique de tir, mais également effectué et passé l'épreuve du "Brevet Grand Gibier" après, pour approfondir tant mes connaissances comme pratique de la chasse et toujours "chercher" tant à m'améliorer que rester dans la course et au top ! ]

J'ai "obtenu" le Brevet Grand Gibier 2e degré "or"..Gestionnaire.

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Photo ci-dessus de ce brevet pour la pratique du tir à la chasse avec une carabine.

Il existe depuis d'autres brevets, trois au total, comme pour le tir à l'arc.

 

Ce qu'il ne faut surtout pas oublier pendant la chasse.

Ensuite, à la chasse, et aussitôt après le tir, je veux dire en fin de"traque" annoncée (coups de trompe de chasse), on prendra soin d'éviscérer et de vider le gibier tiré, proprement et dans les règles de l'art..

Pourquoi je dis cela..

Souvent, dans la précipitation, beaucoup oublient les règles les plus élémentaires dans ce sens, et par respect envers le gibier..

A titre d'exemple et de pécision:

POURQUOI UNE ÉVISCÉRATION RAPIDE

Le gonflement de l’animal est très rapide surtout quand la température est relativement douce ou chaude. La fermentation et le développement des bactéries sont immédiats. On compte un million de bactéries par gramme de viande souillée dans l’heure qui suit la mort. Après la mort, l’intestin devient perméable aux bactéries et celles-ci vont traverser ses parois pour coloniser et envahir le reste de la carcasse. La température est un facteur aggravant d’extrême importance. Un chevreuil non vidé peut être inconsommable après une exposition au soleil d’une durée de 2 heures. L’éviscération précoce permet un refroidissement plus rapide à l’intérieur de l’animal et facilite l’assèchement de la carcasse.

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Photo ci-dessus du corps de l'animal  tiré, à terre, au départ.

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Photo ci-dessus du corps de l'animal  tiré, à terre, après.

Gonflement d’un animal non éviscéré : biche atteinte d’une balle d’abdomen

(3 heures exactement séparent ces deux photos prises par une température extérieure de 1°C).

 

Tout petit aparté..

 

Monsieur Pierre Daillant.

Je voudrais rendre ici un hommage "appuyé" pour et envers Mr. Pierre Daillant, ancien Président de la Fédération Nationale de Chasse, et qui avait beaucoup, et sinon "énormément" oeuvré pour la chasse en France durant toute sa vie.

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Sur cette photo ci-dessus, c'est le monsieur qui est debout à l'étrême droite.

Pour toutes les personnes reconnaissantes, on ne l'oubliera pas, par respect !

 

Une autre grande personne et grand personnage..

Monsieur Wilhelm Brenneke.

Celui qui avait "oeuvré" durant toute sa vie pour concevoir tant des armes (carabines) comme cartouches (calibres) et surtout projectiles (balles) surtout pour pouvoir tuer un animal proprement et que celui si soit tué net sur place..

Je veux parler ici de Mr. Wilhelm Brenneke.

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Il est l'auteur et l'inventeur des calibres 7x64, 7x65 R, 8x64 S, 9, 3x64, tout comme des projectiles "Brenneke" pour fusils à canons lisses, et balles réputées et reconnues "T.IG." ou Torpédo Ideal Geschoss, et "T.U.G." ou Torpédo Universal Geschoss et avec une structure permettant de pénétrer et traverser un animal, en occasionnant une sortie après la traversée du corps, et avec un écoulement de sang permettant par ce biais, dans le pire des cas, d'effectuer une recherche, pour tout animal blessé.

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Avec ces deux projectiles comme balles à structures particulières, tant "T.I.G." que "T.U.G." il voulait et souhaitait, par ce biais tuer net tout gibier tiré correctement !

Il "préconisait" d'utiliser et de "favoriser" toujours la balle la plus lourde pour tirer du gibier lourd, c'est-à-dire ne pas descendre en-dessous d'un poids de balle de 10,5 g. et de préférence prendre au moins 11,5 g. pour se donner toutes les chances de son côté !

 

Si le gibier n'est pas tué net sur place et que celui-ci est blessé et s'enfuit cependant..

En cas de tir infructueux, il ne faudra surtout pas hésiter un seul instant pour ça d'avoir recours et de recourir comme faire appel à un conducteur de chien de sang agréé et reconnu pour pouvoir retrouver le gibier blessé et qui a fui..

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Cette action de recherche fait partie de l'éthique de chasse et par respect du envers le gibier tiré comme convoité !

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En fait, cette recherche effectuée le lendemain même des battues s'était avérée "inutile", du fait d'une méprise dans un compte rendu verbal à l'issue de la traque concernée, laissant penser et supposer que l'animal blessé s'était enfui et occasiopnnant donc, de ce fait, une recherche comme il se doit, alors que l'animal avait été retrouvé peu après la fin de traque..ce ci expliquant cela...

Voilà pourquoi, en fin de parcours, avec le chien créancé, on a retrouvé ces éléments du contenu de l'animal retrouvé et qui avait été vidé là sur place...

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Cependant, comme en général, il faut retenir que pour tout gibier "blessé" et reconnu comme tel, et avec des indices "favorables" à l'emplacement du gibier tiré, et dans sa direction de fuite, traces de sang importantes, ou esquilles d'os, etc.. obligent d'engager une recherche avec un conducteur de chien de sang !

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Les "enceintes" traquées, à titre d'exemple..

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Il s'agit d'un territoire de chasse et d'un ensemble boisé et varié de 3850 hectares.

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Le territoire est vaste et varié tant en "biotope" qu'en paysages et vues changeantes..

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En fin de battue..

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Photo ci-dessus d'un sanglier posé sur un lit de branches de sapin à même le sol.

(Cette "méthode" est à présent "interdite", pour des raisons d'hygiène que l'on comprendra aisément !..)

Le gibier tiré doit être posé en hauteur sur un caillebotis en plastique, légèrement surélevé en hauteur, et tourné sur le côté.

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Le gibier disposé pour le tableau et les honneurs rendus.

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Les animaux tirés et proprement vidés au préalable, seront présentés sur des caillebotis en plastique en hauteur, pour des questions d'hygiène, et avec un léger tapis de branches de sapin mis dessous, pour ensuite rendre les honneurs au gibier tiré, par espèce et avec une "brisée" (petit rameau de sapin ou d'épicéa) remise à chacun des tireurs chanceux, et pour chacune des espèces gibier présente au tableau !

