Les vœux du président ..Macron : « Donneur de leçons.. »..
Les vœux du président ..Macron : « Donneur de leçons.. »..
Le « prompteur »..my best friend !..
Emmanuel Macron s'est plié à la tradition en adressant ses vœux de fin d'année aux Français lundi soir.
MICHEL EULER.
Les deuxièmes vœux du quinquennat étaient très attendus. Et ils n’ont pas manqué de susciter des réactions au sein de la classe politique.
Les Voeux du président à la télé le 31 décembre soir..
19h00, le 31 décembre 2018 , modifié à 20h39, le 31 décembre 2018
Le président de la République a formulé "trois vœux" lors de sa traditionnelle allocution télévisée de la Saint-Sylvestre, lundi soir.
"Je suis au travail, fier de notre pays". Pour conclure son allocution, le chef de l'État a formulé un vœu "d'espoir", citant notamment les élections européennes du mois de mai. "Je crois que nous avons eu nous une énergie salutaire si nous savons retrouver confiance en nous-mêmes et entre nous", a-t-il assuré, promettant la présentation d'un projet européen "renouvelé" dans "les prochaines semaines". "J'ai grandi en province et je connais ces terres qui ont été bousculées durant ces dernières décennies et qui parfois doutent", a conclu Emmanuel Macron. "Je sais que notre avenir dépend de notre capacité à nous aimer et à aimer notre patrie, de tous les horizons, de toutes les générations. Je suis au travail, fier de notre pays."
"Nombre de nos concitoyens ne se sentent pas respectés". Emmanuel Macron a ensuite formulé un vœu de "dignité". "Je suis profondément convaincu que chaque citoyen est nécessaire pour le projet de la Nation", a-t-il expliqué. "Nombre de nos concitoyens ne se sentent pas respectés, considérés. Je pense aux mères de famille (...) à nos agriculteurs (...) à nos retraités. (...)". Reconnaissant que "nos institutions doivent continuer à évoluer", le chef de l'Etat a cependant vivement dénoncé ceux qui s'en prennent "aux élus, aux forces de l'ordre, aux journalistes, aux juifs, aux étrangers, aux homosexuels". "C'est tout simplement la négation de la France. Le peuple est souverain, il s'exprime lors des élections (...) L'ordre républicain sera assuré sans complaisance."
"Nous pouvons faire mieux nous devons faire mieux". "Cela suppose beaucoup de constance et de détermination", a poursuivi Emmanuel Macron, formulant "trois vœux" pour cette année "décisive". Le premier, un "vœu de vérité" : "Nous souhaiter de ne pas oublier qu'on ne bâtit rien sur des mensonges ou des ambiguïtés. (...) On ne peut pas travailler moins et gagner plus, baisser nos impôts et accroître nos dépenses, ne rien changer à nos habitudes et respirer un air plus pur", a-t-il lancé. "Cessons de nous déconsidérer et de faire croire que la France est un pays où les solidarités n'existent pas. Nous pouvons faire mieux, nous devons faire mieux", a continué le président, faisant notamment référence aux territoires, mais aussi au grand débat national à venir "qui doit nous permettre de parler vrai" et dont les contours devraient être précisés "dans quelques jours".
Une ligne politique "à poursuivre". "De grandes certitudes sont en train d'être mises à mal", a estimé le président de la République, notant un "malaise dans la civilisation occidentale" et une crise "de notre rêve européen". "C'est un défi immense et tout cela est évidemment lié avec le malaise que vit notre pays", a jugé le chef de l'État. "Nous avons une place, un rôle à jouer, une vision à proposer. C'est la ligne que je trace depuis le début de mon mandat et que j'entends poursuivre. C'est de remettre l'homme au cœur du monde contemporain.
"Nous voulons changer les choses pour vivre mieux". Emmanuel Macron a ensuite cité les réformes à venir, comme celle de l’assurance chômage et de l'organisation du secteur public, mais aussi du système de retraites, appelant à "bâtir les nouvelles sécurités du XXIe siècle". "Nous avons vécu de grands déchirements", a-t-il avancé à propos du mouvement des "gilets jaunes", évoquant "une colère qui vient de loin (...) contre des changements profonds qui interrogent notre société". "Nous ne sommes pas résignés, notre pays veut bâtir un avenir meilleur", a martelé le chef de l'État. "Telle est la leçon de 2018, nous voulons changer les choses pour vivre mieux".
"Les résultats ne peuvent être immédiats". "Je suis heureux de vous présenter tous mes vœux pour l'année qui s'ouvre", a commencé Emmanuel Macron, évoquant d'abord les douze mois écoulés. "L'année 2018 ne nous a pas épargnés en émotions de toutes natures", a poursuivi le président de la République, évoquant pèle-mêle la victoire de l'équipe de France à la Coupe du monde et le centenaire de l'armistice. "Je ne vais pas ici tout énumérer mais nombre de transformations qu'on pensait impossibles comme celle du travail et des chemins de fer ont été menées à bien", a-t-il souligné. "Les résultats ne peuvent pas être immédiats et l'impatience que je partage ne saurait justifier aucun renoncement."
