La gelée de coings..Dernière gelée.
La gelée de coings..Dernière gelée.
Après la gelée de sureau noir, puis celle de mûres, à présent, c’est au tour de la gelée de coings..
La gelée de coings..c'est bon, et pour la santé !
La Nature..notre meilleur allié !
Vivre avec la Nature, et non pas contre..
L’hiver approche..
Après le bois de chauffage, ce sera le tour des coings, en parlant du seul « cognassier » que nous avons et des fruits qu’il porte..
Avant de rentrer le bois, il fallait tout d’abord faire place nette..
Photo ci-dessus où l’on aperçoit deux tas de bois empilés servant de blocage à chaque extrémité.
(Il s’agit de bois de chêne ayant déjà quatre années de séchage dehors et que je vais pouvoir couper l’an prochain pour l’hiver 2023-2024..)
[Pour le chêne, pour que le bois soit vraiment bien sec, il faut que l’écorce tombe d’elle-même, et donc pour cela, il faut bien cinq années de séchage dehors..]
Le samedi 17 septembre, j’ai rentré ma première fournée de bois, de beau et bon bouleau bien sec, mais non coupé..
Photo ci-dessus de ce bois entassé, en morceaux d’un mètre de longueur et non coupé.
(J’ai procédé à un meilleur rangement peu après et avant la dernière et deuxième fournée..)
Photo ci-dessus du bois de bouleau rangé, avec l’espace prévu pour le bois suivant coupé libre, en prolongement.
Photo ci-dessus du bois de bouleau rangé, avec l’espace prévu pour le bois suivant coupé libre, en prolongement.
Photo ci-dessus où le camping-car a repris sa place habituelle, et où l’on voit les tas de résidus comme d’écorce à évacuer par la suite.
Photo ci-dessus où le camping-car a repris sa place habituelle, et où l’on voit les tas de résidus comme d’écorce à évacuer par la suite.
Le samedi 8 octobre la seconde fournée de bois a été rentrée, et avec du beau hêtre et bien sec, cette fois coupé..
L'année prochaine je procéderais à l'achat de nouvelles bâches de protection, car celles-ci ont fait leur temps..
Photo ci-dessus, en enfilade, avec le tas de bois rangé sur toute la longueur jusqu’à la partie arrière du camping-car et de la remorque en place juste derrière.
Le bois coupé, rangé et stocké, à présent, c’est au tour de la gelée de coings.
Dès fin septembre, à tout début octobre, c’est au tour de la gelée de coings..
Cette année, elle a été faite le dimanche 9 octobre au soir..
Dès fin septembre, à tout début octobre, c’est « habituellement » le tour de la gelée de coings..
Cet « unique » et seul cognassier a tout juste et à peine..cinq ans, et a été planté en..2017.
Les coings, en tant que fruits du cognassier sont impropres à la consommation en tant que tel et cru..car, le fruit cru est..toxique, il faut le cuire pour cela, d’où cette conception en consommation, en parlant de gelée de coings.
(On peut en faire des pâtes de fruits et autre..)
Photos prises sur le « Net », pour montrer..
Les coings de notre cognassier..
Photo ci-dessus, gros plan de l’un de ces coings, un peu comme une poire pour la forme générale de ce fruit.
Photo ci-dessus, de l’un de ces coings.
Photo ci-dessus, gros plan de l’un de ces coings, un peu comme une poire pour la forme générale de ce fruit.
Photo ci-dessus, l’arbre porte bien, mais cependant moins que les années précédentes.
Photo ci-dessus, l’arbre porte bien, mais cependant moins que les années précédentes.
Photo ci-dessus, l’arbre porte bien, mais cependant moins que les années précédentes.
Photo ci-dessus, l’arbre porte bien, mais cependant moins que les années précédentes.
D’habitude on ramasse l’équivalent de deux seaux bien remplis et débordants..
(Cette année ce ne seront pas 83 verrines ou pots de gelée que nous ferons, mais peut-être seulement de l’ordre de 18 à 35 verrines..nous verrons bien..)
[Auparavant, et avant d'avoir acheté puis planté cet arbre et cognassier, nous avions cependant des coings par l'intermédiaire d'amis..]
Cette année, nous avons également reçu un seau de coings d’amis et en plus deux grandes bouteilles traditionnelles en verre d’un litre et demi remplies de jus extrait de coings pour en faire de la gelée.
Il nous reste encore, malgré tout, une bouteille en plastique d'un litre et demi remplie de ce jus d'extraction de coings que l'on a conservé au réfrigérateur-congélateur, pour après.
Voilà, comme dis, ce n’est pas le travail qui manque, ni les réjouissances avec…
Revenons, si vous le voulez bien à notre gelée de coings, le sujet de cet article..
Le dimanche 9 octobre..
[Pour les photos, je me suis appuyé sur mes articles antérieurs, pour la gelée de mûres et de sureau noir, car, je n’ai pas pensé ni eu le temps d’en faire cette fois durant les différentes opérations..désolé.]
