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Ecologie vraie et réelle..
22 mars 2022

Volodomyr Zelensky va s’exprimer à l’Assemblée Nationale..c’est indigne !..

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Volodomyr Zelensky va s’exprimer à l’Assemblée Nationale..c’est indigne !..

Photo ci-dessus - Volodymyr Zelensky, président de l'Ukraine, s'adressera devant l'Assemblée nationale française et le Sénat mercredi 23 mars.

Huffington-Post.

Le président actuel, de l’Ukraine, Mr. Volodymyr Zelensky va s’exprimer ce mercredi 23 mars, à l’Assemblée Nationale et au Sénat, en même temps, vers 15 heures et en direct, par vidéo ou visio conférence, comme il le fait et l’a déjà fait maintes fois, depuis le 24 février, lors de cette invasion de l’Ukraine par la Russie et les troupes russes.

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Cela est « indigne » à mon sens (cela ne regarde que moi..cependant..) que l’on laisse une fenêtre comme un espace de parole à ce Zelensky, toujours aussi « provocateur » et de plus arrogant, aux yeux de tous, comme de toutes les nations, quelles qu’elles soient !!!..

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De quel droit laisse-t-on prendre la parole à Mr. Zelensky pour s’adresser directement, tant à l’Assemblée Nationale qu’au Sénat, alors que l’Assemblée Nationale est la représentativité de tous les groupes parlementaires comme de toutes les formations politiques représentatives, et censé représenter la France, mais également, au travers, prendre la défense de l’ensemble des Françaises et des Français face à l’Etat..

 

Aussi, je ne vois pas pourquoi Mr. Zelensky viendrait s’immiscer dans la politique de notre pays comme à l’intérieur de la France, par ce biais et au travers !..

 

Si cette intervention n’a qu’un seul but (non pacifique..), et pour rehausser la stature de Macron pour sa propre fausse campagne électorale jusque-là, mais bien pour les prochaines élections législatives proches, je trouve cela honteux et de plus..Innadmissible !!!..

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Je cite..

UKRAINE - Le président ukrainien Volodymyr Zelensky interviendra mercredi 23 mars à 15 heures en direct par vidéo devant les députés et sénateurs français, ont indiqué ce vendredi 18 mars les présidences de l’Assemblée nationale et duSénat dans un communiqué.

“La situation de guerre qui frappe le peuple ukrainien concerne l’ensemble des peuples d’Europe, et leurs assemblées parlementaires”, a-t-elle souligné. Volodymyr Zelensky s’est déjà adressé par lien vidéo aux eurodéputés le 1er mars, puis devant le parlement britannique, les parlementaires canadiens, le Congrès américain et le Bundestag allemand. Dimanche, il doit encore s’adresser au Parlement israélien.

C'est le président ukrainien @ZelenskyyUa qui a proposé à Richard Ferrand de s'exprimer devant les députés, leur écrit le président de l'AN. Les députés vont revenir l'écouter mercredi dans l'hémicycle #directAN

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Dans son communiqué, l’Assemblée précise que c’est Volodymyr Zelensky qui a proposé de s’exprimer. La demande a été reçue favorablement.

Le 25 février, au lendemain du déclenchement de l’invasion russe en Ukraine, un message d’Emmanuel Macron avait été lu devant Assemblée et Sénat français, selon la procédure rare de l’article 18 alinéa 1er de la Constitution. Puis le 1er mars un débat avait été organisé après une déclaration du gouvernement. La commission de la Défense de l’Assemblée a également mené des auditions, malgré la pause des travaux législatifs avant l’élection présidentielle. 

Zelensky implore les Occidentaux

C’est “dans le droit fil de son action” que l’Assemblée nationale, présidée parRichard Ferrand (LREM), accueillera le président de la République d’Ukraine mercredi dans l’hémicycle, par vidéo interposée. 

 Volodymyr Zelensky a imploré jeudi les Occidentaux d’aider à “arrêter cette guerre”, après trois semaines d’une offensive de Moscou qui ne donne aucun signe de répit malgré la poursuite de pourparlers. 

L’Otan organise jeudi prochain un sommet extraordinaire consacré à la guerre en Ukraine, auquel participera le président américain Joe Biden, qui effectuera le déplacement à Bruxelles.

Une réunion des chefs d’État et de gouvernement de l’UE se tiendra aussi jeudi à Bruxelles, en présence du président américain. Une réunion du G7 est également programmée.

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Mr. Zelensky implore, soit disant tous les pays, comme il le peut, et surtout..en permanence..

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Mr. Zelensky ne fait que de..provoquer, et de plus..haranguer les différents pays dont gouvernements, pour les entraîner à sa suite et dans son sillage de cette guerre « mortifère », qui n’attend qu’une « mauvaise » attitude, comme toute petite étincelle pour mettre réellement le feu aux poudres et ainsi créer un conflit majeur et conflit généralisé dont on sait par avance que tout cela mènerai très rapidement à une troisième guerre mondiale peu envisageable ni même surtout..souhaitable !

 

Mr. Zelensky est tout simplement aux abois, et a peur pour lui, pour sa personne comme sa fonction, comme président de l’Ukraine et des ukrainiens comme poste occupé jusque là et depuis 2019 pour être très précis..

 

L’Ukraine est gangrénée et corrompue et de plus fortement endettée, voilà tout.

 

Il a besoin et d’argent et d’armes comme armement pour pouvoir continuer et mener à bien le travail entrepris et souhaité comme dicté de la part des Etats-Unis face à la Russie comme pour Poutine..sans plus.

 

C’est un mécréant et un imposteur !

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La France a d’ailleurs livré des armes anti-char à l’Ukraine, sous la forme de missiles de type Milan 1 ou 2 ( ?)..

La France livre des missiles antichars Milan à l’Ukraine..

Outre des équipements de protection, Paris a fourni à Kiev « quelques dizaines » de ces armes, utilisées par les troupes d’infanterie contre les tanks et les véhicules blindés.

Depuis le début du conflit en Ukraine, la France, qui a condamné sans réserve l’agression russe, est en revanche restée très discrète sur ses livraisons d’armes aux Ukrainiens. Le chef de l’Etat et le gouvernement – dont le ministre des affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, le 6 mars – jurent qu’ils se sont limités à « des équipements défensifs et à un soutien en carburant ».

Le direct du 9 mars : Les dernières informations sur la guerre en Ukraine

Entre le 25 et le 28 février, Paris, comme d’autres capitales européennes, a en effet fourni des équipements de protection, casques et gilets pare-balles. Mais, depuis, la France livre, selon nos informations, des missiles antichars Milan aux combattants ukrainiens. Prélevée sur les stocks de l’armée française, la quantité paraît, pour l’heure, être restée modeste – « quelques dizaines », entre le 28 février et le 3 mars, selon une source diplomatique.

Ce matériel a été remis à l’armée ukrainienne à la frontière polonaise. Les premières opérations de transfert de matériels ont été supervisées, côté français, par des membres des forces spéciales rattachés au commandement des opérations spéciales, placé sous les ordres du chef d’Etat-major des armées et sous l’autorité du président de la République, Emmanuel Macron.

Lire aussi  Des livraisons d’armes à l’Ukraine importantes mais ciblées

La France n’est pas la seule à fournir des missiles Milan aux soldats ukrainiens. Le 28 février, l’Italie a indiqué officiellement avoir décidé de leur livrer ce même matériel parmi d’autres armements. Toutes les nations européennes de l’OTAN sont équipées de ce type d’arme antichar de fabrication franco-allemande et celles-ci sont de fait prélevées sur les stocks achetés aux Français. Outre l’Italie et l’Allemagne, on relève d’autres clients, comme l’Espagne ou le Royaume-Uni.

Missile précis et puissant

Le Milan est une arme très précise et puissante, adaptée à la lutte contre les tanks, les véhicules blindés et des bâtiments. C’est un missile léger sol-sol très apprécié par les troupes d’infanterie, capable de tirer de jour comme de nuit grâce à un système infrarouge. Le Milan 2, qui serait la version donnée par les Italiens aux Ukrainiens, peut atteindre des cibles à 2 500 mètres grâce à un système de guidage semi-automatique, dit « filoguidé ». Ce missile peut être embarqué sur un véhicule et fixé sur une griffe ou débarqué, à pied, et utilisé grâce à un poste de tir installé sur un trépied.

C’est la grande différence du missile par rapport à un lance-roquette sans technologie, dont le tube lanceur est jeté après chaque usage et qui ne dispose ni de sa précision ni de sa puissance. Enfin, quand une roquette antichar vaut environ 800 euros, il faudra débourser entre 5 000 et 6 000 euros pour un Milan. Pour ce dernier, il faut aussi prendre en compte le coût d’un poste de tir, estimé entre 23 000 et 24 000 euros. On ne sait pas combien de ces postes ont été livrés à l’Ukraine. En France, pour une section d’infanterie dotée de ce type d’armement, il faut en compter deux.

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Guerre en Ukraine..

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On critique Poutine pour les bombardements, en disant qu’il s’en prend à des objectifs comme immeubles civils.

 

Depuis le début, comme depuis peu, il ne s’en est pris et ne s’en prend qu’à des objectifs caractérisés et classés comme « militaires », en parlant d’aérodromes, de stocks de carburants comme dépots d’armements, ou encore de casernes militaires, comme tout récemment..

 

Pour cette caserne militaire un missile de type « Kinjal » avait été employé par l’aviation russe..

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VIA ASSOCIATED PRESSUn avion de chasse russe, MiG-31K, photographié avec un missile KH-47M2 Kinjal le 9 mai 2018. (AP Photo/Alexander Zemlianichenko, File)

GUERRE EN UKRAINE - C’est une première dans un conflit entre deux pays et une intensification inquiétante de l’armement utilisé par la Russie en Ukraine. Le porte-parole du ministère de la Défense russe, Igor Konashenkov, a assuré ce samedi 19 mars que la Russie a utilisé, durant la journée de vendredi, au moins un de ses missiles de nouvelle génération “Kh-47M2 Kinjal” (également écrit Kinzhal en anglais) pour “détruire un entrepôt souterrain de missiles et de munitions” dans la ville de Deliatine près d’Ivano-Frankivsk.

Cette ville, de moins de 10.000 habitants jusque-là épargnée par les bombardements russes, est située dans la région des Carpates au sud-ouest de l’Ukraine, à près d’une centaine de kilomètres de la frontière avec la Roumanie,pays appartenant à l’Otan.

10 fois la vitesse du son

Testé pour la première fois avec succès en 2018, ce type de missiles dit “hypersoniques”, est très manœuvrable. Si leurs capacités réelles sont encore débattues par les spécialistes de l’armement, ils semblent surpasser tous les systèmes de défense anti-aériens, dont le bouclier antimissile américain en Europe. 