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Et tant pis pour les "jaloux" !..

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Je figurais à l'honneur pour avoir pu tirer un sanglier..

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Lorsque des "copains" de chasse s'amusent à me charier..

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J'avais eu l'occasion de tirer "proprement" un jeune "keiler" (sanglier mâle) de 56 kilos vidé..

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Qui était, cependant, bien armé !

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Et de plus, en bonne santé sur le plan "sanitaire" !..

(L'animal n'était pas "erratique", dans le sens de ne pas bouger ou peu bouger comme pour se déplacer, bien au contraire !..)

L'examen des pieds comme soles et os ou garde le prouve !..

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Une balle de coeur, bien placée et sans appel !

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Balle de coeur, légèrement inférieure, mais qui cependant a arrêté la pompe, en parlant du coeur, comme circulation du sang et irrigation du cerveau..

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Des "tableaux" bien présentés et toujours "corrects" !

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C'est ça aussi la "vraie" chasse, en "battue", comme après et pour le tableau comme concernant les honneurs dus et rendus au gibier tiré, dans le respect !

(A ce sujet, on enjambe "jamais" un gibier mort et tiré, ni en action de chasse, ni pour le tableau !..)

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Sur mon lot de chasse..

L'un de mes "mirador" (affût de chasse haut et fermé) pour la pratique de la chasse à l'affût et du tir à l'affût..

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A cet emplacement comme endroit, j'ai plus sopuvent eu l'occasion de voir 15-20 sangliers plutôt qu'un seul ou pas du tout, pareil pour les chevreuils ou encore cerfs...

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Photo ci-dessus, emplacement d'une pierre à sel pour chevreuils, dans la fourche des deux arbres.

On ne tire "jamais" un chevreuil près d'une pierre à sel, cela est "interdit" et ne correspond pas du tout à l'éthique d'un "vrai" chasseur !

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Le chemin qui monte..

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De petits rochers visibles sur les hauteurs à gauche.

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Les rochers sont des endroits de prédilection comme "reposoirs" pour le gibier..

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Autre emplacement de pierre à sel..

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On redescend..demi-tour..

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J'ai quatres petites vallées ou vallons qui se succèdent, en parallèle, à la suite et un plateau sur les hauteurs, avec tout ce qu'il faut, et de plus un "biotope" adapté pour le gibier..que vouloir de plus ?..

 

Ce qui compte c'est tout ce qui est fait bien avant la chasse et pour la pratique de la chasse, les chemins et allées entretenus, les chemins de ronde et/ou de"pirsch" pour l'approche en toute discrétion, les points d'eau, les pierres à sel, bref tout ce qui incombe à un chasseur digne de ce nom !..

 

Les écolos « politiques », et à plus forte raison écolos..bobos de ville ne savent rien et ne connaissent « rien » de la réalité comme de la « vraie » ruralité et paysannerie d’autrefois comme paysannerie tout court !

 

Les deux seuls plus grands acteurs et contributeurs à la sauvegarde de la nature et de l’environnement comme de la biodiversité étaient et ont toujours été (avant, bien avant déjà !..qu’on le veuille ou non..) les agriculteurs, je veux dire les « vrais » paysans du début comme jusqu’au début des années 80 et encore en 85 surtout et..les « chasseurs », n’en déplaise !

 

C’est le « tourisme » comme tourisme de masse qui a amené, peu à peu, à ses dérives en tentatives d’interdiction, et rien d’autre !

 

Ce ne sont pas les écolos politiques et à plus forte raison bobos de ville  tout comme « boboistes » tout court qui retroussent les manches et participent à la sauvegarde, dans son ensemble, de la nature et de l’environnement, comme de la biodiversité dans son ensemble tout comme sauvegarde des espèces et « régulation » surtout des espèces gibier « chassables », voilà tout.

 

Aussi ne mélangeons pas tout !

 

Que tous ces détracteurs se regardent dans la glace avant de dire n’importe quoi et d’intervenir comme vouloir intervenir sur le sujet..fin de non recevoir !

 

On prend les mêmes et on recommence ?..

 

Sandrine Rousseau et Clémentine Autain vent debout contre le barbecue, symbole du virilisme !

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Samedi dernier, lors des journées d’été des écologistes à Grenoble, l’inénarrable députée EELV Sandrine Rousseau« amie » des chasseurs et pour cela poursuivie par la FNC, a commis une nouvelle sortie, toujours dans son style inimitable« Il faut changer aussi de mentalité pour que manger une entrecôte cuite sur un barbecue ne soit plus un symbole de virilité » a-t-elle déclaré lors d’une table ronde devant des journalistes. Si la stupidité d’une telle remarque peut faire sourire, elle tout de suite trouver du soutien dans son camp.

En effet, lundi dernier, la député de LFI, Clémentine Autain, a volé au secours de sa collègue de la NUPES qui se faisait étriller pour cette déclaration lunaire par nombre de commentateurs : »La sociologie nous explique qu’il y a une différence entre les sexes très forts dans le rapport à la viande(…)Les femmes mangent deux fois moins de viande rouge que les hommes, (…) donc il y a une différence des sexes dans la façon dont nous consommons de la viande. Et les personnes qui décident de devenir végétariennes sont majoritairement des femmes.(…)Si on veut aller vers l’égalité, il faut en effet s’attaquer au virilisme » Whaou!

Que dire devant un tel déploiement de bêtises produites par des cerveaux infectés par les théories fumeuses d’un « progressisme » tout droit sorti des élucubrations d’universitaires d’outre-Atlantique à l’origine du Wokisme? Tout d’abord, mes chères Dames ( ah oui, excusez le « chères » qui pourrait être pris pour du machisme…), sachez que le quintuple champion de France de barbecue s’appelle Véronique Filippi et que cette femme de 61 ans, originaire des Bouches-du-Rhône ne semble pas soumise au « patriarcat » et affirme bien haut sa féminité malgré son talent dans cet art culinaire.

