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Ecologie vraie et réelle..
12 avril 2018

Macron..menteur..arrogant..moqueur..versatile et..sournois..

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Macron..menteur..arrogant..moqueur..versatile et..sournois..

 

Mr. Macron a choisi l’endroit et le décor

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Depuis le village normand de Berd’huis, le chef de l’Etat a répondu aux questions de Jean-Pierre Pernaut dans le journal télévisé de 13 heures.

 

Nous sommes prêts à l’accueillir..

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Photo ci-dessus d’un habitant de Bred’huis en Normandie.

 

Mr. Macron reçu est interviewé par Jean-Pierre Pernaut de TF1.

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De plus, Jean-Pierre Pernaut a avoué avoir été un « fan » de Johnny Hallyday

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Dans la série : « Contes pour enfants »..

 

Le décor est planté..

 

Une salle de classe pour enfants de la maternelle.. !

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Un cadre nul !

 

On prend l’ensemble des Françaises et des Français pour des billes !!!

 

On déconsidère toutes celles et ceux..de la France d’en bas..

 

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C’est peu dire que sa prise de parole était attendue. Emmanuel Macron s’est exprimé, jeudi 12 avril, au cours du journal télévisé de 13 heures de TF1, délocalisé pour l’occasion dans le village normand de Berd’huis. Syrie, réforme de la SNCF, hôpitaux en crise, CSG… Le chef de l’Etat a fait le point sur les différents dossiers qui agitent la France.

 

Le lien de notre pays c’est l’école de la Maternelle à l’Université..

 

La leçon de dictée du jour..

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Cette interview, un jeudi, un midi et en plus sur TF1, interpèlle !

Comme il est le roi de la Com, il y a un message bien précis derrière tout cela..on de dictée du jour..

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Macron..je ne suis pas le président des..riches..

 

Mon œil !..

 

Sa campagne électorale a bien été financée par les 9 plus riches milliardaires de ce pays..

 

De plus, la couverture médiatique de sa campagne a ét faite pour la plus grande partie par la chaîne BFM/TV..

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Photo ci-dessus de Patrick Drahi , patron de BFM/TV mais aussi de..S.F.R. ..

 

Patrick Drahi : « je veux être dans les deux premiers et..j’aime pas être le deuxième »..

 

Notre président « Jupitérien » et faux Roi soleil..

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Le Monde va à une vitesse

 

Depuis 30 ans notre pays n’a pas été réformé.

 Les conditions…

 

 .SNCF : « Nous devons faire cette réforme »

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Interrogé sur la grève à la SNCF, Emmanuel Macron s’est exprimé pour la première fois sur la réforme menée par le gouvernement, estimant que « nous devons aller jusqu’au bout de cette réforme ». Ne pas le faire « serait une hypocrisie politique », a rappelé Emmanuel Macron, soulignant que l’ouverture à la concurrence était une exigence européenne. Le président de la République a toutefois garanti que la SNCF « sera une entreprise publique à capitaux publics »« Ce sera dans la loi : 100 % de capitaux d’Etat », a-t-il martelé.

Emmanuel Macron a joué la carte de l’apaisement envers les cheminots, victimes selon lui de « fausses informations »« Je n’ai pas de mépris, ce ne sont pas des privilégiés », a souligné celui qui a rappelé que son grand-père était lui-même cheminot. « Tous les cheminots qui sont aujourd’hui en emploi, ils resteront dans le statut, c’est un contrat. On ne leur demande pas d’effort mais juste d’accepter que les nouveaux on ne les prenne pas au statut », a rappelé le président. « N’ayez pas de craintes illégitimes », a lancé le président à l’intention des syndicats : « la SNCF restera publique, les cheminots resteront cheminots. »

Emmanuel Macron a rappelé que l’Etat prendrait sa part « des efforts », affirmant notamment que la dette de la SNCF « sera pour partie progressivement reprise ». L’Etat va aussi investir « 10 millions d’euros par jour pendant dix ans, pour entretenir les lignes. »

Emmanuel Macron n’a donc rien avancé de nouveau par rapport à ce qui a été dit par le gouvernement depuis un mois et demi et en particulier lors des dicussions en cours à l’Assemblée nationale. Ce discours n’a pour le moment pas convaincu les syndicats les plus réformistes, comme la CFDT-Cheminots ou l’UNSA-Ferroviaire. Ces derniers attendaient notamment une annonce précise sur la dette, et, plus encore, un signe sur le statut.