Autrement dit, et pour être plus clair : « circulez y a rien à voir..je poursuis, et je continue comme avant..coup d’éponge.. »..
... Alexandre Benalla affirme avoir échangé régulièrement avec Emmanuel Macron depuis l'été Contrairement aux affirmations de l'Elysée, Alexandre Benalla a ...
Les vœux du président pour 2019..un mauvais « copier-coller » de la dernière allocution et face au mouvement des gilets jaunes et à la colère de bon nombre de Françaises et de Français..
Le président se moque des Françaises et des Français !..
Pouvoir d’achat..Référendum Citoyen..
L’année 2019 ne commencera pas sur les chapeaux de roues, mais bien sur les ronds-points !..
Emmanuel Macron pourrait vivre une année 2019 pire que l’année 2018 !..
Les réactions de différents hommes politiques comme femmes dont élus et maires..
L'opposition n'a pas eu de mots assez durs pour fustiger l'allocution du chef de l'État.
Si Emmanuel Macron attendait de ses voeux pour l'année 2019qu'ils ouvrent une année plus apaisée, l'apaisement ne viendra sûrement pas de l'opposition. Sitôt son allocution télévisée terminée, le chef de l'État a été vilipendé de l'extrême gauche à l'extrême droite.
En deux tweets, Marine Le Pen n'a pas hésité à le qualifier "d'imposteur", puis de "pyromane". Un ton très offensif qui colle à celui de son parti, qui dans un communiqué a fustigé les "sentences d'un chef de clan, d'un idéologue de la mondialisation, d'un impudent professeur de morale".
"On a compris ce soir que le peuple mécontente Macron. On sait que Macron mécontente le peuple. Un des deux est donc de trop. Si on ne peut dissoudre le peuple, on peut renvoyer son président", a renchéri le député LFI Éric Coquerel, rejoint par son collègue insoumis Alexis Corbière: "'Une foule haineuse' a-t-il dit ? Sidérant. Pas des voeux, mais un aveu sur une indécrottable arrogance sociale".
"Un président moralisateur qui va poursuivre ses réformes sans tenir compte des colères, des attentes de ceux qui aspirent tout simplement à vivre mieux", a de son côté jugé le secrétaire nationale du PCF, Fabien Roussel. "Débattons tous ensemble de la ligne que j'ai décidé tout seul de ne pas changer", ironise de son côté Boris Vallaud, porte-parole du PS.
Du côté de la droite LR, les mots sont aussi durs. "Le président de la République a récité un texte sans émotion, sans conviction et si loin de la réalité des Français. Un clip de campagne plus que la parole d'un homme d'Etat", a jugé Laurence Saillet, porte-parole du parti de Laurent Wauquiez. "Les voeux du Président Macron sont une formidable critique de son propre bilan! Après avoir promis tout et son contraire, il enfonce des portes ouvertes et s'attaque aux Français", estime de son côté Éric Ciotti.
Sur un ton plus cordial, Guillaume Peltier a livré ses conseils au chef de l'État. "Monsieur le président Emmanuel Macron, en 2019, préservez-nous des longs discours, éloignez les technocrates, écoutez les Français. Changez de politique, protégez notre peuple, récompensez tous les méritants", a-t-il souhaité.
"Excellente intervention"
Le maire de Bordeaux a aimé la prestation de l’Etat « dans la forme comme sur le fond ». Jean-Luc Mélenchon a par contre vu en Macron un « lunaire donneur de leçons ».
- Alain Juppé (maire de Bordeaux, ancien Premier ministre) : « Excellente intervention du Président de la République. Dans la forme comme sur le fond. Le cap est donné. Bonne année à la France. »
Jean-Luc Mélenchon
-Jean-Luc Mélenchon (La France insoumise) : « On ne sait pas pourquoi mais tout ce qu’il dit tombe à plat. Et quand on comprend, on préférerait ne pas avoir entendu. Quel lunaire donneur de leçons. » Autre tweet : « Le président des riches a fait son rideau de fumée. Le partage des richesses, t’as compris Monsieur Macron ? »
On ne sait pas pourquoi mais tout ce qu'il dit tombe à plat. Et quand on comprend, on préférerait ne pas avoir entendu. Quel lunaire donneur de leçons. #VoeuxMacron
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Marine Le Pen (présidente du Rassemblement national) : « Ce président est un imposteur. »Autre tweet : « Et un pyromane… »
"Un clip de campagne"
- Fabien Roussel (secrétaire national du PCF) : « Un président moralisateur qui va poursuivre ses réformes sans tenir compte des colères, des attentes de ceux qui aspirent tout simplement à vivre mieux ».
