Une vie en Van..La vie nomade..
Une vie en Van..La vie nomade..
De plus en plus de gens se tournent vers ce mode de vie..
Mal être de notre société ?..
Changer de vie..
C’est ainsi que sur la chaîne France2, un reportage nous a été présenté, à ce sujet..
Tout compte fait..Tout quitter pour vivre en Van ?..
Voir le lien ci-dessous :
https://www.france.tv/france-2/tout-compte-fait/1095001-comment-sortir-de-la-surconsommation-le-scandale-des-produits-neufs-jetes-a-la-poubelle.html
Photo ci-dessus d’un fourgon ou « Van » aménagé (à peu près identique à celui du reportage..) et à un prix tout de même conséquent..
Il faut compter, pas moins de..45000 Euros, voir un peu plus..pas rien !..
Dans la vidéo, à partir de la séquence..00.22’26’’..apparaît le sujet évoqué, en parlant d’une vie en Van..
Quitter la surconsommation pour une vie en van ?
C'est un choix de vie qui séduit de plus en plus. Quitter une vie dominée par la consommation et fuir le stress de la ville pour vivre en van !
Une fois sur les routes dans son véhicule aménagé, on reprend le contrôle de son temps, on se rapproche de la nature et notamment en raison du manque de place, on passe à un mode de consommation plus minimaliste. Le phénomène venu des Etats-Unis est très populaire sur les réseaux sociaux avec le hashtag #vanlife.
En France, des couples mais aussi des célibataires sont de plus en plus nombreux à choisir ce mode vie qui tourne le dos à la société de consommation.
Comment financer une telle aventure ?
Qui sont ces artisans qui se font une spécialité de les aménager ?
Et quels sont les délices mais aussi les difficultés de ce choix de vie ?
Une enquête de Léonie Bert.
Fourgon aménagé GLOBECAR 600 PLUS - Citroen Jumper 2 L HDI
Voici la présentation simple, avec photos à la suite de ce fourgon ou « Van » aménagé..
Fourgon aménagé GLOBECAR 600 PLUS - Citroen Jumper 2 L HDI
Vous avez des propositions en achat, en tout genre, comme des caravanes du type « vintage », repris de modèles anciens, mais également avec un certain prix..
Il y a, cependant, le confort ou l’inconfort, de devoir laisser la caravane sur place (en fonction..), pour pourvoir « profiter » d’une forme de liberté, en déplacements divers, à l’aide du véhicule tracteur..ce que vous n’avez pas, en camping-car, ou encore fourgonnette comme « Van »..
Un autre..concept, avec ou sans..contraintes..
Photo ci-dessus..le « G.P.S. » n’est pas toujours la panacée, et parfois (voir souvent..), la carte routière ou même détaillée s’avère fort utile.
En mode..cooking..
Vivre sans frigo..ou avec..
Profiter des opportunités..
Elle est pas belle..La vie ?..
Les fausses contraintes ou..pannes..
Quand l’excès oublie..l’essentiel..
Tout n’est pas toujours « rose » ou aussi simple..
Aujourd’hui, ça fait presque un an qu’on a commencé à aménager notre Kirikou pour vivre dedans à l’année. Et donc 11 mois, à quelques jours près, qu’on vit vraiment dedans tous les jours ! Et avec le recul, on peut le dire : la vie en van est bien plus fatigante que la vie en appartement/maison. Si on arrive à tenir, et à aimer cette vie, c’est qu’elle nous fait du bien au moral (et vraiment). Sinon, comment est-ce qu’on arriverait à être heureux avec un nouveau problème à régler tous les deux jours, la douche qui n’est plus le petit moment sympa et détente de la journée mais plutôt le parcours du combattant (on exagère un peu, on l’aime notre douche), et on en passe … ? Nous recevons beaucoup de soutien de personnes inspirées par la vanlife et qui envisagent d’en faire leur future vie. C’est formidable, l’enthousiasme qui plane autour de la vie en fourgon, mais il faut savoir que ce n’est pas tous les jours facile. Vivre sur la route, c’est incroyable. Par contre de temps à autre, c’est fatigant. Ici, on vous parle de notre vécu et de nos petits coups de fatigue. D’autres vanlifers, ne connaissent peut-être jamais de coup de pompe… Bien qu’on en doute 🙂 Parce que la vie en van, c’est épuisant. Mais on ne l’arrêterait pour rien au monde !