"On ne peut pas laisser des régimes qui se croient tout permis agir !"..

  • Pour l’hôpital, des mesures « cet été »

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« Je veux vraiment rendre hommage à tous les personnels soignants, les médecins, les infirmières, les aides soignantes, celles qui travaillent dans les Ehpad. Ils vivent tous la mort au quotidien, nous leur devons quelque chose dans la société », a répondu Emmanuel Macron, interrogé sur sa capacité à entendre la détresse du personnel de la santé.

(propos mielleux, comme un chocolat de Pâques entouré de papier doré..)

A l'unisson, les associations de familles d'autistes dénoncent un « matraquage de communication » et déplorent « une montagne qui a accouché d'une souris ».

Le chef de l’Etat n’a pas donné beaucoup d’éléments nouveaux à ce sujet, promettant toutefois qu’il fera « à l’été » des annonces, pour mettre « plus de moyens dans l’hôpital ». Emmanuel Macron a toutefois estimé qu’il ne fallait« pas mettre de l’argent sur un système qui n’est plus adapté ». Le président a ainsi rappelé que le gouvernement « va essayer de mieux organiser les choses », avec notamment la mise en place « de maisons de santé, pour que tout le monde n’aille pas aux urgences parce que coûte plus cher à tout le monde. »

« Il faut un système où on ne paye pas à l’acte mais où on sera plutôt rémunéré au parcours de soins : être bien accompagné, inciter l’hôpital à une prise en charge rapide. »

Pendant la campagne, le candidat Macron avait promis de limiter à 50 % la part de financement des hôpitaux à la tarification à l’activité (T2A). La réflexion engagée au ministère de la santé devrait aboutir fin 2019.

Concernant le seul sujet des Ehpad, Emmanuel Macron a reconnu qu’il faut « une transformation profonde » du système d’accueil des personnes âgées. « On sera au rendez-vous », a-t-il promis.

Je fais ce que je dis..

On peut lui faire confiance là-dessus..

  • La hausse de la CSG, un « besoin »

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Après un reportage montrant des retraités déplorer la baisse de leur pouvoir d’achat, Emmanuel Macron a reconnu avoir « demandé un effort aux 60 % de personnes retraitées qui paient la CSG au taux normal ». « Cet effort je l’ai annoncé en campagne », a rappelé le président de la République, qui va bientôt célébrer sa première année d’élection.

« Je veux expliquer à tous nos retraités : il n’y a pas de souverain mépris, j’ai besoin de vous, je fais appel à vous », a dit Emmanuel Macron, qui leur a rappelé que « vous passez dix ou quinze ans de plus à la retraite que vos parents en moyenne ». Le chef de l’Etat a demandé aux retraités en colère de la « patience » : « Le 1er novembre, vous aurez un tiers de taxe d’habitation en mois. Et elle sera supprimée entièrement dans les trois ans. L’un dans l’autre, sur le pouvoir d’achat, vous allez vous y retrouver. » « Si on ne fait pas cet effort dans cinq ou dix ans on n’arrivera plus à financer notre système de retraite », a prévenu le président.

Pour la « C.S.G. », je dis merci aux retraités..

(il se moque et se fout de la gueule des retraités !..)

  • Suppression de la taxe d’habitation : « Je n’ai aucun regret »

Sur la suppression de la taxe d’habitation pour l’intégralité des foyers français, prévue pour après 2020, Emmanuel Macron n’a « aucun regret ». Il a martelé que « les économies de l’Etat serviront à compenser la [perte de] taxe d’habitation pour les communes, à l’euro près ».