- Nicolas Dupont-Aignan (président de Debout la France) : « E. Macron sera donc pire en 2019 »
- Laurence Sailliet (porte-parole des Républicains) : « Le président de la République a récité un texte sans émotion, sans conviction et si loin de la réalité des Français. Un clip de campagne plus que la parole d’un homme d’Etat ».
- Boris Vallaud (porte-parole du PS) : « Débattons tous ensemble de la ligne que j’ai décidée tout seul de ne pas changer »
- Anne-Christine Lang (députée LREM) : « Merci Emmanuel Macron pour votre discours de vérité, votre détermination, votre engagement pour notre pays et pour l’Europe »
- Alain Juppé (maire de Bordeaux, ancien Premier ministre) : « Excellente intervention du Président de la République. Dans la forme comme sur le fond. Le cap est donné. Bonne année à la France. »
- Bruno Le Maire (ministre de l’Economie) : « Je crois que la France porte en elle un projet inédit : ne plus subir, retrouver la maîtrise de notre vie : intervention lucide et courageuse d’ Emmanuel Macron pour #2019. Maintenant, retroussons nous les manches pour rebâtir ensemble la #France. »
Bruno Le Maire
“Je crois que la France porte en elle un projet inédit : ne plus subir, retrouver la maîtrise de notre vie” : intervention lucide et courageuse d’@EmmanuelMacron pour #2019. Maintenant, retroussons nous les manches pour rebâtir ensemble la #France.
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Monsieur le Président,
Je ne reviens pas sur le bilan que vous brossez de votre action et sur votre volonté de poursuivre vos réformes.
Vous évoquez l’immigration comme un phénomène inéluctable compte tenu de la démographie africaine, en omettant de dire que l’Italie, l’Australie ou la Hongrie ont mis fin à l’invasion avec des mesures énergiques.
Monsieur le Président,
Votre premier vœu pour 2019 est un vœu de vérité alors que votre quinquennat n’a été que mensonge et trahison depuis 18 mois.
Votre deuxième vœu est un voeu de dignité et de respect du citoyen.
L’ordre républicain ? Mais allez donc le rétablir dans les banlieues islamisées au lieu de matraquer les GJ !
Votre troisième vœu est un vœu d’espoir.
On ne peut même plus expulser un délinquant étranger sans que la CEDH n’y mette son nez.
Et cerise sur le gâteau, vous osez nous parler d’amour de la patrie, de votre fierté des Français que vous avez traînés dans la boue pendant 18 mois.
Par conséquent, ne vous faites aucune illusion. Quels que soient vos mea-culpa, quels que soient vos regrets pour vos comportements passés, les Français ne se laisseront pas amadouer par vos vœux pour l’année 2019. C’est trop tard, la confiance a disparu à jamais. Vous les avez trop souvent bernés.
Mais que serait un général sans la confiance de ses soldats ? On vous dit intelligent mais l’évidence vous échappe…
En un an, votre cote de confiance s’est effondrée de 23 points pour atteindre 21%.
Certains n’hésitant pas à balancer votre portrait au bout d’une pique.
Vous n’avez été élu que par les 24% des électeurs du 1er tour de la présidentielle. Mais le mode de scrutin vous a permis de rafler 60% des sièges de l’Assemblée et la Constitution vous attribue 100% du pouvoir de décision, soit bien davantage que celui dont dispose le président des Etats-Unis !!
Rien ne peut se faire sans votre aval.
Cela, les Français ne vous le pardonneront pas !! louyehi
Une opposition laminée comme jamais, des syndicats à bout de souffle incapables de mobiliser leurs troupes, des médias totalement subjugués ne jurant que par Macron, une aura internationale dont rêverait n’importe quel chef d’Etat étranger et un peuple français s’étant quand-même décidé à vous suivre pour réformer un pays malade de 40 années d’immobilisme et de culture de l’échec.
“Je viens d’un pays qui a fait beaucoup d’erreurs, beaucoup de mauvaises choses”. Aucun chef d’Etat au monde n’insulte ainsi son pays. C’est de la trahison.
Et pour mettre un peu de vinaigre sur les plaies, vous avez sali vos soldats en les accusant d’avoir pratiqué la torture en Algérie, oubliant les actes terroristes et les abominations perpétrées par le FLN contre nos soldats et les populations civiles. Un procès à sens unique contre notre soldats. Ce n’est pas ce qu’on attend du Chef des armées.
Le peuple français vous l’avez toujours insulté dès le premier jour. Tantôt “illettré” ou “alcoolique”. Tantôt “fainéant” ou “moins que rien”, incapable de se réformer.