Le soir, j’ai commencé, tout d'abord, par prendre l'extracteur de jus, pour le mettre en place sur la plaque à feux gaz..
Photo ci-dessus de cet extracteur de jus.
Il se compose de trois éléments empilés les uns sur les autres, et avec un couvercle au sommet.
Il s'agit d'un grand modèle de la marque "Thekla", acheté en 1985, lorsque nous étions à Berlin.
On remarquera ce tuyau en caoutchouc rouge avec une pince dessus, pour l'extraction du jus, à la fin de la cuisson.
Le processus d'extraction:
Je commence par retirer les deux éléments du haut, pour ne laisser que l'élément du bas sur la plaque, pour pouvoir le remplir d'eau jusqu'à un certain niveau.
Je remets les deux éléments du haut dessus et en place.
Puis, je retire le couvercle au sommet.
Ensuite, je viens verser les quartiers de coings découpés et sans pépins dans l'élément du haut.
Photo ci-dessus où l'on pourra remarquer de petits trous tout autour de la paroi pour la diffusion de la vapeur d'eau à l'intérieur.
Photo ci-dessus où l'on voit bien les mûres en place à l'intérieur..qui pourraient être les quartiers de coings pour la compréhension.
Le processus d'extraction, va amener la chaleur de l'eau chauffée dessous et sous cet élément contenant les coings, tout comme à l'aide des petits trous répartis tout autour de la paroi.
Il faut cependant surveiller la cuisson tout au long et au fur et à mesure.
On retire pour cela, les deux éléments du haut, pour vérifier le niveau de l'eau dans l'élément du bas, et au besoin, rajouter de l'eau pour pouvoir continuer le processus d'extraction dans de bonnes conditions.
Lorsque les deux éléments du haut auront été remis en place sur l'élément du bas, on en profitera pour vérifier l'état de la cuisson des coings, en soulevant le couvercle, pour un visu d'ensemble.
Pour être sûr et rassuré, on pourra séparer l'élément du haut (avec le couvercle), pour regarder dessous le jus extrait contenu dans l'élément du milieu.
Il faut bien une bonne heure pour cela, voir un peu plus..
A l'issue, on pourra enfin extraire le jus récupéré dans l'élément du milieu, et procéder au transfert, à l'aide du tuyau avec la pince de blocage.
On procèdera à la récupération du jus vers un broc ou tout autre récipient, casserole, etc..
Grâce aux graduations situées sur le côté du broc avec un bec verseur, on aura la lecture directe de la quantité de jus ainsi récupéré.
Ensuite, je mets la bassine en cuivre en place sur la plaque à feux gaz.
Je me sers du broc mesureur pour verser le jus extrait dans la bassine en cuivre.
Puis, je vais pouvoir procéder à la cuisson du jus transféré dans la bassine en cuivre.
Le soir, vers 21h30, j’ai enfin débuté avec la cuisson du jus dans la bassine à confitures en cuivre..
Ainsi va débuter la cuisson du jus extrait.
Sur la table de la cuisine, juste à côté, presque à portée de main, j'ai pris un kilo de sucre en poudre, et un paquet de pectine "Vitpris".
A part, j’avais pris un bol à café dans lequel j’ai versé 4 grandes cuillères à soupe de sucre en poudre, puis le contenu d’un sachet entier de pectine « Vitpris », et la moitié d’un autre. J’ai remué le tout avec la cuillère pour bien mélanger.
Puis, j’ai versé le contenu du bol dans la bassine, de façon homogène, tout en tournant avec une grande cuillère en bois.
J’ai laisse monter et porter à ébullition.
Arrivé à ébullition, j’ai versé pardessus, successivement, le contenu d’un paquet de sucre en poudre, tout en remuant le tout dans la bassine pour bien mélanger.
Après cela, j’ai également continué à tourner à l’aide de la cuillère pendant bien 10 minutes, puis en portant à ébullition.
Arrivé à ébullition, j’ai également laissé ainsi durant cinq minutes supplémentaires encore.
Puis, j'ai pris un peu de gelée, à l'aide de la cuillère en bois, pour la déposer sur une petite assiette à dessert, et ainsi vérifier si la gelée était bien prise.
A l’issue, j’ai coupé le feu gaz.
J’ai récupéré l’écume à la surface, à l’aide d’une écumoire, puis mis dans un bol vide.
J’avais, préalablement, disposé des verrines vides et propres avec un couvercle, sur la table de cuisine, pour gagner du temps avant de procéder au remplissage.
J’avais mis un dessous de plat également sur la table de la cuisine.
Je suis venu y poser dessus la bassine en cuivre.
Là, j’ai disposé une première verrine juste à côté de la bassine presque contre, tout en mettant en place un ustensile bien pratique dessus la verrine, un peu comme un entonnoir en inox avec le diamètre de l’intérieur du haut de la verrine dessous.
L’entonnoir spécifique..
Le procédé ou processus pour le remplissage de la première verrine.