Confronté au débat sur la redistribution des fruits de la croissance, et sur l’usage de la « cagnotte fiscale » – nom donné par l’opposition et une partie de la majorité au surplus de recettes fiscales enregistré l’an dernier compte tenu du dynamisme économique –, le président s’est montré ferme. Il a fermé la porte au rétablissement de la demi-part des veuves, pourtant réclamée sous condition de ressources par le député LRM Sacha Houlié, soutenu par une partie de la majorité. La suppression de ce dispositif avait été décidée sous Nicolas Sarkozy et mise en œuvre progressivement sous François Hollande.

J’invite les retraités à participer à cette remise à niveau de ce pays que je veux faire..

( et de plus, il remet une deuxième louche !..)

  •  Islamisme : « Nous fermerons les mosquées où les prêches ne sont pas conformes aux lois de la République »

(il oublie juste de préciser..quand, car, jamais rien a été fait dans ce sens, il n'y a toujours eu que des propos..paroles..paroles..)

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Emmanuel Macron a été interrogé sur la manière dont le gouvernement entend lutter contre la radicalisation islamique, notamment dans certaines mosquées connues pour leurs prêches virulents. « Nous avons fait voter une loi à l’automne dernier qui prévoit explicitement la fermeture de ces lieux », a rappelé Emmanuel Macron, citant notamment des mosquées à Sartrouville, à Marseille, ou encore à Aix.

Le président a également promis des poursuites des responsables en vue d’une expulsion du territoire, ainsi que des « clarifications » des règles de fonctionnement et de financement, qui seront annoncées « dans les prochains mois ». « Je veux que le financement étranger soit organisé, transparent », a dit le chef de l’Etat. Des mesures qui doivent s’accompagne d’une « politique de retour des services publics dans les quartiers sensibles, de retour dans l’école, moins d’élèves par classe, lutter contre la discrimination à l’embauche, aider les jeunes de ces quartiers qui sont parfois discriminés à obtenir des CDI… La réponse, c’est ce tout. »

  •  Ruralité : Un « sujet de démographie »

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« Il n’y a pas de fatalité mais il y a une organisation à trouver sur tous les territoires », a répondu Emmanuel Macron aux critiques qui le voient comme le « président des villes », au détriment des régions rurales. « Il faut regarder les choses en face : on a un sujet de démographie », a reconnu Emmanuel Macron :

« A la rentrée prochaine, on aura 32 000 élèves en mois en CP et pourtant on va ouvrir près de 5 000 classes, dont 1 000 classes dans le rural. Alors que dans le rural, on va perdre 20 000 élèves de CP l’an prochain. »

Emmanuel Macron a notamment cité la Lozère, où « il y a en moyenne 14 élèves par enseignant »« Ce n’est pas raisonnable », a dit le président, qui a appelé à trouver des « solutions locales », citant par exemple la construction d’« internats ruraux ».

La revalorisation de l’internat est l’un des combats de l’actuel ministre de l’éducation, Jean-Michel Blanquer. Les internats, actuellement sous-occupés, sont selon lui un modèle pour l’égalité scolaire dans les zones rurales. Mais le ministre de l’éducation a également lancé un modèle « d’internat d’excellence » à Sourdun (Seine-et-Marne) quand il était recteur de Créteil. Destiné aux enfants issus de milieux modestes, ce modèle d’internat se veut attaché à des valeurs traditionnelles (usage de l’uniforme...).

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  •  Limitation vitesse à 80 km/h : « Si ce n’est pas efficace, on ne le garde pas »

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« Notre sang s’est échauffé sur cette affaire », a répondu Emmanuel Macron aux critiques des automobilistes. « Les Françaises et les Français ça les ennuie toujours qu’on régule la route », a répété le président, rappelant notamment les mesures impopulaires prises par Jacques Chirac par le passé.

« Il y a des petites expérimentations qui ont été faites et à chaque fois elles ont montré que c’était efficace », a affirmé Emmanuel Macron, promettant « une expérimentation à taille réelle au 1er juillet pour deux ans ».