Quant à la majorité de Français qui ne veulent plus d’immigration et jugent que l’islam est un frein à l’intégration, vous les traitez de lépreux populistes, vos sbires n’hésitant pas à les mettre dans le même sac que les nazis en se référant aux années 30. Une telle fourberie est pitoyable !
L’échec de l’intégration et les ravages de l’islamisme qui transforme nos banlieues en mini-califats, vous n’en parlez jamais. Votre ministre de l’Intérieur Gérard Collomb a pourtant démissionné pour cette raison, nous alertant sur le risque imminent d’un embrasement généralisé des banlieues.
Mais votre unique combat, c’est celui des “progressistes” contre les “populistes”.
Il est clair que vous manquez d’expérience et que votre jeunesse est synonyme d’amateurisme. Le danger du Grand Remplacement vous le niez alors que dans une génération, les natifs seront devenus minoritaires dans leur propre pays, avec les bouleversements et les conflits interethniques et interconfessionnels que l’on imagine.
Le terrorisme a déjà fait 250 morts et 1000 blessés depuis 2015. Et les Français subissent 1000 agressions gratuites par jour, mais vous refusez de sévir et de construire les 15 000 places de prison promises en 2017 !
Votre société multiraciale paradisiaque sera un enfer.
Votre politique désintègre la nation alors qu’on attend votre protection, comme le font un Salvini ou un Orban, qui donnent priorité aux intérêts de leur peuple.
Vous bradez la France et combattez les patriotes qui défendent leur identité et leur patrimoine culturel. En signant le Pacte de Marrakech, vous avez signé l’arrêt de mort de la France de nos ancêtres, pour faire des Français des citoyens du monde, sans Histoire ni héritage culturel, parce que votre obsession est de bâtir une France post-nationale, noyée dans le grand village mondial multiculturel.
C’est un crime contre les Français et une trahison envers nos Poilus qui se sont sacrifiés pour notre liberté.
Et que dire de vos frasques qui salissent la fonction présidentielle alors qu’on attendait que vous lui redonniez un peu de lustre après les comportements humiliants de Hollande, lors des affaires Léonarda et Théo ?
Lors de la Fête de la musique, sur les marches de l’Elysée, une troupe de danseurs en bas résille et marcel a craché ses insanités devant un couple présidentiel tout sourire, dont la photo dégradante a fait le tour du monde.
De Gaulle doit se retourner dans sa tombe à la vue d’un tel bocson, là où tant de rois et de grands de ce monde ont été reçus avec faste et honneurs !
Ensuite, vous avez alimenté le scandale à Saint-Martin, en prenant la pose avec un jeune délinquant dépoitraillé, faisant un doigt d’honneur devant l’objectif ! Une photo qui a également fait le tour du monde, ternissant un peu plus votre image de premier de la classe et faisant honte au peuple français. Quel gâchis !
Mais ce sont surtout vos mensonges qui vous ont discrédité. Ils sont quotidiens.
Vous aviez promis de respecter le référendum approuvant la construction de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes. Mais par lâcheté vous avez botté en touche, en trahissant les électeurs et en bafouant 178 décisions de justice favorables au projet, pour donner raison à une poignée de squatteurs d’extrême- gauche occupant illégalement le terrain depuis 10 ans !
Ce faisant, vous avez bafoué à la fois la démocratie et la justice.
A cinq reprises pendant la campagne électorale vous avez répété devant les médias que vous ne toucheriez pas aux retraites. On voit le résultat aujourd’hui, la révolte des Gilets jaunes est le résultat de votre aveuglement face à la détresse de la classe moyenne, saignée par votre politique mondialiste qui oblige le peuple à partager son modeste pouvoir d’achat avec toute la misère du monde.
Le peuple est écrasé d’impôts pour fiancer le coût démentiel de l’immigration de masse de pauvres non qualifiés, totalement improductifs.
Que chaque Français dépense 2000 euros par an pour financer l’immigration n’est pas votre problème. Mais cela va le devenir, car la révolte des GJ ne fait que commencer.
L’immigration de pauvres ne peut que niveler la France par le bas et donc ruiner un peu plus les Gilets jaunes. Tout va s’aggraver car vous niez le danger de l’immigration de masse.
Toute votre politique est vouée à l’échec si vous ne fermez pas les frontières. C’est inéluctable. L’immigration est la cause essentielle de nos 2300 milliards de dettes. 45 milliards partent chaque année pour payer les intérêts de nos créanciers étrangers. C’est 4,5 fois ce que les Gilets jaunes ont obtenu suite à leur révolte.
Appauvrissement généralisé et désintégration de la nation sont au bout du chemin de toute politique mondialiste. Le “vivre ensemble” n’existe nulle part dans le monde.
