Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Ecologie vraie et réelle..
28 novembre 2018

Discours de Macron..attente des Gilets jaunes..

224685865fe9d79d3b878952f0b25

Discours de Macron..attente des Gilets jaunes..

Comment voulez-vous parler à..un mur ?..

Et comment voulez-vous être entendu ou écouté par..un mur ?..

ob_0051d3_21616562-10212662845078949-66127990916

trump-macron-discussion-defile-militaire-14-juillet-paris

Car, monsieur Macron est sourd, lui qui n’a, en tête, et toujours eu, en tête, que des chiffres..des chiffres.. et des..chiffres..

La fondation Saint-Simon..

Photo-Henry-Hermand-newsnet_127615_bdcf0e

Photo ci-dessus de Mr. Henry Hermand, principal fondateur et créateur de la « Fondation Saint-Simon ».

C’est cette fondation qui a aidé et patronné Emmanuel Macron.

1-109-85d34

Car, ne l’oublions pas, bien avant sa campagne électorale, celui-ci était le « gestionnaire » de la Banque de Rothschild..

macron-462

La Banque de Rothschild et David de Rothschild..

small

images (10)

images

Macron_et_Rothschild-3-ae6d5-0b79f

La-guerre-des-clans

Photo ci-dessus de Mr. David Rothschild, reçu en grande pompe et..très discrètement..à l’Elysée.

3909805-emmanuel-et-brigitte-macron-le-baron-de-Rotschild

vf_baron_david_de_rothschild_4460

rothschild

allexandre-and-david-de-rothschild1

Photo ci-dessus du père, David de Rothschild, et de son fils Alexandre, digne successeur.

Les « Rothschild », une grande famille, mais pas que..

1f156fbe7f101a20fc115e0175d638133ecdec86

Toute la campagne électorale de Mr. Macron a été et avait été financé et soutenue par les 9 plus riches milliardaires de France dont du « CAC 40 » et..La Banque de Rothschild..

A cela, il faut, bien-sûr, ajouter un tas d’autres « investisseurs », non négligeables, et pas à pure perte, loin de là..

115718779

Photo ci-dessus, d’un montage, justifié, faisant apparaître les généreux « donateurs » pour la campagne de Mr. Emmanuel Macron, alors candidat.

Très jeune gestionnaire de cette grande banque à seulement..32 ans !..

ob_8dca29_macron-rothschild

hqdefault

Rotschild_Challenges

Photo ci-dessus de ce groupe et des principaux acteurs, avec à leur tête, à l’époque, Mr. David de Rothschild, assis au centre.

5b55c2ae488c7b16548b4567

Photo ci-dessus de Mr David de Rothschild, tenant fièrement dans sa main le fameux trophée de la meilleure banque d’Europe pour l’année 2015.

top10-5e7b3

Palmarès 2015 des conseillers financiers..

csm_Capture_d_e__cran_2016-02-18_a___17

Il n’y a pas que..les banques..

E3ZLC6O0_Graph-p25

40673-cf1265tab28

Rothschild..condamné !..

Rothschild-Compagnie-Banque

Rothschild & Compagnie banque : licenciement du responsable audit interne..

La banque de Rothschild condamnée pour avoir licencié un responsable en interne..

https://cg-as.com/rothschild-condamnee/

La presse est, elle-aussi..muselée !

entreprises-militaro-industrielles-tous-les-medias-francais

Les fusions, et les alliances..

ECH17478094_1

Un réseau « dense », très « codifié » et très bien « organisé »..

veber-banque-vig

Michel Cicurel, ex-Rothschild, nommé président de Banque Leonardo en France

001793i104

La banque d'affaires italienne Banque Leonardo a nommé Michel Cicurel, ancien président de la Compagnie financière Edmond de Rothschild, à la tête de sa ...

La banque d'affaires italienne Banque Leonardo a nommé Michel Cicurel, ancien président de la Compagnie financière Edmond de Rothschild, à la tête de sa filiale française Banque Leonardo Paris, annonce-t-elle dans un communiqué mercredi. Elle souhaite développer une activité de banque privée dans l'Hexagone.

Michel Cicurel remplace à la tête de la Banque Leonardo Paris Régis de Pampelonne, qui avait lui-même  succédé en juin dernier à Jean Peyrelevade, ex PGD du Crédit Lyonnais. Un autre ancien dirigeant de la Compagnie financière Edmond de Rothschild, Marc Lévy, rejoindra la Banque Leonardo à Paris en qualité de directeur général.

La filiale de Banque Leonardo, qui estime que « le moment est extrêmement favorable aux investissements, en particulier dans les entreprises non cotées en France », souhaite développer une activité de banque privée et de banque d'affaires dans l'Hexagone.

« Il s'agit de faire ressurgir le modèle historique des banques multifamiliales pour permettre à la fois d'exercer une activité de gestion privée à destination des clients et des familles actionnaires et de constituer (...) un cercle d'investisseurs désireux (...) de profiter des nombreuses opportunités de création de valeur du marché entrepreneurial en France », indique le groupe dans son communiqué.

Un centre d'affaires et un service d'analyse financière

Dans cette optique, les actionnaires du groupe Banca Leonardo (CNP, Eurazeo, la holding de l'homme d'affaires Albert Frère, de Michel David-Weill et de la famille Agnelli Exor) « accueilleront à leurs côtés au capital de la banque plusieurs grandes familles françaises et étrangères, du monde des affaires et de la nouvelle économie, d'Europe et des pays émergents ».

Le modèle retenu pour l'activité de banque privée verra la mise en place d'un centre d'affaires qui offrira aux clients et aux actionnaires des produits et services bancaires ainsi qu'un service d'analyse financière, détaille le groupe. Michel Cicurel, énarque de 66 ans, avait lancé sa propre activité de conseil fin 2012 après 10 ans passé à la tête de la Compagnie financière Edmond de Rothschild. Il est également administrateur indépendant de Société Générale.

Le groupe italien Banca Leonardo est présent en France à travers la Banque Leonardo, spécialiste de la gestion d'actifs et de la banque privée, et Leonardo & Co et Leonardo Midcap, spécialistes du conseil aux entreprises en fusions-acquisitions.

En savoir plus sur https://www.cbanque.com/actu/40816/michel-cicurel-ex-rothschild-nomme-president-de-banque-leonardo-en-france#h4zkb3VZVb1EvGdx.99

Qui êtes-vous Mr. Michel Cicurel, ancien président d’Edmond de Rothschild banque ?

images (9)

Dans l’affaire des « Panama Papers » avec « Panamza », les rouages et filiales de La Banque de Rothschild..

01012000-1024x808

rothchilds-pic

12694_1

ATTENTION À NE PAS CONFONDRE ROTHSCHILD ET ROTHSCHILD !

attention-a-ne-pas-confondre-rothschild-et-rothschild-1135273

edmond-de-rothschild_img_b

Rothschild & Co et la Compagnie Financière Martin Maurel vont fusionner afin de créer l'une des premières banques privées indépendantes de France. « Maison-mère du groupe Rothschild », l’ex-Paris-Orléans n'est en fait qu'une petite émanation de l’incroyable patrimoine des Rothschild dans le monde.

web2

vf_ariane_benjamin_de_rothschlid_5496

upload1

Photo ci-dessus, hall d’entrée et d’accueil de la banque Edmond de Rothschild, à Genève en Suisse.

Actualites_Monaco_News_easyone_Blog_GHX_Edmond_De_Rothschild_Banking_banque_multimedia

Certains « réfugiés » fiscaux des banques françaises..installés à Londres..

Le groupe Edmond de Rothschild ouvre une banque d'affaires à Londres

la-city-de-londres-attire-les-refugies-fiscaux-des-banques-francaises

La bourse Espagnole..

l_bourse-madrid

Photo ci-dessus de l’intérieur de la bourse de Madrid et du hall, vestibule d’entrée.

Rothschild et Lazard au coude à coude..

Rothschild et Lazar..au coude à coude..

HLCOF7R1_article-ouv-strat

Déjà concurrents en banque d’affaires, les deux groupes avancent avec prudence en gestion de fortune.

hqdefault (1)

En France..Le CRIF, les banques, la Banque de Rothschild,etc..

7787366110_francois-hollande-au-diner-du-crif-a-paris-le-23-fevrier-2015

Photo ci-dessus, de Mr. François Hollande (bien avant Macron..), au dîner organisé par le « C.R.I.F. », et avec l'écrivain Mr.Marek Halter, avec la barbe (et très..controversé..),et, assis, sur la droite et à côté de Hollande, le patron – Directeur général de La Banque de Rothshild, David de Rothschild, jusqu’à il y a peu, car, à présent, c’est son fils Alexandre qui mène la barque..

La soirée à La Rotonde, pour fêter, entre amis..

7788264195_emmanuel-macron-a-la-rotonde-a-paris-le-23-avril-2017

Emmanuel-Macron-Jacques-Attali-fetent-resultats-1er-resturant-Rotonde-Paris-23-avril-2017_0_728_491

stephane-bern-etait-bien-present-dimanche-soir-a-la-rotonde_5867723

Larotonde23042017

Photo ci-dessus de quelques invités (amis..proches..), à la Rotonde..à l’époque.

Les votes « étrangers » ou d’étrangers, résidants en France..comptent..eux aussi !

thumb

Les discours, toujours les discours, et encore des..discours..

Des..discours bien « huilés » et « formatés », pour ne pas dire..lissés..

 

Pour les plus démunis et les plus pauvres..

La banque alimentaire..

macronmozart

Macron, le Mozart de la "tchatche", pour ne pas dire le..stradivarius du..discours..

Macronrungis

ega

dtavvllxqaia_7l

Les principales annonces et/ou mesures..

860_visactu-energie-les-annonces-demmanuel-macron-16755dd79c2

Macron veut adapter la hausse des taxes à l'évolution des cours

Une taxe carbone ''flottante''..

Pour cela Emmanuel Macron promet une "grande concertation de terrain sur la transition écologique et sociale", "dans les trois mois qui viennent", en concertation avec les gilets jaunes entre autres.

Autre mesure avancée, une sorte de taxe carbone flottante qui viserait à "adapter toute nouvelle hausse des taxes sur les carburants" à l'évolution des prix du pétrole.

Dans l'immédiat, le ministre de la Transition écologique François de Rugy va recevoir mardi après-midi des représentants des "gilets jaunes" à la demande d'Emmanuel Macron, a indiqué l'Elysée.

Remarque :

Cette idée, et/ou proposition, avait déjà été mise en place par Lionel Jospin en 2002 et reprise par François Hollande en 2014..

Les « Gilets jaunes » toujours mécontents et fort en colère après ce discours !

Tous les « Gilets jaunes » toujours « mobilisés » après le discours tenu par Emmanuel Macron..sans grand espoir..

 

Pour tous les « Gilets jaunes », un dialogue de sourd !

reactions-a-scionzier-1543337363

Le nucléaire, gros point de discorde

images (9)

Premières réactions politiques au discours d'Emmanuel Macron devant le Congrès

5bfd4eeb8256bfed03c7115a

Les réactions de jean-Luc Mélenchon..

maxresdefault (2)

Les réactions de Marine Le Pen..

j-ai-l-impression-d-avoir-ecoute-un-tele-evangeliste-dit-marine-le-pen-apres-le-discours-d-emmanuel-macron-20170703-1710-e9ea3e-0@1x

"J'ai l'impression d'avoir écouté un télé-évangéliste", dit Marine Le Pen après le discours d'Emmanuel Macron

Hervé Morin..

156-t0ojx-pour-herve-morin-president-des-regions-de-france-le-discours-d-emmanuel-macron-ne-repond-absolument-pas-a-la-colere-de-nos-comp

 

165-t0nJ0-un-discours-deconnecte-louis-aliot-rn-estime-qu-emmanuel-macron-n-a-repondu-a-aucune-question-des-gilets-jaunes-x240-iX-

ob_1433e6_drhmw34wkaayfjp

Après le discours de Macron, les réactions exaspérées des ONG sur "l'art du vide" - Rallumerlesetoiles.over-blog.com

Macron a « raté » l’occasion de reprendre la main..Pascal Canfin..

7955355_8b7138fc-f26e-11e8-9d41-0c87b1d40bf7-1

Hulot, à présent, à l’écart, des..éclaboussures..

hulot_yl-567273

Photo ci-dessus de Nicolas Hulot lorsque celui-ci était en visite dans ce parc ou cette grande ferme photovoltaïque implantée sur l’ancienne base aérienne de Toul-Rozières près de Nancy.

La personne qui , au départ, avait lancé cette alerte, avec une vidéo postée sur « Youtube » en guise de protestation face à cette hausse des taxes et donc du prix du carburant à la pompe.

16088391

Les citoyens sont ''saturés des effets d'annonces"

156-t0vlY-emmanuel-macron-peu-d-annonces-pour-les-gilets-jaunes-x240-6gF

maxresdefault (3)

Concernant le milieu hospitalier..

le-president-emmanuel-macron-discute-avec-le-personnel-lors-de-sa-visite-d-un-ehpad-etablissement-d-hebergement-pour-personnes-agees-dependantes-a-rozoy-s

 

Il y a un manque "crucial" de personnels soignants dans le milieu hospitaliers, comme dans les E.P.H.A.D.

ob_d34671_hopital

Le discours très « écouté » de Mr. Emmanuel Macron, un peu partout à travers la France et chez les « Gilets jaunes »..

a-vannes-toujours-mobilises-les-gilets-jaunes-ont-suivi_4291928_1000x526

Photo ci-dessus de gilets jaunes, du côté de Vannes,  écoutant le discours d’Emmanuel Macron.

15d6962c319c06d6d3c50a73fb227296

Photo ci-dessus, de réactions à chaud, suite au discours d’Emmanuel Macron.

En Alsace la colère ne baisse pas !

320x240-b0K

320x240-F0z

au-rond-point-de-thal-drulingen-ce-mardi-(photo-dna)-1543320766

Photo ci-dessus, au rond-point de Thal-Drulingen, ce mardi. (Photo DNA).

Même son de cloche un peu partout..

300x169_img_20181127_103940_resized_20181127_020835467

Photo ci-dessus, du côté de Menoncourt.

beure-des-gilets-jaunes-au-bord-de-la-rn57-photo-er-daniel-wambach-1543329517

Photo ci-dessus,des gilets jaunes au bord de la RN57. Photo ER/Daniel WAMBACH.

Jura

photo-benoit-faivret-1543354797

Photo ci-dessus, prise par Benoit Faivret.

"Emmanuel Macron nous prend pour des demeurés" réactions de gilets jaunes en Meurthe et Moselle au discours du président

Mardi 27 novembre 2018 à 18:56Par Mohand Chibani, France Bleu Sud Lorraine

870x489_20181127_151637giletsluneville

Photo ci-dessus de gilets jaunes à un rond-point près de Lunéville.

Alors qu'ils attendaient des mesures concrètes en faveur du pouvoir d'achat, Emmanuel Macron leur a parlé de transition écologique. Le discours du président de la République a fait bondir les gilets jaunes qui estiment ne pas avoir été entendus. Réactions sur l'un des lieux de mobilisation.

Il propose également une concertation de terrain. 3 mois de débat (dit-il) pour "structurer des solutions concrètes" pour ne pas opposer,"fin du mois" et "fin du monde", Emmanuel Macron veut traiter les deux.  