« Je prends ici deux engagements : durant ces deux ans, l’argent qui sera perçu on le mettra pour les hôpitaux qui soignent les blessés de la route. On rendra transparents tous les résultats. Si ce n’est pas efficace, on ne le gardera pas. »

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  • Notre-Dame-des-Landes : « L’ordre républicain sera rétabli »

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« Ca n’existe pas que le premier ministre et le président de la République soient en désaccord », a affirmé Emmanuel Macron, malgré les précédents historiques. « L’ordre républicain sera rétabli », a répété le chef de l’Etat, fustigeant les gens qui « créent du trouble »« Ils occupent illégalement des territoires publics. Ils n’ont plus de raison de le faire car il n’y aura pas d’aéroport », a rappelé le président.

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Le détail en déroulé..

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  • Syrie, « la preuve » des armes chimiques

Le président de la République a fait savoir que « nous avons la preuve que la semaine dernière des armes chimiques ont été utilisées, par le régime de Bachar Al-Assad », dans le quartier de la Douma, qui est retombé entièrement aux mains de l’armée syrienne jeudi 12 avril. Pour autant, Emmanuel Macron a fait ajouté que la France n’avait pas encore décidé d’une éventuelle réaction à cette attaque.

  • SNCF : « Nous devons faire cette réforme »

Macron s’est exprimé pour la première fois sur la réforme menée par le gouvernement, déclarant « nous devons aller jusqu’au bout de cette réforme ». Ne pas le faire « serait une hypocrisie politique », a-t-il rappelé, soulignant que l’ouverture à la concurrence était une exigence européenne.

  • Pour l’hôpital, des mesures « cet été »

Le chef de l’Etat n’a pas donné beaucoup d’éléments nouveaux à ce sujet, promettant toutefois qu’il fera « à l’été » des annonces, visant à mettre « plus de moyens dans l’hôpital ». Il a toutefois estimé qu’il ne fallait « pas mettre de l’argent sur un système qui n’est plus adapté ».

  • La hausse de la CSG, un « besoin »

M. Macron a reconnu avoir « demandé un effort aux 60 % de personnes retraitées qui paient la CSG au taux normal »« Cet effort je l’ai annoncé en campagne », a rappelé le président de la République.

  • Suppression de la taxe d’habitation : « Je n’ai aucun regret »

Sur la suppression de la taxe d’habitation pour l’intégralité des foyers français, prévue pour après 2020, Emmanuel Macron n’a « aucun regret ». Il a martelé que « les économies de l’Etat serviront à compenser la [perte de] taxe d’habitation pour les communes, à l’euro près ».

  • Islamisme : « Nous fermerons les mosquées où les prêches ne sont pas conformes aux lois de la République »

M. Macron a été interrogé sur la manière dont le gouvernement entend lutter contre la radicalisation islamique, notamment dans certaines mosquées connues pour leurs prêches virulents. Le président a promis des poursuites des responsables en vue d’une expulsion du territoire, ainsi que des « clarifications » des règles de fonctionnement et de financement, qui seront annoncées « dans les prochains mois ».

  • Ruralité : Un « sujet de démographie »

« Il n’y a pas de fatalité, mais il y a une organisation à trouver sur tous les territoires », a répondu M. Macron aux critiques qui le considèrent comme le « président des villes », au détriment des régions rurales. « Il faut regarder les choses en face : on a un sujet de démographie », a reconnu le président. 

  • Limitation de vitesse à 80 km/h : « Si ce n’est pas efficace, on ne le gardera pas »

M. Macron a promis « une expérimentation à taille réelle au 1er juillet pour deux ans »« Je prends ici deux engagements : durant ces deux ans, l’argent qui sera perçu, on le mettra pour les hôpitaux qui soignent les blessés de la route. On rendra transparents tous les résultats. Si ce n’est pas efficace, on ne le gardera pas. »

  • Notre-Dame-des-Landes : « L’ordre républicain sera rétabli »

« L’ordre républicain sera rétabli », a répété le chef de l’Etat, fustigeant les gens qui « créent du trouble »« Ils occupent illégalement des territoires publics. Ils n’ont plus de raison de le faire, car il n’y aura pas d’aéroport », a rappelé le président.