Selon l’armée russe, l’arme a été déployée de nombreuses fois en exercices depuis le premier test réussi en 2018. Mais l’agence de presse russe d’État, Ria Novosti, a confirmé que son utilisation était une première dans les deux conflits où elle est belligérante. En Ukraine donc, mais également en Syrie où Vladimir Poutine apporte un soutien militaire au régime syrien de Bachar al-Assad depuis l’automne 2015, appuyant ses forces contre celles de l’opposition et celles des forces jihadistes.

Pour de nombreux experts, c’est tout simplement une première mondiale. Et pour cause: La Russie est la seule au monde à posséder ce type de missiles. “Il est probable qu’on voulait utiliser le Kinjal dans des conditions de combat, c’est une première mondiale”, relève l’analyste militaire, Vassili Kachine, interrogé ce samedi par l’Agence France-Presse (AFP).

Une portée jusqu’à 2.000 kilomètres?

La Russie assure que le missile peut voler jusqu’à “dix fois la vitesse du son”- Mach 10, soit 12.000 km/h-, bien que plusieurs experts militaires occidentaux estiment, encore une fois, que la vitesse de cette arme air-sol est exagérée par le Kremlin. Reste qu’à plusieurs fois le mur du son, le missile devient “invisible” et peut échapper à n’importe quel radar et donc à n’importe quel système de défense anti-missile.

Les chiffres sur sa portée sont également débattus entre spécialistes. Elle est de fait d’abord liée à la capacité de l’avion utilisé pour lancer la charge. Long de 7,4 mètres pour un poids d’environ 4 tonnes, les missiles “Kinjal” n’équipent que les avions de chasse russes MiG-31, des unités de l’aviation navale russe de la flotte nord et Pacifique. 

Plusieurs sources militaires, comme le journaliste spécialisé Laurent Lagneau, ont précisé que certains de ces missiles auraient cependant été déployés dans l’enclave russe de Kaliningrad, sur la mer Baltique, en février 2022. L’armée russe pourrait également être équipée de ces missiles via ses porte-avions en mer Noire.

L’arme pourrait aussi équiper des bombardiers stratégiques de type Tu-22M3. Une fois le missile lancé, sa portée est estimée à 1.000 ou 1.200 kilomètres selon plusieurs études militaires et à 2.000 kilomètres par l’armée russe.

Reste enfin la question de sa puissance à l’impact. Elle n’est pas beaucoup plus puissante qu’un missile Iskander-M de courte portée lancé depuis le sol et largement utilisé depuis trois semaines en Ukraine. “C’est l’équivalent de plusieurs missiles de croisière en même temps. Si vous mettez vingt missiles de croisière non-hypersonique, c’est l’équivalent d’un missile hypersonique”, a lui expliqué sur LCI, Bruno Clermont, général du corps aérien.

Mais pour l’analyste militaire, Vassili Kachine, la cible frappée vendredi semble tout indiquée pour les “Kinjal”. “De telles infrastructures sont difficiles à détruire avec des missiles classiques. Le missile hypersonique a lui une capacité de pénétration et une puissance destructrice plus importantes du fait de sa très haute vitesse”, note-t-il.

Suite au bombardement de cette caserne militaire..

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Photo ci-dessus, un soldat ukrainien monte la garde devant des armes récupérées suite au bombardement de cette caserne.

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Photo ci-dessus, on sort les soldats morts des décombres.

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Photo ci-dessus, et où l’on se rend compte qu’il y a des personnes âgées parmi les soldats survivants de cette caserne.

 

Zelensky le roi de la « com » (comme notre Macron national..)..

Il aime s’en prendre aux différents gouvernements, en les fustigeant de leur non participation..militaire..en intervention.

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Guerre en Ukraine : Zelensky évoque le 11-Septembre devant le Congrès américain, Poutine se vante d’un « succès »..

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Volodymyr Zelensky en visioconférence avec le Congrès américain. — Drew Angerer/AP/SIPA

Le nain face au géant..

Tous béats..à l’écoute !..

Un humoriste et danseur avant d’être..président..

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Guerre en Ukraine : Quand Volodymyr Zelensky remportait « Danse avec les stars »..

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À l’heure des bombardements, des images de sa participation à « Danse avec les stars » refont surface sur Internet..

Alors que la Russie a envahi l’Ukraine, le président Volodymyr Zelensky est bien décidé à soutenir son peuple et à résister à Vladimir Poutine. Mais avant de devenir ce symbole de la résistance ukrainienne, le dirigeant était une vedette de télévision et a notamment remporté Danse avec les stars, relaie Télé 7 Jours.

À 44 ans, Volodymyr Zelensky a multiplié les casquettes, jusqu’à ce que la réalité rattrape la fiction. En effet, avant d’être élu président de l’Ukraine en 2019, il a été, pendant plusieurs années, comédien. En 2006, il s’était fait remarquer en participant à la version ukrainienne du célèbre concours de danse. Avec sa partenaire Olena Shoptenko, il avait enchaîné les succès et séduit le public dans différentes chorégraphies qui ressortent sur les réseaux sociaux.

Des plateaux de télé à la présidence

Quelques années plus tard, il est devenu populaire en incarnant Vasyl Holoborodko, un professeur d’histoire de lycée arrivé au pouvoir un peu par hasard, dans la série télévisée humoristique Serviteur du peuple. Une popularité qui lui a permis d’être élu président de l’Ukraine avec plus de 73 % des voix.

En 2006 Volodymyr Zelensky remporte la première saison de Danse avec les stars en Ukraine..

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Regardez “Serviteur du peuple”, la série loufoque et outrancière du président ukrainien Volodymyr Zelensky

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Dans la série humoristique “Serviteur du peuple”, diffusée entre 2015 et 2019 en Ukraine, Volodymyr Zelensky incarne un prof d’histoire intègre qui devient tout à coup président de la République. À voir sur Arte.tv jusqu’au 18 mai.

L’histoire est désormais connue : avant de devenir président de l’Ukraine en 2019, Volodymyr Zelensky a été le vainqueur de l’édition locale de Danse avec les stars en 2006, puis l’acteur star d’une série humoristique à succès, Serviteur du peuple, dans laquelle il incarnait... le chef d’État ukrainien. Diffusées à partir de 2015 sur la chaîne 1 + 1 et produite par la société Studio Kvartal 95, fondée par Zelensky lui-même, les trois saisons de la série ont rencontré un immense succès dans leur pays d’origine. La première, qui compte vingt-trois épisodes, est visible sur Arte.tv jusqu’au 18 mai.

Le scénario : Vassili Goloborodko (joué par Zelensky), un prof d’histoire fan de Plutarque qui vit encore chez ses parents, est filmé en cachette par un de ses élèves alors qu’il pousse un violent coup de gueule contre la corruption et l’inefficacité de la classe politique : « Ces salauds arrivent au pouvoir, et ils volent, volent, volent. Et tout le monde s’en fout ! » Diffusée sur le Web, la vidéo devient virale. Avec un résultat inattendu : Goloborodko, du jour au lendemain, est élu président de la République.

https://www.purepeople.com/article/volodymyr-zelensky-de-gagnant-de-danse-avec-les-stars-a-president-de-l-ukraine-en-guerre_a478990/1

Volodymyr Zelensky : De gagnant de Danse avec les stars à président de l'Ukraine en guerre !

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La présidence n’est pas un jeu..la guerre..non plus !

 

Après toutes les mesures économiques à l’encontre de la Russie..L’Allemagne empêtrée pour le gaz..

 

L’Allemagne s’est tourné vers le Qatar pour s’assurer des livraisons de gaz, sachant que, dès à présent, l’Allemagne n’a pas suffisamment de gaz en stock pour pouvoir être en mesure d’assurer l’hiver prochain !..

 

Le 19/03/2022.

Énergie : l’Allemagne conclut un accord avec le Qatar pour se passer du gaz russe.

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Le Qatar, qui compte parmi les trois premiers exportateurs mondiaux de GNL, prévoit d’augmenter sa production de 50 % d’ici 2027. © Crédit photo : TOBIAS SCHWARZ

Un nouvel accord signé avec le Qatar va permettre à l’Allemagne de construire deux terminaux de gaz naturel liquéfié, dans un contexte où le pays cherche à sortir de sa dépendance au gaz russe.

La guerre en Ukraine, déclenchée par la Russie, a rebattu les cartes géopolitiques du Vieux continent. L’Allemagne, grandement dépendant du pétrole et du gaz russes, est dans une position délicate. Le pays qui cherche à réduire cette dépendance a donc conclu un accord énergétique de long terme avec le Qatar, a annoncé le dimanche 20 mars le ministère qatari de l’Énergie. Le but ? « accélérer » la construction de deux terminaux de gaz naturel liquéfié (GNL).

Un tel accord devrait permettre à l’Allemagne de diversifier son approvisionnement énergétique. « Le gouvernement allemand a pris des mesures rapides et concrètes pour accélérer le développement de deux terminaux de GNL », une priorité devant « permettre l’importation à long terme de GNL » dans ce pays, a la même source.

Energiepolitik mit Haltung: Wirtschaftsminister Habeck will am Golf die Abhängigkeit von russischem Gas verringern – für Menschenrechte ist da jetzt kein Platz. Die #tazeins vom Montag @tazgezwitscher #Energiewende #Ukraine #Gashahnzu

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D’importants investissements

Plusieurs années de discussions avec Berlin n’avaient, auparavant, pas abouti « à des accords définitifs en raison du manque de clarté sur la place du gaz à long terme dans le bouquet énergétique de l’Allemagne ». Doha a invoqué le coût énorme des investissements dans la production de gaz pour justifier la nécessité de contrats de longue durée.

Le Qatar, qui compte parmi les trois premiers exportateurs mondiaux de GNL, prévoit d’augmenter sa production de 50 % d’ici 2027.

Le gaz, enjeu majeur en Europe

Les pays européens comptent sur le GNL comme alternative au gaz russe, à la suite de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. La question est particulièrement délicate pour l’Allemagne, dont la moitié des importations de gaz viennent de Russie. « Si nous n’obtenons pas plus de gaz à l’hiver prochain et si les livraisons en provenance de Russie venaient à être coupées, alors nous n’aurions pas assez de gaz pour chauffer toutes les maisons et faire tourner toutes les industries », a prévenu le ministre allemand de l’Économie, Robert Habeck.

 

Guerre en Ukraine..

 

L’Algérie prête à fournir plus de gaz à l’Europe !..

 

Au regard de la flambée des prix du blé en Ukraine.

L’Algérie pourrait importer du blé français en mars avec la perturbation de ses achats depuis la mer Noire.

Gros acheteur de blé russe, l'Algérie se tourne désormais vers la France, ... l'Union pourrait reconstituer ses stocks de gaz avant l'hiver prochain.