Honnêtement, c’est possible ! Se faire comprendre quand nous sommes à l’étranger, s’adapter à la météo (en van, on vit la météo à 100%!), faire face aux caprices du véhicule, c’est parfois pénible, chiant, barbant, pesant et tout ce que vous voulez. Toutes ces petites choses, quand elles s’accumulent, peuvent nous faire changer de plans du tout au tout. Ces incertitudes, elles jouent sur le mental, sur le moral et parfois sur le physique. Pourquoi ? Eh bien, quand tu cogites, tu dors mal, tu irrites ton partenaire de voyage et parfois ça pète ! Comme dans la vie classique finalement. C’est sûrement la rançon de vouloir vivre l’aventure tous les jours … Il faut accepter que la vie en van ne soit pas tous les jours digne de photos Instagram, qu’il y ai des jours barbants et sans excitation et sans aventure, et qu’il arrive de s’ennuyer.
Gagner de l’argent est sans aucun doute la chose la plus compliquée en étant nomade. Attention, on n’est pas là pour faire peur, mais il y a des sacrifices à faire pour remplir son compte. Lucile a tout misé sur une activité en freelance-digital nomade et croyez moi, elle s’est donné à fond ! Des grosses journée pour l’ebook, le blog et ses clients jusqu’à des craquages de nerfs plus ou moins réguliers. Pour ma part, j’ai choisi l’option « saisonnier », c’est moins glamour que freelance, mais ça rapporte aussi ! Mais maintenant que je vois que Lucile arrive à décoller en tant que freelance, je m’y lance aussi pour essayer ! En clair, il faut s’accrocher, comme dans une vie professionnelle classique. Les clients ne tombent pas du ciel, les contrats saisonniers non plus et ce sont souvent des semaines à plus de 35 heures… Ce qui nous fait tenir ? On fait tout ça pour nous, et chaque petite victoire nous redonne la force d’avancer pour plusieurs mois ! Le freelancing, c’est des hauts et des bas, des bons et des mauvais moments, mais on adore ça.
Au début, on avait du mal à trouver notre rythme. Après la première saison de PF, on a décidé de faire un tour de France pour faire des reportages sur les vanlifers qui ont aménagé leur van eux-mêmes. C’était absolument génial, mais le côté freelance était laissé complètement de côté à ce moment là. On ne peut pas tout faire à la fois ! Le mois de Décembre passé, ça devenait évident qu’on n’arriverait pas à tenir plus longtemps en hiver en van. Mi-janvier, nous sommes donc partis à la recherche du soleil, au Portugal. Au départ, PF était en mode “Road Trip” et Lucile à fond pour lancer son entreprise avec l’objectif de dégager un salaire mensuel avant Avril. Un énorme challenge ! La différence de mentalité a créée des étincelles, des disputes, on n’arrivait pas à trouver notre rythme de croisière … Je n’en pouvait plus que Lucile reste enfermée un jour sur deux pour “faire la geek” et Lucile n’en pouvait plus de me voir roder autour d’elle d’un air impatient. On s’est donc rendus à l’évidence : il faut un minimum d’organisation pour voyager de cette manière. En tout cas, pour nous. Il y en a sûrement qui y arrivent en y allant à l’arrache. On a donc acheté un petit agenda à 2 euros et on a fait notre itinéraire en fonction de ce qu’on voulait voir, et des endroits où je pourrais aller faire de la randonnée pendant que Lucile travaille. Les contraintes :Lucile doit avoir 20h par semaine consacrées au boulot, et le reste pour visiter, randonner, surfer, etc. Depuis, tout se passe à merveille et c’est beaucoup, mais alors beaucoup moins épuisant !
Consommer bio, acheter local, faire ses emplettes en fonction de notre santé et de la planète et parfois, c’est harassant ! Car on a des envies, on cogite dans les rayons et au final, on se prive… Craquer une fois de temps en temps, c’est vital. Pendant 6 mois, on a suivi tous les conseils du monde pour devenir des consommateurs « éco-résponsable-éthique ». Au début, ce sont de sacrés noeuds au cerveau. Mais une fois les bonnes habitudes prises, ça roule tout seul ! Nous sommes conscients qu’une consommation raisonnée est vitale pour la survie de la planète et notre bien-être, mais le craquage, c’est pour nous essentiel pour lutter contre les petits coups de mou ! Notre crédeau : ne pas chercher à être parfait, mais faire de notre mieux !