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Le président de la République a fait savoir que « nous avons la preuve que la semaine dernière des armes chimiques ont été utilisées, par le régime de Bachar Al-Assad », dans le quartier de la Douma, qui est retombé entièrement aux mains de l’armée syrienne jeudi 12 avril. Pour autant, Emmanuel Macron a fait ajouté que la France n’avait pas encore décidé d’une éventuelle réaction à cette attaque.

  • SNCF : « Nous devons faire cette réforme »

Macron s’est exprimé pour la première fois sur la réforme menée par le gouvernement, déclarant « nous devons aller jusqu’au bout de cette réforme ». Ne pas le faire « serait une hypocrisie politique », a-t-il rappelé, soulignant que l’ouverture à la concurrence était une exigence européenne.

  • Pour l’hôpital, des mesures « cet été »

Le chef de l’Etat n’a pas donné beaucoup d’éléments nouveaux à ce sujet, promettant toutefois qu’il fera « à l’été » des annonces, visant à mettre « plus de moyens dans l’hôpital ». Il a toutefois estimé qu’il ne fallait « pas mettre de l’argent sur un système qui n’est plus adapté ».

  • La hausse de la CSG, un « besoin »

M. Macron a reconnu avoir « demandé un effort aux 60 % de personnes retraitées qui paient la CSG au taux normal »« Cet effort je l’ai annoncé en campagne », a rappelé le président de la République.

  • Suppression de la taxe d’habitation : « Je n’ai aucun regret »

Sur la suppression de la taxe d’habitation pour l’intégralité des foyers français, prévue pour après 2020, Emmanuel Macron n’a « aucun regret ». Il a martelé que « les économies de l’Etat serviront à compenser la [perte de] taxe d’habitation pour les communes, à l’euro près ».

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  • Islamisme : « Nous fermerons les mosquées où les prêches ne sont pas conformes aux lois de la République »

M. Macron a été interrogé sur la manière dont le gouvernement entend lutter contre la radicalisation islamique, notamment dans certaines mosquées connues pour leurs prêches virulents. Le président a promis des poursuites des responsables en vue d’une expulsion du territoire, ainsi que des « clarifications » des règles de fonctionnement et de financement, qui seront annoncées « dans les prochains mois ».

  • Ruralité : Un « sujet de démographie »

« Il n’y a pas de fatalité, mais il y a une organisation à trouver sur tous les territoires », a répondu M. Macron aux critiques qui le considèrent comme le « président des villes », au détriment des régions rurales. « Il faut regarder les choses en face : on a un sujet de démographie », a reconnu le président. 

  • Limitation de vitesse à 80 km/h : « Si ce n’est pas efficace, on ne le gardera pas »

M. Macron a promis « une expérimentation à taille réelle au 1er juillet pour deux ans »« Je prends ici deux engagements : durant ces deux ans, l’argent qui sera perçu, on le mettra pour les hôpitaux qui soignent les blessés de la route. On rendra transparents tous les résultats. Si ce n’est pas efficace, on ne le gardera pas. »

  • Notre-Dame-des-Landes : « L’ordre républicain sera rétabli »

« L’ordre républicain sera rétabli », a répété le chef de l’Etat, fustigeant les gens qui « créent du trouble »« Ils occupent illégalement des territoires publics. Ils n’ont plus de raison de le faire, car il n’y aura pas d’aéroport », a rappelé le président.

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Son regard sur le début de son mandat :

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"Je me dis qu’il faut aller au bout, et que ce moment (le Louvre) qui était un moment de fierté et de joie, c’est un moment qui oblige. Je l’ai eu en tête dès les premières secondes. Les difficultés ne m’arrêtent pas. Je ne suis pas naïf, je les avais préméditées… Le fait qu’il y ait gens pas contents, je le comprends. Le fait qu’il y ait des peurs, je le respecte.

Mais depuis ce moment là beaucoup de chemin a été parcouru, beaucoup de choses ont été faites. Nous avons immensément à faire, car notre pays doit reconstruire les cinquante prochaines années de progrès. Nous allons continuer sur l’école, sur le travail, sur le service national, lutter contre ce fondamentalisme, avoir une Europe qui protège et qui porte les ambitions de la France. Nous allons continuer parce que le monde s’accélère et parce que notre pays doit pouvoir choisir son destin et vivre mieux."