 

L’Algérie prête à fournir plus de gaz à l’Europe !..

 

Les pourparlers et tractations entre les Etats..

 

Suite à cet entretien entre Joe Biden et Xi Jinping, les Etats-Unis font pression sur le Japon pour participer..

Le premier ministre japonais presse l'Inde à agir sur l'Ukraine..

 

Le premier ministre japonais Fumio Kishida, le 25 février 2022. POOL / REUTERS

L'Inde s'est abstenue lors des votes de trois résolutions à l'ONU condamnant l'opération militaire de Moscou et s'est contentée d'appeler à l'arrêt des violences.

Après une visite à New Delhi avec pour ordre de jour «de franches discussions», le premier ministre japonais, Fumio Kishida, a pressé son homologue indien de changer de ton vis-à-vis de Moscou mais leur déclaration commune s'est abstenue de condamner l'invasion de l'Ukraine.

Contrairement aux autres membres de l'alliance du «Quad» - le Japon, l'Australie et les Etats-Unis -, l'Inde s'est abstenue lors des votes de trois résolutions à l'ONU condamnant l'opération militaire de Moscou, et s'est contentée d'appeler à l'arrêt des violences.

Tensions au plus haut depuis 2020

L'Inde, qui entretient des liens étroits avec Moscou depuis la Guerre froide, continue également d'acheter du pétrole russe, à prix réduits, selon la presse. Les tensions entre New Delhi et Pékin sont au plus haut depuis des affrontements en 2020 à la frontière qu'ils se disputent dans l'Himalaya, qui ont fait au moins vingt morts parmi les soldats indiens et quatre côté chinois. Les deux pays ont renforcé leur dispositif militaire - pour l'Inde, largement avec du matériel russe - et déployé des milliers de soldats supplémentaires.

Après ses discussions avec le premier ministre indien Narendra Modi, Fumio Kishida a indiqué lors d'un point presse commun avoir eu des discussions «de fond» et réitéré son point de vue selon lequel, «l'invasion de la Russie sape le fondement même de l'ordre international méritait une réaction ferme».

Narendra Modi, de son côté, n'a pas mentionné l'Ukraine et la déclaration écrite conjointe s'est bornée à un appel à «un arrêt immédiat de la violence» et à dire «qu'il n'y a pas d'autres choix que la voie du dialogue et de la diplomatie pour la résolution du conflit». Sans nommer aucun pays, le texte élargit le propos à la situation indo-asiatique et «souligne la nécessité pour tous les pays de chercher à résoudre pacifiquement leurs conflits en accord avec le droit international, sans la menace, la force ni la tentative pour changer unilatéralement le statu quo».

«Des valeurs fondamentales et des intérêts stratégiques»

Avant la visite de Fumio Kishida, la première d'un premier ministre japonais depuis 2017, un responsable du ministère des Affaires étrangères a assuré que Tokyo était «conscient» des liens historiques entre New Delhi et Moscou et de la situation géographique de l'Inde.

«Mais en même temps, nous partageons des valeurs fondamentales et des intérêts stratégiques. Il y aura donc naturellement des discussions franches sur la façon dont nous voyons la situation en Ukraine, et nous nous attendons aussi à entendre des explications similaires de la part du premier ministre Modi», a déclaré le fonctionnaire aux journalistes en souhaitant garder l'anonymat.

Pas de condamnation

Début mars, Fumio Kishida, le président américain Joe Biden et le premier ministre australien Scott Morrison n'avaient pas réussi à convaincre leur homologue indien Narendra Modi d'adopter une position plus ferme.

Dans un communiqué commun, le «Quad» avait indiqué que ses dirigeants avaient «évoqué le conflit et la crise humanitaire en cours en Ukraine et évalué ses conséquences plus larges», sans condamner la Russie.

Selon un compte rendu des services de Narendra Modi, ce dernier a «souligné que le “Quad” devait rester concentré sur son objectif principal, qui est de promouvoir la paix, la stabilité et la prospérité dans la région Indo-Pacifique».

Rendez-vous avec Scott Morrison lundi

Pour le ministère indien des Affaires étrangères, les discussions avec le premier ministre japonais seront «l'occasion (...) d'échanger des points de vue sur des questions régionales et mondiales d'intérêt commun afin de faire progresser leur partenariat pour la paix, la stabilité et la prospérité dans la région indo-pacifique et au-delà». Narendra Modi doit aussi s'entretenir avec Scott Morrison lundi par visioconférence.

La Russie est le premier fournisseur d'armes de l'Inde, qui a cependant besoin du soutien du «Quad» face à l'influence croissante de la Chine dans la région. Les tensions entre New Delhi et Pékin sont au plus haut depuis des affrontements en 2020 à la frontière qu'ils se disputent dans l'Himalaya, qui ont fait au moins 20 morts parmi les soldats indiens et 4 côté chinois.

Malgré la guerre en Ukraine, l’Inde négocie avec Moscou l’achat de pétrole.

Narendra Modi, qui refuse de condamner l’attaque russe contre l’Ukraine, ignore un peu plus les appels des Occidentaux à prendre ses distances avec Vladimir Poutine

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Le président russe, Vladimir Poutine, et le premier ministre indien, Narendra Modi, se saluent avant leur réunion à New Delhi, le 6 décembre 2021. MANISH SWARUP / AP

L’information a été confirmée par deux ministres indiens. New Delhi est en discussion avec Moscou pour l’achat de pétrole brut à bon marché. L’Inde, qui s’était déjà distinguée de ses alliés occidentaux en refusant de condamner l’offensive de Vladimir Poutine en Ukraine et en s’abstenant au Conseil de sécurité des Nations unies lors d’une résolution condamnant l’opération, s’apprête peut-être à franchir un pas supplémentaire, alors que les Etats-Unis ont réitéré à plusieurs reprises leur souhait que le premier ministre, Narendra Modi, prenne ses distances avec la Russie.

Devant plusieurs médias, la ministre indienne des finances, Nirmala Sitharaman, avait affirmé, mercredi 9 mars, que la Russie a fait une« offre ouverte » à l’Inde pour la vente de pétrole brut à un prix réduit, mais que de nombreux éléments devaient encore être discutés.

Son collègue, Hardeep Singh Puri, le ministre du pétrole et du gaz naturel, a précisé devant la Rajya Sabha, la Chambre haute du Parlement, lundi 14 mars, que le gouvernement explorait « toutes les options possibles » dans le monde pour acheter du carburant moins cher. Il s’est entretenu avec le vice-premier ministre russe, Alexander Novak. « Des discussions sont en cours. Il y a plusieurs points qui doivent être examinés, comme la quantité de pétrole disponible en Russie ou sur de nouveaux marchés ou avec de nouveaux fournisseurs qui pourraient arriver sur le marché. Il y a également des questions relatives à l’assurance, au fret et à une foule d’autres questions, y compris les modalités de paiement. »

Fortement dépendant de l’extérieur

Hardeep Singh a ajouté qu’il espérait la reprise des approvisionnements en pétrole brut du Venezuela et de l’Iran, pour freiner la hausse des prix. « J’ai bon espoir que nous utiliserons tous, collectivement, notre pouvoir de persuasion pour demander à la communauté internationale de rendre plus de pétrole disponible, y compris en provenance du Venezuela. Les compagnies pétrolières indiennes concluront des accords avec le Venezuela et également l’Iran dès que leur pétrole arrivera sur le marché », a-t-il assuré.

Troisième plus grande nation consommatrice et importatrice d’énergie au monde, le sous-continent est fortement dépendant de l’extérieur : 85 % de ses besoins en pétrole sont importés. Le pays cherche par tous les moyens à contenir la hausse mondiale du cours du brut, entraînée par la guerre en Ukraine et la décision des Etats-Unis d’une interdiction totale du pétrole russe depuis le 8 mars. Jusqu’à présent, la Russie ne représente que de 2 % à 3 % de son approvisionnement.

 

Un avion chinois s’écrase au sol avec 130 passagers à bord..

 

Il s’agit d’un Boeing 737 de la toute dernière génération..

 

Erreur fatale, erreur humaine, ou..coïncidence ?..

 

Un entretien a eu lieu tout dernièrement entre Joe Biden et Xi Jinping..

Xi Jinping: Chine et Etats-Unis doivent aider "à la paix mondiale"

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Joe Biden et Xi Jinping se sont entretenus pendant presque deux heures. [EyePress/AFP]

La Chine et les Etats-Unis ont la responsabilité d'aider à la paix mondiale, a déclaré le président chinois à son homologue américain Joe Biden lors de leur entretien en vidéoconférence. "La crise ukrainienne n'est pas quelque chose que nous souhaitions voir" arriver, a déclaré Xi Jinping, selon ses propos rapportés par la télévision chinoise.

"En tant que membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU et en tant que deux premières économies mondiales, il nous incombe non seulement de conduire les relations sino-américaines sur la bonne voie, mais aussi d'assumer nos responsabilités internationales et de travailler à la paix et la tranquillité dans le monde", a-t-il poursuivi.

"Les conflits ne sont dans l'intérêt de personne"

Selon un bref compte-rendu diffusé par la chaîne publique CCTV, le président chinois a estimé également, au cours de presque deux heures de dialogue, que "les relations entre Etats ne pouvaient aller jusqu'à la confrontation armée. "Les conflits et les antagonismes ne sont dans l'intérêt de personne. La paix et la sécurité sont les biens que la communauté internationale doit avoir le plus à coeur", a-t-il déclaré à son homologue américain.

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Communiqué sibyllin de la Maison Blanche

A Washington, la Maison Blanche a mis plus de trois heures avant de communiquer sur l'entretien bilatéral.

Elle a fait savoir finalement et laconiquement que Joe Biden avait décrit à Xi Jinping  "les implications et conséquences si la Chine fournissait un soutien matériel à la Russie alors qu'elle mène une attaque brutale contre les villes et civils ukrainiens".

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Les deux dirigeants ont signalé leur volonté de "garder des canaux de communication ouverts", selon son communiqué.

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Le 19 mars 2022.

Ukraine: Kiev appelle Pékin à "condamner la barbarie russe" après de nouvelles frappes..

L'Ukraine a appelé samedi la Chine, allié stratégique de Moscou, à finir par "condamner la barbarie russe", après de nouvelles frappes, y compris avec un tout nouveau missile hypersonique vanté par Vladimir Poutine, qui ont fait des dizaines de morts.

Les raids aériens russes se succédaient à nouveau à un rythme rapide dans la journée sur Mykolaïv, une ville du sud de l'Ukraine où des dizaines de soldats ont été tuées la veille dans une frappe contre une caserne de l'armée, a indiqué sur les réseaux sociaux le gouverneur local Vitaliy Kim.