De plus, dans les temps reculés de la préhistoire tandis que nos ancêtres nemrods partaient à la chasse, c’étaient leurs compagnes qui préparaient et cuisaient la viande au feu dans leurs grottes ou devant leurs huttes pour rassasier le groupe ce qui invalide vos théories fumeuses. Leur seul but est d’opposer artificiellement les deux sexes dont la coexistence a toujours été complémentaire jusqu’à l’arrivée de votre idéologie se proposant d’abattre toutes les traditions et de créer un désordre social propice à l’avènement d’une hypothétique révolution.

Si les hommes ont cet attrait et ce goût pour la viande, c’est en raison de différences physiologiques d’avec leurs consœurs. Une masse musculaire plus importante nécessite un apport de protéines plus conséquent et cela n’a rien à voir avec une volonté de domination ou d’oppression du sexe masculin sur le féminin. En tous cas, arrêtez de nous les gonfler ( propos machistes car seuls nous les hommes en avons!) avec vos délires de nivellement des différences engendrées par la nature et concentrez vous sur la défense de l’environnement ou la lutte contre la pauvreté qui devraient être vos seuls objectifs.

 

Le « barbecue », la « chasse », et après, ce sera quoi ???..

 

Que ce soient les Sandrine Rousseau, Clémentine Autain, les Ségolène Royal, les Nicolas Hulot (aussi et surtout !..), les Delphine Batot, les Voynet bien avant, comme tous les autres, sans avoir besoin de les citer et nommer individuellemnt ici pour bien faire comprendre les choses..

 

Les chasseurs du Bas-Rhin vent debout contre l'idée des écologistes d'interdire la chasse le week-end !

Le candidat écologiste à l'élection présidentielle Yannick Jadot a proposé d'interdire la chasse le week-end et pendant les vacances scolaires. Une proposition qui divise en Alsace, entre chasseurs, randonneurs et promeneurs..

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Devant la fédération de chasse du Bas-Rhin, à Geudertheim © Radio France - Antoine Balandra

C'est une proposition qui a fait beaucoup réagir. Le candidat écologiste à la présidentielle Yannick Jadot a expliqué il y a quelques jours vouloir mieux réglementer la chasse. Et cela dit-il pour que les Françaisprofitent de la nature. Parmi ses propositions, il y a l'interdiction de la chasse le week-end et pendantles vacances scolaires.

Une proposition qui ne fait pas l'unanimité , et d'abord évidemment chez les chasseurs eux mêmes. "Nos chasseurs travaillent toute la semaine. Ils vont donc chasser le samedi et le dimanche. Si vous nous interdisez de chasser le week-end, il faudra engager des professionnels à 35 heures par semaine pour tirer les sangliers" souligne Gérard Lang, le président de la fédération de chasse du Bas-Rhin. 

Il estime d'ailleurs que les chasseurs alsaciens ont été parmi les premiers à tout miser sur la sécurité à la chasse. "Dès 2005 nous avons été les premiers en France à prendre un arrêté préfectoral instituant les gilets orange pour les chasseurs. Il y a aussi les angles à 30 degrés à respecter lors des battues. Nous avons aussi investi 700.000 euros dans un Cyné'Tir unique en France , pour apprendre à tirer au mieux" poursuit le responsable. 

Mais il admet que le risque 0 n'existe pas. Les accidents liés à la chasse ont fait 11 morts en 2019 et 2020 selon l'office français de la biodiversité. Et 136 blessés.

Gérard Lang conseille donc aux promeneurs et aux pratiquants du VTT d'enfiler eux aussi des gilets orange fluo pour être bien vus. Tout en précisant que ces chiffres sont en forte baisse, années après années (-71% en 20 ans pour le nombre de morts).

Du côté des responsables de clubs de randonnée, on ne se plaint pas spécialement des chasseurs, avec qui la cohabitation se fait sans trop de heurts en Alsace.

"Tous les animateurs diplômés sont formés pour aller consulter les lieux de chasse avant d'organiser une randonnée. Donc nous, structurés, cela ne nous gêne pas, car au pire nous modifions notre parcours"explique Jean-Claude Daussy, le président du comité Alsace de la fédération française de randonnée. Ce qui pose plus de problème selon lui, ce sont les "promeneurs du dimanche", ceux qui se promènent hors de tout cadre, et qui ne sont pas forcément spécialistes de la nature. 

"Des détonations dans tous les sens"

"Ce sont des gens qui partent sans carte, sans boussole, on arrive à des problèmes, des accidents, eux veulent que tous les autres usagers disparaissent, dont les chasseurs, pour qu'ils puissent avoir leur petit chemin rien que pour eux" poursuit Jean-Claude Daussy. 

 

Pourtant la chasse peut parfois créer un climat anxiogène à la campagne insiste Loïc Minery, porte-parole d'Europe Ecologie Les Verts en Alsace. "De fait la chasse est dangereuse quand vous avez des pratiques de chasse qui se font, et je l'ai vécu, à 20 mètres des pistes cyclables où vous avez l'impression de détonations dans tous les sens un dimanche. Donc le danger n'est pas nul, la balle perdue hélas existe, il faut être très prudent et donc libérer des moments où les espaces naturels sont libres de chasse, je pense que c'est une bonne chose" explique le responsable. 

Au bord du canal de la Marne au Rhin, les quelques promeneurs croisés n'étaient pourtant pas très alarmés par la présence éventuelle de chasseur ce mardi. "La nature est à tout le monde, il faut partager" expliquait Michel, randonneur régulier, qui parcourt 10 km par jour. "Je suis pour l'interdiction de la chasse le dimanche, mais seulement le dimanche, car il y a beaucoup de monde, c'est plus dangereux, les gens se promènent n'importe comment" détaillait quant à lui Alfred, un autre promeneur.

Alors faut-il instaurer des week-end ou des vacances sans chasse ? En Grande-Bretagne et aux Pays Bas par exemple la chasse est déjà interdite tous les dimanches.

 

La France n’est « ni » la Grande-Bretagne « ni » les Pays-Bas

 

En Belgique comme en Suisse on avait « interdit » la chasse pendant de longues années, et après on a du revenir en arrière et avoir recours à la chasse pour « réguler » le gibier qui avait « explosé » en nombre comme surtout pour tous les dégâts occasionnés..

 

Morale de tout ça et pour ça.. « Interdire la chasse » ou « mieux accepter » surtout et « comprendre » ce qu’est la « régulation » des espèces gibiers chassables ?

 

Interdire partiellement la chasse ? Une "hypocrisie incroyable" pour la Fédération des chasseurs..