Il ne nous a rien dit du tout, il a raconté sa vie : un gilet jaune sur le rond-point de Lunéville

Mais les propositions n'ont pas convaincu les gilets jaunes, sur le terrain.   Au rond-point, à l'entrée de Lunéville, ils étaient une quarantaine  a avoir écouté le président de la République et le moins qu'on puisse dire c'est qu'Emmanuel Macron ne les a pas convaincu comme l'explique Robert, mobilisé depuis le 17 novembre "Oui nous avons écouté Emmanuel Macron ce matin, et bien je peux vous dire que samedi prochain, ce sera encore le bordel ici. En fait, il ne nous a rien dit du tout, il a raconté sa vie, c’est tout ! Il n’a rien donné, aucune mesure concrète".

Monsieur Macron est totalement à l’ouest. Il n’a plus les pieds sur terre. J’ai l’impression qu’il nous prend pour des demeurés. Avec ses bons mots de technocrates, il n’y a pas beaucoup de français qui l’ont compris d’ailleurs beaucoup m’ont dit qu’ils n’avaient rien compris. Et quand on tend bien l’oreille, on se rend compte qu’il endort les gens"

Moi je peux me contenter d'un oeuf le soir pour manger, mais pas mes gosses : Mireille, mobilisée depuis le premier jour..

On sera encore là, samedi prochain !

image_content_24515928_20181127111442

images (10)

Gilets jaunes : «Le discours de Macron ? Il ferait mieux de nous parler des retraites !»

Dans le Limousin..

A Limoges

les-gilets-jaunes-ecoutent-le-discours-d-emmanuel-macron-sur_4099289

On était avec les Gilets jaunes de Limoges lors du discours d'Emmanuel Macron :

les-gilets-jaunes-ecoutent-le-discours-d-emmanuel-macron-sur_4099290

Ces primes qu'il promet, c'est pas pour ça qu'on va acheter une voiture »

20181127112521687-2

La Ciotat..toujours mobilisé..

870x489_gilets_jaunes

Aude

201811271787-full

Des gilets jaunes sur le carrefour giratoire de L'Hermet dans le Tarn./

 «Gilets jaunes»: Revivez le discours d'Emmanuel Macron sur la transition énergétique

LIVE Alors que la fronde des gilets jaunes se poursuit, le chef de l'Etat veut désamorcer la crise, tout en maintenant le cap écologique qu'il a fixé...

640x410_emmanuel-macron-veut-calmer-fronde-gilets-jaunes-reste-determine-maintenir-cap-ecologique

Emmanuel Macron veut calmer la fronde des gilets jaunes, mais reste déterminé à maintenir son cap écologique. — EMMANUEL DUNAND / AFP

L’ESSENTIEL

  • Emmanuel Macron a présenté ce mardi une « stratégie » à double détente mêlant urgence et long terme pour parvenir à une transition écologique « acceptable »
  • Le chef de l’Etat a annoncé, entre autres, une future grande concertation, la fermeture d’une partie des réacteurs nucléaires français, un soutien accru aux énergies renouvelables et l’adaptation de la fiscalité des carburants aux fluctuations des prix.
  • Les mesures déjà annoncées par Edouard Philippe (renforcement des primes pour changer de voitures, extension du chèque énergie aidant les foyers modestes à payer leurs factures…) n’ont pas pas satisfait les gilets jaunes, qui poursuivent leur mobilisation.

16h17 : Marine Le Pen critique « l’absence totale de réponse » de Macron aux « gilets jaunes »

Marine Le Pen a jugé « incompréhensible » mardi « l’absence totale de réponse immédiate » d’Emmanuel Macron aux « gilets jaunes ».

La députée du Pas-de-Calais a exprimé en outre son « désaccord » avec « les choix énergétiques » d’Emmanuel Macron, « notamment le triplement de l’éolien qui est une véritable catastrophe visuelle mais aussi (…) écologique et économique ».

« Il en est de même de sa volonté du quasi tout électricité. (…) Tous ces choix sont des choix toxiques sur le plan écologique et sur le plan économique », a-t-elle ajouté.

15 h 00 : Déception chez les représentants syndicaux

Laurent Berger et Yves Veyrier, respectivement à la tête de la CFDT et FO, regrettent la « faiblesse » des mesures évoquées par Macron.

Il y a une « forme de déception de la faiblesse des mesures annoncées : il n’y a pas pour l’instant de réponses très concrètes », a regretté le secrétaire général de la CFDT. De son côté, Yves Veyrier est resté sur « sa faim ». Les deux dirigeants, de même que Philippe Louis, président de la CFTC, ont toutefois tous les trois salué la décision du président de la République de maintenir le cap en matière de transition écologique.

14h46 : « Macron garde le cap, nous aussi ! », réagissent des « gilets jaunes »

« Macron garde le cap, nous aussi », ont clamé ce mardi une cinquantaine de « gilets jaunes » sur un rond-point de Trégueux (Côtes d’Armor). Ils entendent bien « continuer le combat, jusqu’à ce qu’il cède ».

« Ce qu’il dit, c’est de la poudre de Perlimpinpin ! Il parle depuis son palais, mais ici on a des mères de famille qui viennent nous dire qu’elles mangent une fois tous les deux jours, des retraités qui ne peuvent pas se chauffer et il parle de changer de voitures et de fenêtres ! », s'est insurgé l'un d'entre eux.

13h33 : Sans grande surprise, Jean-Luc Mélenchon n’a pas du tout aimé le discours d’Emmanuel Macron

Un président en « panne sèche », « hors-sol et hors réalité politique du pays »… Jean-Luc Mélenchon, le chef de file des Insoumis, est vent debout contre les propositions d’Emmanuel Macron pour sortir de la crise des gilets jaunes.

13h22 : Carburant, nucléaire, accompagnement des Français dans la transition énergétique… Revivez le discours du chef de l’Etat

Les réaction de Yannick Jadot..

discours-d-emmanuel-macron-les-reactions-politiques-20181127-1440-8c0fe4-0@1x

13h08 : L’écologiste Yannick Jadot « stupéfait » du discours de Macron

Il est l’un des rares politiques à soutenir la hausse de la fiscalité des carburants proposée par Emmanuel Macron. Et pourtant, Yannick Jadot a estimé ce mardi que le chef de l’Etat a laissé de côté la « justice sociale » dans son discours.

« Il n’y a eu aucune annonce de mesures d’accompagnement pour les Françaises et les Français, qui aujourd’hui souffrent du point de vue du pouvoir d’achat (…), de la fracture territoriale. Faire dans ce moment un discours sans justice sociale, sans mesures d’accompagnement, je dois dire que j’en suis totalement stupéfait », a réagi le député européen sur BFMTV.

12h57 : Des consultations cette semaine pour définir l’organisation de la « grande concertation de terrain »

Edouard Philippe va mener des consultations cette semaine à Matignon pour définir l’organisation de la « grande concertation de terrain » sur la transition écologique annoncée par Emmanuel Macron, a annoncé Matignon.

Le Premier ministre, qui sera par ailleurs l’invité de RMC/BFM TV mercredi matin à 8h30, a plusieurs rendez-vous programmés entre mardi et vendredi avec les différents organes du Conseil national de la transition écologique (CNTE), a précisé son entourage. Le Premier ministre commence ce mardi « une série de consultations » avec les membres et les six collèges du CNTE. Edouard Philippe va ainsi définir avec eux « la méthode de la concertation qu’ils mèneront sur les territoires partout en France », selon Matignon.

12h48 : Emmanuel Macron n’a pas parlé de l’ISF, souligne Fabien Roussel

Sur Twitter, Fabien Roussel, le nouveau leader du Parti communiste français, a souligné qu’Emmanuel Macron n’avait pas parlé de l’ISF.

12h47 : La concertation « va dans le bon sens mais ce n’est pas un signal assez fort

Au micro de BFMTV, Jason Herbert, l’un des porte-parole des « gilets jaunes », estime que la concertation de trois mois annoncée par Emmanuel Macron, « va dans le bon sens mais ce n’est pas un signal assez fort dans le sens où il y a vraiment une urgence de la situation ».

12h34 : Les politiques réagissent après le discours d’Emmanuel Macron

« Fermeture des centrales nucléaires repoussée à la Saint Glinglin, mensonges sur les soi-disant avantages de cette énergie dangereuse, entêtement dans la catastrophe industrielle et financière de l’EPR. Macron apporte la preuve de sa totale soumission au lobby nucléaire », a déclaré Jean-Luc Mélenchon, chef de file de La France Insoumise.

DtAG6fJW0AApIcz

« Les seules injustices sociales et fiscales seraient donc celles qui procèdent de la transition écologique ? Pas un mot sur la redistribution des richesses, le niveau des salaires et l’avidité mortifère de l’économie financiarisée », a déclaré Laurence Rossignol, sénatrice PS.

12h30 : François Rugy va recevoir mardi des représentants des « gilets jaunes » à la demande de Macron

Le ministre de la Transition écologique François de Rugy va recevoir, ce mardi après-midi, les représentants des « gilets jaunes » à la demande d’Emmanuel Macron, a indiqué l’Elysée dans un communiqué de presse.
Cette réunion au ministère se déroulera à la suite du discours du chef de l’Etat, qui a annoncé une « grande concertation de terrain sur la transition écologique et sociale ».

12h25 : Sur Twitter, les réactions de l’opposition s’enchaînent

Pour Nicolas Dupont-Aignan, le président de Debout la France, le président n’a annoncé « aucun plan de transition écologique à la hauteur des enjeux ». « Macron recycle des mesures insignifiantes et n’apporte aucune réponse à la détresse des Français. Pire, il gagne du temps en annonçant une concertation pipeau ! », estime le maire de Yerres.

Pour Adrien Quatennens, député LFI, le chef de l’Etat « reprend l’idée d’écologie populaire » proposée par la France insoumise. « Parfait ! Première étape indispensable pour sa mise en œuvre : en finir avec le Président des Riches », a-t-il ajouté.

12h16 : Le Haut-Conseil pour le climat installé ce matin

Emmanuel Macron a également installé, ce mardi matin, le Haut-Conseil pour le climat, composé de douze autres scientifiques, économistes, ingénieurs, et experts. Présidé par la climatologue franco-canadienne Corinne Le Quere, « il est chargé d’apporter un éclairage indépendant sur la politique du Gouvernement en matière de climat », a détaillé l’Elysée.

12h14 : Fin du monde ou fin du mois, « nous allons traiter les deux »

Fin du monde ou fin du mois, « nous allons traiter les deux », a assuré Emmanuel Macron, dans une référence à la nécessité de concilier les enjeux climatiques et sociaux évoqués par l’ex-ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot.

« Ce que je veux faire comprendre aux Français, notamment à tous ceux qui disent en quelque sorte "on entend le président de la République, on entend le gouvernement, ils évoquent la fin du monde et nous on parle de la fin du mois". C’est que nous allons traiter les deux, et que nous devons traiter les deux », a-t-il assuré.

11h49 : « Je crois que nous pouvons transformer les colères en solutions »

« Cette transition écologique qui vous fait peur, on peut la relever car on a les meilleurs acteurs au monde pour le faire, déclare le chef de l’Etat. Il faut écouter cette juste part de colère pour y répondre, car elle vient de loin. Je crois que nous pouvons transformer les colères en solutions », a-t-il ajouté en conclusion de son discours.

11h42: « Nous ne pouvons pas demander de manière indifférenciée : «baisser les taxes» et «créez-nous plus de crèches, plus de services publics» », estime Macron

11h39 : « La fiscalité sur les carburants va s’adapter aux fluctuations des prix », promet Macron

« Cette crise dit le sens profond du consentement à l’impôt, déclare le chef de l’Etat. Il faut faire la pédagogie de ce qu’est notre système. C’est le combat jumeau de la transition écologique : bâtir un nouveau contrat social du 21e siècle. On doit expliquer aux gens ce qu’il y a en face de leur argent. J’entends ceux qui travaillent avec des revenus modestes nous disent. Trop riches pour toucher des aides, pas assez pour vraiment être libres. Ces vies empêchées de celles et ceux qui travaillent mais pas assez pour vivre bien, on doit y apporter une réponse. C’est au cœur de la réponse qu’il me revient d’y apporter dans les prochains mois. Quand on commence à baisser la taxe d’habitation, c’est pour les classes populaires, mais ça ne va pas assez vite. Il faut intensifier cela pour répondre à l’impatience, procéder à des changements profonds. » « La fiscalité sur les carburants va s’adapter aux fluctuations des prix », a-t-il ajouté.

11h31 : « Il faut mieux accompagner les collectivités territoriales », déclare Emmanuel Macron

11h29 : « Nous devons rendre les choses simples », estime Macron

« Ce que dit cette crise, c’est que les réponses que nous apportons sont trop abstraites, reconnaît le chef de l’Etat. Nous devons rendre les choses tangibles et simples. Sans ça, la transition ne sera pas utilisée par les plus fragiles. Les propositions des citoyens feront partie du débat pour construire des solutions acceptables pour chacun. »

11h25 : Emmanuel Macron annonce « une grande concertation de terrain »

« Nous allons lancer une grande concertation de terrain », a annoncé Emmanuel Macron, qui « refuse une France à deux vitesses ». «Je souhaite que ce débat s’inscrive dans les territoires, qu’ils soient pleinement associés, pour avoir leur mot à dire, a-t-il ajouté. Pour faire des choix sur des propositions qui sont mises sur la table. Que tous les représentants des gilets jaunes, dans les régions, puissent y participer. (…) Il nous faut changer de méthode de travail parce que nombre de concitoyens considèrent qu’on leur impose le changement par le haut (…), a-t-il ajouté. J’entends la colère de certains concitoyens ».

11h19 : « 14 réacteurs nucléaires seront arrêtés d’ici 2035 », déclare Emmanuel Macron

11h14 : « Cessons de dire qu’il faut fermer les réacteurs nucléaires pour faire de la place aux renouvelables », estime Macron

« Reste le sujet du nucléaire. Le nucléaire nous permet aujourd’hui de bénéficier d’une énergie dé-carbonnée et à bas coût, a-t-il ajouté. Je n’ai pas été élu sur un programme de sortie du nucléaire mais sur une réduction de 50 % du nucléaire dans le mix énergétique. J’aurais aimé le faire d’ici 2025 mais c’est inatteignable. Nous gardons l’objectif mais repoussons le cap à 2035. Quatorze réacteurs seront arrêtés d’ici 2035. D’ici 2020, les deux réacteurs de Fassenheim seront arrêtés définitivement. »

11h10 : « La question fondamentale est celle de la production de notre électricité », estime Macron

« La question fondamentale est celle de la production de notre électricité, estime Emmanuel Macron. Si nous appelons nos concitoyens à rouler plus propre et consommer moins d’énergies fossiles, il faut nous poser la question de la production de notre électricité », a indiqué le président.

« A l’horizon 2030 le parc éolien français sera triplé, a-t-il ajouté. (…). La part des panneaux photovoltaïques sera multipliée par cinq. Nous développerons également l’éolien en mer et renforcerons notre production d’énergie hydraulique, une énergie à bas coût et de faible pollution ».

11h08 : « Nous allons fermer toutes les usines à charbon d’ici 2022 », s’engage Emmanuel Macron

« Nous allons fermer toutes les usines à charbon d’ici 2022 », s’est engagé Emmanuel Macron.

11h03 : « Il faut consommer moins d’énergie fossile », poursuit Emmanuel Macron

« Pour se désintoxiquer des énergies fossiles, il faut consommer moins d’énergie », estime le président.