Il n'a pas fourni de précisions sur l'étendue des dégâts ni sur le nombre des éventuelles victimes.

Dans l'ouest du pays, le ministère russe de la Défense a affirmé avoir utilisé la veille de tout nouveaux missiles hypersoniques "Kinjal", vantés par Vladimir Poutine, pour détruire un entrepôt souterrain d'armements.

"L'Ukraine est malheureusement devenue un terrain d'essai pour tout l'arsenal russe de missiles", a déclaré au site Ukraïnska Pravda le porte-parole des forces aériennes ukrainiennes, Iouri Ignat.

A Mykolaïv, des témoins donnaient des bilans variant du simple au double après la destruction par six roquettes vendredi d'une caserne militaire.

"Pas moins de 200 soldats dormaient dans les baraquements", a raconté un militaire de 22 ans interrogé sur place, selon lequel "au moins 50 corps ont été extraits".

Un autre militaire a estimé qu'il pourrait y avoir eu 100 morts.

Les Russes "ont lâchement effectué des frappes de missiles contre des soldats qui dormaient. Une opération de secours se poursuit toujours", a déclaré samedi le gouverneur Vitaly Kim dans une vidéo publiée sur Facebook.

- 1.400 frappes aériennes -

Selon le ministère ukrainien de la Défense, les troupes russes, dont la progression sur le terrain a été beaucoup plus difficile que prévu face à la résistance acharnée des Ukrainiens, ont effectué 291 frappes de missiles et 1403 raids aériens depuis le début de l'invasion le 24 février.

A Zaporojie (ouest de Kiev), l'administration régionale a indiqué qu'un bombardement vendredi avait fait neuf morts et 17 blessés. Sept personnes ont aussi été tuées et cinq blessées par des tirs de mortier russes à Makariv, à une cinquantaine de kilomètres à l'ouest de Kiev, selon la police régionale.

Les bombardements n'ont pas davantage cessé à Kiev, la capitale et à Kharkiv, grande ville russophone du nord-ouest, où au moins 500 personnes ont été tuées depuis le début de la guerre, selon des chiffres officiels ukrainiens. Un homme et un enfant de 9 ans y ont encore été tués par un bombardement, ont indiqué les autorités locales samedi.

A Marioupol, ville portuaire du sud-est, encerclée et bombardée avec ses habitants depuis plusieurs semaines, Kiev a admis avoir perdu l'accès à la mer d'Azov.

L'armée russe a affirmé vendredi avoir réussi à entrer dans la ville.

Selon un conseiller du ministère ukrainien de l'Intérieur, Vadym Denysenko, cité par l'agence Interfax-Ukraine, la situation y est "catastrophique".

Le bilan du bombardement mercredi d'un théâtre où plus d'un millier de personnes s'étaient réfugiées dans un abri souterrain, que Kiev accuse Moscou d'avoir frappé "sciemment", était toujours inconnu samedi.

Le président Volodymyr Zelensky a déclaré que plus de 130 personnes avaient pu être sorties des décombres, certaines souffrant "de blessures graves", mais que les opérations se poursuivaient sous les bombardements pour secourir les autres.

Fuyant "l'enfer" de Marioupol, des familles ont raconté les cadavres gisant plusieurs jours dans les rues, la faim, la soif et le froid mordant des nuits passées dans des caves avec des températures inférieures à zéro.

- La Chine et la "bonne décision" -

Face à la poursuite des bombardements meurtriers, et à des négociations qui s'éternisent, le président Zelensky a exhorté la Chine, allié stratégique de Moscou, membre permanent du Conseil de sécurité de l'ONU et un des grands absents, avec l'Inde, du concert de condamnations et de sanctions qui s'est abattu sur Moscou, à prendre position.

"La Chine peut être un élément important du système de sécurité mondial si elle prend la bonne décision de soutenir la coalition des pays civilisés et de condamner la barbarie russe", a tweeté Mykhaïlo Podoliak, un conseiller de M. Zelensky et un des participants aux négociations avec la Russie.

Le président américain Joe Biden s'était entretenu vendredi pendant près de deux heures par visioconférence avec son homologue chinois Xi Jinping, pour lui exposer "les conséquences si la Chine fournissait un soutien matériel à la Russie", selon la Maison blanche.

Mais M. Xi a maintenu l'ambiguïté, se bornant à souligner que les conflits militaires n'étaient "dans l'intérêt de personne", selon la télévision chinoise.

A New Delhi, c'est le Premier ministre japonais, Fumio Kishida, qui a exhorté l'Inde, gros acheteur d'armes et de pétrole russes, à sortir de sa réserve et à condamner l'invasion. Son homologue indien, Narendra Modi, s'est gardé de mentionner l'Ukraine, et la déclaration conjointe s'est bornée à un appel à "un arrêt immédiat de la violence."

Le président Zelensky a cependant encore une fois souligné que "des négociations portant sur la paix et la sécurité pour l'Ukraine sont la seule chance pour la Russie de minimiser les dégâts causés par ses propres erreurs", dans une vidéo publiée sur Facebook, filmée de nuit dans une rue déserte de Kiev.

- "Position inchangée" de l'Ukraine -

Plusieurs rounds de tractations entre Kiev et Moscou ont eu lieu depuis le 24 février. Le quatrième s'est ouvert lundi au niveau de délégations négociant par visioconférence.

Le chef de la délégation russe a affirmé voir vendredi soir un "rapprochement" des positions sur la question d'un statut neutre de l'Ukraine et la démilitarisation du pays.

Mais le négociateur ukrainien Mikhaïlo Podoliak a souligné que les "déclarations de la partie russe ne sont que leurs demandes de départ".

"Notre position n'a pas changé: cessez-le-feu, retrait des troupes (russes) et garanties de sécurité fortes avec des formules concrètes", a-t-il tweeté.

L'Ukraine refuse un simple statut de neutralité et exige des "garanties de sécurité absolues".

Le ministre turc des Affaires étrangères Mevlut Cavusoglu avait indiqué jeudi que la proposition ukrainienne était celle d'un "accord de sécurié collective" impliquant les cinq membres du Conseil de sécurité ainsi que la Turquie et l'Allemagne.

Pour la cheffe de la diplomatie britannique cependant, Liz Truss, ces pourparlers ne sont qu'un "écran de fumée" avant une nouvelle offensive. Elle a dit dans une interview au Times être "très sceptique" sur les négociations.

Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, avait fait jeudi une analyse similaire, estimant que la Russie ne cherche que la "capitulation ukrainienne" à travers "l'aggravation de la guerre des sièges".

- "Crime de guerre" russe -

Le président ukrainien a indiqué que 180.000 personnes avaient pu à ce jour fuir des zones de combat par des couloirs humanitaires.

"Mais les occupants continuent de bloquer l'aide humanitaire, tout particulièrement autour des zones sensibles. C'est une tactique très connue. (...) C'est un crime de guerre", a lancé M. Zelensky.

Selon les autorités ukrainiennes, 6.623 personnes ont été évacuées par les couloirs humanitaires samedi, dont 4.128 fuyant Marioupol et 1.820 fuyant Kiev.

Depuis le 24 février, plus de 3,2 millions d'Ukrainiens ont pris les routes de l'exil, dont près des deux tiers vers la Pologne, parfois seulement une étape avant de continuer leur exode.

D'après un décompte au 18 mars du Haut Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme en Ukraine, au moins 816 civils ont été tués en Ukraine et plus de 1.333 blessés. Il a souligné que ce bilan était probablement très inférieur à la réalité.

Kiev, la capitale, s'est vidée d'au moins la moitié de ses 3,5 millions habitants. Selon la mairie, 222 personnes --dont 60 civils-- y ont été tués.

Aucun bilan global n'a été fourni à ce stade. M. Zelensky a mentionné le 12 mars la mort d'"environ 1.300" militaires ukrainiens, tandis que Moscou a seulement rapporté près de 500 morts dans ses rangs le 2 mars.

L'Ukraine a indiqué avoir "562 prisonniers de guerre russes", et les détenir conformément au droit international, "comme un pays civilisé".

Dans une liaison vidéo avec Berne, Volodymyr Zelensky a fustigé samedi les entreprises comme le groupe Nestlé qui poursuivent leurs activités en Russie. Il a appelé la Suisse à geler les actifs des milliardaires russes et des proches du Kremlin.

 

Une nouvelle « icone » apparait et de plus.. circule sur la toile..en Ukraine..

La nouvelle arme antichar « glorifiée », presque béatifiée..une honte et une insulte !..

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L’icône d’une madone tenant une arme anti-tank, des logos à l’effigie du président ou de héros de guerre… Une iconographie nourrie de mèmes et de légendes (pas toujours avérées) est née sur les réseaux sociaux, donnant lieu à un merchandising du conflit en Ukraine.  

L’image montre la Vierge, la tête légèrement penchée, l’air compatissant, dessinée dans le style classique des icônes religieuses orthodoxes. Elle ne tient pas de petit Jésus dans ses bras, mais un Javelin, une arme anti-tank notamment utilisée par les Ukrainiens pour s’attaquer aux blindés russes. Cette petite icône appelée « Saint Javelin » a fait le tour du web. Elle est devenue un mème, accompagné de diverses légendes soutenant les Ukrainiens, ou incrusté dans d’autres images. Le FGM-148 Javelin est l’une des armes que les pays occidentaux livrent aux Ukrainiens pour se défendre. Et il est rapidement devenu le symbole de leur résistance face à l’invasion militaire russe. 

Merchandising de la guerre 

Selon le site Know Your Meme, l'icône Saint-Javelin a été créée à partir de l’œuvre Madonna Kalashnikov de l’artiste américain Chris Shaw. La Kalashnikov que portait l'originale a été remplacée par un Javelin. L’image a été publiée par un utilisateur anonyme en 2018 sur le réseau social VK dans un groupe pro-Ukraine, avant d’être partagée sur Twitter. 

Plus récemment, Christian Borys, un professionnel du marketing canadien, a repris l’icône pour en faire des stickers, des patchs, t-shirts et autres goodies qu’il vend dans le but, dit-il, de récolter des fonds pour différentes organisations qui aident la population ukrainienne. Depuis le lancement de son e-shop le 16 février, il aurait déjà récolté plus de 600 000 dollars

Afin de lever des fonds, un Canadien a même dessiné une icône avec une Vierge tenant en ses bras un missile, accompagné du message:«Saint Javelin, protégez l’Ukraine.» Une initiative devenue «virale» et ayant déjà recueilli plusieurs centaines de milliers d’euros.

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Memification de Zelensky : une si bonne idée ?  

Vlododoymir Zelensky, président Ukrainien et ancien acteur devenu chef de guerre, fait lui aussi partie de cette mythologie. C’est l’icône des icônes, juge Alexis Rapin. Sa réplique « j’ai besoin de munitions, pas d’un taxi » figure d’ailleurs sur l’un des t-shirts vendus par l'e-shop de Christian Borys cité plus haut. 