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Plus d'un million de chasseurs en France, actuellement vent debout contre la dernière proposition de Yannick Jadot. Le candidat écologiste à la présidentielle 2022 veut interdire la chasse les week-ends et pendant les vacances scolaires, une mesure décriée par les licenciés.

Les chasseurs montent au créneau. Le chiffre avancé par Yannick Jadot, 70% de chasseurs citadins, ne passe pas. "La chasse est d'abord portée par les gens du terroir, elle soude les villages, elle réunit les gens", souligne Dominique Peyroux, habitant de Saint-Rambert d'Albon, une petite ville de 6.000 habitants dans la Drôme. "C'est une passion, c'est une tradition. Mon grand-père et mon père chassaient, mon fils chasse aujourd'hui, comme dans beaucoup de villages !" affirme-t-il. "Les gens de la ville ne connaissent pas la chasse, ils viennent quand ils sont invités, ils sont là ponctuellement."

Les chasseurs ne sont pas non plus seulement des retraités, "ils ne vont pas en forêt la semaine", martèle Willy Schraen, président de la Fédération nationale des chasseurs. "Les chasseurs ne sont pas des sous-hommes, ce ne sont pas des abrutis, ce sont des gens qui travaillent, qui ont une passion effectivement pour le week-end ou les vacances, comme tous les Français." Selon lui, cette nouvelle sortie anti-chasse est d'une "hypocrisie incroyable" : autant dire "on interdit la chasse, parce que l'interdire le week-end et les vacances, c'est pareil".

Des efforts restent "à faire" pour éviter les accidents

Quant au nombre d'accidents, "il a été divisé par quatre en vingt ans", insiste-t-il avant d'admettre que "c'est toujours trop, des efforts sont à faire". Le président explique que "les zones de chasse sont délimitées très clairement, mais le dialogue doit être encore approfondi avec les promeneurs ou les vététistes pour améliorer la cohabitation".

 

Les accidents de chasse, c’est..tout d’abord..affaire de sécurité à la chasse et en action de chasse !

 

Proposition de loi d’un député écolo pour abolir la chasse..

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© Quentin Zinzius / Reporterre - Chasse à courre en forêt de Compiègne, dans l'Oise, octobre 2020.

« Alors que les accidents se multiplient, je propose une régulation de la chasse et de ses pratiques. » Le député écologiste Charles Fournier (Indre-et-Loire) a déposé le 30 novembre une proposition de loi « pour une chasse plus respectueuse de la nature et de ses usages ». Il vise à abolir la chasse à courre, la chasse en enclos, et toutes les chasses dites traditionnelles. Mais également à interdire globalement la chasse pendant les week-ends, jours fériés et vacances scolaires.

L’opposition à la chasse à courre est une opinion partagée par différents députés, à gauche jusqu’à l’extrême droite. Mais la proposition d’interdire la chasse pendant les week-ends et les vacances scolaires est moins populaire. « Interdire la chasse le week-end, les jours fériés et les vacances scolaires, c’est purement et simplement interdire la chasse ! Il faut qu’ils aient l’honnêteté de le dire au lieu de tenter une dissimulation », s’est indignée Aurore Bergé, la patronne du groupe Renaissance, auprès du journal Le Figaro.

 

Le 20/09/2021

Présidentielle 2022 : "La chasse, y en a marre", dénonce Julien Bayou, souhaitant sa "réduction drastique"

Le secrétaire national d'Europe Ecologie-Les Verts (EELV) propose par exemple "de limiter la chasse à un ou deux jours par semaine" et souhaite "contrôler les armes".

"Les chasses sont cruelles, piéger des oiseaux c'est cruel et par ailleurs il s'agit d'espèces en voie de disparition", a déploré le secrétaire national d'Europe Ecologie-Les Verts (EELV), Julien Bayou, lundi 20 septembre sur franceinfo. Il réagissait à la volonté du gouvernement de ré-autoriser certaines chassestraditionnelles d'oiseaux pourtant jugées illégales par le Conseil d'État. "Je ne comprends pas que quelques jours seulement après le sommet mondial de la biodiversité à Marseille, où Emmanuel Macron est encore venu faire des supers-discours sur une menace qui concerne l'humanité, on envisage d'autoriser la mise à mort de 113 000 oiseaux, forcément EELV est vent debout", a-t-il poursuivi.

Le secrétaire national du parti a donc lancé un appel à l'ensemble de ses sympathisants qu'il invite à participer aux consultations publiques et à soutenir la mobilisation de la ligue de protection des oiseaux (LPO). "La chasse, y en a marre", a-t-il dénoncé. "Nous voulons une réduction drastique de la chasse", a-t-il poursuivi, proposant par exemple "de limiter la chasse à un ou deux jours par semaine". C'est selon lui, "une mesure de bon sens pour pouvoir profiter des forêts et des espaces naturels le week-end."

"La ruralité ne se résume pas à la chasse"

 

"C'est ridicule de défendre des traditions au motif que cela a toujours existé", a dénoncé Julien Bayou, en référence aux propos de Xavier Bertrand. Le candidat à la présidentielle de 2022 est allé à la rencontre des chasseurs qui manifestaient samedi à Amiens, dans la Somme, pour selon lui "défendre la ruralité et une certaine idée de la France, de ses traditions et de ses paysages""À l'époque on brûlait des sorcières, c'était la bonne tradition", a réagi Julien Bayou"La ruralité ne se résume pas à la chasse, ce n'est pas vrai, ce qu'on nous présente comme une activité rurale c'est une fake news complète parce que la chasse est aujourd'hui un hobby de citadins, de cadres CSP+ et la majorité des ruraux, les vrais, est opposée à la chasse parce que ce sont des nuisances sans fin", a-t-il poursuivi.

 

Julien Bayou a également indiqué la volonté d'EELV de "contrôler les armes". Il a déploré le fait qu'on "ne connaisse pas le nombre d'armes en circulation dans ce pays en particulier à cause de la chasse""On sait aussi que cela dégénère en féminicide quand une personne qui a une arme la retourne contre sa femme ou son ex", a déploré le secrétaire national d'Europe Ecologie-Les Verts. "Tous les jours vous avez des incidents de chasse, des intimidations, des menaces et des drames, tous les jours et je ne comprends pas qu'on considère que ce soit un hobby, je le dis, il y a une impunité des chasseurs dans ce pays qui se prétendent défenseurs de la ruralité", a-t-il conclu.