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Sur les universités occupées :

"Il y a très peu d’universités occupées. Dans beaucoup d’universités occupées, ce ne sont pas des étudiants, mais des professionnels du désordre qui doivent comprendre que nous sommes dans un Etat d’ordre. Et les étudiants doivent comprendre, s’ils veulent leurs examens, qu'ils doivent les réviser, car il n’y aura pas d’examens en chocolat dans la République."

Facs: pas de partiels en chocolat..

Sur l'économie : 

Emmanuel Macron a annoncé que, dans le cadre de la loi Pacte portée par Bruno Le Maire, "il n'y aura plus de forfait social sur l'intéressement distribué dans les entreprises de moins de 250 salariés".

Sur la ZAD à Notre-Dame-des-Landes :

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Emmanuel Macron : "Cela n’existe pas que le premier ministre et le président de la République soient  en désaccord. Nous avons annoncé en janvier que l’aéroport ne sera pas fait et que l’ordre républicain sera rétabli. Les gens qui aujourd’hui manifestent sont présents et créent du trouble. Ils occupent illégalement des territoires publics. Ils n’ont plus de raison de le faire, car il n’y aura pas d’aéroport."

Economie française :

"Quand ça va mieux, tout le monde doit pouvoir en profiter, et tout le monde doit aider à réorganiser quand ça va mal. Toutes les entreprises jusqu’à 250 salariés pourront distribuer de l'intéressement, il n’y aura plus aucune charge et impôt. Au 1er janvier prochain, dans toutes les entreprises jusqu’à 250 salariés il n’y aura plus aucune charge sur l’intéressement qui est distribué, parce que c’est ça, l’entreprise. Quand ça va moins bien, c’est l’affaire de tout le monde, et quand ça va mieux, tout le monde doit en bénéficier, c’est ça, la collectivité."

Sur la fiscalité, l'analyse d'Audrey Tonnelier, journaliste au Monde 

Le chef de l'Etat justifie ses réformes fiscales et reste ferme sur la non-redistribution des recettes fiscales. « Le cœur de la bataille, c’est le travail », a répété Emmanuel Macron à plusieurs reprises durant son intervention. Il reprend ainsi l’antienne du ministre de l’économie, Bruno Le Maire, qui martèle depuis des semaines que le but des réformes économiques et fiscales de l’exécutif est de faire que « le travail paie ». Une manière de ne pas évoquer trop ouvertement le « pouvoir d’achat », par définition subjectif, et dont les Français peinent encore aujourd’hui à percevoir l’amélioration, explique-t-on régulièrement à Bercy.

Sur la suppression de la taxe d’habitation pour l’intégralité des foyers français, prévue pour après 2020, Emmanuel Macron a martelé que « les économies de l’Etat serviront à compenser la [perte due à la] taxe d’habitation pour les communes, à l’euro près ».

Confronté au débat sur la redistribution des fruits de la croissance, et sur l’usage de la « cagnotte fiscale » - nom donné par l’opposition et une partie de la majorité au surplus de recettes fiscales enregistré l’an dernier compte tenu du dynamisme économique -, le président s’est montré ferme. Il a fermé la porte au rétablissement de la demi-part des veuves, pourtant réclamée sous condition de ressources par le député LRM Sacha Houlié, soutenu par une partie de la majorité. La suppression de ce dispositif avait été décidée sous Nicolas Sarkozy et mise en œuvre progressivement sous François Hollande.

Economie française :

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Emmanuel Macron : "On va baisser l'impôt sur les sociétés, dès le 1er janvier prochain. Les baisses de charges valent pour tout le monde sur la fiche de paie dès le premier jour. On a remis de la confiance. Il y a un cap. Je sais où je veux emmener le pays. Ce cap crée de la confiance, donc ils réinvestissent, et donc ils embauchent. Les gens disent qu’ils ont de moins en moins peur d’embaucher. Je veux surtout que ce redémarrage, les salariés en profitent."

 

Il avait déjà prévu lors de sa campagne électorale de dresser le couvert pour les plus riches, banques, sociétés comme industriels et, de plus..supprimer «l’ISF »..