11h01 : « Il faut sortir de la dépendance aux énergies fossiles », estime le chef de l’Etat

« Il faut sortir de la dépendance aux énergies fossiles », a déclaré Emmanuel Macron, qui appelle à « nous désintoxiquer des énergies fossiles ».

10h55 : « Je ne changerai pas d’avis », déclare Emmanuel Macron

« Je ne changerai pas d’avis, a déclaré Emmanuel Macron. On ne peut pas être le lundi être pour l’environnement et le mardi pour la hausse du prix du carburant ».

10h52 : Emmanuel Macron évoque « une situation d’urgence »

« La question climatique (…) crée pour l’humanité tout entière une situation d’urgence, a déclaré le chef de l’Etat. Nous avons une stratégie au niveau de l’Europe à poursuivre ».

« Nous devons atténuer ce qui conduit au réchauffement du climat, et œuvrer à la construction d’un modèle économique en conséquence, bâtir un modèle productif éducatif et social plus juste », a-t-il ajouté. « Depuis plusieurs semaines, un mouvement parti de la contestation des prix du carburant est né (…). Il a donné lieu à des violences inacceptables. Mais je ne confonds pas les casseurs et les concitoyens qui manifestent».

10h51: Emmanuel Macron commence son discours

10h47: Six mois de sursis pour avoir appelé à « charger les flics » à Calais

L’homme avait été interpellé, vendredi, en marge d’une manifestation de « gilets jaunes » sur l’autoroute A16.

Lisez notre article par ici.

10h44 : « Le président paumé invite les présidents de groupes parlementaires à faire tapisserie »

« Le président paumé invite les présidents de groupes parlementaires à faire tapisserie à l’heure des conférences des présidents de leur assemblée !, tweete Jean-Luc Mélenchon à quelques minutes du discours du chef de l’Etat. Tout ça pour répéter des annonces déjà faites et non intégrées dans le budget qui vient d’être voté à l’Assemblée. Le chaos, c’est lui ».

10h40: Une centaine de gilets jaunes délogés à Cherbourg

A Cherbourg (Manche), les forces de l'ordre ont délogé une centaine de gilets jaunes à la gare maritime qui bloquaient les accès aux camions souhaitant embarquer pour l'Angleterre, rapporte la presse locale.

10h38 : Marion Maréchal a défilé sur les Champs Elysée samedi

L’ancienne députée RN, Marion Maréchal, qui a lancé une école de sciences politiques à Lyon et refuse de revenir en politique, est allée manifester aux côtés des « gilets jaunes » samedi sur les Champs-Elysées, rapporte lundi Le Figaro.

La nièce de la présidente du Rassemblement national (RN, ex FN) explique qu’elle « n’a pas pu (s') en empêcher » d’aller manifester. « Cela faisait une semaine que ça montait ». « Je me suis dit que ça ferait un petit gilet jaune de plus. Mais quand je suis arrivée sur les Champs-Élysées, les vrais + gilets jaunes + étaient partis depuis longtemps. Le mouvement était totalement phagocyté par des militants d’extrême gauche. On entendait des : "A mort le capitalisme !" Si c’est ça l’ultra-droite, elle a bien changé », raconte l’ancienne élue.

10h36 : « Rencontrons-nous, convergeons », lance Fabien Roussel (PCF) aux gilets jaunes

« Rencontrons nous, discutons, convergeons », a lancé mardi le secrétaire national du Parti communiste, Fabien Roussel, à l’endroit des « gilets jaunes », en appelant à « un front uni » avec les syndicats.

« Je pense qu’il y aurait intérêt à ce que tout ce monde-là se rassemble, ce serait beau », a considéré le nouveau numéro un du PCF, qui a pris ses fonctions ce week-end.

10h25 : Appel à un blocage total pour l’arrivée d’Annick Girardin à La Réunion

Un appel au blocage total de l’île de La Réunion mercredi, jour de l’arrivée de la ministre des Outre-mer Annick Girardin pour aller à la rencontre des « gilets jaunes », circule sur les réseaux sociaux depuis mardi soir.

Alors qu’une trentaine de barrages étaient encore recensés mardi à la mi-journée par la Direction régionale des routes, les auteurs de l’appel veulent atteindre le chiffre de 300 barrages dans toute l’île et demandent à la population : « Restez chez vous ou venez aux barrages ».

10h19 : Le chef de l’État ne convaincra pas les « gilets jaunes » s’il « ne change pas de politique au fond », estime Dupont -Aignan

Si Emmanuel Macron, qui doit présenter son cap énergétique et écologique mardi matin, disait aux « gilets jaunes » « "je vous ai compris", ce serait déjà mieux que de décrire les manifestants comme des nazis ou des fascistes », a affirmé le souverainiste Nicolas Dupont-Aignan.

Pour autant, le chef de l’État ne convaincra pas les « gilets jaunes » s’il « ne change pas de politique au fond », a ajouté le président de Debout la France, mardi, sur Radio Classique.

« S’il y a une telle révolte dans le pays, (c’est) le résultat des choix qu’il a faits. Et il doit à un moment se demander si ces choix ont été les bons », a ajouté le député de l’Essonne, ancien soutien de Marine Le Pen au second tour de la présidentielle en 2017.

« Ce qui est important, c’est que ces réformes soient partagées de manière juste et efficace. Or, elles ne sont ni justes, ni efficaces », a jugé M. Dupont-Aignan. « À un moment, quand on tire sur la corde trop, elle casse ».

10h15 : Xavier Bertrand appelle Emmanuel Macron à renoncer à la hausse des taxes

Seul président de région à ne pas avoir cosigné la tribune réclamant un moratoire sur la hausse des prix des carburants, Xavier Bertrand appelle finalement lui aussi le chef de l’Etat à renoncer « à la hausse des nouvelles taxes sur les carburants », estimant que « la transition écologique ne peut réussir que si elle respecte et préserve le pouvoir d’achat des Français ».

10h10 : Douze présidents de régions demandent des « mesures d’urgence »

Douze des treize présidents de régions, de droite comme de gauche, interpellent l’exécutif sur le mouvement des « gilets jaunes » et demandent des « mesures d’urgence ». « Ce serait une très grave erreur de caricaturer leur révolte en un mouvement extrémiste manipulé par l’ultradroite ou l’ultragauche », expriment les élus dans une tribune à paraître mardi dans l’Opinion, avant le discours attendu du président Emmanuel Macron.

Ils appellent l’exécutif à « changer de discours, reconnaître la souffrance de nos compatriotes, et pas la nier (…), prendre des mesures d’urgence et en premier lieu un moratoire sur la hausse des taxes au 1er janvier ».

10h08 : Le gouvernement ne recevra pas les représentants des « gilets jaunes »

Le gouvernement ne recevra pas les représentants des « gilets jaunes » « en l’état actuel des discussions », a indiqué Benjamin Griveaux mardi, soulignant que certains manifestants « contestent leur légitimité ».

« Une fois qu’ils seront organisés et qu’il n’y aura plus de contestation, j’ai dit hier que nous étions ouverts au dialogue, et nous le serons », a-t-il ajouté sur franceinfo, jugeant que « le bon échelon pour commencer, c’est le territoire ». Lundi, une « délégation » de huit « communicants officiels » a été créée mais elle ne fait pas l’unanimité au sein du mouvement.

10h05 : Emmanuel Macron s’exprimera à 10h30

Bienvenue dans ce live, suivez l’actualité de la journée en direct avec nous

Ce mardi matin, le chef de l’Etat doit prononcer un discours qui « fixera le cap de la transition énergétique et définira la méthode de construction d’un pacte de la conversion écologique en France », selon l’Elysée.

Dans le même temps, les gilets jaunes poursuivent leur mobilisation nationale, et sont dubitatifs quant aux mesures qui devraient être annoncées par le chef de l'Etat.

870x489_maxnewsworldfour671661

EN DIRECT - Les gilets jaunes pas convaincus par Rugy, rendez-vous maintenu sur les Champs-Elysées samedi

7795725589_emmanuel-macron-a-livre-un-discours-a-l-elysee-le-27-novembre-2018

Le chef de l'Etat a pris la parole ce mardi, depuis le palais de l'Elysée, pour présenter une transition écologique acceptable et tenter d'apaiser les tensions avec les gilets jaunes.

7954725_03ed8962-f237-11e8-9d41-0c87b1d40bf7-1

"Une rencontre très cordiale, très libre" pour le ministre 

Le ministre de la Transition écologique François de Rugy a quant à lui considéré que la discussion avec les deux représentants des gilets jaunes avait été "très cordiale, très libre, nous avons pu échanger sur l'ensemble des sujets"

"Je leur ai dit que j'étais disponible pour rencontrer une délégation plus large" a encore déclaré le ministre à la presse à sa sortie, rapportant que "leurs revendications vont très au-delà de la transition écologique, des carburants".

gilets jaunes qui manifestent depuis dix jours. Il a assuré entendre les mécontents mais a surtout réaffirmé ses positions.  

Photo-François-de-Rugy-Brune-Poirson-deux-représentants-gilets-jaunes-mardi27-nov-18

Les gilets jaunes pas convaincus par Rugy appellent à manifester

manifestation-des-gilets-jaunes-au-rond-point-de-girac

Les deux représentants du mouvement des gilets jaunes sont sortis déçus de leur rencontre avec le ministre de la Transition écologique François de Rugy ce mardi soir. "Ce sera un premier dialogue. On a apporté le message de tous les gilets-jaunes" ont déclaré Priscilla Ludosky et Eric Drouet, porte-parole des gilets-jaune à leur sortie. 

"Les Français n'ont pas du tout été convaincus" par les annonces de président Emmanuel Macron. Le sentiment qu'on a c'est qu'il n'y a pas de réelle envie d'améliorer le quotidien des gens (...) On aimerait qu'il y ait un second rendez-vous avec Benjamin Griveaux ou Edouard Philippe" ont-ils encore déclaré. "On nous proposera un rendez-vous à un niveau plus élevé". 

Puis les deux porte-parole on appelé au maintien de la manifestation prévue samedi prochain sur les Champs-Elysées. "Le souhait des gilets jaunes est de continuer chaque samedi" ont-il fait savoir.

8966a251c4f83243354c73e82cd3e

Les deux représentants des gilets jaunes sont arrivés au ministère de la transition écologique

Priscillia Ludosky et Eric Drouet, désignés lundi avec six autres personnes porte-paroles des gilets jaunes, sont arrivés à 20 heures au ministère de la Transition écologique pour un entretien avec le ministre François de Rugy, à l'invitation d'Emmanuel Macron.

"Un peu de décence": Benjamin Griveaux répond aux attaques de Marine Le Pen

Après le discours d'Emmanuel Macron mardi, Marine Le Pen a dénoncé une "déconnexion totale" du président de la République avec les Français. Une sortie qui a visiblement déplu au porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux: "Quand on a grandi dans un hôtel particulier qu’on a hérité de tout, il faut un peu de décence parce qu’il y a des gens qui sont vraiment dans la galère et il faut leur proposer de vraies solutions et pas des effets de tribunes", a-t-il assuré sur notre antenne.

"Qu’elle vienne débattre à l’Assemblée nationale. Elle quitte toujours les questions au gouvernement avant même qu’on ait finit de répondre pour pouvoir se précipiter devant les caméras et faire un bon mot. Ce n’est pas avec des bons mots qu’on va permettre aux gens de boucler les fins de mois et de ne pas être dans le rouge à la banque le 15 du mois", a ajouté Benjamin Griveaux.

dtajukiwkaexmei

Le porte-parole du gouvernement a également assuré que la transition écologique était nécessaire et difficile à faire: "C'est le rôle de notre génération amis eux ils s'en moquent. Nous nous travaillons pour la génération qui vient".

Yannick Jadot estime que la "fiscalité écologique" n'est pas responsable des problèmes de pouvoir d'achat..

Le député européen d'Europe Ecologie Les Verts Yannick Jadot, a estimé ce mardi sur notre antenne que la fiscalité écologique et la taxe carbone n'étaient pas responsables des problèmes de pouvoir d'achat des Français.

"Je ne veux pas que la lutte contre le dérèglement climatique et pour la santé, soit l'exutoire des revendications pour le pouvoir d'achat et contre les inégalités", a-t-il martelé.

"Les problèmes de pouvoir d'achat, d'inégalités sociales dans notre pays, ce n'est pas la fiscalité écolo", a ajouté Yannick Jadot.

7112433_collagemacronphilippe_1000x625

"Gilets jaunes" : comment ont-ils accueilli le discours d'Emmanuel Macron ?

RÉACTIONS - Le président de la République s'est adressé aux manifestants depuis l'Élysée mardi 27 novembre. À Ligny-en-Barrois, dans la Meuse, les "gilets jaunes" n'ont pas forcément été convaincus par ce discours.

7795725589_emmanuel-macron-a-livre-un-discours-a-l-elysee-le-27-novembre-2018

PUBLIÉ LE 27/11/2018 À 16:12 MIS À JOUR LE 27/11/2018 À 17:14

"Je vous ai entendu", a proclamé Emmanuel Macron ce mardi 27 novembre à l'Élysée, lors d'un discours sur la transition écologique. Le chef de l'État s'est notamment adressé aux manifestants dumouvement "gilets jaunes" présentant son programme de transformation écologique. Un discours pas forcément bien accueilli par les manifestants, loin d'être convaincus par les propositions du président de la République.

"Les gens comme moi qui travaillent en restauration, vous voulez qu'ils fassent comment à 23h30, minuit, quand il n'y a plus de bus ? On prend la voiture forcément !" réagit un "gilet jaune" à Ligny-en-Barrois dans la Meuse, concernant le plan de mobilité en milieu rural, proposé par Emmanuel Macron.

"Il est en train d'endormir tout le monde ! Il parle d'écologie, c'est normal ! Tout le monde est pour l'écologie, qui peut être contre ? Par contre, il n'apporte aucune solution contre les classes moyennent et les classes pauvres" s'indigne un autre manifestant de la Meuse.

Au terme du discours du président de la République, l'Élysée a fait savoir qu'une délégation des "gilets jaunes"sera reçue dans les prochaines heures, ce mardi, par le ministre de la Transition écologique, François de Rugy.

"Macron garde le cap, nous aussi"

Une cinquantaine de "gilets jaunes", installés dans leur nouveau "quartier général", sur un rond-point à Trégueux dans les Côtes d'Armor, entendent bien "continuer le combat". "Ce que dit Macron, c'est de la poudre de Perlimpinpin ! Il parle depuis son palais, mais ici on a des mères de famille qui viennent nous dire qu'elles mangentune fois tous les deux jours, des retraités qui ne peuvent pas se chauffer et il parle de changer de voitures et de fenêtres !", s'insurge Bruno Herry, 44 ans, employé de pompes funèbres. 

"Il a attendu aujourd'hui pour dialoguer alors que ça fait plus d'une semaine qu'on est dans la rue dans le froid, sous la pluie, en train de manifester, est-ce que c'est normal de la part d'un président ?", s'emporte Yoann Allard, ouvrier agricole de 30 ans. 

Comme lui, "les gilets jaunes" ont décidé de ne pas céder.Sur la "façade" du nouveau "quartier général", le mot d'ordre s'affiche en grosses lettres : "Les Bretons gardent le cap".

s1m_reactions_macron_gilets_jaunes-00_00_09_07-3967407

Macron veut adapter la hausse des taxes à l'évolution des cours

MATTHIEU ORPHELIN (LREM)

C'est un proche de Nicolas Hulot, et l'un des plus écolos des députés de la majorité. Mais il est "déçu" par les annonces du Président. "Le diagnostic est bon, mais je reste sur ma faim sur les mesures annoncées. Les solutions, elles sont connues."

porte-parole-fe2340-0@1x

Toutes les démocraties contemporaines ont à affronter les même problèmes, selon Macron

« Nous avons à bâtir un nouveau contrat social et rebâtir la confiance dans notre société (…) Nous devons rebâtir une plus grande efficacité de service public en dépensant moins pour pouvoir plus rapidement baisser les impôts et leurs taxes».