50% des jeunes musulmans, parfaitement manipulés par les barbus, souhaitent l’instauration de la charia et vous ouvrez encore plus largement les frontières ! C’est irresponsable. Plus l’intégration échoue, plus vous chargez la barque.
Ce sont des légions de migrants qui errent dans nos rues car les structures d’accueil sont depuis longtemps saturées. Vous avez perdu le contrôle de la situation aux frontières, à Calais et à Paris.
Mais c’est le 1er Mai 2018 que l’opinion a vraiment basculé et que votre descente aux enfers a commencé, inexorable, incontrôlable, parsemée d’erreurs de communication grotesques et de magouilles sordides.
Les violences de Benalla, usurpant la fonction de policier pour molester des manifestants, ont d’abord été camouflées par l’Elysée et ensuite traitées par le mépris et l’arrogance. Pourquoi fanfaronner ?
« S’ils veulent un responsable, il est devant vous, qu’ils viennent me chercher ».
Commission d’enquête de l’Assemblée totalement sabotée, perquisition au domicile de Benalla bâclée, avec disparition du coffre-fort dans la nuit, sans qu’il y ait la moindre demande d’enquête pour connaître le contenu dudit coffre !
Aucune explication sur les incroyables privilèges dont bénéficiait Benalla, soi-disant simple porteur de valises, responsable de la logistique des voyages présidentiels, mais mieux traité qu’un ministre d’Etat !
Que cache une telle protection ? Qui est le véritable Benalla qui menace de parler ? Le peuple attend vos réponses alors que vous vous réfugiez dans le silence, quand ce ne sont pas les communiqués de votre entourage qui cherchent à noyer le poisson et se contredisent.
Car il y a obligatoirement anguille sous roche après cette panique qui dure depuis 6 mois.
L’affaire des passeports diplomatiques et des multiples voyages de Benalla en Afrique, en Turquie et en Israël vient de montrer que l’Elysée a menti en prétendant que les ponts avaient été coupés avec votre ex-conseiller.
Et aujourd’hui, Mediapart balance une nouvelle grenade dégoupillée dans les couloirs du Palais.
Benalla vient d’affirmer qu’il était régulièrement en contact avec vous depuis son licenciement et Mediapart a confirmé ce jour que les messages échangés “ont été authentifiés”.
Donc le pouvoir a menti. Benalla n’est pas devenu le paria de l’Elysée et n’a jamais été en disgrâce.
«Ça va être très dur de le démentir parce que tous ces échanges sont sur mon téléphone portable», dit Benalla.
Que peut espérer le peuple d’un président qui ment sans arrêt, dit tout et son contraire ?
Quel crédit accorder à ses promesses d’écoute ? Que penser d’un “grand débat national” redonnant la parole au peuple pour l’associer aux décisions qui engagent son avenir ?
Dès lors que vous avez évacué du débat sur l’immigration et l’islam, les deux sujets existentiels qui conditionnent l’avenir même de notre nation millénaire, il ne peut y avoir de confiance entre l’Elysée et le peuple.
Par conséquent, ces vœux présidentiels pour 2019 n’ont aucune chance de rétablir le lien indispensable entre un peuple et ses élus.
Votre objectif est la disparition des nations, dans le droit fil du programme de l’ONU qui veut l’abolition des frontières et un grand brassage des peuples, ce qui va anéantir la civilisation occidentale.
Mais les patriotes n’accepteront pas de sacrifier leur patrimoine culturel et leur identité pour satisfaire vos délires mondialistes.
Après la révolte sociale des Gilets jaunes viendra le sursaut identitaire salvateur pour défendre notre civilisation et notre identité.
Contrairement à un Trump, un Salvini ou un Orban, vous préférez écouter les mondialistes de l’UE ou de l’ONU, plutôt que d’écouter le peuple français. C’est ce qui va vous perdre.