 

On sait ce qu’il vaut et ce qu’il en est pour ce triste personnage et faux donneur de leçons..No comment !

 

Quand « écologistes » et « chasseurs » travaillent main dans la main..

Chasseurs et défenseurs de la nature vent debout contre le plan de chasse cerfs de l'ONF en forêt de Mormal !

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150 à 180 cerfs, ce sont les chiffres que l’office national des forêts (ONF) a réclamés pour cette saison au titre du plan de chasse dans la forêt de Mormal, qu’elle gère et qui est le plus grand massif forestier du département du Nord, avec près de 10 000 hectares et surtout le seul accueillant une population de cerfs. L’ONF estime cette population de cervidés entre 300 à 450 animaux qui représenteraient une menace trop importante pour la sylviculture, surtout les jeunes pousses d’arbres dont ces grands animaux sont friands.

Face à ce plan de chasse assez « sévère », la fédération départementale des chasseurs du Nord (FDC 59), qui estime elle la population de cerfs à 300 individu tout au plus, se révolte et a organisé hier un rassemblement auquel 130 personnes ont participé sur la commune de Locquignol pour réclamer une révision à la baisse des chiffres envisagés pour ces prélèvements jugés trop importants et mettant donc en péril la population de cervidés dans ce massif forestier.

Et les chasseurs n’étaient pas seuls. Parmi les manifestants, de nombreux membres d’associations de défense de la nature, dont Nord Nature Environnement, étaient présents, en accord, pour une fois, avec le constat des chasseurs et partageant leurs inquiétudes sur le devenir des cerfs de la forêts de Mormal. Chasseurs et défenseurs de la nature réclamaient donc une révision de ce plan de chasse à la préfecture du Nord qui a, pour l’heure, validé les chiffres de l’ONF.

Comme l’explique Monsieur Joel Deswarte, président de la FDC 59, qui rappelle que les chasseurs ont dénombré environ 300 cervidés dans cette forêt et non 450 comme l’affirme l’ONF: « En tuant 150 cerfs, on réduit la population de cervidés de moitié et non du tiers ».De plus, ce plan de chasse, actuellement signé par le préfet, impose le respect de ce quota de prélèvements par les chasseurs et le patron des nemrods du Nord précise: « Sinon l’ONF met des amendes aux adjudicateurs et des malus sur les baux de chasse, donc l’incidence financière est très très lourde. »

Un bras de fer est donc engagé entre d’un côté l’ONF, qui privilégie évidement le développement des arbres de la forêt, source de revenus, et de l’autre défenseurs de la nature et chasseurs qui craignent que ce plan de chasse ne grève fortement la survie des cervidés sur ce massif forestier. C’est le préfet du Nord qui a les cartes en main pour trancher ce différent et l’on ignore s’il acceptera de revenir sur les chiffres de prélèvements accordés à l’ONF après la manifestation d’hier.

28 août 2018

Chasse : pourquoi les écologistes vent debout contre les nouvelles mesures d’Emmanuel Macron ?

AGACEMENT - Ce mardi matin, coup de tonnerre : Nicolas Hulot quitte le gouvernement. Pour beaucoup, il n'y a aucun doute, la goutte d’eau qui a fait déborder le vase c'est l’annonce de nouvelles mesures favorables aux chasseurs. De quoi parle-t-on ? En quoi ces mesures ont exaspéré les écologistes ? LCI fait le point.

Ce lundi 27 août, la Fédération nationale des chasseurs est aux anges. "C'est une réforme de fond et le président de la République a une écoute formidable", s'est félicité Thierry Coste sur France Info à la sortie d'une réunion avec le président, "non pas seulement vis-à-vis de la chasse, mais vis-à-vis des acteurs de la ruralité". Après avoir à plusieurs reprises exprimé son soutien à la pratique de la chasse, le président de la République est passé à la vitesse supérieure en annonçant cette fois des mesures fortes en faveur des chasseurs.

Critiquant les anciens présidents qui draguaient les chasseurs en campagne puis les oubliaient durant leur mandat, l'influent lobbyiste de la chasse applaudit des deux mains : "Avec Emmanuel Macron, c'est quand même un service continu", glisse-t-il au micro de TF1.

Parmi ces mesures, la plus médiatique est la division par deux du prix du permis national. Pour chasser sur tout le territoire, il faudra dorénavant débourser 200 euros contre 400 actuellement. Une annonce forte de démocratisation de ce loisir, et qui en a fait bondir plus d'un. 

"Une petite minorité des chasseurs va confisquer en toute quiétude une part non négligeable du patrimoine commun aux promeneurs, naturalistes et amoureux de la nature et des animaux. Situation ubuesque", a réagi sur Twitter l'eurodéputée, EELV Karima Delli. Mais au fond, ce n'est pas cela qui inquiète le plus les écologistes. Selon la Fédération Nationale des chasseurs, ce permis ne concerne effectivement que 10% des 1,2 million de chasseurs français.

Alors quel est le problème ? Nombre d'associations de défense de l'environnement pointent du doigt la "gestion adaptative" des espèces chassables. Contrairement à ce qu'ils espéraient, cette nouvelle gestion va se traduire par un allongement significatif de la liste des espèces concernées, ainsi que des quotas autorisés. Déjà, Emmanuel Macron vient d'accorder à la puissante fédération le droit de chasser six nouvelles espèces d'oiseaux. Parmi elles : les grands tétras, les barges à queue noire, les tourterelles des bois ou encore les oies cendrées.

Face à cette annonce, le président de la Ligue de protection des animaux (LPO) bouillonne : "C'est du clientélisme pathétique",lâche-t-il sur France Info. "En France, on chasse 64 espèces d'oiseaux différentes", alors que "dans le reste de l'Europe, la moyenne est de 14 espèces", regrette Allain Bougrain-Dubourg. Surtout, "parmi les 64 espèces chassées en France, il y en a 20 qui sont sur la liste rouge des espèces menacées, qui sont en agonie et que, pourtant, on chasse. (…) C'est inacceptable qu'on puisse continuer à tirer sur des oiseaux qui sont à l'agonie."

 

Voilà ce que je pouvais lire à ce sujet, concernant l’éventuelle interdiction de la chasse le mercredi, avant le..dimanche, que ce soit en forums ou encore blogs comme sites sur le sujet..