«Les problèmes qui se posent aujourd’hui à la France ne se pose pas aujourd’hui (…) Ces questions qui remontent à la surface n’ont jamais été traitées (…) Il faut pouvoir traiter ces sujets. Aucun n’est un problème d’expert mais de citoyens conscients et responsables», souligne le président. «Ces problèmes, toutes les démocraties contemporaines ont à les affronter», affirme Emmanuel Macron qui cite l’exemple du Brexit.

«La stratégie du gouvernement est la bonne»

«La stratégie du gouvernement depuis un an et demi est la bonne. Mais nos concitoyens nous disent que ça ne va pas assez vite. Il faut accélérer et accentuer ces projets pour répondre à l'impatience légitime de ceux qui travaillent dur. Il faut faire mieux et plus de service avec moins».

«Beaucoup de relais d’opinions ont renoncé à faire de la pédagogie»

«Cette crise nous dit que nous devons arriver à une conversion mentale de tous les décideurs (…) Beaucoup de relais d’opinions ont renoncé à faire de la pédagogie. Il faut faire de la pédagogie à nouveau sur ce qu’est notre système. Il nous faut bâtir un nouveau contrat social du XXIe siècle», a lancé Emmanuel Macron.

«Je ne me déroberai pas»

Face aux «ressentiments» qu'expriment les «gilets jaunes», «je ne me déroberai pas», assure Emmanuel Macron. «Je n'aurai aucune faiblesse à l'égard de ceux qui cherchent la violence. À l'égard de ceux-là, le message est clair: l'ordre publique est l'ordre publique. Mais il y a dans ce qui s'exprime quelque chose qui vient de plus loin, de plusieurs décennies. L'idée que je me fais de ma mission m'empêche de me cacher derrière la responsabilité des autres. Je crois comprendre très profondément les attentes et les frustrations, ces rancunes que ressentent les concitoyens. Des vies bloquées par les taxes, les normes, par une perte de sens de ce qu'est l'aventure collective d'une nation. Ceci vient de loin. Notre devoir c'est d'y apporter une réponse. Elle ne se fait pas en un coup. Mais au-delà de ce que je propose aujourd'hui, je crois profondément que ce qui a été dit doit être entendu plus profondément». D'après le chef de l'État, la société «veut qu'on lui apporte des solutions et pas des normes». 

«Les solutions viendront de la base»

« Il faut une stratégie budgétaire concrète. Nos concitoyens se disent : «ils parlent de la fin du monde et nous on parle de la fin du mois. Pendant des années on a considéré que vous n’étiez pas assez important (...) Ce que vous dites c’est stop et je l’entends et on doit changer de méthode. Les solutions viendront de la base. L’ambition gouvernementales est là et je suis prêt à la revoir à la fin des 3 mois. Je vous confie un mandat clair pour construire ensemble ces mécanismes d’accompagnement et faire que la transition soit juste», a reconnu le président. 

Macron veut construire un «agenda de solutions»

«Nous devons garder ce cap mais le rendre acceptable. Le changement de méthode est d'apporter des solutions concrètes et accessibles pour chacun de nos concitoyens. C'est mieux accompagner les territoires dans la transitions. Nous systématiserons les contrats de transition énergétique entre État et collectivités, en impliquant les acteurs du terrain pour redonner des perspectives. Ça suppose d'impliquer les entreprises, de prévoir les financements, des mécanismes de substitutions, pour construire des emplois». 

«Cette méthode, c'est bâtir durant les trois mois qui viennent, en mobilisant les territoires, les acteurs économiques et industriels, sociaux et patronaux, une véritable de transition qui soit un agenda de solutions et un agenda de protection. C'est le début de la transformation de notre modèle économique et social». 

«Les réponses que nous leur apportons sont trop abstraites»

«Nous devons apporter des réponses concrètes. J’entends la colère qui a sa part de légitimité. Le problème que nous avons aujourd’hui c’est la déclinaison pragmatique de nos propositions. Nous devons trouver des méthodes d’accompagnements pour rendre nos solutions concrètes» a lancé Emmanuel Macron. «Je veux qu’on leur apporte de vraie solutions accessibles» pour que les gens puissent changer de voitures ou de chaudières a défendu Emmanuel Macron. 

« Les réponses que nous leur apportons sont trop abstraites. Il ne savent comment utiliser le chèque énergie et en réalité moi  non plus ! » a concédé le président avant d’ajouter : « C’est aussi pour cela que les gens ne l’utilisent pas. Il nous faut rendre les choses tangibles, assez simples. Il nous faut apporter des solutions pragmatiques pour que ce soit une réalité tangible ».

Macron veut adapter la hausse des taxes à l'évolution des cours

«Ce que je retiens» de la manifestation des «gilets jaunes», «c'est qu'il ne faut pas renoncer au cap, juste et nécessaire, mais changer de méthode de travail», admet Emmanuel Macron. «Nos concitoyens pensent qu'on leur impose ce cap d'en haut, sans leur apporter de solutions. J'entends la grogne, qui s'est focalisée sur le prix des carburants. En même temps que l'augmentation de la taxe, votée par le parlement, s'est ajoutée la hausse des prix mondiaux des carburants. Il nous faut construire une méthode pour nous mettre à l'abri de tels phénomènes et adapter la hausse des taxes à l'évolution des cours», annonce le président de la République. 

«Il faut construire une méthode pour rendre plus intelligente cette taxe et avoir tous les trimestres un rendez-vous pour atténuer les effets pour nos concitoyens. Nous devons aussi apporter des réponses concrètes. C'est ce que j'attends des trois mois à venir».

Le dispositif permettant d'ajuster la fiscalité sur les carburants à l'évolution des prix sera discuté lors de l'examen en deuxième lecture du projet de loi de finances pour 2019, annonce l'Elysée. 

Main tendue vers les «gilets jaunes»

Dans les 3 prochains mois, le président souhaite que les associations et hommes politiques puissent «mettre au point une méthode de construction pour apporter des solutions concrètes. Je souhaite un débat national inscrit dans les territoires. Je souhaite une stratégie accompagnement, partout sur nos territoires et sur les réseaux sociaux pour faire des propositions», souligne Emmanuel Macron. «Je souhaite aussi que des représentants des «gilets jaunes» puissent aussi «proposer des solutions».

Macron veut une «écologie populaire»

«Je refuse que s'installe une France à deux vitesses où les plus modestes devront payer davantage. Je refuse que la transition écologique accentue l'inégalité entre les territoires. C'est cela au fond la crainte exprimée par nombre de nos concitoyens ces derniers jours. Etre laissés pour compte. Cette crainte, je ne peux que la comprendre et la partager. Tout sera mis en oeuvre pour accompagner socialement cette transition, pour que l'écologie soit une écologie populaire.»

Une stratégie européenne de production des batteries de véhicules électriques

«Nous devons poursuivre nos recherches», a encouragé Emmanuel Macron. «Je demande à EDF de travailler sur un nouveau nucléaire, d’intensifier nos recherches dans le nucléaires mais aussi dans le secteur du renouvelable et dans le stockage de l'énergie», souligne le président.« Il faut plus d’indépendance dans la production des batteries des véhicules électriques. Il faut une stratégie franco-allemande, au moins, et au mieux une stratégie européenne», défend le président.

La part du nucléaire ramenée à 50% en 2035

«La montée en puissance des renouvelables en France est inéluctable et n'est en aucun cas liée au rythme de fermeture des centrales. Cessons de dire qu'il faut forcer la fermeture des réacteurs pour que les énergies renouvelables trouvent leur place. Ce n'est pas le cas». «Je ne veux pas que nous précipitions à fermer des centrales si c'est pour réimporter de l'énergie et dépendre d'autres économies». 

«Je n'ai pas été élu sur un programme de sortie du nucléaire mais sur une réduction du nucléaire dans le mix énergétique. J'aurais aimé le faire dès 2025. Nous maintenons le cap des 50% mais repoussons l'échéance à 2035". Pour cela, 14 réacteurs de 900 mégawatt seront arrêtés en 2035, dont les deux de Fessenheim qui le seront à l'été 2020. Deux réacteurs pourraient être arrêtés dans le prochain quinquennat, en 2025-2026, si la sécurité d’approvisionnement est assurée et si nos voisins européens accélèrent leur transition énergétique, a précisé le chef de l’Etat. Deux réacteurs seront arrêtés en 2027-2028, a-t-il ajouté, et quatre à six réacteurs seront fermés avant 2030, selon l’évolution des marchés de l’électricité et des systèmes électriques de nos voisins, a-t-il ajouté. Les réacteurs concernés seront définis par la suite, a dit le chef de l’Etat. «Je fixe d'emblée à EDF une règle: aucune fermeture complète des sites. Réduire la part du nucléaire ce n'est pas renoncer au nucléaire. Il reste une piste prometteuse pour une énergie fiable, décarbonée, et à bas coût».

Par ailleurs, la France ne va pas décider dans l'immédiat la construction de réacteurs nucléaires de nouvelle génération EPR supplémentaires, et attendra au moins 2021. «Le cap est donc donné. Nous le tiendrons car il est conforme à nos engagements internationaux».

La stratégie reposera sur l’essor des énergies renouvelables

«Nous devons transformer notre production d’électricité», a indiqué Emmanuel Macron. «C’est un défi encore plus important demain avec plus de véhicules électriques». Il a évoqué «un mix électrique qui reposera évidemment sur l’essor des énergies renouvelables». Le soutien à ces énergies va passer de 5 milliards actuellement «à 7 à 8 milliards d'euros par an». Le parc d’éolien devra être triplé d'ici 2030 et le photovoltaïque devra lui être multiplié par cinq. «L’éolien en mer sera aussi développé», a précisé le président, il a évoqué quatre nouveaux appels d’offres d’ici la fin du quinquennat et veut aussi renforcer l’énergie hydraulique.

«L'ensemble des centrales à charbon fermées d'ici 2022»

«Il faut réduire nos consommations d'énergie et le faire de manière concertée en prévoyant les investissements publics et en apportant des solutions adaptées et concertées», indique le président de la République. «Il faut aussi pour réussir cesser de produire ces énergies carbonées sur nos territoires. l'ensemble des centrales a charbon seront fermées d'ici 2022», annonce-t-il. «Si nous atteignions ces objectifs, nous aurons réalisé une grande partie du chemin en matière de climat. Mais pour continuer à nous déplacer, à nous chauffer, il faut être capable de produire des énergies de substitution et c'est cela l’objectif de cette PPE». 

«Développer l’innovation sur tous les territoires»

«On utilise les énergies fossiles pour se chauffer, notre stratégie est d’encourager la construction basse consommation. Mais nous devons aussi encourager de meilleures isolations sur les vieux bâtiments, les commerces, logements… » Le président rappelle que « 9 milliards d’euros ont été alloués dans le cadre du plan investissement mais que les résultats sont trop timides, «nous devons accélérer». «Nous voulons, renouveler toutes les chaudières au fioul d’ici 10 ans, nous voulons des solutions. J’ai vu de nombreux projets dans nos régions, à l’avant-garde de l’industrie bas carbone ». il a ensuite prôné le développement des innovations sur les territoires. 

PR6

congres-suivez-le-discours-d-emmanuel-macron-en-direct_4051776

 

 

dtaehaqw0aeiqjv

Les «gilets jaunes» maintiennent la manifestation samedi sur les Champs-Élysées

Par  3 Auteurs 

Mis à jour le 27/11/2018 à 22:59  

Publié le 27/11/2018 à 07:06

de-rugy-gilets-jaunes-wargon-poirson-550a0c-0@1x

Le ministre de la Transition écologique et solidaire François de Rugy et la secrétaire d'État Brune Poirson reçoivent deux représentants des «gilets jaunes» au ministère de la Transition écologique et solidaire, ce mardi 27 novembre. JACQUES DEMARTHON / AFP

À la suite des annonces du président de la République ce matin visant à apaiser les "gilets jaunes", le ministre de la Transition écologique a reçu deux représentants du mouvement.

DtCGHi9WkAADVo4

Ce qu'il faut retenir de la journée

C’est la fin de ce live. Merci de l’avoir suivi avec nous !

Voici ce qu’il faut retenir de la journée :

Après dix jours de mobilisation des «gilets jaunes», Emmanuel Macron a profité ce matin de la présentation de la Programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE) pour faire quelques annonces visant à apaiser la grogne sociale. Des réponses concrètes, «adaptées aux territoires», seront en outre apportées dans trois mois à l'issue d'une «grande concertation de terrain sur la transition écologique et sociale», a indiqué le chef de l'État.

Lire aussi » Nucléaire, taxes sur les carburants... Ce qu'il faut retenir des annonces de Macron

Lire aussi » Sondage : 3 Français sur 4 jugent les mesures annoncées par Macron insuffisantes

8966a251c4f83243354c73e82cd3e

A 20h, François de Rugy, le ministre de la Transition écologique et solidaire a reçu deux représentants des "gilets jaunes". "La discussion a été très cordiale, très libre, nous avons pu échanger sur l'ensemble des sujets qu'ils souhaitaient", rapporte le ministre. "Il y a un besoin très fort chez eux d’être entendus, de pouvoir donner leur avis sur la question des taxes, sur les questions de niveaux de vie. Leurs revendications vont très au-delà de la transition écologique et de la hausse des prix des carburants", explique François de Rugy.

Eric Drouet, l'un des deux porte-parole a appelé, à la sortie de la réunion, à une nouvelle manifestation samedi prochain à Paris, sur les Champs-Élysées.

Un porte-parole des «gilets jaunes» reçu par Rugy appelle à manifester samedi à Paris

Eric Drouet, l'un des deux porte-parole des "gilets jaunes" reçus mardi soir par le ministre de la Transition écologique et solidaire François de Rugy, a appelé à une nouvelle manifestation samedi prochain à Paris, sur les Champs-Élysées.

"Les Français n'ont pas du tout été convaincus" par les annonces de président Emmanuel Macron, a-t-il déclaré à l'issue de la réunion, réclamant en outre une nouvelle rencontre avec "le porte-parole du gouvernement ou le Premier ministre".

La manifestation de samedi prochain à laquelle appellent certains "gilets jaunes" est du coup "maintenue", a-t-il soutenu. "Il y aura le rendez-vous, comme samedi dernier, aux Champs-Elysées. Le souhait de tous les 'gilets jaunes' c'est de continuer chaque samedi comme ça, aux Champs-Elysées".

Reçue avec lui au ministère, une autre porte-parole du mouvement, Priscilla Ludosky, a déclaré avoir réclamé à François de Rugy une nouvelle réunion, en présence cette fois du "porte-parole du gouvernement ou le Premier ministre".

Elle a également évoqué la volonté que "chaque grande région trouve ses représentants" pour parler au nom du mouvement.