De fait depuis une dizaine d'années, et particulièrement depuis deux ans, le CDD est devenu la règle de l'embauche, même si les CDI restent largement plus nombreux dans la population totale employée. Lire cette analyse : 

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Le CDD, l’exception devenue la règle pour les embauches

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Sur un trajet de 40 km, une automobiliste mettra 3 minutes de plus avec la limite à 80 km/h au lieu de 90 km/h. Vous pouvez calculer la différence concernant votre trajet à l'aide de notre calculatrice :

Les contraventions iront dans la caisse pour les hôpitaux..

 

Limitation de la vitesse sur la route à 80 km/h

"Cela ennuie toujours les Français qu'on régule la route. Il y a des petites expérimentations qui ont été faites et à chaque fois elles ont montré que c’était efficace. On va faire une expérimentation à taille réelle. Au 1er juillet, pendant deux ans, on va limiter sur ces routes à 80 km/h.

Les deux fois deux voies avec terre-plein central ne seront pas concernées. Mais ce sont les routes qui sont les plus dangereuses.

Je prends ici deux engagements : durant ces deux ans, l’argent qui sera perçu sera donné aux hôpitaux qui soignent, guérissent, les blessés de la route. On rendra transparents tous les résultats Si cette mesure n’est pas efficace, on ne la gardera pas.

On va le faire pendant deux ans sur tout le territoire pour essayer de faire baisser drastiquement le chiffre de la mortalité routière, qui a augmenté ces dernières années. C’est une décision un peu impopulaire, j’en prends la responsabilité. Il faut relativiser : vous allez prendre deux minutes de plus avec la baisse à 80 km/h, cela ne change pas grand-chose… Si dans deux ans cela ne marche pas, on arrêtera, on adaptera selon les catégories. "


Pour arrondir les angles..une couche de « Bio »..bio..bonimenteur..

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« En France on importe un milliard d'euros de bio », a déclaré Emmanuel Macron.

Selon l'Agence bio, 29 % des produits alimentaires issus de l'agriculture biologique consommés en France étaient importés. Cela représente environ 2 milliards d'euros d'importation. Parmi ceux-ci, 43 % concernait des produits exotiques peu ou pas produits en France (banane, cacao, café, etc.). Le reste (des produits non exotiques et potentiellement produits aussi en France) représente environ 1,34 milliard d'euros, soit le chiffre mentionné par M. Macron.

Par ailleurs, la France exporte également : les exportations de produits bio ont représenté 629 millions d'euros en 2016.

Sur les écoles privées hors contrat, l'analyse de Mattea Battaglia, journaliste au Monde :

C’est après avoir évoqué l’islamisme radical et le fondamentalisme que le président Macron ose une sortie sur les écoles privées hors contrat : « Nous allons mieux contrôler le hors-contrat ; on renforce le contrôle, on est intraitable », dit-il. Il fait ainsi référence à l’adoption récente de la proposition de loi portée par la sénatrice centriste Françoise Gatel « visant à simplifier et mieux encadrer le régime d’ouverture des établissements privés hors contrat ». Mais il ne rappelle pas que sur 1 300 de ces établissements hors contrat recensés sur le territoire, 300 s’affichent comme confessionnels, dont une quarantaine seulement comme musulmans. L’ancienne ministre de l’éducation Najat Vallaud-Belkacem (PS) avait tenté en son temps de mieux les encadrer, se heurtant aux lobbys de droite.

Sur la ruralité  :

Emmanuel Macron "Il faut regarder les choses en face : on a un sujet de démographie. A la rentrée prochaine, on aura 32 000 élèves en mois en CP, et pourtant on va ouvrir près de 5 000 classes, dont certaines sont à la campagne. On va ouvrir 1 000 classes dans le rural. Alors que dans le rural on va perdre 20 000 élèves de CP l’an prochain, et on ouvrira 1 000 classes.

On n'abandonne pas du tout la ruralité, ce n’est pas vrai. Toutes les communes rurales, leurs dotations ne baissent pas d’un centime, si ça ce n’est pas une manière de s’engager pour le rural !"