Le droit à la parole au travers de commentaires mis :

Interdit de chasser le Dimanche, interdit de travailler le Dimanche, interdit de fumer, interdit de rouler vite, interdire, interdire, toujours interdire, les propriétaires de forêts interdirons les promenades sur leurs terres, il est interdit d interdire………

On a eu l’interdiction de la chasse le mercredi sans succes mais dans les domaines publique elle devrait l’être c’est fortement pratiqué dans les forêts domaniales et communales d’île de France avec succès la chasse dans ces forêts à lieu le lundi en général c’est une façon simple de rassurer la population et de permettre aux amateurs de plein air de profiter de ces forêts là tout en laissant tranquille les forêts privées. Un moyen alternatif de satisfaire les deux parties.

Effectivement le jour ou la chasse est interdite le dimanche, moi j’interdis tout prommeneur sur mes terrains tous les jours avec à la clef une dépose de plainte pour violation de proprieté.

Il faut savoir que les promeneurs et autres utilisateurs de la nature son plus souvent dans des propriétées et chemins privés et font leurs plaisirs gratuitement. Contrairement à nous ou nous louons des terres et bois pour notre passion. Nous sommes assez tolérant sauf la chasse au grand gibier, qui lui peu être plus dangereux qu’un chasseur, dans les forêts domaniale la chasse est interdite le dimanche (FAUX !..), alors promenez vous dans ces forêts.

Je crois que dans les Deux Sèvres , la chasse est interdite le vendredi ! ce pis aller permets de répondre en partie aux détracteurs! si les anciens raccrochent « comme moi » c est du a la retraite nos moyens financiers ne nous permettre plus de chasser le petit gibier sur les A.C.C.A? d ailleurs il n’y en a plus!!!!!et les actions en chasses privées sont trop chéres pour nous! ils faut être banquiers, médecins et  avocats, P.D.G. nous sommes comme avant 1789 ou seul les nantis pouvez chasser!!!

je chasse depuis 1972. je suis dans les bois pour la chasse pour les champignons pour des ballades en forêt je croise tres rarement des promeneurs surtout des jeunes. Il faut savoir aussi que les promeneurs ont de fevrier à la mi-septembre pour se promener sans etre inquietés par la pratique de la chasse.de plus en période de chasse de nombreux teritoires sont en réserve. Battons nous contre ces gens qui veulent tout faire pour arrêter notre passion.

Il faut savoir Que les chasseurs payent UN droit de chasse sur 4 a5 mois de l’Année, Que si le gibier à plume est en décroissance c’est Qu il y a de plus en plus de béton (sans oublier surtout les traitements et autres..) , la chasse c’est une passion, on devrait faire payer UN droit de passage pour les marcheurs , dans le sud il y a moins de culture et on favorise les construction pour des personnes qui vont rester deux à trois mois par ans.
Chaque sociéte de chasse devrait se rassembler pour faire une union.

Un sondage est réalisé sur une palette de 1000 personnes, et là ce n’est que l’avis d’une personne.La chasse génère trop d’argent et fait travailler des milliers de personnes qui viendraient grossir les rangs des chômeurs…c’est pour ces raisons que je ne crois pas a l’arrêt de la chasse…

J’ai aussi une autre solution. Développer des chasses plus discrètes à l’approche où à l’affût quand les bobos sont encore au lit le matin ou tard le soir quand ils sont devant la télé comme ça on ne les croisera pas.
Les fameux randonneurs qui critiquent les chasseurs sont aussi les premiers à laisser leurs chiens divaguer et faire des dégâts sur la petite faune. Sans parler des dégâts des chats domestiques sur les petits oiseaux genre mésanges…le chat de ma voisine en tue au moins 20 par an…un scandale…et elle est certainement anti chasse…
Contre attaquons en demandant l’ajout sur la liste des nuisibles du chat. Certains pays l’ont fait…

Déja êtes vous au courant que la plupart des chemins empruntés par les trailleurs sont des chemins privés qui appartiennent le plus souvent à des chasseurs qui les laissent passer aimablement(mon expérience personnelle).Ensuite pourquoi interdire la chasse qui est l’une des pratiques qui préserve la nature(je concède que quelques cons sont présents dans nos rangs et ne respectent rien)mais qui va réguler toutes les espèces invasives?qui va empêcher la propagation d’animaux porteurs de maladies(Renards, martres, comme lapin par ex)alors messieurs dames les pseudos écolos, allez tapez sur les gens qui détériorent vraiment la nature au lieu d’emmerder les gens bien. Excellent article au passage qui est très bien écrit et ne raconte que la vérité .

Bonjour à tous, il est vrai que l’on parle de plus en plus de l’interdiction de chasser le dimanche, mais si cela se faisait je pense que chaque chasseur devrait envisager de prendre leur permis mais de ne pas chasser. Cela permettrait de ne pas faire couler les différentes fédérations et voir quelle serait la réaction de nos politiques et tous ces écolos bureaucrates quand les dégâts de gibier et certaines maladie vont se propager à vitesse grand V ,en particulier l’echinococcose alvéolaire.Comment feront il pour indemniser tous ceux qui travaillent de la nature (agriculteurs, forestiers, etc)quand leur espace de travail sera dévasté par des hordes de cervidés et de sanglier.

OK donc si je suis votre raisonnement : il y a 272 800 licenciés au rugby, sur 65 millions de français, donc plaquages et mêlées uniquement de 7h à 7h10 le matin uniquement si je suis votre raisonnement ? C’est déjà largement suffisant et cela ne leur laissera pas le temps de se battre du coup. On s’arrête là où on continue dans ce genre de stéréotypes ?