Jacques Guillemain
Lors de ses voeux, Macron a fait trois bras d’honneur aux Français
(Source : Riposte laïque)
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VOTRE SUFFISANCE,
VOUS, LE MALFAITEUR QUI VEUT S’IGNORER, LES FRANCAIS NE VEULENT PAS DE VOUS A LA TÊTE DE LEUR PAYS, UNE PLACE OU VOUS ÊTES ARRIVE PAR EFFRACTION, EN TRICHANT; NOUS VOUS MEPRISONS TOUT AUTANT QUE VOUS NOUS MEPRISEZ. Si vous étiez un homme d’honneur, vous auriez déjà démissionné comme le réclame le peuple. Mais nous voyons bien que tout ce qui vous intéresse, c’est dominer, imposer vos caprices, profiter de la manne des Français pour remplir votre compte en banque, tout comme le font vos amis les barbares que vous voulez nous imposer de force et qui mettent le pays à feu et à sang ! Vous êtes le pire président qu’ait jamais connu le pays. ALORS POUR UNE FOIS DANS VOTRE VIE, AYEZ UN TANT SOIT PEU DE COURAGE ET DE DIGNITE : DEMISSIONNEZ, C’EST TOUT CE QUI VOUS RESTE POUR APAISER LA COLERE DU PEUPLE QUE VOUS MALTRAITEZ DEPUIS VOTRE ACCESSION A LA PRESIDENCE, UNE TÂCHE QUE VOUS N’AVEZ PAS SU MENER A BIEN. LE PEUPLE NE VEUT PAS FAIRE LES FRAIS PLUS LONGTEMPS DE VOTRE MALSAINE, MALVEILLANTE ET DICTATORIALE POLITIQUE, UNE VERITABLE CATASTROPHE POUR LE PAYS QUI NOUS MENE TOUT DROIT VERS LE PRECIPICE! Depuis le début de la révolte, vous me faites penser à ce pharaon d’Egypte mentionné dans la Bible qui, malgré toutes les calamités dont il était témoin, par sa faute, s’entêtait à ne pas vouloir libérer pour autant le peuple hébreu qu’il avait capturé et rendu esclave. C’est d’ailleurs le thème de la paracha de cette semaine ! LE MESSAGE DES FRANCAIS EST POURTANT CLAIR : « LET YOUR PEOPLE GO FREE » ET VOUS MÊME « GET OUT OF OUR LIVES ! « louyehi
Rappelez-vous..
Macron cajole les religions..
C’était lors de ses premiers vœux présidentiels le 5 janvier 2018..
Le Président de la République a exprimé avec fermeté son souhait de voir les représentants du culte prendre leur part dans la discussion du projet de loi asile et immigration et sur la révision des lois bioéthiques.
Vœux 2019..
Pour une Nouvelle Révolution !..
LE « R.I.C. »..
Europe Solidaire , 2018-12-31 00:28:00 CREMIEUX Léon
La montée de la question du Référendum d’initiative citoyenne (RIC), qui était présent depuis le début mais parmi bien d’autres exigences parmi les gilets jaunes, et sa mise en avant par les médias et le gouvernement recouvrent plusieurs choses :
du côté de beaucoup de responsables politiques, une manœuvre, un miroir aux alouettes pour entraîner le mouvement du terrain de la lutte sociale sur le terrain du débat institutionnel, pour faire rentrer dans sa boîte insonorisée une contestation populaire fondée sur la mobilisation et l’action directe ;
mais du côté des gilets jaunes, une revendication parmi bien d’autres pour contester le pouvoir de ceux d’en en haut qui, non contents de confisquer les richesses, confisquent aussi la parole politique. Cela accompagne donc toute une série d’exigences démocratiques apparues dans le mouvement, comme la suppression du Sénat, la proportionnelle intégrale, le fait de payer les députés au salaire médian.
Donc, la mise en avant de ce type de mesures traduit un mouvement pour l’exigence de plus de droits démocratiques pour les classes populaires, exclues et rendues muettes par la représentation. Cela va de pair avec le rejet du système politique actuel, accaparé par les possédants, en cherchant des outils capables de remédier à cette confiscation. Cela n’a rien de révolutionnaire, mais cela n’est en rien réactionnaire. et correspond à la même démarche que celle présente, par exemple, dans les exigences démocratiques mises en avant lors de la campagne présidentielle de Philippe Poutou. Il faut noter aussi que le RIC était présent en tant que tel dans les mesures avancées dans le programme de la France insoumise (FI) (voir « l’Avenir en commun », p.25). Ce n’est donc pas en tant que telle une revendication d’extrême droite, même si le FN et DLF l’avaient aussi dans leur programme.
Du côté des gilets jaunes, ces derniers jours notamment, il y a aussi la volonté de garder quelque chose du rapport de force établi depuis deux mois en obtenant un droit nouveau qui, face au rejet des partis, enfonce un coin dans un système politique, dit de la démocratie représentative, qui est tout sauf la souveraineté populaire et donc d’obtenir un outil permettant de faire respecter une exigence populaire.
Donc, oui, en premier lieu, de manière générale, il y a, parmi les gilets jaunes, un mouvement pour plus de droits démocratiques et une « votation » citoyenne peut en être un, tout comme des référendums locaux, des référendums de destitution des élus. La société capitaliste ne changerait pas de nature si les institutions représentaient plus réellement les classes populaires et était plus fidèle à la devise d’égalité citoyenne. Ceci pour une raison simple. La réalité du système dans lequel nous vivons est ce que Marx appelait la société civile bourgeoise, celle qui est la réalité face à l’illusion démocratique. « De même, disait-il, que les chrétiens sont égaux dans le ciel et inégaux sur terre, les membres du peuple pris chacun dans leur singularité sont égaux dans le ciel du monde politique et inégaux dans l’existence terrestre de la société » La représentation politique, même plus fidèle à la réalité sociale, ne changerait donc pas la réalité de l’exploitation capitaliste et de la nature de classe de l’Etat, structuré pour maintenir cette exploitation. Mais le combat du mouvement ouvrier a toujours été à juste titre de se battre pour une série d’exigences, pour imposer des droits démocratiques pour les exploité-e-s et les opprimé-e-s.