François de Rugy s'exprime à la sortie de sa réunion avec des «gilets jaunes»

"Ils nous ont bien expliqué qu'ils n'étaient pas représentatifs de l'ensemble du mouvement, explique le ministre de la Transition écologique et solidaire. Je leur ai dit que j'étais disponible pour rencontrer une délégation plus importante quand ils pourront la constituer", poursuit-il. 
"La discussion a été très cordiale, très libre, nous avons pu échanger sur l'ensemble des sujets qu'ils souhaitaient", rapporte le ministre. "Il y a un besoin très fort chez eux d’être entendus, de pouvoir donner leur avis sur la question des taxes, sur les questions de niveaux de vie. Leurs revendications vont très au-delà de la transition écologique et de la hausse des prix des carburants", explique François de Rugy.

Six des huit porte-parole des «gilets jaunes» n'ont pas pu venir à Paris pour rencontrer François de Rugy

Selon nos informations, si seulement deux des huit porte-parole des "gilets jaunes" se sont déplacés pour rencontrer François de Rugy ce mardi soir, c'est parce que les six autres vivent en province et ayant été pris de court par l'invitation n'ont pas eu le temps de s'organiser pour se rendre dans la capitale. 

porte-parole-fe2340-0@1x

Les profils des deux porte-parole des «gilets jaunes» reçus par François de Rugy

Priscillia Ludosky, 32 ans, est à l'origine de la pétition contre la hausse des taxes sur le carburant. À ce jour, son initiative a recueilli près d'un million de signatures. Habitante de Savigny-le-Temple (Seine-et-Marne), cette autoentrepreneuse a récemment monté sa société de vente en ligne de cosmétiques bio et de conseils en aromathérapie. Samedi dernier, elle est allée manifester sur les Champs-Élysées, où de nombreuses dégradations ont eu lieu. «Les mesures annoncées par le gouvernement n'ont fait qu'envenimer les choses car elles ne correspondent pas du tout aux attentes des gens. L'erreur de nos dirigeants est de ne pas aller vers ces gens-là, de ne pas avoir entamé le dialogue. La notion de discussion n'existe même pas. Ils ont ainsi laissé la situation se dégrader», confiait-elle au Parisien vendredi dernier.

Éric Drouet, 33 ans est aussi un des initiateurs du mouvement. Il est à l'origine des manifestations dans toute la France le 17 novembre. Il a également lancé le deuxième acte de la mobilisation, samedi. Ce chauffeur routier est déjà intervenu sur BFMTV avec Jean-Jacques Bourdin. Mais sa performance n'a pas convaincu, lui valant plusieurs critiques sur les réseaux sociaux. Depuis, ce père de famille originaire de Melun (Seine-et-Marne) cantonne ses interventions à sa page Facebook «La France énervée», sur laquelle il diffuse régulièrement des vidéos massivement partagées. «Rien ne sera décidé par les huit personnes de la délégation. Il n'y a pas de représentants, que des porte-parole», a-t-il prévenu après la diffusion du communiqué.

Lire aussi » Les étonnants profils des huit porte-parole des «gilets jaunes»

Hier à 20:15

Les représentants des «gilets jaunes» sont arrivés au ministère de la Transition écologique et solidaire

Deux représentants des "gilets jaunes", Priscillia Ludosky et Eric Drouet, sont arrivés vers 20 heures au ministère de la Transition écologique et solidaire pour rencontre le ministre François de Rugy. Cette rencontre était initialement prévue à 19 heures.
L'Elysée avait indiqué plus tôt dans la journée que le chef de l'Etat Emmanuel Macron ne recevrait pas lui-même des représentants des "gilets jaunes", mais qu'il en avait confié le soin à François de Rugy.

Jacline Mouraud porte plainte pour menaces

Jacline Mouraud, figure emblématique des "gilets jaunes" a porté plainte, lundi 26 novembre, pour "menace" et "diffamation" auprès de la gendarmerie de Guer (Morbihan), selon franceinfo
Elle affirme avoir reçu deux courriers "anonymes" et "menaçants" dans sa boîte aux lettres, indique franceinfo. 

Situation tendue à La Réunion avant l’arrivée d’Annick Girardin

Annick Girardin, ministre des Outre-mer, arrive mercredi à La Réunion où des affrontements ont éclaté mardi sur plusieurs barrages routiers entre "Gilets jaunes" et forces de l’ordre, au onzième jour du mouvement social qui paralyse l’île.

Contrairement aux journées précédentes, les gendarmes mobiles ont chargé pour lever des barrages sur les routes nationales, en plusieurs endroits de l’île. Un collectif de "Gilets jaunes" a condamné "avec fermeté l’attitude militaire de l’Etat face à un mouvement pacifique et structuré".

Dans une interview accordée à franceinfo, à Paris, en milieu de journée, la ministre des Outre-mer a réaffirmé sa volonté d’aller à la rencontre des Réunionnais "sur tout le territoire", à commencer par "les premiers Gilets jaunes" qu’elle rencontrera sur le barrage qui filtre depuis le 17 novembre l’accès à l’aéroport Roland-Garros de Saint-Denis.

Annick Girardin a également annoncé qu’elle apporterait "des réponses sur l’emploi et sur le pouvoir d’achat" aux revendications multiples et peu précises des "Gilets jaunes" réunionnais.

"Gilets jaunes" : la réunion avec De Rugy prévue à 19h

Une réunion entre le ministre de la Transition écologique et solidaire, François De Rugy, et deux représentants des "gilets jaunes", Priscillia Ludosky et Eric Drouet, se tient ce soir à 19h.

Cette rencontre avait été évoquée ce matin par le président de la République. Quelques heures plus tôt, le porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux, avait pourtant déclaré que les "gilets jaunes" ne seraient reçus ni à Matignon, ni à l'Elysée.

Engie globalement satisfait, malgré quelques "réserves"

Engie a exprimé sa satisfaction globale après la présentation de la feuille de route énergétique de la France jusqu'à 2028 malgré quelques "réserves", sur l'éolien flottant ou les prix du biométhane.

"Nous devons saluer les annonces faites aujourd'hui par le président de la République et le gouvernement, qui rejoignent très largement la stratégie qu'Engie a développée en matière de transition énergétique", a déclaré Didier Holleaux, directeur général adjoint, lors d'une conférence téléphonique. Didier Holleaux a salué notamment "la place importante confiée au gaz et la réaffirmation de l'objectif de 10% de biométhane à l'horizon 2030" même si "nous aurions été prêts à soutenir une trajectoire plus ambitieuse". Il a aussi demandé que la baisse des prix exigée par le gouvernement soit "raisonnable et adaptée au type de projet qu'on développe". Engie s'est par ailleurs réjoui des ambitions de développement des énergies renouvelables électriques, dans l'éolien terrestre et le photovoltaïque.

"Sur l'éolien en mer, nous souhaiterions vivement - et ça n'a pas été précisé à ce stade - que l'éolien flottant fasse partie des solutions qui seront développées et qui feront l'objet d'appels d'offres", a toutefois indiqué Didier Holleaux.

L'Allemagne "se réjouit" de la fermeture de Fessenheim

La ministre allemande de l'Environnement a salué mardi l'annonce de la "fermeture définitive" de la centrale nucléaire de Fessenheim à l'été 2020, la plus ancienne de France et située à la frontière avec l'Allemagne. La ministre, Svenja Schulze, reste toutefois prudente : "Ce qui compte maintenant, c'est que les mots soient suivis par des actes", écrit-elle sur Twitter.

Bundesumweltministerium

✔@bmu

BM @SvenjaSchulze68 zur Ankündigung des -Präsidenten: „Es ist erfreulich, dass Präsident @EmmanuelMacron sich persönlich dafür verbürgt, Fessenheim im Sommer 2020 zu schließen. Wichtig ist jetzt, dass diesen Worten auch Taten folgen.“

Süddeutsche Zeitung

✔@SZ

Das französische Atomkraftwerk Fessenheim in der Nähe von Freiburg soll 2020 geschlossen werden. Deutschland fordert bereits seit Jahren die Abschaltung des pannenanfälligen Reaktors. Bis 2035 will Frankreich weitere Kraftwerke vom Netz nehmen . https://sz.de/1.4228807 

15

14:29 - 27 nov. 2018

Informations sur les Publicités Twitter et confidentialité

Voir les autres Tweets de Bundesumweltministerium
Emmanuel Macron a annoncé mardi dans le cadre des grands arbitrages de la Programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE) que "l'arrêt définitif" des deux réacteurs de Fessenheim se ferait "à l'été 2020".

Le ministère allemand de l'Environnement avait plusieurs fois dans le passé fait part de ses inquiétudes quant aux risques liés à l'ancienneté de l'installation alsacienne. L'Allemagne s'est engagée dans un projet de transition énergétique et le dernier de ses huit réacteurs nucléaires en service doit s'arrêter en 2022.

Après sa chute, l'action EDF se ressaisit

Le cours de Bourse d’EDF qui avait plongé de plus de 4% après le discours d’Emmanuel Macron sur la transition énergétique s’est finalement ressaisi dans l’après-midi en limitant son repli de moins de 1% seulement vers 16H00.

Plusieurs annonces du chef de l'Etat ont pu inquiéter les investisseurs, comme la réduction de la part du nucléaire dans le mix énergétique français ou l'arrêt de réacteurs. Pour autant, les investisseurs ont visiblement repris confiance, en cette fin d'après-midi.

Financement des véhicules "verts" : les banques prêtes à jouer le jeu

Interpellées ces derniers jours pour soutenir davantage la transition énergétique, les banques françaises travaillent à une adaptation de leurs offres de crédit pour favoriser le financement des véhicules "verts", a indiqué mardi à l'AFP la Fédération bancaire française (FBF).

L'objectif est de "mieux accompagner les Français dans la transition énergétique, dans le respect du droit de la concurrence", a expliqué un porte-parole de la FBF, qui a ajouté que les établissements bancaires "travaillent actuellement pour intégrer le préfinancement de la prime à la conversion dans leurs offres de crédit". Concrètement, le mécanisme envisagé permettrait d'étendre la capacité d'emprunt des demandeurs de crédit. 

Ces déclarations interviennent à la suite de plusieurs appels de parlementaires pour que le gouvernement fasse pression sur les banques afin qu'elles développent de nouveaux types de prêts, comme par exemple des microcrédits à taux très bas pour l'achat de voitures moins polluantes, et ce afin d'aider les consommateurs à changer de véhicule. Un échange s'est tenu jeudi sur le sujet entre les représentants du secteur bancaire et du ministère de l'Économie et des Finances.

La modulation de la taxation des carburants, une idée ancienne

Durant son discours, le président de la République a notamment annoncé que la fiscalité des carburants serait adaptée aux fluctuations des prix pour en limiter l'impact sur les Français qui dépendent de leur voiture. Emmanuel Macron y voit un mécanisme permettant de "rendre plus intelligente" la taxation des carburants en l'adaptant, chaque trimestre, à l'évolution des prix du pétrole. Le cadre du dispositif sera discuté mi-décembre, a précisé l'Elysée.

Il ne s'agit toutefois pas d'une idée neuve : appliqué d'octobre 2000 à juillet 2002, un système similaire avait été rapidement abandonné.

Les députés LREM se disent prêts pour la "concertation de terrain" avec les "gilets jaunes"

Le patron des députés LREM Gilles Le Gendre a affirmé mardi que son groupe était prêt à répondre "avec enthousiasme" à l'appel à une "grande concertation de terrain" autour du mouvement des gilets jaunes, évoquant une "évolution" dans la manière de gouverner le pays.

"A l'occasion de cette crise", la majorité présidentielle compte "inaugurer une évolution dans la manière dont nous souhaitons gouverner ce pays", a déclaré M. Le Gendre lors d'un point presse à l'Assemblée. Selon lui, les "grandes mutations et transformations du pays" ne pourront plus désormais être portées uniquement par l'exécutif, mais devront être "construites, conçues et surtout déployées au plus près du terrain dans le cadre de concertations".

#DirectAN Conférence de presse du Groupe @LaREM_AN sur les annonces du Président de la République en faveur de l'accompagnement des Français dans la transition écologique. Une méthode claire : la consultation pour trouver ensemble des solutions concrètes et adaptées

DtAzd9dX4AUb_hZ

"Les corps intermédiaires ne peuvent pas avoir le monopole de la représentation des citoyens. Les citoyens, salariés, consommateurs ont le droit à la parole", a poursuivi Gilles Le Gendre, estimant que l'une "des inspirations positives du mouvement des gilets jaunes" aura été d'avoir rappelé la majorité "à l'ordre sur ce point". La République en marche va donc reprendre cette idée "de manière enthousiaste" et compte bien "répondre à cet appel".

Tweets en réponse à la suite..

La légion des godillots en Marche ...on a même du mal à trouver un ou une qui réfléchisse !

 

Gagnants dans l'affaire les constructeurs automobiles, qui veulent voir disparaître les anciennes voitures faciles à réparer contre des voitures en cas où elles tombent en panne c'est le retour aux constructeurs. Au nom de la transition : Les Déplacements en Jet&helico C ecolo

 

Vous raconter toujours les même connerie ! !! Arrêter et agissez pour les français pas pour un seul pan de la société les très très riches !!!

Banquier privé

Avec des leaders comme ceux là, on est dans la m....e et on est sûrs d'y rester

 

La hausse du carburant n'a rien à voir avec la transition écologique. Arrêté de prendre les gens pour des idiots (ce que vous êtes en grande partie...).

 

Hallelujah les super députés sont de retour après quelques jours de mutisme....qu’ils ailles à la rencontre de leurs électeurs maintenant

 

Je croyais que les tenues vestimentaires des députés faisaient l'objet d'un contrôle strict ! Alors pourquoi des chaussures rouges et une veste engoncée ?

La CGT critique les orientations de la PPE

Pour la CGT Mines Energie (Fédération nationale mines énergie, ou FNME), les pistes du gouvernement s'inscrivent "dans l'abandon du service public de l'énergie" et "l'accroissement de la dépendance énergétique de la France". Première organisation syndicale du secteur, elle déplore les conséquences aussi bien économiques que sociales de ces orientations et appelle à des journées de "grève et de mobilisations" les 3 et 13 décembre.

Regrettant particulièrement "irresponsable" l'arrêt prévu en 2022 des quatre dernières centrales à charbon, la CGT dénonce aussi pour le nucléaire des "objectifs politiciens sans réelles assises techniques". Elle estime que la fermeture de 14 des 58 réacteurs français d'ici 2035 aura des "conséquences" sur la qualité de l'électricité et sur "notre future dépendance énergétique". A l'échelle locale, la fédération estime que plusieurs dizaines de milliers d'emplois sont concernés, dans le nucléaire, les centrales électriques au charbon comme dans les ports et docks.

Le texte demande donc un "nouveau service public de l'énergie", pour que la transition énergétique ne soit pas bâtie sur "la mise en concurrence des énergies ou des travailleurs".

Le maire de Fessenheim sceptique sur l'avenir du site

Malgré l'annonce de la "fermeture définitive" de la centrale nucléaire de Fessenheim à l'été 2020, le maire de la commune, Claude Brender, estime être "toujours dans le flou même après le discours du président".

Pour l'élu (sans étiquette), "ce n'est pas un président, quel qu'il soit, qui décide de la fermeture d'une centrale, il y a des lois, ça dépend d'EDF". Il retient surtout l'annonce selon laquelle "il n'y aurait aucune fermeture complète du site, ce qui veut dire qu'il faudra un nouveau projet industriel sur place". Toutefois, il estime n'avoir reçu, pour le moment, aucun élément "concret" sur ce point. Lui-même milite pour la transformation de l'usine en "technocentre du démantèlement" où l'acier utilisé dans les centrales françaises et allemandes serait retraité. "On nous amuse mais on ne nous propose rien de concret", regrette-t-il.