Photo ci-dessus pour l’explicatif avec cette louche comme pour l’entonnoir spécifique.
A l’aide d’une louche spécifique, un peu comme pour une saucière, mais avec un long manche, j’ai procédé au remplissage de la première verrine.
Photo ci-dessus pour l’explicatif et la compréhension.
La première verrine remplie (la gelée arrivant juste contre le dessous de cet entonnoir, en guise de repère..), j’ai ôté l’entonnoir verseur en le plaçant au-dessus de la bassine, tout en récupérant le couvercle prévu pour le placer au sommet de la verrine, en la mettant de côté.
J’ai mis en place la seconde verrine.
J’en ai profité pour bien visser le couvercle de la première verrine remplie, à l’aide d’un torchon de vaisselle.
Puis, j’ai procédé de même pour chaque verrine suivante jusqu’à la fin, et pour l’ultime dernière petite louche de gelée restante au fond de la bassine.
[On pourra se servir d’une spatule à pâtisserie (en plastique souple) pour bien racler et récupérer tout la gelée restante, tout en inclinant la bassine pour faciliter la récupération de l’ultime dernière petite louche de jus et gelée..]
De cette cuisson, j’aurai récupéré et rempli 25 bonnes verrines de gelée..Yes !
Toutes les verrines étaient entreposées sur le plan de travail juste à côté de la plaque feux gaz, pour la nuit et jusqu’au lendemain.
Il faudra bien-sûr, après refroidissement des verrines et de la gelée contenue, que je procède à l’étiquetage, avant de finir par entreposer les verrines sur étagère dans la cave, pour les laisser reposer au sec, à l’abri de la lumière, de préférence sans humidité.
Bien après, je veux dire vers la fin octobre, j’aurais enfin l’occasion d’entamer l’une de ces verrines, pour pouvoir y goûter et tester en même temps, sur des tartines de pain légèrement beurrées pour mon petit déjeuner.
La gelée de coings..c'est bon, et pour la santé !
Ne pas se priver, concernant la gelée de coings, toutefois sans excès non plus, cela va de soi..
Il faut savoir multiplier les vrais plaisirs simples !!!
La paix (si je puis dire..) est revenue dans la maison(en quelque sorte..), façon de parler..
En effet, après notre mésaventure au sujet du bouchon ou bouton de fermeture du couvercle de notre cocotte minute « SEB », nous avons préféré en racheter une autre..
Photo ci-dessus de cette nouvelle cocotte minute « SEB » de 10 litres.
(Nous avons également des cocottes traditionnelles, que ce soit de « Le Creuset », ou encore plus récentes de chez « STAUB » avec la cigogne..)
Photo ci-dessus d’une cocotte en fonte ancien modèle de chez « Le Creuset », comme celle que nous avons encore depuis 1976, de taille moyenne.
Photo ci-dessus d’une ancienne cocotte en fonte de chez « Le Creuset », comme celle que nous avons, en orange, mais de forme ovale, un peu comme celle de la photo du dessous.
Photo ci-dessus d’une cocotte en fonte modèle « Cousances ».
Pour l'exemple en comparaison..
La cocotte « STAUB »..
(marque avec une cigogne..)
Photo ci-dessus de l’un des deux modèles de cocotte en fonte de chez « STAUB » que nous avons, taille moyenne, et de couleur grenadine comme pour la photo.
Photo ci-dessus de cette cocotte en fonte de chez « STAUB », une marque, une valeur sûre, mais également un prix.
(Ces cocottes en fonte coûtent 258 Euros pièce !..)
La nouvelle cocotte minute « SEB » (10 litres..) est arrivée fin août – début septembre..
Photo ci-dessus du panier amovible à placer au fond de la cocotte minute, mais qui est cependant moins conséquent que l’ancien ( !) et moins pratique pour ma part, au regard des pieds support.
(Fort heureusement nous avions gardé le panier de l’ancienne cocotte plus grand et plus profond, pour y placer d’avantage de légumes en fonction..)
De ce fait cela facilite quelque peu le travail en cuisine pour la préparation de certains plats comme menus.
Il y a un peu plus de vingt jours environ, le dimanche 9 octobre, nous avons fait (mon épouse..)une potée Lorraine au chou vert..
La cocotte minute « SEB » a retrouvé sa place sur la plaque feux..
Les légumes lavés, puis découpés et enfin blanchis..
La potée commence à prendre de la tournure..
La viande à part sur un plat, pour découper et faire le service..
La potée Lorraine au chou vert..
Un plat simple, copieux et goûteux !
La cuisine traditionnelle et simple..Ya que ça de vrai !..
Sur ce..ma foi..Bon appétit !
Et pour le dessert ?
Pour le dessert..tout était prévu..
Une belle et bonne tarte aux pommes.
Il n’y a pas une semaine sans gâteau ou tarte, et chaque jour un dessert différent, comme pour le goûter vers 16h00-16h30..
Alors, elle n’est pas belle la vie ?
Un très bon weekend à toutes et à tous !