Aussi, est-il tout d’abord nécessaire combattre les déclarations réactionnaires disant que le RIC serait une simple revendication populiste, la porte ouverte au fascisme. Cela fait partie de la campagne visant par plusieurs moyens à peindre le mouvement des gilets jaunes en mouvement des « gilets bruns ». Au-delà, derrière cela, il y a le vieil argument bourgeois de peur de la mobilisation populaire et même de l’expression directe populaire.
La limite des droits démocratiques populaires, leur canalisation, a souvent été justifiée au nom des risques d’atteinte à la démocratie et à la « République » (ce fut pendant des dizaines d’années l’argument https://www.anti-k.org/2018/12/31/le-combat-des-gilets-jaunes-quelques-reflexions-sur-le-ric/avancé contre le droit de vote des femmes « soumises aux idées cléricales », contre la proportionnelle intégrale pour « ne pas favoriser le FN »).
C’est aussi le fantasme du peuple fanatisé, sanguinaire, lorsqu’il brise son aliénation… et aussi manipulable par tous les démagogues, ouvrant la porte au totalitarisme. Le peuple, non encadré par la représentation institutionnelle et par des gens « éduqués et intelligents » serait un danger… La démocratie est une chose trop sérieuse pour être mise dans les mains du peuple ! Vieux débat : 1789/1794, 1848, 1871, la Révolution russe, les images sont nombreuses de cette peur bleue considérant que les mouvements populaires, s’ils ne sont pas canalisés dans un cadre institutionnel, mènent au totalitarisme !.. A travers cette attaque, c’est évidemment la peur de classe des mouvements et des insurrections populaires qui cherchent à abattre un système d’exploitation et d’oppression… Heureusement et malheureusement, le fascisme et les dictatures ne fleurissent pas sur la crête des mobilisations et des insurrections populaires par en bas, mais sur leurs trahisons ou leurs défaites.
On peut par contre s’interroger sur l’efficacité du RIC lorsqu’il est présenté comme la panacée, l’outil permettant de changer les choses. Car c’est bien le type de revendication institutionnelle qui, lorsqu’elle est présentée comme la correction d’un système antidémocratique, lui sert surtout de béquille sans le remettre en cause. Sur ce point, Jean Luc Mélenchon n’est pas le dernier à respecter scrupuleusement les mécanismes des institutions.
Le « meilleur » exemple des limites de l’efficacité des référendums est bien sûr celui du Traité constitutionnel européen (TCE) rejeté majoritairement en 2005 et réintroduit par la fenêtre du Traité de Lisbonne. L’exemple aussi du référendum sur NDDL dont le cadre et l’interprétation restaient totalement aux mains des institutions existantes. Cela pose évidemment la question de qui détient le pouvoir au-delà d’une consultation éphémère.
Cela démontre surtout l’absence de représentativité du système parlementaire et renforce l’exigence d’aller un peu plus loin et de changer quelques règles des institutions dans ce pays, dans un des systèmes le moins démocratiques d’Europe : proportionnelle intégrale, non cumul des mandats et limitation à deux mandats successifs, suppression des divers privilèges électifs, suppression du Sénat « assemblée de notables élue par des notables », remise en cause du système présidentiel de la monarchie républicaine. Et, au-delà, la mise à bas de la Constitution gaulliste mise en place par le coup d’Etat de 1958. Tout autant d’exigences qui, sans régler les questions sociales, visent à l’obtention de droits démocratiques.
Sinon le RIC, en tant que tel, n’empêcherait pas le maintien de toutes les structures actuelles du pouvoir institutionnel.
L’exemple suisse prouve que l’existence quatre fois par an de votations citoyennes équivalentes au RIC ne change en rien des institutions au service des capitalistes. Tout au plus, comme les élections quinquennales, elles donnent plus de visibilité à des exigences populaires et des moyens de campagne aux mouvements qui veulent les mettre en avant. Cela peut donc être un outil, parmi d’autres, en aucun cas la panacée.
Mais le débat sur le RIC doit être l’occasion de mettre en avant la nécessité, en dehors des structures institutionnelles du système, de s’organiser démocratiquement pour agir, débattre, faire entendre les exigences populaires et se mobiliser, de contrôler et de remettre en cause les institutions et le pouvoir capitaliste en créant un réel rapport de forces.