Dans un récent article, Wired s’interroge sur les bienfaits de la mémification du président. « La mémification aide un message politique ou une cause à être plus largement diffusé, mais cela se fait souvent au détriment d'un affaiblissement de l’histoire » , explique au média américain Sulafa Zidani, professeur spécialiste de la culture numérique au Massachusetts Institute of Technology. Pour Wired, considérer le président comme une icône de cinéma réduit le sort de l'Ukraine à un mème, que les citoyens d’autres pays voient passer, s’en amusent ou se lamentent sur la situation puis continuent de scroller. 

Dans son thread, Alexis Rapin estime quant à lui que l’intérêt de cette curieuse iconographie qui participe à la guerre d'information entre les deux pays n’est pas négligeable. Certes « l’hipsterisation d’une guerre sanglante peut évidemment être questionnée » , observe-t-il, force est toutefois de constater que cette iconographie contribue à galvaniser les Ukrainiens et à mobiliser les opinions étrangères. 

En Ukraine, ces armes anti-tank deviennent des memes et des symboles de la résistance.

Une iconographie de Marie-Madeleine enlaçant un Javelin, lance-missiles antichar, est devenue l'un des symboles de la résistance ukrainienne face à la Russie.

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CAPTURE @ABE_ACCORD SUR TWITTEREn Ukraine, les armes anti-tank deviennent des mèmes et les symboles de la résistance.

GUERRE EN UKRAINE - Le protecteur Saint-Javelin. Alors que la guerre en Ukraine en est à son septième jour, la “guerre de l’information” se poursuit également. D’un côté, la Russie où Vladimir Poutine impose une lourde censure afin que son peuple ne sache pas ce qu’il se passe chez son voisin ukrainien. De l’autre, l’Ukraine, qui se bat pour repousser l’envahisseur et communique le plus possible sur les réseaux sociaux pour montrer l’évolution de la situation et la réalité du terrain de son point de vue.

Cette communication permet notamment aux réseaux sociaux de se mobiliser et soutenir à leur manière les Ukrainiens. Depuis le début du conflit, certains manifestent leur soutien en partageant des symboles, nés de cette guerre. Sur Twitter, Alexis Rapin, chercheur à l’Université du Québec à Montréal, parle même de “l’émergence d’une micro-mythologie voire d’une ‘pop culture’ entourant le conflit”. C’est notamment le cas pour “St-Javelin”, inspiré d’une représentation de Marie-Madeleine.

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L’armée nationaliste ukrainienne ne jure que par cette arme livrée tant par les américains que les britanniques..

Il en va de même du NLAW, autre puissante arme anti-tank (de fabrication britannique), dont le nom est devenu un mot du quotidien chez les internautes ukrainiens.

Ci-dessous, un clin d’œil au morceau « I fought the law »

(The Crickets, Bobby Fuller Four, The Clash).

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Il y a deux jours, un journaliste de l’AFP a recueilli le témoignage d’un soldat ukrainien sur le front d’Irpin, à l’ouest de Kiev. «Viktor» remerciait les Britanniques pour le «magnifique engin» lui ayant permis de détruire un blindé russe. Il s’agissait d’un missile antichar NLAW (Next generation Light Antitank Weapon) fourni par Londres. Une arme redoutable surnommée «in love» par le président Zelensky lui-même lors d’une conversation téléphonique avec Boris…

L’Ukraine utilise des missiles antichars britanniques NLAW pour détruire les blindés russes..

S’exprimant aux Communes plus tôt dans la journée, James Heappey, le ministre des Forces armées, a déclaré que les missiles antichars s’étaient « déjà avérés inestimables » dans le conflit en Ukraine.

M. Heappey a déclaré que le gouvernement était « conscient du nombre de circonstances » dans lesquelles les missiles antichars « ont été utilisés pour vaincre les blindés russes, et nous sommes donc très conscients de leur utilité, à la fois en bataille ouverte pendant la phase initiale de la conflit, mais aussi dans le domaine urbain dans toute résistance ou insurrection qui pourrait s’ensuivre ».

Le ministre a également partagé l’idée que l’invasion de la Russie n’avait pas été aussi réussie que prévu.

Il a déclaré: « Il suffit de dire que nous sommes à peu près certains qu’au Kremlin hier soir, il y aura eu des réflexions assez urgentes sur la vitesse de l’avancée par rapport à ce qu’ils anticipaient.

« Je pense que le peuple russe devrait appeler le président Poutine et la kleptocratie qui l’entoure à ce sujet, car de jeunes hommes et femmes russes sont sacrifiés au nom de l’orgueil du président Poutine. »

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Photo ci-dessus d’un soldat ukrainien exhibant fièrement ce nouveau missile anti-char fraîchement livré et acquis.

Ukraine’s new patron saint.

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“Le nouveau saint patron de l’Ukraine: Saint-Javelin”. 

Cette dernière, vêtue d’une robe verte, est auréolée de rouge ou de bleu et accompagnée du trident doré de l’Ukraine. Plus étonnant: elle enlace un FGM-148 Javelin, un lance-missiles antichar portable de construction américaine.

Le Javelin, "l'arme miracle pour les Ukrainiens"..

Cette arme est devenue un symbole du conflit en Ukraine. En effet, selon Vice, le 25 février la vice-ministre ukrainienne de la Défense, Hanna Malyar, a annoncé que l’Ukraine avait détruit plus de 80 chars russes, dix avions, sept hélicoptères et 516 véhicules de combat blindés. Un palmarès qui, selon le média, n’aurait pas été possible sans le Javelin.

“Le Javelin, redoutable arme anti-tank à charge creuse, a acquis le statut d’arme miracle pour les Ukrainiens. Il inflige effectivement de lourdes pertes parmi les blindés russes (image de gauche) et est devenu l’objet d’un culte, au sens quasi-littéral, d’une partie de la Twittosphère”, écrit Alexis Rapin. 

(2/8) Le Javelin, redoutable arme anti-tank à charge creuse, a acquis le statut d'arme miracle pour les . Il inflige effectivement de lourdes pertes parmi les blindés russes (exhibit A) et est devenu l'objet d'un culte, au sens quasi-littéral, d'une partie de la Twittosphère.

It’s not a party without St. Javelin #Ukraine

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Et ce n’est pas la seule arme glorifiée sur les réseaux sociaux. C’est aussi le cas du NLAW, un missile antichar portable. 

Le Javelin et le NLAW ne sont pourtant pas des armes ukrainiennes. Le NLAW a été réalisé par la société suédoise Saab Bofors Dynamics et fabriqué à Belfast par une filiale du français Thales. 

Quant au FGM-148 Javelin, il a été développé outre-Atlantique dans les années 1980 et déployé à partir de 1996. Il est arrivé en Ukraine en 2018 lorsque le pays en a acheté aux États-Unis dans le cadre d’un achat de 47 millions de dollars, note Vice. Washington a ensuite envoyé 180 missiles et 30 lanceurs supplémentaires en octobre 2021 et 300 missiles supplémentaires en janvier.

Déjà pendant la guerre du « Donbass » en 2014..

Au nom de la guerre..on mélange tout..

Le 8/12/2014.

Ukraine: une relique sacrée pour protéger les rebelles du Donbass.

Savour-Moguyla (Ukraine) - Agenouillé dans la neige, la tête baissée, un rebelle prorusse se recueille devant l'icône de la Sainte-Vierge de Tikhvine, temporairement exposée au pied de la colline de Savour-Moguyla, dans l'est de l'Ukraine. En treillis, il prie pour la victoire contre le "fascisme".

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Une femme embrasse l'icône de la Sainte-Vierge de Tikhvine non loin de Snizhnee, dans l'est de l'Ukraine, le 7 décembre 2014

afp.com/Eric Feferberg

Autour de lui, une soixantaine de personnes attendent, sous un vent glacial, pour embrasser à leur tour la relique sacrée entreposée l'espace d'une journée au milieu des ruines de ce monument aux héros de la Seconde Guerre mondiale, ravagé après d'intenses combats entre rebelles prorusses et forces loyalistes ukrainiennes. 

Certains allument des cierges. D'autres font seulement un signe de croix devant la relique, l'une des plus précieuses de l'Église orthodoxe russe, surveillée de près par une vingtaine de rebelles armés. 

Cette version de l'icône de la Sainte-Vierge de Tikhvine, datant de 1803, a derrière elle une longue tradition de protection des combattants défendant la "terre russe", explique Maria Bavykina, directrice-adjointe du fonds caritatif des "nouveaux martyrs et confesseurs du Christ", en charge avec les autorités rebelles de Donetsk du transport de la relique depuis Moscou. 

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Et ou l’on croit que tous sont des saints !..

On oublie, un peu trop rapidement, de préciser toutes les exactions commises par ce bataillon Azov..

A l’encontre même de certains en Ukraine..

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Des membres de ce Bataillon Azov avaient pour habitude, je précise, d’attacher les hommes (Ukrainiens..) nus et avec leurs enfants à côté contre un arbre, et de les flageller pour les punir de ne pas vouloir intégrer l’armée pour participer notamment à la guerre du « Donbass »..moins drôle !..

Guerre en Ukraine : quatre questions sur le régiment Azov, ce bataillon ukrainien accusé de compter des néonazis dans ses rangs..

Moscou et le camp prorusse mettent en avant ce groupe de combattants lié à l'extrême droite néonazie pour justifier l'invasion du territoire ukrainien.

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Des militaires du régiment Azov et de la garde nationale ukrainienne (NGU) défilent dans la ville de Marioupol (région du Donbass) pour le cinquième anniversaire de la libération de la ville, le 15 juin 2019.  (EVGENIYA MAKSYMOVA / AFP)

Depuis plusieurs semaines, Vladimir Poutine présente l'invasion de l'Ukraine par l'armée russe comme une "opération spéciale" visant notamment à "dénazifier"l'Etat ukrainien. Dans cette tentative de justification de l'offensive lancée par le maître du Kremlin contre son voisin, une unité militaire ukrainienne à la réputation sulfureuse, le régiment Azov, est utilisée comme un ennemi symbolique par le camp russe. Sur les réseaux sociaux, les images de ses combattants arborant des symboles évoquant le nazisme sont partagées en nombre, notamment par des internautes prorusses.

Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, s'est lui servi de ce bataillon controversé pour justifier le bombardement d'une maternité, mercredi 9 mars, dans la ville assiégée de Marioupol, en affirmant que le bâtiment servait de base à ses combattants. "Cette maternité a été reprise depuis longtemps par le bataillon Azov et d'autres radicaux, et toutes les femmes en couches, toutes les infirmières et tout le personnel de soutien ont été mis à la porte", a affirmé le ministre des Affaires étrangères russe. Franceinfo répond à plusieurs questions sur cette unité intégrée depuis 2014 à la garde nationale ukrainienne.