 

Faux..mensonge..Les dotations des collectivités locales ont bien..baissées.. !

 

Interrogés sur le discours des Français s’expriment :

 

Les Français restent dubitatifs et ne sont absolument pas convaincus par l’ensemble du discours, de son contenu et des sujets traités ou évoqués..

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Pendant ce temps là, le feu de la colère gronde toujours..un peu plus..

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SIVENS

 

Bure

 

NDDL

 

Et tant d’autres…

 

Eteignez-moi ce feu qui couve depuis trop longtemps déjà avant qu’il ne se propage..

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Il y avait déjà eu, peu avant, le discours tenu devant les évêques à la conférence des évêques de France aux Bernardins..

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A suivre..

16270002

 

Prochain épisode dimanche, avec le grand « Barnum » médiatique et show télévisé, sur BFM/TV de surcroît…

 

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Commentaires
Z
Ah ben non, c'est bon !<br /> <br /> Bonne journée
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Z
Bon sang tout mon com est disparu...
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Z
Il est très menteur et veut nous faire croire le contraire de ce qui se passe réellement... Comme tu l'a bien mentionné... (Dotations aux collectivités locales par exemple). Quant aux retraités il a raison il ne nous considère pas comme des portefeuilles ... mais comme des portemonnaies vu la modestie de nos revenus...<br /> <br /> <br /> <br /> Enfin, arrogance, suffisance, mensonge, hypocrisie étaient au rendez-vous... Mais il avait bien bachoté dans le "faire peuple"...<br /> <br /> <br /> <br /> Je connais le village et la façade de l'école où il est allé se "produire"...
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C
Ne m'en voulez pas mais je ne m'exprime pas sur les blogs au sujet de tout ce qui est politique ou polémique comme vous l'aurez remarqué sur le mien. Mais j'ai ma propre opinion bien sûr ! Merci pour votre commentaire chez moi.<br /> <br /> Bonne soirée !<br /> <br /> Cathy
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G
"janus"<br /> <br /> Quand j'écris cheminots j'entends tous les employés de la SNCF comme nous avions coutume de les appeler dans le passé. <br /> <br /> Les avancées techniques ont facilité le travail des conducteurs de trains mais il faut reconnaître qu'ils ont une grande responsabilité. Qu'ils soient rémunérés en conséquence soit, mais il pourraient travailler jusqu'à 62 ans en changeant de fonction dans le cas où ils ne seraient plus aptes à la conduite. J'ai un exemple dans mon village de conducteur sur train de marchandises maintenant retraité. Il pouvait partir à 50 ans mais il a demandé à poursuivre jusqu'à 52 ans. Une de ses fréquentations, un entrepreneur agricole, l'appelait le travailleur à mi-temps. Il partait 24 h et récupérait 48 heures. Il a été gendarme auxiliaire mais sans s'engager et je le comprends. J'ai effectué des services de 24h en renfort dans les prisons (miradors) durant la période estivale, avec des temps de pause tout de même sans même récupérer une heure pour autant.<br /> <br /> Du temps des "locos" à vapeur, le travail était pénible, j'en conviens mais il n'était pas moins pénible aux laminoirs (mon père), haut-fourneau, aciérie... et ces ouvriers là ne partaient à la retraite qu'à 65 ans quand ils ne mourraient pas bien avant (mon père). <br /> <br /> Je ne suis pas contre les avantages mais que ceux-ci soient suivis de compensation comme ne pas pouvoir prendre l'usager en otage en faisant grève pour un oui ou un non. <br /> <br /> Il faut croire que des gens veulent tout de même travailler à la SNCF puisqu'il n'y aurait que 38 % de grévistes même si c'est déjà beaucoup selon moi. <br /> <br /> Quant aux cheminots, comme tu l'entends, c'est-à-dire ceux des voies, je reconnais que ce n'est pas la joie pour eux car ils manquent de moyens. Ces cheminots ne font plus partie intégrante de la SNCF mais du réseau ferré (RFF ayant succédé à l'EPIC) ouvert à la concurrence comme l'est la distribution d'électricité (ENEDIS).<br /> <br /> Bonne soirée !
Répondre
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