Là, cela suppose de mettre sur pied des assemblées populaires, à l’échelle locale prenant en charge ces taches, sans déléguer à une représentation permanente.
Cela pose deux autres questions :
Les exigences essentielles apparues dans la dynamique de la mobilisation contre la taxe carburant sont celles de l’injustice fiscale, et plus largement de la répartition des richesses.
Inutile de prendre beaucoup de temps pour détailler que le mesures Macron ne règlent ni l’un ni l’autre et prennent soin au contraire de préserver et de protéger toutes les mesures fiscales prises au profit des plus riches ces dernières années (CICE, flat tax, baisse des seuils de l’IS). Toutes les mesures prises ne modifient en rien la part octroyé aux classes populaires, ce qui est chichement redistribué dans les budgets sociaux, ne modifient pas d’un iota la répartition des richesses faite au profit des capitalistes. Donc reste totalement ouverte la question de la mobilisation nécessaire pour aller plus loin ces prochaines semaines, en s’en prenant aux privilèges fiscaux des capitalistes, tout en remettant en cause la fiscalité indirecte, la TVA en premier lieu. Cela suppose aussi de remettre au centrer les revendications concrètes sur le SMIC et les salaires en général et tous les revenus sociaux –allocations, retraite et chômage -, en exigeant leur augmentation générale, leur indexation sur l’inflation (l’échelle mobile).
Ainsi évidemment, le pouvoir a tout intérêt à faire comme si le rideau était tiré sur les revendications sociales et essayer de focaliser le mouvement sur la question du RIC pour l’écarter des questions d’exigences sociales. Or, une action déterminée, un rapport de force social, est bien plus à même de bloquer des attaques et d’obtenir des revendications qu’une hypothétique consultation référendaire. Empêcher ce détournement dépendra aussi des capacités des militant-e-s combatifs-ves du mouvement ouvrier d’engager des secteurs professionnels dans l’épreuve de force sur les salaires lors des prochaines semaines.
L’autre question est bien sûr celle du débat public bidon proposé par le gouvernement en janvier.
Les deux seules réponses à cette mascarade seront non seulement la continuation des actions de rue, mais aussi la capacité à donner vie aux assemblées populaires locales autour des gilets jaunes, permettant que leur parole ne soit pas confisquée par des représentants auto-proclamés et permettant aussi de présenter les réels « cahiers de doléance », pas ceux remplis gentiment dans des cahiers de mairie ou dans une concertation bidon, mais ceux portés par des structures de mobilisation. Aussi, les deux appels des gilets jaunes de Commercy méritent d’être largement popularisés.
En ce sens, de telles assemblées peuvent être le support pour de réelles exigences de contrôle et de pouvoir démocratique, de « contre-pouvoir », tout en comprenant qu’une réelle avancée dans ce sens, à une échelle nationale, ne peut avoir lieu que dans des phases d’affrontement d’un autre niveau. Cela n’empêche pas d’avancer le plus loin possible dans ce sens, tout en refusant les illusions des « démocraties participatives » simples béquilles débattant de portions marginales des budgets municipaux.
Cette organisation démocratique et directe d’assemblées populaires est sûrement plus porteuse que le RIC et un meilleur point d’appui pour exercer la vigilance nécessaire face aux menées, au sein du mouvement, d’individus ou de groupes d’extrême-droite qui, même si ils sont souvent amplifiées et médiatisées dans les médias, sont néanmoins bien présents.
Léon Crémieux
https://www.anti-k.org/2018/12/31/le-combat-des-gilets-jaunes-quelques-reflexions-sur-le-ric/
Gilets jaunes : « L’année 2019 sera-t-elle le pire cauchemar de Macron ? »..
Le journal Le Monde avait publié une photo de Macron en montage..
Cette photo ayant fort déplu à notre président.. « Jupitérien »..
Le journal « Le Monde » a été obligé de s’excuser..
Le journal « Le Monde » a présenté ses excuses, samedi dernier..
La presse étant tenue par une certaine élite et oligarchie au service du gouvernement et de ce gouvernement, plus particulièrement, il s’en est suivi cette forme de polémique et controverse au sujet d’une photo publiée…
Le prélèvement à la source..
Avec le prélèvement à la source, l'Etat se sert sur le dos des Françaises et des Français et diminue un peu plus leur pouvoir d'achat !!!..
Il y avait déjà toutes ses augmentations successsives comme T.V.A., sans oublier en passant l'augmentation de la C.S.G. de 1,7%, tout comme cette hausse des taxes sur le prix du carburant à la pompe..
Attendons de voir, ce premier prélèvement à la source, pour être réellement et directement concernés, comme..surpris !!!...
Pour conclure
A présent nous sommes dans une nouvelle et seconde impasse, et avec beaucoup d’interrogations concernant cette nouvelle année 2019 qui débute et tout comme pour son déroulement tout au long…