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Comment est-il né ?

Le régiment Azov est un groupe paramilitaire qui tire son nom de la mer d'Azov, bordant à la fois l'Ukraine, la Russie et la Crimée, région ukrainienne annexée par Moscou depuis 2014. Il s'agissait initialement d'un bataillon composé de volontaires, ukrainiens et étrangers. Celui-ci a joué un rôle-clé dans la libération de Marioupol au printemps 2014, alors que cette grande ville du Donbass était alors aux mains des séparatistes prorusses. Le bataillon a acquis le statut de régiment en novembre de la même année, en étant intégré à la garde nationale ukrainienne, sur décision du ministère de l'Intérieur.

Le groupe paramilitaire fait, depuis, partie des forces ukrainiennes institutionnalisées. "Il s'agit d'une volonté de les réintégrer dans une structure pour contenir le danger que pourrait représenter l'existence de groupes militaires extérieurs à l'Etat", analyse pour franceinfo Masha Cerovic, maîtresse de conférences à l'EHESS et membre du Centre d'études des mondes russe, caucasien et centre-européen (Cercec).

2 Quels sont ses liens avec l'idéologie néonazie ?

Le noyau historique du régiment Azov est associé à une extrême droite radicale d'affiliation néonazie qui défend des thèses sur "la race blanche", analyse Masha Cerovic. Le fondateur de ce groupe armé, Andriy Biletsky, a été député du Parlement ukrainien entre 2014 et 2019. En 2007, alors membre de l'organisation paramilitaire ultranationaliste Patriotes d'Ukraine, il publiait un texte intitulé "Nationalisme social racial ukrainien", rapporte Libération"Andriy Biletsky n'a cependant jamais ouvertement revendiqué une identité néonazie", précise la chercheuse.

Il a participé en 2016 à la fondation d'un parti : Corps national. "Des vétérans du régiment Azov ont voulu capitaliser sur leur image pour transformer une action militaire en action politique", explique à franceinfo Adrien Nonjon, chercheur à l'Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco) et spécialiste de l'Ukraine et de l'extrême droite.  Au sein de Corps national, la guerre est présentée comme le meilleur moyen pour défendre la nation, explique Adrien Nonjon, qui qualifie le parti d'inspiration "nationaliste soldatique". "Son impact reste très marginal dans le jeu politique ukrainien", nuance cependant Masha Cerovic.

Ces accointances avec le nazisme ont toutefois été constatées sur le front. Des photos de combattants du régiment Azov arborant des symboles évocateurs du IIIe Reich circulent sur les réseaux sociaux depuis le début du conflit en Ukraine. Le symbole ésotérique du "Soleil noir", ou encore le "Wolfsangel" inversé, qui fut celui de la 2e division SS Panzer "Das Reich", s'affichent sur certains treillis ukrainiens. Il s'agit d'anciens emblèmes du groupe paramilitaire, encore utilisés par certains soldats, relate Adrien Nonjon. L'idéologie néonazie ne serait cependant pas majoritaire au sein des troupes du régiment qui combattent actuellement, ajoute le chercheur. "Avec l'ouverture du régiment à un plus large recrutement en 2014, cette base [néonazie] a été noyée dans la masse", précise-t-il.

3 Pourquoi ses méthodes sont-elles controversées ?

Le régiment Azov a été accusé par l'ONU et certaines ONG d'exactions commises lors du conflit pour la Crimée, en 2014. Deux ans plus tard, un rapport (en anglais) du Haut Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme a ainsi accusé le bataillon de viols et d'actes de torture. "Un homme handicapé mental a fait l'objet de traitements cruels, de viols et d'autres formes de violences sexuelles par huit à dix membres des bataillons Azov et Donbass [une autre formation paramilitaire ukrainienne] en août-septembre 2014", peut-on notamment y lire.

En 2016 toujours, Human Rights Watch et Amnesty International ont également rendu leur rapport conjoint (en anglais) sur la situation en Ukraine. Les deux ONG font état de la pratique de détention arbitraire et de mauvais traitements incriminant plusieurs groupes militaires, dont le régiment Azov. Même son de cloche du côté de l'Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra), qui a publié en 2018 ses conclusions sur le conflit de 2014. L'établissement public rattaché au ministère de l'Intérieur a dénoncé des actes de torture (privation de nourriture, usage de chocs électriques...) dont des membres du régiment se seraient rendus coupables. 

4 Quelle est son implication dans cette guerre ? 

Pour la chercheuse Masha Cerovic, le régiment Azov évolue essentiellement dans la région du Donbass, dans l'est de l'Ukraine, même s'il reste difficile de localiser précisément les positions de troupes combattantes en temps de guerre. Il compterait entre 3 500 et 4 000 hommes, selon Adrien Nonjon. Le régiment représenterait donc moins de 2% de l'effectif total de l'armée ukrainienne, qui compte près de 200 000 soldats, selon les chiffres de la Military Balance de l'International Institute for Strategic Studies (Iiss), cité par l'AFP fin février.

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Et où l’on retrouve à nouveau, et comme par hasard..un certain « BHL », autrement dit..Bernard Henri Lévy..

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Souriez vous êtes filmé !...

Réponse de quelqu’un sur le tweet :

C'est tout à fait logique puisque BHL et les autres agents, officines israéliennes soutiennent avant tout les intérêts d'Israël qui maintenant soutient un peu partout des groupes néo nazis (notamment ceux en Ukraine). Un nouveau nazisme sur mesure pro israélien

Ukraine : BHL s’affiche à Odessa avec l’ex-commandant d’un bataillon accusé de crimes de guerre..

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Le 15 mars, le militant franco-sioniste, Bernard-Henri Lévy, a revendiqué s’être affiché avec Maxim Marchenko, actuel gouverneur de la région d’Odessa. Ce dernier a dirigé pendant deux ans le bataillon Aïdar, une unité militaire ukrainienne accusée d’avoir commis des crimes de guerre dans le Donbass.

Dans une publication sur Twitter accompagnée de plusieurs hashtags – l’un d’eux signifiant «dénazifier Poutine» – Bernard-Henri Lévy s’est exprimé en ces termes : «Oui, bien sûr, je suis avec le gouverneur Maxim Marchenko. Un homme courageux. Je l’ai rencontré dans les tranchées du Donbass, où il combattait les chiens de guerre de Poutine qui attaquaient l’Ukraine. Aujourd’hui, il défend Odessa. Donc l’Europe et les valeurs démocratiques».

Le colonel Maxim Marchenko a été nommé gouverneur de l’oblast (région) d’Odessa, au sud-est de l’Ukraine, le 1er mars 2022.

De 2015 à 2017, il avait occupé le poste de commandant du bataillon Aïdar, une unité militaire spéciale formée de volontaires ukrainiens intégrée à l’armée de terre ukrainienne.

Ce bataillon avait été créé en 2014 pour mater l’insurrection des séparatistes de l’est ukrainien, qui refusaient de reconnaître les nouvelles autorités de Kiev, issues du coup d’Etat du Maïdan.

Un bataillon de volontaires accusés d’exécutions, d’enlèvements, de vols…

Cette même année, un rapport d’Amnesty International intitulé «Ukraine : Abus et crimes de guerre commis par le bataillon de volontaires Aïdar dans le nord de la région de Lougansk» déclarait que les membres de ce bataillon avaient «été impliqués dans des abus généralisés, notamment des enlèvements, des détentions illégales, des mauvais traitements, des vols, des extorsions et possiblement des exécutions».

En introduction de ce rapport figure cette citation attribuée au «commandant du bataillon Aïdar», à savoir le prédécesseur de Maxim Marchenko : «Ce n’est pas l’Europe. C’est un peu différent… Il y a une guerre ici. La loi a changé, les procédures ont été simplifiées… Si je le décide, je peux vous faire arrêter tout de suite, vous mettre un sac sur la tête et vous enfermer dans une cave pendant 30 jours en vous soupçonnant d’aider les séparatistes.»

Le rapport d’Amnesty indique par ailleurs que la réglementation de Kiev sur les groupes de volontaires est peu contraignante et que leurs membres «agissent pratiquement sans surveillance ni contrôle».

L’ONG demande par conséquent à Kiev de clarifier le statut juridique et l’affiliation de ces bataillons et de les intégrer pleinement dans des «chaînes de commandement claires», de sensibiliser tous ses militaires au droit international et de mettre en œuvre des «enquêtes efficaces» sur les violations des droits de l’Homme.

L’OSCE avait également relevé des accusations de telles violations commises par le bataillon Aïdar. Comme le soulignait Newsweek en 2014, le bataillon Aïdar bénéficiait du soutien de l’oligarque ukrainien Igor Kolomoïsky, qui financerait aussi les bataillons de volontaires Azov, Donbas, Dnepr 1 et Dnepr 2, opérant sous les ordres de Kiev. Un mandat d’arrêt a été lancé en juillet 2014 en Russie contre le milliardaire pour avoir «organisé le meurtre de civils» en finançant ces combattants.

Et pour cause, les bataillons ukrainiens sont soupçonnés de nombreuses exactions. A titre d’exemple, comme le rapportait Newsweek, peu après la publication du rapport d’Amnesty International précité, étaient publié sur les réseaux sociaux des images de ce qui semble être les têtes coupées de deux civils.

La chaîne d’information russe NTV les avait identifiées comme étant des têtes d’otages rebelles. Peu de temps après, Pravilnoe TV – une chaîne d’information basée à Kiev – avait indiqué avoir parlé avec la mère de l’une des victimes, qui avait confirmé que son fils était un rebelle capturé lors de combats à Donetsk.

Elle avait également affirmé avoir reçu par la poste la tête de son fils dans une boîte en bois.

Bernard-Henri Levy avait apporté son soutien au coup d’Etat de 2014, qui s’était soldé par la chute du président Viktor Ianoukovitch, en se rendant notamment parmi les manifestants du Maïdan.

A la suite de celui-ci, les Républiques populaires autoproclamées de Donetsk et de Lougansk (dans le Donbass, dans l’est ukrainien) avaient fait sécession, au regard notamment de la tonalité antirusse du nouveau pouvoir de Kiev.

S’en est suivi un conflit entre l’armée ukrainienne et les séparatistes, qui a fait plus de 13 000 morts en huit ans, dont de nombreux civils de cette région en majorité russophone.

Le 24 février 2022, le président russe Vladimir Poutine, après avoir reconnu l’indépendance des républiques du Donbass, a annoncé le lancement d’une opération militaire visant selon ses termes à «démilitariser» et «dénazifier» l’Ukraine.