73.4%des bois en France sont privés donc il faut bien réfléchir avant d interdire et d imposer des règlements à la con sans connaître le minimum sur la question, moi je chasse sur 450hectares privée, la propriétaire ne veut voir personne, donc je vire tout le monde qui a un comportement de con, comme le maire du village qui pense que maire donne tout les droits ou le trésorier de l acca voisine qui me menace de procès verbal bon lui aussi bourré que chasseur avec tous les propos enregistrés sur mon portable, par contre le petit papy qui vient me dire bonjour sans fuite et très agréable dans la discussion et bien lui je lui indique même où les cèpes se trouvent car avec les gens intéressants et intelligent il faut faire la différence, voilà le comportement que j’ai avec les cons, alors la chasse le dimanche pourquoi pas, on baise plus les jours en i, et je les voitures maximum 130,pas besoin de plus, on supprime tout les pieds de vignes et on remet des vaches partout, les cigarettes supprimer, les débilité de la TV supprimer, bon vous comprenez la liste peut être longue mais rien ne sera supprimé car ça rapporte tellement d argent par contre nous chasseur ivrogne et assassin on sans fou…
Moi je fais chier que les cons et gens correctes je discute volontiers avec eux.

Le fameux sondage IFOP a été réalisé avec un panel de 1000 personnes certes, mais où ? En région parisienne peut être. Faites donc faire ce même sondage en sologne ou en Normandie ou dans n’importe quelle région mais en milieu rural, les résultats ne seront certainement pas les mêmes … le droit de chasse est un droit inaliénable du propriétaire. De ce fait, il sera difficile pour le législateur de déposer un texte de loi qui lui interdirait d’assouvir sa passion le dimanche. De plus pour les usagers de la nature non chasseur il y a les forêts domaniales et le domaine public en général, ou la chasse est interdite le week-end et le mercredi. De manière générale, je ne comprend pas cette animosité à l’égard des chasseurs , il faut réguler certaines espèces et en protéger d’autres et c’est la la vocation même de la chasse . La nature est un cadeau pour l’homme et tout le monde doit pouvoir y avoir accès. Concertons nous, que les randonneurs, vttistes et autres viennent voir les chasseurs ou autres propriétaires, locataires etc… Afin de définir un parcours, une heure de passage par exemple, ce serait tellement simple ! Mais ça c’est pas simple , car la nature de l’homme elle ,n’est pas aussi belle que dame nature……. Noël.

C’est comme partout Guillaume. Il y a des gens honnêtes et respectables et de l’autre côté de vrais cons.
A la chasse aussi; il faut le reconnaitre. Mais la jeune génération et les jeunes chasseurs ont plus d’éthique à mon sens que certains « anciens ».

Fait suite l’article concerné pour ces commentaires mis ci-dessus :

Interdire la chasse le dimanche en France : un mythe ?

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Depuis quelques années déjà, des voix s’élèvent pour que la chasse soit interdite le dimanche. Même dans les plus hautes sphères étatiques, l’idée commence à être entendue et bien perçue par quelques responsables politiques. Au jour d’aujourd’hui, et face aux maux de la société dans laquelle nous vivons, j’ai bien peur que ce projet, aussi saugrenu et irresponsable soit-il, ne devienne réalité. Pas à court terme, bien évidemment, mais dans quelques années. On en reparlera le moment venu. Cet article n’engage que moi, et je vous invite à débattre et à partager vos idées là dessus dans les commentaires. Voici donc pourquoi, à mon sens, l’idée d’une interdiction de la chasse le dimanche (voire même d’un autre jour de la semaine) n’est pas à prendre à la légère. Un seul mot d’ordre : la mobilisation. Ne laissons pas les générations futures nous accuser de n’avoir rien fait pour empêcher cela.

L’idée de ce billet m’est venue en lisant un article sur le site de La Républiques des Pyrénées, relayant une information selon laquelle, d’après un sondage Ifop réalisé du 4 au 7 janvier dernier et commandé par l’association « Dimanche sans chasse », près de 79% de la population française serait favorable à ce que le dimanche devienne un jour non chassé. Inutile de vous dire que mon sang n’a fait qu’un tour en lisant cela. Alors je me suis creusé la tête, et j’ai essayé de comprendre pourquoi. Pourquoi ce chiffre si élevé ? Pourquoi un tel « désamour », que dis-je, un tel désaveu, quant à la pratique de la chasse ? Je vous livre ici mes réflexions.

Chaque semaine, des millions de français attendent avec impatience le weekend pour se détendre, se reposer, faire du sport, assouvir leur passion. C’est le cas de la majorité des chasseurs, mais aussi des citoyens lambdas qui profitent de ces deux jours de repos pour se promener dans les bois, partir à la cueillette de champignons, courir, faire du vélo, etc… D’ailleurs, l’activité « running » connait un véritable boom en France depuis quelques temps. Bon nombre de ses adeptes enfilent désormais vestes, pantalons et chaussures de sport le weekend pour aller suer des kilomètres durant. Du lundi au vendredi, difficile d’échapper aux contraintes quotidiennes, tant d’un point de vue familial que salarié. Le weekend reste donc synonyme de détente pour l’ensemble de la population, que l’on soit chasseur ou non. Mon idée est que les gens ne supportent plus l’idée de s’empêcher d’aller se promener dans les bois et forêts communales, sous couvert du fait qu’une partie de chasse ou une battue est en cours. Et ils le font savoir !

Second point, les accidentsLes accidents de chasse sont constamment relayés par les médias (tv, sites web, radio, blogs), ce qui décrédibilise toujours un peu plus notre image auprès du grand public, bien qu’il « est important de noter que la tendance à la baisse des accidents mortels se poursuit cette année encore » pour la saison 2014-2015 (source : oncfs.gouv.fr), et que les organismes et fédérations effectuent chaque année un travail incroyable et remarquable à ce sujet : prévention, réunions sécurité, communication, formations… Il est évident que chaque accident est un accident de trop, mais le risque zéro n’existe pas, et ce dans n’importe quelle activité. Saviez-vous d’ailleurs qu’il y a bien plus de risque d’avoir un accident à la montagne que quand on chasse ? Le problème, en réalité, c’est que les médias ont véhiculé et continuent de véhiculer le fait qu’il est devenu dangereux pour un simple promeneur de se balader en forêt, surtout lorsque des parties de chasse y ont lieu (alors que, rappelons-le, chaque battue est signalée par des panneaux visibles de tous). Ici, c’est cette peur, véhiculée volontairement ou non, qui cause du tord au monde cynégétique. Pourquoi est-ce que les accidents font toujours les gros titres des journaux ? Pourquoi ne pas parler des centaines de milliers de parties de chasse qui ont lieu chaque weekend en France et qui ne causent aucun problème ? Car cela n’intéresse personne, de toute évidence.