Fessenheim : retour sur une centrale polémique

Dans son discours, Emmanuel Macron a annoncé que "l'arrêt définitif" des deux réacteurs de Fessenheim aura lieu "à l'été 2020". Plus vieille centrale française encore en activité, elle a été ouverte le 1er janvier 1978. Deux réacteurs à eau pressurisée de près de 900 mégawatts (MW) sont mis en service pour une durée de 40 ans.

Les décennies 1990 et 2000 sont marquées par des incidents et des erreurs humaines, comme des vannes mal refermées, des micro-fissure sur le couvercle d'un réacteur ou une fuite de fuel. Suite à ces problèmes, l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) dénonce, en 2007, le "manque de rigueur" de l'exploitant de la centrale, EDF. Dans le même temps, des associations manifestent leur inquiétude et demandent la fermeture du site, qui repose sur une faille et dont le risque sismique a été sous-évalué.

La catastrophe de Fukushima, en mars 2011, au Japon, remobilise les opposants : la ville de Strasbourg, des manifestants antinucléaires, la région Franche-Comté et des ONG comme Greenpeace demandent la fermeture du site. Toutefois, en juillet 2011, l'ASN estime que l'exploitation de la centrale peut être prolongé de dix ans, sous réserve de travaux, un avis que le gouvernement suit.

En novembre 2011, François Hollande promet de mettre en oeuvre un "arrêt immédiat" de Fessenheim. En septembre 2012, il annonce sa fermeture fin 2016. Cependant, la fin de la centrale est conditionnée par la mise en service de l'EPR de Flamanville, une condition confirmée par le décret sur la fermeture de Fessenheim, publié début avril 2017.

Finalement, alors que l'entrée en service de Flamanville est à nouveau repoussée par EDF, en mai 2018, François de Rugy annonce, le 4 octobre dernier, que la fermeture de Fessenheim pourrait avoir lieu indépendamment de l'EPR de Flamanville. "La centrale fermera pendant ce mandat, d'ici 2022", précise le ministre.

Fin octobre, l'ASN indique que les réacteurs devront fermer au plus tard en 2020 et 2022 respectivement, faute de travaux pour qu'ils puissent fonctionner au-delà.

» LIRE AUSSI - Fessenheim : les dates clés de la plus vieille centrale française en activité

Berger (CFDT) et Veyrier (FO) déçus

Laurent Berger et Yves Veyrier, les numéros un de la CFDT et FO, sont sortis déçus du discours d'Emmanuel Macron sur la transition écologique, face à la gronde des gilets jaunes, regrettant la "faiblesse" des mesures. Les deux dirigeants, de même que Philippe Louis, président de la CFTC, interrogés par l'AFP, ont tous les trois salué la décision du président de la République de maintenir le cap en matière de transition écologique. "C'est nécessaire parce qu'il en va de l'avenir de l'humanité", a réagi Laurent Berger. "Si on infléchit le cap, c'est nos concitoyens qui le payeront et nos enfants", a de son côté souligné M. Louis. La volonté d'Emmanuel Macron d'organiser une concertation avec les corps intermédiaires a également été bien accueillie, mais les leaders syndicaux se sont montrés prudents quant à la manière dont elle va se dérouler.

Il y a "une vraie affirmation du besoin de concertation des acteurs intermédiaires et organisation syndicales, patronales, associatives, des élus locaux, comme si tout d'un coup on s'apercevait du rôle que pouvaient tenir ces corps intermédiaires", a souligné M. Berger. "Tant mieux si c'est un changement de méthode, une inflexion, qui se vérifiera dans la capacité à les entendre dans les discussions à venir", a-t-il ajouté. Sur les solutions proposées, la CFDT et Force ouvrière ont affiché leur frustration.

Il y a une "forme de déception de la faiblesse des mesures annoncées: il n'y a pas pour l'instant de réponses très concrètes", a regretté le secrétaire général de la CFDT, qui dans la matinée a développé dans un communiqué sa vision du "pacte de conversion écologique" à travers une trentaine de propositions. De son côté, Yves Veyrier est resté sur "sa faim". "J'aimerais que le président de la République intègre un peu plus dans son discours syndicats et salaires, parce que l'augmentation des salaires n'est pas ennemie du climat", a-t-il dit à l'AFP.

"40 millions d'automobilistes" déçu par les annonces de Macron

Pour l'association « 40 millions d'automobilistes », le Président de la République "continue de mépriser les automobilistes et ne leur promet que la poursuite d'une politique économiquement et socialement injuste".  

LIRE AUSSI : Carburants, nucléaire..ce qu'il faut retenir des annonces d'Emmanuel Macron

Les annonces d'Emmanuel Macron jugées "inquiétantes" par les ONG

Elles sont unanimes : la politique énergétique française prend une mauvaise direction. Les Organisations Non Gouvernementales (ONG) actives sur les thèmes environnementaux déplorent les annonces d'Emmanuel Macron. Jean-François Julliard, directeur de Greenpeace France, estime qu'"Emmanuel Macron est en train de réussir un tour de force : alors que l’urgence climatique s’aggrave, il s’apprête à faire moins pour la transition énergétique et le climat que son prédécesseur, François Hollande. les beaux discours d'Emmanuel Macron n'y changeront rien, la France se décrédibilise sur la scène internationale".

Selon Audrey Pulvar, présidente de la Fondation pour la Nature et l’Homme (ancienne Fondation Nicolas Hulot), "ce discours c’est le statu quo sur l’ère du nucléaire et l’art du vide en matière de transition écologique". Jean-David Abel, vice-président de France Nature Environnement, estime que "la PPE annoncée aujourd'hui est inquiétante au regard de l'urgence des enjeux. Elle ne permet pas d'engager la France dans une transition énergétique et écologique digne de ce nom". Enfin, pour Morgane Créach, directrice du Réseau Action Climat, le président "a acté le retard pris par la France dans la transition écologique et beaucoup parlé de méthode, sans faire d'annonces concrètes. Pire, le report à 2035 des objectifs de réduction de la part du nucléaire va freiner la transition écologique".

» Lire aussi - Greenpeace: 6 militants sur un navire transportant de l'huile de palme

Édouard Philippe va consulter cette semaine pour organiser la concertation

Édouard Philippe va mener des consultations cette semaine à Matignon pour définir l'organisation de la "grande concertation de terrain" sur la transition écologique annoncée par Emmanuel Macron, a annoncé mardi Matignon. Cette concertation est une des principales annonces du président de la République face à la fronde des "gilets jaunes", avec un mécanisme visant à éviter les pics des prix sur les carburants. Le premier ministre a plusieurs rendez-vous programmés entre mardi et vendredi avec les différents organes du Conseil national de la transition écologique (CNTE), a précisé son entourage.

Il sera par ailleurs l'invité de RMC/BFM TV demain mercredi matin à 8H30.

LIRE AUSSI - Carburants, nucléaire...Ce qu'il faut retenir des annonces d'Emmanuel Macron

EDF sanctionné à la Bourse de Paris

L'action EDF a nettement reculé à la Bourse de Paris à la suite des annonces d'Emmanuel Macron. L'action a chuté de près de 4% peuaprès le discours du président de la République avant de se reprendre légèrement. Vers 12h40, elle perdait 2,11% à 13,72 euros sur un marché en baisse de 0,31%. 

Les investisseurs digèrent mal plusieurs annonces concernant l'électricien. Emmanuel Macron a annoncé que l'année 2035 était désormais la nouvelle échéance pour ramener la part du nucléaire à 50% dans la production d'électricité, avec la fermeture d'ici cette échéance de 14 réacteurs, dont les deux de Fessenheim qui le seront à l'été 2020. Par ailleurs, EDF ne sera pas indemnisé pour la fermeture de certaines centrales, si celles-ci approchent de leur cinquième visite décennale, qui doit normalement permettre à l'opérateur d'électricité de prolonger leur durée de vie au-delà de 50 ans, a déclaré une source proche de l'Elysée. Enfin, Emmanuel Macron souhaite que la direction d’EDF réfléchisse aux évolutions du groupe, qui devront préserver son intégrité, et n'écarte par l'hypothèse d’un renforcement de la participation de l'Etat au sein de l'énergéticien français, selon des éléments transmis à Reuters par l'Elysée.

L'opposition déçue par le discours de Macron

L'opposition n'a pas tardé à réagir au discours d'Emmanuel Macron. 

Jean-Luc Mélenchon, chef de file de La France Insoumise: "Fermeture des centrales nucléaires repoussée à la Saint Glinglin, mensonges sur les soi-disant avantages de cette énergie dangereuse, entêtement dans la catastrophe industrielle et financière de l'EPR. Macron apporte la preuve de sa totale soumission au lobby nucléaire."

Jean-Luc Mélenchon

✔@JLMelenchon

Fermeture des centrales nucléaires repoussée à la Saint Glinglin, mensonges sur les soi-disant avantages de cette énergie dangereuse, entêtement dans la catastrophe industrielle et financière de l'EPR. #Macron apporte la preuve de sa totale soumission au lobby #nucléaire.

580

11:46 - 27 nov. 2018

Informations sur les Publicités Twitter et confidentialité

412 personnes parlent à ce sujet

 

Jean-Luc Mélenchon

✔@JLMelenchon

Une heure de bruit présidentiel sans réponse à la situation d'insurrection citoyenne des #GiletsJaunes.#Macron est en panne sèche.

881

12:04 - 27 nov. 2018

Informations sur les Publicités Twitter et confidentialité

574 personnes parlent à ce sujet

-        Marine Le Pen, présidente du Rassemblement national (ex-FN): "À ceux qui se demandent comment boucler leur budget dans 3 jours, Emmanuel Macron répond : rendez-vous dans 3 mois..." (...) "La confusion totale du discours présidentiel et le vide absolu en termes de solutions sont saisissants..."

Marine Le Pen

✔@MLP_officiel

Le Président ne marche plus, il rame... MLP

3 838

11:46 - 27 nov. 2018

Informations sur les Publicités Twitter et confidentialité

1 886 personnes parlent à ce sujet

Le Président nous a convaincu d'une chose : l'urgence d'une transition politique ! MLP

1 856

11:53 - 27 nov. 2018

Informations sur les Publicités Twitter et confidentialité

956 personnes parlent à ce sujet

Laurence Sailliet, porte-parole des Républicains: "Ce discours nous apprend qu'Emmanuel Macron n'est pas sorti dans la rue et n'a pas allumé sa télévision depuis que les 'gilets jaunes' expriment leur souffrance. C'est désespérant..."

Daniel Fasquelle, député LR: "La TICPE flottante pour tenir compte de l'évolution des cours des carburants dans le calcul des taxes, je l'ai proposée avec mes collègues du groupe Les Républicains à l'Assemblée nationale. Il est temps de vous réveiller monsieur le Président !"

Ian Brossat, chef de file du PCF aux élections européennes: "Il semble qu'il y ait un mot tabou dans notre pays : le mot +salaires+... Assez fou qu'on puisse disserter sur le pouvoir d'achat sans en dire un mot."

En bref, toujours autant de blabla de #Macron, toujours autant de tracas pour les Français. #GiletsJaunes #Pouvoirdachat

30

12:17 - 27 nov. 2018 · Paris, France

Informations sur les Publicités Twitter et confidentialité

21 personnes parlent à ce sujet

Sarah El-Haïry, porte-parole du MoDem: "Le président de la République a donné un nouveau prisme pour regarder notre avenir: la révolution verte qui touchera l'emploi, la santé, le transport, l'industrie, le logement, l'énergie, l'agriculture. Tous les sujets sont touchés et doivent être pensés avec ce prisme."

Julien Bayou, porte-parole d'Europe-Écologie-Les Verts: "48.000 morts par an dus à la pollution mais plutôt que d'agir aujourd'hui, Macron va relancer trois mois de concertation, un Haut conseil... Dix ans après le Grenelle de l'environnement, cinq ans après la conférence environnementale. Inaction coupable."

Laurence Rossignol, sénatrice PS: "Les seules injustices sociales et fiscales seraient donc celles qui procèdent de la transition écologique? Pas un mot sur la redistribution des richesses, le niveau des salaires et l'avidité mortifère de l'économie financiarisée."

Corinne Lepage, ex-ministre de l'Environnement: "Discours bien décevant sur le mix énergétique et qui sonne vieux monde avec les arguments éculés sur les bienfaits du nucléaire."

Les "gilets jaunes" seront finalement reçus par François de Rugy

Le ministre de la Transition écologique François de Rugy va recevoir cet après-midi des représentants des "gilets jaunes" à la demande d'Emmanuel Macron, a indiqué l'Elysée. Cette réunion se déroulera au ministère.

"Je suis confiant sur la période"

"Je suis confiant sur la période qui s'ouvre mais elle impose d'entendre cette juste part de colère qui vient de loin. Je le ferai avec beaucoup d'humilité, en ayant deux principes à l'esprit. Chaque citoyen est nécessaire. La décence commune s'impose dans le pays. Notre nation est plus grande que chacun d'entre nous et beaucoup de choix imposeront l'esprit de responsabilité. C'est une partie de notre destin commun, et c'est une bonne partie de notre destin européen. Nous pouvons transformer l'expression des oppositions en un élan pour transformer l'avenir".

Toutes les démocraties contemporaines ont à affronter les même problèmes, selon Macron

« Nous avons à bâtir un nouveau contrat social et rebâtir la confiance dans notre société (…) Nous devons rebâtir une plus grande efficacité de service public en dépensant moins pour pouvoir plus rapidement baisser les impôts et leurs taxes».

Discours de Macron : La CGT Corse et les présidents de région veulent des mesures d'urgence

Rédigé par Philippe Jammes le Mardi 27 Novembre 2018 à 19:33 | Modifié le Mercredi 28 Novembre 2018 - 00:50

7792155294_emmanuel-macron-se-rend-pour-la-premiere-fois-de-son-quinquennat-en-corse-mardi-6-et-mercredi-7-fevrier-2018

Emmanuel Macron a livré un long discours sur la transition écologique, censé rassurer les gilets jaunes et fixer le cap pour les années à venir. Mais il n'a guère convaincu la CGT de la Haute-Corse qui a réagi dans un communiqué.

Emmanuel Macron a présenté ce mardi la feuille de route énergétique où seront présentées les dispositions de la loi sur la transition énergétique. Le président a annoncé une grande concertation de terrain sur la transition écologique et sociale devant permettre dans les trois mois qui viennent de répondre à la colère des "gilets jaunes" en élaborant des solutions ou des méthodes d'accompagnement. 
Pour le président de la République, cette concertation sera déclinée sur tout le territoire associant  associations, élus et représentants des gilets jaunes. 


Dans un communiqué, la CGT de la Haute-Corse a réagi à ce discours : 
« Le président de la république a annoncé des réunions dans chaque région pour faire des propositions notamment sur le coût dés transports.  La CGT qui milite depuis au moins 60 ans contre la vie chère en Corse fera de nombreuses propositions » a ainsi déclaré Jean-Pierre Battestini. 
Et le secrétaire de la CGT Haute-Corse d’énumérer :  
-    Nécessité de baisser les carburants de 20 centimes  
-    Doubler l'indemnité trajet à 40 euros par mois pour tous les salariés 
-    Tendre vers la gratuité des transports en commun.  