Kiev et ses alliés occidentaux dénoncent cette offensive comme une guerre d’invasion.

Selon des chiffres de l’ONU en date du 15 mars, 636 civils sont morts depuis le début de l’intervention russe. Moscou assure viser exclusivement les infrastructures militaires, mais les autorités ukrainiennes font régulièrement état de victimes civiles.

Les armes anti-char et missiles de type « Javelin »..

A peine livrés aussitôt l’instruction peut..débuter..

Les « NLAW » britanniques.

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Londres en pointe pour armer les Ukrainiens..

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Photo ci-dessus à Kiev.

Le missile individuel britannique NLAW est particulièrement apprécié des Ukrainiens. Surnommé «in love» par ses servants, il afficherait un taux de réussite de 90%. Plusieurs milliers auraient été livrés. VALENTYN OGIRENKO/REUTERS

DÉCRYPTAGE - Entraînement, équipement, combattants de la cyberguerre: la Grande-Bretagne a tissé une relation militaire privilégiée avec l’Ukraine dès la fin de la guerre de 2014.

Face aux hordes mécanisées russes, on a vu des soldats ukrainiens s’en remettre à «saint Javelin» ou «saint NLAW» - les dénominations de ces missiles antichars qui, à défaut d’inverser pour l’heure le cours de la guerre, ont freiné la progression des colonnes de Poutine.

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Afin de lever des fonds, un Canadien a même dessiné une icône avec une Vierge tenant en ses bras un missile, accompagné du message:«Saint Javelin, protégez l’Ukraine.» Une initiative devenue «virale» et ayant déjà recueilli plusieurs centaines de milliers d’euros.

Des missiles sol-air de type « Stinger » américains avaient également été livrés ..

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La livraison des armes et de ces armes anti-char..

13/02/2022.  

La Lituanie a livré des missiles sol-air américains à l'Ukraine..

Les Lituaniens ont livré des armes anti-char américains provenant de Lituanie..

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Photo ci-dessus de soldats ukrainiens au débarquement et à la livraison de ces armes.

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Photo ci-dessus des militaires ukrainiens aident au déchargement.

L'Ukraine a reçu dimanche un lot de missiles antiaériens Stinger américains fournis par la Lituanie, a annoncé le ministre ukrainien de la Défense. /Photo prise le 13 février 2022/REUTERS/Valentyn Ogirenko

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Photo ci-dessus chargement dans des camions militaires ukrainiens.

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Photo ci-dessus chargement dans des camions militaires ukrainiens.

KIEV (Reuters) - L'Ukraine a reçu dimanche un lot de missiles antiaériens Stinger américains fournis par la Lituanie, a annoncé le ministre ukrainien de la Défense.

Bien avant le début et cette invasion du 24 février 2022..

L’Amérique livrait déjà bel et  bien des armes et de l’armement à l’Ukraine..dès début janvier 2022.

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Photo ci-dessus contrôle d’un chargement.

Des missiles « Javelin » de fabrication américaine, arrivés dans un aéroport près de Kiev. -©VALENTYN OGIRENKO / REUTERS.

Missiles Javelin, Stinger: les Etats-Unis multiplient les livraisons d’armes à l’Ukraine..

Washington a fourni plus de 2,7 milliards de dollars d’aide militaire à l’Ukraine depuis 2014. Le président Joe Biden promet de nouveaux acheminements d’armes

Les Etats-Unis ne sont officiellement pas en guerre et le président Joe Biden l’a dit et répété: ils n’enverront pas de troupes combattre en Ukraine. Mais les Américains excellent aussi dans l’art de faire la guerre sans (trop) en avoir l’air. Depuis février, 12 000 soldats américains supplémentaires ont été déployés en Europe, portant le total de l’effectif sur le continent à près de 100 000, dont 70 000 stationnés de manière permanente. Ce week-end, le ministre américain de la Défense Lloyd Austin a annoncé l’envoi de 500 nouveaux militaires pour renforcer les capacités défensives de l’OTAN.

Le missile anti-char « Javelin »..

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Ce missile avait déjà été utilisé lors d’exercices militaires conjoints en Biélorussie..à une époque peu avant..

Un missile « redoutable » du type Fire and forget..Tire et oublie..

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Le 3/03/2022.

Pour armer l’Ukraine, l’Occident vide ses arsenaux..

De nombreux pays, comme l’Espagne, ont décidé d’équiper les forces ukrainiennes. Ils piochent donc dans leurs stocks et dans les équipements en service dans leurs unités.

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Des palettes de munitions prêtes à être embarquées sur la base aérienne de Dover Air Force Base, dans le Delaware (Paradis fiscal aux Etats-Unis !..). (U.S Air Force photo by Tech. Sgt. JD Strong II) 436 TH AIR LIFT WING PUBLIC AFFAIR.

Le Premier ministre socialiste Pedro Sanchez a annoncé mercredi l’envoi par l’Espagne de matériel militaire offensif à la résistance ukrainienne, malgré les réticences de son allié de gauche radicale Podemos. Le Premier ministre espagnol, qui n’a pas donné de détails sur le nombre et le type des armes qui seraient livrées à Kiev, faisait référence aux critiques du principal parti de l’opposition de droite, le Parti Populaire (PP), qui avait accusé mardi le gouvernement de gauche de ne pas » être à la hauteur des circonstances » et de se cacher derrière l’UE .

Toutefois, il a été confirmé que le premier chargement sera livré vendredi ; il consiste en un lot de 1 370 lance-roquettes antichars, 700 000 cartouches et des mitrailleuses légères.

Stocks en baisse

Même si les aides en équipements restent limitées au niveau de chaque pays contributeurs, ces livraisons vident les stocks des pays européens et de leurs alliés. Or ces stocks n’étaient pas toujours à leur meilleur niveau du fait des contraintes budgétaires.

En outre, des pays comme la France, qui sont engagés dans des opérations militaires au Sahel, utilisent déjà une partie de leurs stocks de munitions et d’armement et ils ont du mal à financer l’achat de nouveaux stocks.

Malgré tout, la solidarité avec l’Ukraine l’emporte. Près de deux douzaines de pays ont mis la main aux stocks.

Où en sont ces livraisons ? Quels équipements ont été promis et pour certains déjà fournis ?

Voici un point sur les livraisons annoncées, et souvent détaillées, par des pays qui soutiennent Kiev dans sa guerre contre la Russie.

Le détail des livraisons

Allemagne : les Allemands ont déjà livré 9 obusiers, 1 000 armes antichars et 500 missiles sol-air Stinger et elle a donné le feu vert aux pays qui ont acheté des armes allemandes pour les exporter vers l’Ukraine. Ce jeudi, l’Allemagne a décidé d’accroître ses livraisons d’armes en dépêchant 2 700 missiles antiaériens supplémentaires, tous de fabrication soviétique,

Belgique : 200 armes antichars et 5 000 fusils d’assaut,

Canada : des armes légères (mitrailleuse, fusils, pistolets, fusils de précision), 1,5 million de cartouches et divers équipements (7,8 millions de $),

Croatie : fusils d’assaut et mitrailleuses, équipements de protection d’une valeur de 16.5 millions d’euros ;

République tchèque : des armes lourdes d’une valeur de 18,23 millions d’euros qui s’ajoutent aux équipements d’une valeur de 8.6 millions de $ précédemment annoncés : 4000 obus de mortiers, 30 000 pistolets, 7 000 fusils d’assaut, 3 000 mitrailleuses, des fusils d’assaut et un million de cartouches,

Danemark : 2 700 armes antichars, 300 missiles sol-air Stinger (à faire réviser par les USA), des gilets pare-balles,

Espagne : avant l’annonce de mercredi, l’Espagne a livré 20 tonnes de médicaments et d’équipements médicaux, des équipements de protection dont des gilets pare-balles, des casques et des gilets pare-balles et des tenues NRBC (protection contre armes nucléaires, radiologiques, biologiques et chimiques),

Estonie : des missiles antichars Javelin ; 9 obusiers de 155 mm,

Union européenne : des armes d’une valeur de 500 millions d’euros,

Finlande : 2 500 fusils d’assaut et 150 000 cartouches, 1 500 armes antichars et des rations de combat,

France : des équipements de défense dont la nature n’a pas été précisée,

Grèce : des équipements de défense et du matériel médical,

Italie : le cabinet a approuvé des transferts d’armes (missiles Stinger et mitrailleuses) mais le Parlement doit encore se prononcer,

Lituanie : des Stinger et des munitions

Pays-Bas : 200 Stinger, 3 000 casques et 2 000 gilets pare-balles, une centaine de fusils de précision avec 300 000 cartouches, 700 lance-roquettes antichars,

Norvège : 2 000 armes antichars, des casques, des gilets pare-balles et des équipements individuels de protection,

Portugal : des grenades et des munitions, des fusils d’assaut G3 et des équipements militaires non-létaux,

Roumanie : du carburant pour une valeur de 3 millions d’euros, des équipements individuels de protection, des casques, des munitions, des équipements militaires et médicaux,

Royaume-Uni : 2 000 armes antichars et des blindés légers Saxon,

Suède : 5 000 armes antichars et des équipements de protection,

Turquie : des drones dont une partie est assemblée en Ukraine ;

USA : des missiles Stinger missiles, des armes antichars de type Javelin, des munitions, des équipements individuels, des armes légères, des munitions, des équipements individuels de protection…

10.02.2022.

Les troupes ukrainiennes disent que les missiles britanniques NLAW changent la donne alors qu’ils s’entraînent pour combattre les forces russes..

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Ce sont les troupes ukrainiennes qui affronteront les chars russes armés de missiles britanniques NLAW si Vladimir Poutine donne le feu vert à l’invasion.

‘Dieu sauve la reine!’ a hurlé le lieutenant-colonel Ihor Bezogluk, alors qu’il accueillait les journalistes de MailOnline dans une base à 50 miles au nord de Kiev où ses troupes s’entraînaient à utiliser les NLAWS (Next generation Light Anti-Tank Weapons).

Lui et les hommes et les femmes de la 72e brigade mécanisée, dont l’emblème du crâne porte la devise « L’Ukraine ou la mort », ont déclaré que les missiles n’étaient rien de moins qu’un « changeur de jeu » pour leurs forces armées.

« Merci à la Grande-Bretagne de nous avoir donné la NLAWS – tout ce qui peut nous aider à défendre notre pays est très bien accueilli », a déclaré le lieutenant-colonel Bezogluk, 50 ans au camp d’entraînement de Desna, où un vieux char soviétique T-52 sur un socle accueille les visiteurs.

« Ces missiles ont changé la guerre pour nous. Cela signifie que nous pouvons combattre les Russes et peu importe leur nombre maintenant que nous avons un moyen d’arrêter leurs blindés. Les Russes ne peuvent plus nous faire peur avec des chiffres.