Ici, on ne parle pas d’hygiène personnelle, mais de celle du van, notre maison. Dans un petit espace de vie comme le nôtre, il faut savoir que notre niveau de confort est étroitement lié à la propreté de Kirikou. On a beau faire le maximum, tout ranger et nettoyer, et bien sachez qu’une poussière ou un grain de sable traînera toujours ! Depuis le début de notre road trip, on essaie de lâcher un peu prise là-dessus mais c’est difficile. Donc, parfois, on passe une dizaine de fois le balai dans la journée, on range le van à fond 3 fois par semaine, on veut faire la vaisselle immédiatement après le repas… Et c’est usant ! Cette fatigue, elle ne vient pas d’une fainéantise accrue, mais notre esprit compulsif lié à la propreté absolue. Pour se rendre la vie un peu plus cool, on essaye quand même de se laisser aller de temps à autre.
Ne vous inquiétez pas tout va bien ! Mais parfois, la vie à 3 dans un 5 mètres carré c’est un peu compliqué. Par exemple, c’est dur quand la mauvaise humeur de l’un déteint sur l’autre, surtout par mauvais temps. C’est également gênant, quand l’un de nous travaille sur le siège du bureau et que l’autre veut utiliser le WC ou la douche se trouvant sous ce fameux siège ! Par conséquent, de temps en temps, l’un de nous laisse le van à l’autre durant quelques heures s’il en ressent le besoin. C’est une des raisons pour laquelle on souhaiterait passer à un van plus grand. On sait que les problèmes de fond resteront les mêmes, et que le besoin d’espace se fera quand même souvent ressentir. Mais, pour vivre tous les jours, ça améliorera un peu le quotidien !
Inévitablement, lorsqu’on voyage en road trip, on fait des choix en conséquence de notre budget et parfois cela joue sur ce que l’on met dans notre panier ! On sait tous que l’alimentation est un facteur jouant de notre bien-être et ce n’est pas parce qu’on voyage qu’on doit négliger cet aspect pour autant. Manger des cochonneries de temps en temps, c’est cool quand tu n’as pas le moral ou que tu fêtes quelque chose… Mais il ne faut pas en abuser et on vous explique pourquoi. Au début, on était euphorique de cette vie nomade, de ce fait, on se faisait des apéros, des repas sandwichs et des gloutonneries de junk food au moins 3 fois par semaine ! C’était cool, mais au fil temps, on a commencé à ressentir des effets néfastes… Des réveils difficiles, de l’irritabilité et une mauvaise qualité de sommeil squattaient notre quotidien. Par conséquent, pour contrer cette spirale, on a réduit nos excès en chérissant les fruits et légumes tous les jours ! En France, ce style de vie est extrêmement facile à adopter (les supermarchés bio courent les rues, et les habitudes sont faciles à prendre comme les chaînes comme Biocoop envahissent une bonne partie des villes de France). Mais, dés qu’on est à l’étranger, ça devient plus compliqué, plus fatigant… Si on veut du bio, il faut parfois chercher le marché, s’adapter aux horaires, etc.
Ça peut paraître vieux jeu, et de nombreuses personnes vivent très bien sans légumes. Mais nous sommes très sportifs, on doit être en forme pour bosser, et le voyage au long terme stresse le corps. Sans notre dose de vitamines, et de bonnes choses, on ne ferait pas la moitié de ce qu’on fait tous les jours !
Aujourd’hui, lundi 9h, je décide que jusqu’à 12h je vais me mettre à fond sur la rédaction de trois articles. Je me lève, super motivé. Je sors les fruits et le mixeur pour faire mon smoothie, ma tasse pour mon thé. Je mets les fruits découpés avec amour dans mon blender, mon podcast matinal sur les oreilles. Je le branche, j’appuie sur le bouton. Et rien… Je jette un coup d’oeil sur les batteries, et bingo ! Plus de batterie. Cette situation, elle arrive plus souvent que ce qu’on peut imaginer. Aussi bien avec l’eau que l’électricité, que le gaz… Et quand ça se passe comme ça, soit on prie pour qu’il y ai une bonne dose de soleil, soit on range tout pour rouler jusqu’au prochain spot et faire le plein de batterie. Vivre au rythme de nos ressources, on a beau être préparé à l’idée, ça peut parfois chambouler le programme de toute une journée … Mieux vaut donc ne pas être trop rigide là-dessus et rester souple. Vous aviez prévu de travailler toute la matinée puis d’aller surfer ? Eh bien soit vous travaillerez toute l’après-midi et irez surfer demain, soit vous allez surfer et au diable le boulot de la journée (ça se passe plus souvent comme ça par chez nous …).