En conclusion de son communiqué,  la CGT de la Haute-Corse  appelle tous les corses à venir manifester samedi 1er décembre  pour le pouvoir d'achat. 
A Bastia, à l’appel des « Gilets jaunes », auquel se joint la CGT,  un rassemblement est prévu à 10h30 devant la préfecture.   

La tribune des présidents 

http---o

Mardi matin, douze des treize présidents de région, toutes tendances politiques confondues, ont signé une tribune dans laquelle ils appellent le président de la république à prendre des "mesures d’urgences" pour "réparer la fracture territoriale et sociale en France. Ils demandent à l’exécutif de "reconnaître la souffrance de nos compatriotes", et de décider d’un "moratoire sur la hausse des taxes au 1er janvier". Le texte a été signé par Hervé Morin (Normandie) — François Bonneau (Centre-Val de Loire) — Valérie Pécresse (Ile-de-France) — Renaud Muselier (Provence-Alpes-Côte d’Azur) — Loïg Chesnais-Girard (Bretagne) — Carole Delga (Occitanie/Pyrénées-Méditerranée) — Marie-Guite Dufay (Bourgogne-Franche-Comté) — Christelle Morançais (Pays de la Loire) — Alain Rousset (Nouvelle Aquitaine) — Jean Rottner (Grand Est) — Gilles Simeoni (Corse) — Laurent Wauquiez (Auvergne-Rhône-Alpes). Seul Xavier Bertrand, le président des Hauts-de-France, ne figure pas parmi les signataires. 

Le texte de la tribune des présidents des régions 
« Les gilets jaunes, nous les avons rencontrés dans nos Régions. Ce serait une très grave erreur de caricaturer leur révolte en un mouvement extrémiste manipulé par l’ultra droite ou l’ultra gauche. Le mouvement des gilets jaunes est l’expression vivante de la fracture territoriale et sociale dans notre pays. Il exprime la colère de nos concitoyens des territoires périurbains et ruraux, contraints de se loger toujours plus loin de leur lieu de travail. La métropolisation accélérée à l’œuvre depuis une dizaine d’années dans notre pays s’est traduite par un renchérissement du coût du logement qui pousse les classes moyennes vers la périphérie. Un tiers des salariés des métropoles n’habitent pas le territoire urbain. Ce mouvement de fond a augmenté les besoins de déplacements et accentué la fracture entre des élites essentiellement urbaines qui profitent de la mondialisation, et les autres qui, dans les banlieues ou les campagnes, n’en touchent aucun dividende et craignent le déclassement. Ce mouvement, c’est le cri de ceux qui sont percutés de plein fouet par les variations des prix des carburants, et qui sont stigmatisés en tant qu’automobilistes alors que le parc automobile ne représente pas plus de 15 % des émissions de gaz à effet de serre, alors que les bâtiments représentent 40 % de la consommation énergétique. C’est la raison pour laquelle tant de nos compatriotes le soutiennent par procuration en posant leur gilet jaune derrière leur pare-brise. Si l’on nie cette évidence, on se trompe sur les solutions à apporter. Aujourd’hui, il faut d’abord changer de discours, reconnaître la souffrance de nos compatriotes, et pas la nier. Il faut prendre des mesures d’urgence et en premier lieu un moratoire sur la hausse des taxes au 1er janvier. Ce premier geste est symbolique. Il ne s’agit pas de renoncer à bâtir une fiscalité écologique, mais d’avoir le courage de prendre le temps de la réécrire d’une manière qui soit socialement plus acceptable, plus transparente et mieux ciblée, au risque de finir exsangue et d’être en incapacité de réformer jusqu’à la fin du mandat. Les régions font déjà beaucoup en faveur de la transition écologique pour contribuer à réduire les émissions de CO2 liées aux transports. Elles multiplient les services de transport collectif par bus ou par train, en cherchant à en atténuer le coût pour l’usager. Sur les trains régionaux le prix du billet ne représente en moyenne que 10 % du coût du transport. Elles financent également le permis de conduire pour les jeunes lycéens ou apprentis. Les régions développent des plans hydrogène visant à l’adaptation à ce nouveau carburant des moteurs des bateaux, des bus et bientôt des trains. Elles distribuent des aides à l’acquisition de véhicules électriques et accompagnent le déploiement des réseaux de bornes de rechargement. Elles ont parfois repris sous leur propre gestion et en prenant de gros risques financiers les liaisons intercités exsangues. Elles expérimentent de nouvelles formes de mobilités partagées en misant sur le collectif et l’intelligence artificielle. Mais le premier combat, c’est celui du logement qui doit devenir la première urgence publique. Au moment où l’État fait le choix de diminuer les moyens donnés au crédit d’impôt pour la transition énergétique, les régions participent ou initient des plans de réhabilitation énergétique des bâtiments, notamment dans le parc social et pour le logement des jeunes, et attribuent des chèques éco-énergie. Dans ce contexte, les Régions sont prêtes à participer à la réparation du tissu social. Elles sont prêtes à renforcer leurs efforts en matière d’efficacité énergétique des logements si l’État revient à une politique ambitieuse, en commençant par les logements sociaux et les parcs privés associés. Au-delà de leurs effets sur l’environnement, ces mesures réduiront la facture logement pour nos concitoyens. Elles attendent beaucoup de la future loi sur les mobilités, dont la version initiale présentait une ambition élevée et avait fait l’objet de larges concertations territoriales avec l’ensemble des associations d’élus et des partenaires. Les régions souhaitent que soit affirmé et clarifié leur rôle de chef de file de la mobilité au-delà des seuls transports publics pour pouvoir mettre en œuvre de façon plus générale et efficace des politiques innovantes de transport partagés, de covoiturage, de véhicules collectifs, reposant sur un système d’information ouvert. Elles pourront promouvoir et faciliter le fret ferroviaire et les formes de transport de marchandise alternatives à la route. Elles pourront accompagner les entreprises dans la mise en place des plans de déplacement de leurs salariés. Par ailleurs, pour les territoires insulaires, à l’image de la Corse, des dispositifs adaptés à leurs particularités, notamment fiscaux et sociaux, doivent être mis en œuvre dans le cadre du droit à la différenciation. Enfin, au plan social, les Régions en appellent à l’État, en complément de leur action, pour que soit mis en place un système d’accompagnement des individus les plus modestes et dépourvus de solutions alternatives de mobilité. Sur ces bases, les Régions seraient prêtes à engager des concertations, sur le terrain, avec ceux qui manifestent leur désarroi et avec l’ensemble des forces vives de leur territoire, pour trouver des solutions et co-construire des réponses adaptées. Le chef de l’État trouverait ainsi dans les Régions des alliées pour relever ensemble le défi de l’avenir de la planète, sans obscurcir celui d’un grand nombre de nos concitoyens. »

Les réactions des "gilets jaunes" après le discours d'Emmanuel Macron, les taxes sur les carburants, la bataille navale en mer d'Azov... Les informés du 27 novembre

photos-afp-1542481459

Un député européen offre une corde à Emmanuel Macron, qui n’a pas apprécié

A LA UNEPOLITIQUE

Publié le 18/04/2018 à 9h27. Mis à jour à 11h19 par SudOuest.fr.

philippe-lamberts-s-est-adresse-directement-a-emmanuel-macron-et-a-critique-certains-aspects-de-sa-politique-interieure

Philippe Lamberts s'est adressé directement à Emmanuel Macron et a critiqué certains aspects de sa politique intérieure

Le Belge Philippe Lamberts, a voulu rebondir sur la métaphore du chef de l’Etat, qui avait comparé en octobre dernier l’économie française à une cordée d’alpinistes.

Il semblerait que la politique d’Emmanuel Macron ne fasse pas, que des déçus en France. Invité mardi à faire un discours devant le parlement européen à Strasbourg, le chef de l’État a présenté ses propositions pour mener à bien une "grande réforme de l’Europe". Un discours qui visiblement n’a pas fait l’unanimité, chez les parlementaires, et notamment chez Philippe Lamberts, un député écologiste belge.

 

Après "l'inouïe faiblesse" du discours d'Emmanuel Macron, Nicolas Bedos recrute des plumes

L'humoriste n'a pas vraiment aimé les mots du candidat En Marche! après le premier tour de la présidentielle.

Rédaction du HuffPost

http---o

AFP. Le coup de gueule de Nicolas Bedos après le discours d'Emmanuel Macron.

PEOPLE - Le talent d'écriture de Nicolas Bedos n'est plus à prouver depuis longtemps. Celui des plumes d'Emmanuel Macron laisse en revanche à désir, selon l'humoriste.

Dans un post partagé sur les réseaux sociaux ce lundi 24 avril, Nicolas Bedos a pointé du doigt "l'inouïe faiblesse" du discours du candidat d'En Marche! Après sa première place lors du premier tour de la présidentielle la veille. Il met notamment en avant des "longueurs" et des "formules de victoires follement prématurées" du texte lu par Emmanuel Macron devant ses militants à Paris.

A la fin de son petit texte, Nicolas Bedos demande aux "plumes orphelines intéressées" de déposer leur CV...

C-KtGPXW0AA7FTH

Pour terminer

En guise de réflexion (et pas en queue de poisson..), je vous mets ces quelques lignes d’un texte déjà mis, juste avant, et repris d’un blog..

proxy

Si les gilets jaunes réclament moins d’impôts et moins de taxes, il n’existe qu’une seule façon d’y parvenir : la suppression d’une grande partie des aides de l’Etat.Moins d’indemnités chômage, moins d’aides sociales, moins d’aides au logement, moins d’aides familiales, etc. Et je ne vois ni les Français en général ni les gilets jaunes en particulier accepter cela.

Vos impôts sont très lourds. Mais ils sont une nécessité pour financer votre prise en charge par l’Etat, c’est un cercle vicieux.

Hélas.

Si les Français veulent payer moins d’impôts, ils doivent renoncer à beaucoup des aides de l’Etat. C’est donc l’impasse. L’ensemble du mouvement est une impasse. Je ne dis pas qu’il est inutile. Certaines choses dans la vie sont indispensables même si elles ne produisent pas de résultat. Ce qui se passe est plus que probablement une soupape nécessaire pour que la cocotte minute n’explose pas. En ce sens, ce n’est pas inutile. Mais le ronronnement confiscatoire qui endort toute résistance des Français reprendra.

Imaginez ceci. Si le président, qui dit vouloir s’exprimer mardi prochain et est en train de préparer un discours de langue de bois auquel il ne croit pas, s’il fait marche arrière et annule la hausse des taxes sur l’essence, il vous prendra cet argent par un autre moyen.

Il le fera peut-être par un tour de magie plus discret, mais il vous prendre cet argent par un moyen ou par un autre. Parce que le système social français est un trou financier sans fond qui ne produit pas assez de richesse pour financer le non-travail et le faible travail, la faible productivité des entreprises, la fatigue des locomotives – les patrons –qui tirent des wagons de plus en plus lourdement chargés, et l’épuisement des chefs d’entreprise qui ne peuvent innover, investir et aller de l’avant.

Et je n’ose même pas vous parler du train de vie et de la taille monstrueuse de l’Administration française dont les principaux profiteurs augmentent leurs émoluments sans honte, ou du coût de l’immigration, il y a assez de jaune dans l’air, pas la peine de vous faire rire jaune.

dtacespwsaeyzpy

Pour la musique et la chanson

roger-12

Pour le livre

Photo-couverture-livre-de-poche-soeur-emmanuelle

 

108051517

108060716

ca1

Pour les « vrais » curieux, et quelque peu..initiés..une matière à réflexion..Mondiale !

VOTRE BANQUE EST-ELLE DÉTENUE PAR LES ROTHSCHILD ? VOICI LA LISTE COMPLÈTE

jacob-rothschild

Quelle est l’importance d’avoir une banque centrale dans un pays et pourquoi devriez-vous vous intéresser, votre famille et vos collègues ?

Les banques centrales sont des banques PRIVÉES illégalement créées par la famille bancaire Rothschild.

La famille existe depuis plus de 230 ans et s’est glissée dans chaque pays sur cette planète, a menacé tous les leaders mondiaux et leurs gouvernements et cabinets avec la mort et la destruction physiques et économiques, puis ont placé leur propre peuple dans ces banques centrales pour Contrôler et gérer le portefeuille de chaque pays.

Pire encore, les Rothschild contrôlent également les machinations de chaque gouvernement au niveau macro, ne se préoccupant pas des vicissitudes quotidiennes de notre vie personnelle individuelle. Sauf lorsque nous serons trop loin de la ligne.

Le grand plan de The First Sphere of Influence est de créer une mononation mondiale. Ne confondez pas cela avec le terme de mondialisation. La mononation et la mondialisation ne peuvent pas être plus différentes dans le concept, la portée et le but. Mononation est un état. Il y a un gouvernement. Un ensemble de lois pour tous les citoyens ordinaires, pas de lois pour l’élite. La mondialisation se réfère à la communication, au commerce, à l’interaction, etc. entre des pays distincts, différents, indépendants et souverains.

Le grand plan de The First Sphere of Influence est de créer une mononation mondiale.

Notre propre Réserve fédérale est une banque privée placée illégalement directement responsable de la création de toutes les dépressions américaines, des récessions et de l’inflation et de la déflation de notre dollar. La Fed contrôle l’impression de notre propre devise, puis charge les intérêts du gouvernement américain sur ces prêts. L’intérêt augmente chaque année, ce qui rend difficile, sinon impossible pour notre gouvernement, de le payer. Comment payons-nous cet intérêt? Par l’impôt sur le revenu des particuliers des États-Unis. Cette taxe s’applique à la famille Rothschild.

Dans les mois à venir, alors que je continue à rassembler des informations et à écrire un livre sur The First Sphere of Influence, je partagerai de plus en plus. Pour l’instant, je vous prie de bien vouloir lire chacune des 165 lignes ci-dessous. Cent soixante-cinq raisons de croire à mes informations. Vous pouvez cliquer sur chaque banque et visiter son site Web. J’ai vu chacun. Ils sont réels. Et ils sont l’une des raisons pour lesquelles chaque pays est en dette aussi profonde envers cette famille insidieuse, les Rothschild.

Au fait, si vous êtes curieux de savoir ce qu’est la dette américaine envers la BRI, veuillez consulter le tableau à la fin de cet article, tiré des derniers résultats statistiques fournis par le Joint External Debt Hub, qui reçoit les données de la BRI , Le Fonds monétaire international, la Banque mondiale et l’Organisation de coopération et de développement économiques.

L’échelle de Jacob

famille-rothschild-reportage-documentaire

A Rothschild a dit en son temps : “Donnez moi le pouvoir de contrôler la monnaie des Nations et je me fiche bien de qui écrit ses lois ».

Vous voulez savoir quelles banques elles possèdent réellement ?