‘Comme vous pouvez le voir, nous nous entraînons à défendre une ville ainsi qu’à la guerre de tranchées et nous serons capables de combattre l’ennemi. ‘

Sur la photo: ce sont les troupes ukrainiennes qui affronteront des chars russes armés de missiles britanniques NLAW si Vladimir Poutine donne le feu vert pour envahir

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‘Dieu sauve la reine!’ a hurlé le lieutenant-colonel Ihor Bezogluk, alors qu’il accueillait les journalistes de MailOnline dans une base à 50 miles au nord de Kiev où ses troupes s’entraînaient à utiliser les NLAWS (Next generation Light Anti-Tank Weapons).

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Le NLAW est salué comme une arme extrêmement facile à apprendre, prenant à peine une heure à maîtriser, donnant à un seul soldat la possibilité d’éliminer un char de combat principal jusqu’à 800 m de distance.

Lorsqu’on lui a demandé s’il y aurait des exercices de tir réel des missiles, le lieutenant-colonel a ajouté: « Non, nous les réservons aux Russes s’ils viennent. »

Pendant qu’il parlait, des centaines de ses hommes couraient sur le sol boueux portant les NLAW de 12,5 kg facilement portables sur le dos alors qu’ils plongeaient dans et hors des tranchées et s’entraînaient à viser à travers des cadres de fenêtres factices.

Ils marquaient des cibles de chars factices avec des viseurs laser pour simuler sérieusement le ciblage et le tir des missiles.

En arrière-plan, le crépitement incessant des fusils d’assaut Kalachnikov du champ de tir adjacent rendait le scénario d’entraînement trop réaliste.

Leurs exercices étaient une démonstration graphique de la façon dont l’introduction des 2 000 missiles britanniques pouvait amener les comploteurs du Kremlin à repenser à une invasion.

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Des centaines d’hommes couraient sur le sol boueux portant les NLAW de 12,5 kg facilement portables sur le dos alors qu’ils plongeaient dans et hors des tranchées et s’entraînaient à viser à travers des cadres de fenêtres factices.

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À peine à 50 miles plus au nord, du terrain d’entraînement, en Biélorussie, environ 80 000 soldats russes et biélorusses sont désormais engagés dans le plus grand « exercice militaire » jamais organisé depuis la Seconde Guerre mondiale.

Le NLAW est salué comme une arme extrêmement facile à apprendre, prenant à peine une heure à maîtriser, donnant à un seul soldat la possibilité de détruire un char de combat principal jusqu’à 800 m de distance. Comme l’a dit une source de la défense : « Cela transforme les chassés en chasseurs ».

L’opérateur suit simplement la cible pendant quelques secondes avant de tirer et NLAW fait le reste. Son ogive perforante peut détruire des chars de combat principaux fortement protégés en un seul coup.

À peine à 50 miles plus au nord, du terrain d’entraînement, en Biélorussie, environ 80 000 soldats russes et biélorusses sont désormais engagés dans le plus grand « exercice militaire » jamais réalisé depuis la Seconde Guerre mondiale.

Les exercices – baptisés Allied Resolve 2022 – se déroulent près de la frontière biélorusse avec l’Ukraine, longue d’un peu plus de 600 milles.

Si la Russie envahissait l’Ukraine, les exercices plaçaient les blindés russes près de la capitale ukrainienne, Kiev, facilitant ainsi une attaque contre la ville.

La France a qualifié les exercices – le plus grand déploiement de la Russie en Biélorussie depuis la guerre froide – de « geste violent ». L’Ukraine les a qualifiés de « pression psychologique ».

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Ils marquaient des cibles de chars factices avec des viseurs laser pour simuler sérieusement le ciblage et le tir des missiles.

Le colonel Bezolgluk, père de quatre enfants, a ajouté: « Ces soldats sont convaincus à 100% qu’ils peuvent gagner et ils se battront jusqu’au dernier souffle pour chaque mètre de terre ukrainienne. »

« Nos soldats sont déterminés à se défendre contre une invasion. Nous sommes ravis de recevoir le soutien de la Grande-Bretagne et du monde entier. Cela a remonté le moral et fera réfléchir les Russes.

« Mon message à la Russie est que nous ne sommes pas frères – vous passez votre chemin et nous suivrons le nôtre. »

Lorsqu’on lui a demandé s’il pensait que Poutine envahirait, il a répondu : « Il n’est pas impossible de dire ce qu’un fou a en tête, mais soyez sûr d’une chose : nous ne sommes pas seulement prêts à mourir pour l’Ukraine, nous sommes également prêts à tuer pour notre patrie.

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En arrière-plan, le crépitement incessant des fusils d’assaut Kalachnikov du champ de tir adjacent rendait le scénario d’entraînement trop réaliste

Le sergent d’état-major Roman Yaremenko, 28 ans, qui entraînait les troupes, a également salué la flexibilité des NLAW. « Techniquement, ce sont des missiles brillants car avant, nous n’avions que des RPG. »

«Ces armes changent absolument la donne pour nous, c’est comme si elles avaient un cerveau. Vous pouvez tirer et les oublier depuis des bâtiments et des tranchées et vous pouvez également cibler des chars cachés.

« Cela signifie que nous sommes maintenant prêts à défendre l’Ukraine. Nous sommes forts à l’intérieur et prêts à nous battre. Comme vous pouvez le voir, ces soldats sont très confiants et bien entraînés.

« J’espère que la Russie n’envahira pas l’Ukraine, car cela signifierait sûrement une guerre contre l’Europe. Mais le problème, c’est qu’ils n’arrêtent pas de nous provoquer, alors je pense qu’ils vont faire quelque chose.


dailymail Uk

27 janvier 2022.

Crise ukrainienne : l’aide militaire mesurée des Occidentaux..

Les Etats-Unis et le Royaume-Uni restent les pays les plus impliqués dans la livraison d’équipements à destination de Kiev confronté à la menace russe. Ailleurs, les annonces nécessitent encore des traductions concrètes.

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Sur la base aérienne militaire de Dover, dans le Delaware, aux Etats-Unis, une cargaison d’armement à destination de l’Ukraine est vérifiée par un soldat, le 24 janvier 2022.ROLAND BALIK / US AIR FORCE VIA AP

Faut-il envoyer des armes en Ukraine face au regain des tensions que fait peser, depuis trois mois, la Russie ? Alors que, en 2014-2015, il s’agissait de savoir si ce type de démarche aiderait à soutenir les autorités ukrainiennes confrontées aux rebelles séparatistes prorusses du Donbass, soutenus par Moscou, la question se pose aujourd’hui dans les mêmes termes. « Nous constatons la poursuite du renforcement militaire de la Russie en Ukraine et hors de ce pays », a affirmé, mercredi 26 janvier, le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, en accusant le Kremlin d’utiliser « le prétexte d’exercices militaires pour ensuite lancer une attaque ».

Un nouveau palier a été franchi dans l’escalade entre la Russie et les Occidentaux avec la multiplication, depuis la mi-janvier, d’annonces de renforts à destination de Kiev. L’Estonie, la Lituanie, la Lettonie, la République tchèque, la Pologne ou encore le Royaume-Uni ont tous assuré vouloir soutenir militairement l’Ukraine, notamment en lui livrant des armes. L’Espagne, le Danemark et les Pays-Bas ont également communiqué sur l’envoi de moyens maritimes ou aériens pour renforcer les capacités ordinaires de l’Alliance atlantique. Le Canada a, lui, préféré opter pour une aide financière de 120 millions de dollars (84 millions d’euros) et le déploiement d’une frégate en mer Noire, dans le cadre des missions de l’OTAN.

Vraies annonces ou trompe-l’œil ? Certains renforts annoncés dans le cadre de l’OTAN viennent en réalité combler des lacunes anciennes, comme l’envoi d’avions F-15 et F-16, destinés à la police du ciel des pays Baltes. Dans d’autres cas, des capitales entendent manifester leur soutien à l’Ukraine – non membre de l’OTAN –, mais ce qu’elles promettent nécessite encore une traduction concrète, ou aura des effets limités, voire risqués, sur le plan opérationnel.

La Lituanie a ainsi assuré qu’elle pourrait envoyer des missiles antiaériens Stinger, la République tchèque promet 4 000 obus d’artillerie, mais l’Estonie, elle, a vu sa proposition d’envoyer des obusiers gelée par l’Allemagne. Ces pièces, qui proviennent à l’origine de l’ex-RDA, ont ensuite transité par la Finlande : Tallinn ne peut donc les exporter sans l’accord d’Helsinki et de Berlin.

Rappelez-vous..

Attitude rétive de l’Allemagne

L’attitude rétive de l’Allemagne à fournir des moyens militaires supplémentaires à l’Ukraine lui a valu d’être accusée, à Kiev, de complicité avec « l’agresseur ». Et la décision de Berlin, annoncée mercredi, d’envoyer malgré tout quelque 5 000 casques n’a pas calmé les critiques. « C’est une blague absolue, s’est emporté le maire de Kiev, Vitali Klitschko. Qu’est-ce que l’Allemagne va envoyer ensuite en soutien ? Des oreillers ? »

Pour terminer

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Qui a dit..Guerre propre ?..

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Qui a dit politique démocratique sans hégémonie ?..

 

Les américains, comme toujours et encore, derrière tout ça déjà bien avant..

 

Le mot de la fin

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Il n’y a rien à attendre de l’issue de cette guerre, ni pour le Monde comme pour L’Europe toute entière, ni surtout  pour..La France elle-même !!!..

 

 

 

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Commentaires
M
Zelensky s'est exprimé devant la parlement italien ce matin, il a eu beaucoup de succès et, apparemment, il souhaite faire d'autres tournées en Europe...<br /> <br /> Bon après-midi<br /> <br /> Mo
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T
Grassouillet avait envoyé des troupes au Mali, pour faire remonter sa côte, c' est aujourd'hui l' Ukraine qui sert de faire -valoir à Macron et Biden, qui savent que le peuple les a percé à jour.<br /> <br /> Et ce Zelinsky qui n' est qu'un sous-produit américain, veut lui aussi transformer ce conflit local en conflit mondial !<br /> <br /> Un député de la France insoumise avait en effet révélé quez la France livrait des armes à l' Ukraine, ce qui montre d' ailleurs que les frontières ne sont pas étanches !<br /> <br /> Zelinsky qui jouait du piano avec son pénis, est bel et bien un pantin, président d' un pays corrompu ! <br /> <br /> Le fait que personne n' a pleuré pour la Serbie, quand l' Otan l'a bombardée, malgré le véto onusien, et les 13000 morts du Donbass<br /> <br /> C' est bien triste parce que les civils comme toujours, subissent<br /> <br /> Bonne journée Denis<br /> <br /> Amitié
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