Un des troisième point qui me vient à l’esprit pour penser que la chasse sera un jour interdite le dimanche en Hexagone est que les effectifs de chasseurs ont considérablement baissé en l’espace de 30 ans, passant d’environ 2 400 000 dans les années 1975 à un peu plus d’1 million dans les années 2010. Bien que les jeunes soient de plus en plus nombreux à passer leur permis, ces derniers ne compensent toujours pas le départ et l’arrêt des « anciens ». Et nos opposants, ou tout du moins ceux qui souhaiteraient qu’au moins un jour dans la semaine soit une journée non chassée, profitent et utilisent cet état de fait. Leur argument : le nombre de chasseurs par rapport au reste de la population est dérisoire. A contrario, et comme je l’ai expliqué précédemment, les activités en plein air et de running ne cessent de faire des émules

Autre élément incontestable, la ville grignote de jour en jour nos belles campagnes. Les promoteurs immobiliers cherchent sans cesse de nouveaux espaces qui pourront accueillir leurs constructions (chaque année, des centaines de milliers d’hectares de nature sont rayés de la carte par des immeubles, des lotissements et des maisons individuelles), et les populations urbaines souhaitent autant que possible disposer du calme de la campagne que de l’attractivité des villes non loin. De fait, notre héritage séculaire qui faisait la part belle à l’agriculture, à l’élevage et au monde paysan en général jusque dans les années 50-60, se consume peu à peu, et avec lui, son esprit. Une des conséquences flagrantes étant la valeur actuelle donnée à la cause animale : plus personne ou presque, parmi cette population urbaine repliée sur soi même et consumériste à outrance, n’accepte l’idée de la mort animale. Un paradoxe, quand on sait que la population mondiale à récemment dépassé les 7,3 milliards d’individus, et que la nourriture industrielle est devenue indispensable pour nous nourrir. J’en veux aussi pour preuve, ce projet de loi adopté le 28 janvier 2015 instaurant que les animaux sont désormais des êtres vivants doués de sensibilité.. L’animal serait-il devenu plus important qu’une vie humaine ?

Cinquième élément à prendre en compte, et non des moindres, le lobbying et la pression qu’exercent actuellement des centaines d’associations (l’Aspas en tête) sur nos dirigeants, via des pétitions lancées à tout va, notamment, et des parallèles effectués avec quelques uns des pays voisins comme l’Angleterre, ayant interdit la chasse le dimanche depuis de nombreuses décennies sur certaines espèces.

Je souhaite de tout mon coeur que ce jour où la chasse sera interdite le dimanche n’arrivera jamais. Mais malheureusement, de forts doutes m’envahissent pour les années à venir, énumérés en partie ci-dessus. Ira-t-on un jour interdire aux voitures de circuler sur les routes pour éviter les accidents ? J’en doute. Alors, amis chasseurs, chasseresses, mobilisez-vous et partagez cet article autant que possible autour de vous. Chasser est un droit, notre passion, notre raison de vivre. Ce jour n’arrivera pas de si tôt tant que nous serons tous unis !

 

Aussi ne mélangeons pas tout !

 

Que tous ces détracteurs se regardent dans la glace avant de dire n’importe quoi et d’intervenir comme vouloir intervenir sur le sujet..fin de non recevoir !

 

Pour terminer

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Tous ces "écolos" et "soit disant" écolos sont tout sauf des disciples de Gandhi !

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Aucun de ces "écolos" et soit disant "écolos" n'est et n'arrive à la cheville d'un Haroun Tazieff, Paul Emile Victor, ou encore Pierre Rabhi comme Jean-Marie Pelt !

 

Juste de simples..donneurs de leçons !..

 

Qu'ils aillent tous et toutes se faire voir ailleurs !

 

 

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Commentaires
P
Bonjour Denis, gamin j'accompagnais mon père à la chasse, me reste son fusil, calibre 16 juxtaposé et surtout d'excéllents souvenirs de traques, je ne suis pas chasseur et ni pro ou anti. <br /> <br /> Cependant tu n'es pas sans savoir que la matinée est toujours meilleure que l'après-midi du fait des pieds de la nuit, donc je me disais que les chasseurs pourraient quand même faire un pas vers les promeneurs en concédant le dimanche après midi, faut aussi penser aux familles, une promenade en forêt c'est tout de même de beaux souvenirs pour un enfant.<br /> <br /> Second point, la dangerosité de vos armes, surtout les carabines, pas les fusils qui eux ont une portée limitée, il me semble mais je me trompe peut-être mais qu'avec les chevrotines c'était moins dangereux qu'avec les balles. Je crois savoir que la aussi ce sont les écolos qui les ont interdit du fait du plomd, maintenant se sont des balles longues portées et de plus avec des lunettes grossissantes, pour moi c'est un peu tricher et laisse peu de chance aux gibiers.<br /> <br /> Voilà mes reproches aux chasseurs, si j'exclu le fait qu'ils gueulent comme des sauvages dans des lieux prédisposés a la sérénité (bon y'a la passion et tu dois te faire entendre des autres) et aussi la boisson pour une minorité je précise.<br /> <br /> Bonne soirée, je repasserai lire ta réponse demain soir.
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T
je suis pêcheur, pas chasseur, mais ça ne m'empêche pas de dire que la chasse a existé avec les premiers humains, et s' il est vrai que la chasse n' est plus indispensable pour se nourrir, on doit ajouter que c' est grâce à l' élevage, où sont abattus bien plus d' animaux qu' en forêt !<br /> <br /> Il n' y a pas longtemps, je revoyais ce documentaire sur Yellowstone qui prouvait la grave erreur que ce fut d' éliminer loups et ours !<br /> <br /> beaucoup ignorent les dégâts que peuvent causer les herbivores sur des jeunes arbres, il suffit pourtant de suivre une chèvre !<br /> <br /> Et tout le monde peut se rendre compte des dégâts causés dans les cultures par les sangliers, il faut donc réguler, même pour les loups !<br /> <br /> Et puis la chasse est un plaisir, comme la pêche.<br /> <br /> Il faut aussi regarder comment les carnassiers tuent, pour comprendre qu' une balle, c' est bien plus radical !<br /> <br /> Pour finir je pense aussi que les écolos sont aussi vicieux que les autres politiques et que leur but est la suppression de la chasse <br /> <br /> Bonne journée Denis, et bravo pour le sanglier<br /> <br /> Amitié
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