Voici la liste complète :

Afghanistan: Bank of Afghanistan
Albania: Bank of Albania
Algeria: Bank of Algeria
Argentina: Central Bank of Argentina
Armenia: Central Bank of Armenia
Aruba: Central Bank of Aruba
Australia: Reserve Bank of Australia
Austria: Austrian National Bank
Azerbaijan: Central Bank of Azerbaijan Republic
Bahamas: Central Bank of The Bahamas
Bahrain: Central Bank of Bahrain
Bangladesh: Bangladesh Bank
Barbados: Central Bank of Barbados
Belarus: National Bank of the Republic of Belarus
Belgium: National Bank of Belgium
Belize: Central Bank of Belize
Benin: Central Bank of West African States (BCEAO)
Bermuda: Bermuda Monetary Authority
Bhutan: Royal Monetary Authority of Bhutan
Bolivia: Central Bank of Bolivia
Bosnia: Central Bank of Bosnia and Herzegovina
Botswana: Bank of Botswana
Brazil: Central Bank of Brazil
Bulgaria: Bulgarian National Bank
Burkina Faso: Central Bank of West African States (BCEAO)
Burundi: Bank of the Republic of Burundi
Cambodia: National Bank of Cambodia
Came Roon: Bank of Central African States
Canada: Bank of Canada – Banque du Canada
Cayman Islands: Cayman Islands Monetary Authority
Central African Republic: Bank of Central African States
Chad: Bank of Central African States
Chile: Central Bank of Chile
China: The People’s Bank of China
Colombia: Bank of the Republic
Comoros: Central Bank of Comoros
Congo: Bank of Central African States
Costa Rica: Central Bank of Costa Rica
Côte d’Ivoire: Central Bank of West African States (BCEAO)
Croatia: Croatian National Bank
Cuba: Central Bank of Cuba
Cyprus: Central Bank of Cyprus
Czech Republic: Czech National Bank
Denmark: National Bank of Denmark
Dominican Republic: Central Bank of the Dominican Republic
East Caribbean area: Eastern Caribbean Central Bank
Ecuador: Central Bank of Ecuador
Egypt: Central Bank of Egypt
El Salvador: Central Reserve Bank of El Salvador
Equatorial Guinea: Bank of Central African States
Estonia: Bank of Estonia
Ethiopia: National Bank of Ethiopia
European Union: European Central Bank
Fiji: Reserve Bank of Fiji
Finland: Bank of Finland
France: Banque de France
Gabon: Bank of Central African States
The Gambia: Central Bank of The Gambia
Georgia: National Bank of Georgia
Germany: Deutsche Bundesbank
Ghana: Bank of Ghana
Greece: Bank of Greece
Guatemala: Bank of Guatemala
Guinea Bissau: Central Bank of West African States (BCEAO)
Guyana: Bank of Guyana
Haiti: Central Bank of Haiti
Honduras: Central Bank of Honduras
Hong Kong: Hong Kong Monetary Authority
Hungary: Magyar Nemzeti Bank
Iceland: Central Bank of Iceland
India: Reserve Bank of India
Indonesia: Bank Indonesia
Iran: The Central Bank of the Islamic Republic of Iran
Iraq: Central Bank of Iraq
Ireland: Central Bank and Financial Services Authority of Ireland
Israel: Bank of Israel
Italy: Bank of Italy
Jamaica: Bank of Jamaica
Japan: Bank of Japan
Jordan: Central Bank of Jordan
Kazakhstan: National Bank of Kazakhstan
Kenya: Central Bank of Kenya
Korea: Bank of Korea
Kuwait: Central Bank of Kuwait
Kyrgyzstan: National Bank of the Kyrgyz Republic
Latvia: Bank of Latvia
Lebanon: Central Bank of Lebanon
Lesotho: Central Bank of Lesotho
Libya: Central Bank of Libya (Their most recent conquest)
Uruguay: Central Bank of Uruguay
Lithuania: Bank of Lithuania
Luxembourg: Central Bank of Luxembourg
Macao: Monetary Authority of Macao
Macedonia: National Bank of the Republic of Macedonia
Madagascar: Central Bank of Madagascar
Malawi: Reserve Bank of Malawi
Malaysia: Central Bank of Malaysia
Mali: Central Bank of West African States (BCEAO)
Malta: Central Bank of Malta
Mauritius: Bank of Mauritius
Mexico: Bank of Mexico
Moldova: National Bank of Moldova
Mongolia: Bank of Mongolia
Montenegro: Central Bank of Montenegro
Morocco: Bank of Morocco
Mozambique: Bank of Mozambique
Namibia: Bank of Namibia
Nepal: Central Bank of Nepal
Netherlands: Netherlands Bank
Netherlands Antilles: Bank of the Netherlands Antilles
New Zealand: Reserve Bank of New Zealand
Nicaragua: Central Bank of Nicaragua
Niger: Central Bank of West African States (BCEAO)
Nigeria: Central Bank of Nigeria
Norway: Central Bank of Norway
Oman: Central Bank of Oman
Pakistan: State Bank of Pakistan
Papua New Guinea: Bank of Papua New Guinea
Paraguay: Central Bank of Paraguay
Peru: Central Reserve Bank of Peru
Philip Pines: Bangko Sentral ng Pilipinas
Poland: National Bank of Poland
Portugal: Bank of Portugal
Qatar: Qatar Central Bank
Romania: National Bank of Romania
Russia: Central Bank of Russia
Rwanda: National Bank of Rwanda
San Marino: Central Bank of the Republic of San Marino
Samoa: Central Bank of Samoa
Saudi Arabia: Saudi Arabian Monetary Agency
Senegal: Central Bank of West African States (BCEAO)
Serbia: National Bank of Serbia
Seychelles: Central Bank of Seychelles
Sierra Leone: Bank of Sierra Leone
Singapore: Monetary Authority of Singapore
Slovakia: National Bank of Slovakia
Slovenia: Bank of Slovenia
Solomon Islands: Central Bank of Solomon Islands
South Africa: South African Reserve Bank
Spain: Bank of Spain
Sri Lanka: Central Bank of Sri Lanka
Sudan: Bank of Sudan
Surinam: Central Bank of Suriname
Swaziland: The Central Bank of Swaziland
Sweden: Sveriges Riksbank
Switzerland: Swiss National Bank
Tajikistan: National Bank of Tajikistan
Tanzania: Bank of Tanzania
Thailand: Bank of Thailand
Togo: Central Bank of West African States (BCEAO)
Tonga: National Reserve Bank of Tonga
Trinidad and Tobago: Central Bank of Trinidad and Tobago
Tunisia: Central Bank of Tunisia
Turkey: Central Bank of the Republic of Turkey
Uganda: Bank of Uganda
Ukraine: National Bank of Ukraine
United Arab Emirates: Central Bank of United Arab Emirates
United Kingdom: Bank of England
United States: Federal Reserve, Federal Reserve Bank of New York
Vanuatu: Reserve Bank of Vanuatu
Venezuela: Central Bank of Venezuela
Vietnam: The State Bank of Vietnam
Yemen: Central Bank of Yemen
Zambia: Bank of Zambia
Zimbabwe: Reserve Bank of Zimbabwe

(sans oublier pour autant, toutes les banques et succursales qui en..dépendent et un tas d’autres groupes moins importants, mais..tributaires..)

Selon l’existence de l’humanité: pratiquement inconnu du grand public, le fait que la Réserve fédérale américaine est une entreprise privée, située sur son propre terrain, à l’abri des lois américaines.

Cette entreprise privée (contrôlée par les Rothschild, les Rockefellers et les Morgans) imprime de l’argent au gouvernement des États-Unis, ce qui leur paie des intérêts pour la «faveur». Cela signifie que si nous réinitialisons la dette du pays aujourd’hui et commencerons à réimprimer de l’argent, nous Serait en dette envers le FED du premier dollar prêté à notre gouvernement.

En outre, la plupart des personnes vivant aux États-Unis n’ont aucune idée que l’Internal Revenue Service (IRS) est une agence étrangère.

Pour être plus précis, l’IRS est une société privée étrangère du Fonds monétaire international (FMI) et est l’«armée» privée de la Réserve fédérale (Fed).

Son objectif principal est de s’assurer que les Américains paient leurs impôts et soient de bons esclaves.

En 1835, le président américain Andrew Jackson a déclaré son dédain pour les banquiers internationaux:

« Vous êtes un repaire de vipers. J’ai l’intention de vous expulser, et par le Dieu éternel, je vais vous expulser. Si les gens ne comprenaient que l’injustice de notre argent et de notre système bancaire, il y aurait une révolution avant le matin « .
Il a suivi une tentative d’assassinat (infructueuse) sur la vie du président Jackson. Jackson avait déclaré à son vice-président, Martin Van Buren:
« La banque, M. Van Buren, essaie de me tuer. »
C’était le début d’un modèle d’intrigue qui affecterait la Maison Blanche elle-même au cours des prochaines décennies. Lincoln et JFK ont été assassinés pour avoir tenté de débarrasser le pays des banquiers.

Les Megabanks du monde

Il existe deux Megabanks qui offrent des prêts à tous les pays de la planète, à la Banque mondiale et au FMI. La première est détenue conjointement par les meilleures familles bancaires au monde, avec les Rothschild au sommet, tandis que la seconde est la propriété exclusive de Rothschild.

Ces deux Megabanks offrent des prêts aux «pays en développement» et utilisent leurs intérêts presque impossibles à rembourser pour obtenir la main sur la richesse réelle: la terre et les métaux précieux.

Mais ce n’est pas tout! Une partie importante de leur plan consiste à exploiter également les ressources naturelles d’un pays (comme l’essence ou le gaz) par l’entremise de leurs entreprises secrètement, les affiner et les vendre dans le même pays, ce qui fait un énorme profit.

Mais pour que ces entreprises puissent fonctionner de manière optimale, elles ont besoin d’une infrastructure solide, qui manque habituellement de soi-disant «pays en développement». Alors, avant même que les banques puissent offrir des prêts presque impossibles à rembourser, ils s’assurent que La plus grande partie de l’argent sera investi dans – vous l’avez deviné – l’infrastructure.

Ces «négociations» sont menées par les soi-disant «Hitman économiques», qui réussissent par gracieusement gratifiant (c’est-à-dire sous-courriers) ou menacent de mort ceux qui sont en mesure de vendre leur pays.

Pour plus d’informations sur le sujet, je suggère de lire les Confessions d’un Hitman économique.

La banque qui les règle tous, la «Banque pour l’établissement international», est – évidemment – contrôlée par les Rothschild et est surnommée la «Tour de Bâle».

Le vrai pouvoir des Rothschild va bien au-delà de l’empire bancaire

Si vous n’êtes pas encore émerveillé par le pouvoir des Rothschild (je sais que vous êtes), sachez qu’ils sont également derrière toutes les guerres depuis Napoléon. C’est alors qu’ils ont découvert à quel point il est rentable de financer les deux côtés d’une guerre et ils l’ont fait depuis.

En 1849, Guttle Schnapper, épouse de Mayer Amschel, déclara:
« Si mes fils ne voulaient pas de guerres, il n’y en aurait pas. »
Donc, le monde est encore en guerre parce qu’il est très, très rentable pour les Rothschild et leurs lymphomes de parasites. Et tant que nous continuerons à utiliser l’argent, le monde ne connaîtra jamais la paix.

Il est choquant pour beaucoup de savoir que les États-Unis d’Amérique sont une société issue de l’étranger. Son nom d’origine était la Compagnie de Virginie et appartenait à la Couronne britannique (il ne faut pas confondre avec la Reine, qui fonctionne en grande partie uniquement dans une capacité de cérémonie).

La Couronne britannique a fait don de l’entreprise au Vatican, qui a remis les droits d’exploitation à la Couronne. Les présidents américains sont nommés PDG et leur entreprise consiste à faire de l’argent pour la Couronne britannique et le Vatican, qui prennent leur part des bénéfices chaque année.

La Couronne britannique règle secrètement le monde de l’État souverain indépendant de 677 acres, connu sous le nom de The City of London. Cette autre Couronne est composée d’un comité composé de 12 banques dirigées par la Banque d’Angleterre. Devinez qui contrôle la Banque d’Angleterre? Oui, les Rothschild!

En 1815, Nathan Mayer a fait la déclaration suivante:
« Je ne me préoccupe pas de ce que la marionnette est placée sur le trône d’Angleterre pour dominer l’Empire sur lequel le soleil ne se couche jamais. L’homme qui contrôle l’offre monétaire de la Grande-Bretagne contrôle l’Empire britannique et je contrôle la trésorerie britannique « .

La Maison de Rothschild est vraiment au sommet de la pyramide du pouvoir. Ils sont derrière le Nouvel Ordre Mondial et la domination complète du programme mondial. Ils sont derrière l’Union européenne et l’euro et ils sont derrière l’idée d’une Union nord-américaine et de l’Amero. Ils contrôlent tous les services secrets du monde et leur armée privée est l’OTAN.

 

Il faut savoir que Poutine a..banni..La Banque de Rothschild..

Putin-has-Banned-Rothschild-and-His-New-World-Order-Banking-Cartel-Family-from-Entering-Russian-Territory

Monsieur Poutine a déclaré son indépendance totale face à La Banque de Rothschild et de tous les système « mafieux » qui en découlent afin de libérer de toute forme  « d’esclavage » et de dépendance  La Russie et le peuple Russe tout entier

putin-rothschild-banking-cartel-678x381

 

 

Publicité
Publicité
Commentaires
G
Salut Denis<br /> <br /> Quand je pense avoir lu que des personnages ayant connu Poutine disaient qu'il n'était qu'un vulgaire petit maillon du KGB sans aucun pouvoir (?). Si c'était vraiment le cas, ce que Poutine est devenu démontre qu'un petit esprit peut dirigé un pays mieux qu'un grand intellectuel. Si le régime communiste utilisait des marionnettes, c'est toujours le cas en France, des cerveaux, pas toujours bien éclairés, tiraient les ficelles. Maintenant, c'est Poutine qui tire les ficelles et s'en sort assez bien. <br /> <br /> Bonne fin de journée !
Répondre
G
Salut Denis<br /> <br /> Je n'ai pas la prétention de connaître Poutine si ce n'est par des enquêtes journalistiques où il faut en prendre et en laisser mais ce que je constate c'est qu'il défend plus les intérêts de son pays que ne le fait notre Macron.<br /> <br /> Je n'écrirai pas que je me moque de la politique mondiale mais ce qui me préoccupe en premier lieu, c'est le sort de la France qui malheureusement m'apparaît scellé. La France ne sera bientôt plus un pays mais une province de l'Europe, voire du monde.<br /> <br /> Bonne fin de semaine !
Répondre
G
Salut Denis<br /> <br /> Je ne suis pas le seul à m'étonner du volume de tes articles puisqu'une nouvelle venue fait la même remarque. A part être un champion du clavier à dix doigts voire un sténodactylographe, je ne vois qu'une manière de ne pas passer tout son temps sur le PC c'est la pratique du copier/coller et de la capture d'écran.<br /> <br /> Si Poutine s'affranchit du pouvoir des banques ce n'est pas le cas de notre ancien inspecteur des finances puis banquier d'affaires. Macron travaillait pour lui avant et travaille encore pour lui après. Quelle chance il a eu de tomber sur un électorat facilement manipulable. Il sait qu'il n'en a que pour cinq ans alors il en profite et compte nous en faire voir de toutes les couleurs.<br /> <br /> Bonne fin de journée !
Répondre
G
Quels boulot vos articles ! Je me demande comment vous faites pour compiler autant d'information ! Bravo pour ce travail.<br /> <br /> Rotschild... ça me fait penser à hier soir où nous avons vu François-Henri Pinault, célèbre milliardaire qui disait à la télé qu'il "comprenait" le mouvement des gilets jaunes ; ok ; et alors, il propose quoi ??? :D Ils sont comique parfois les milliardaires...
Répondre
Ecologie vraie et réelle..
  • Blog évoquant l'origine de l'écologie, l'évolution de la Terre et des différents événements terrestres, l'évolution humaine,le réchauffement climatique, la prise en compte de l'intérêt d'une écologie réelle dans l'action de la vie de tous les jours.
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Archives
Visiteurs
Depuis la création 490 668
Newsletter
Derniers commentaires
Ecologie vraie et réelle..
Publicité