Aujourd’hui, on sait que rencontrer des phases difficiles en voyage, c’est normal. Mais attention, cela ne nous empêche pas de profiter de la vanlife à fond ! Finalement, tous ces problèmes, ils font partie du décor et il faut vivre avec coûte que coûte… Ces craintes, elles servent à notre apprentissage de la vie. Elles aident aussi peut être à se poser les bonnes questions, pour vivre de meilleures expériences sur la route.
NOMADISME Combiner vie mobile et respect de l’environnement n’est pas uniquement une question de motorisation
Publié le 03/10/19 à 20h14 — Mis à jour le 04/10/19 à 10h09
La vie en van est synonyme de confort et d'espace en moins, mais aussi de davantage de liberté. — Getty Images
- Le voyage en van, pendant des mois sur les routes d’un pays ou d’un continent, offre une promesse de liberté.
- Les camions aménagés ou camping-cars roulent à l’énergie fossile et les solutions électriques accessibles ne sont pas encore disponibles.
- Pour autant, le mode de vie en van permet un quotidien à l’économie et une grande autonomie.
Le Combi Volkswagen va faire son grand retour en mode 100 % électrique… en 2022. Et avec lui l’espoir d’un remake décarboné et survolté du périple vers Katmandou (Népal). Actuellement, c’est toujours au pétrole que ça roule. Rien qu’à voir les centaines de vans et camping-cars exposés au Salon du véhicule de loisirs (VDL) du Bourget (Seine-Saint-Denis), jusqu’au 6 octobre, on comprend qu’il faudra prendre son mal en patience et trouver d’autres biais afin de réduire son empreinte en roulant.
« La motorisation au diesel ne changera pas dans les prochaines années », annonce François Feuillet, le président du salon VDL et PDG de Trigano, premier fabricant de véhicules de loisirs en Europe. En cause, la dépendance du marché des véhicules de tourisme à celui des véhicules commerciaux (camions et utilitaires) à partir desquels ils sont construits, et qui bénéficient d’une fiscalité toujours favorable au Diesel, avec notamment une « exonération de taxation au CO2 ».
Le poids et l'autonomie
Autre obstacle à l’électrique, pour le constructeur automobile, « le poids des batteries, qui nécessiterait de faire évoluer le permis de conduire », à cause du dépassement probable de la limite des 3,5 tonnes. Sans parler de l’accès aux bornes de recharge. Il ne s’agit pas de se retrouver en pleine pampa avec 400 km d’autonomie sans prise à brancher. Toutefois, l’impulsion pourrait venir d’ailleurs : Amazon a annoncé en septembre la commande de 100.000 vans électriques à Rivian (une start-up dans laquelle le géant du Web a investi) pour sa flotte de camions de livraison. On y vient donc.
Au 54e Salon des véhicules de loisirs, au Bourget. - M. Chaumet/20 Minutes
D’ici à quelques années, à nous les routes du monde, le cœur léger, libéré de la culpabilité de l’empreinte carbone de notre véhicule, à coups de décharges électriques ? Pas vraiment, d’après Florent Conti, écrivain et vidéaste franco-canadien auteur de l’ouvrage Ma vie en Van, chez City Editions. « Il ne faut pas oublier que la pollution est aussi dans la façon dont on vit et consomme », fait-il d’abord remarquer. « La production de véhicules électriques est très coûteuse. Souvent, on ne remet pas en cause la production en elle-même, on culpabilise le consommateur. »
Panneau solaire et batterie
Après de nombreux voyages en van sur de longues périodes en Amérique du Nord et en France, ce dernier valorise donc une approche médiane. La vie en van ou camion aménagée, c’est un mode de vie à l’économie : d’argent, de confort mais aussi d’énergie, « une expérience de la simplicité. C’est le moyen de réaliser notre consommation et d’y faire attention ». Cela passe par l’achat de véhicules de seconde main, sans électronique, certes plus polluants, mais plus faciles à réparer et beaucoup moins chers. Et par des améliorations.
Aujourd’hui, grâce à l’installation de panneaux solaires et d’une batterie, il est possible de vivre en autonomie énergétique quasi complète, si ce n’est bien sûr la question du carburant pour le moteur. « C’est très abordable, entre 500 € et 800 €. On adapte la consommation à la capacité de la batterie. » C’est donc dans l’aménagement et l’adaptation des véhicules que la marge de manœuvres est la plus grande. Eric Moreau est ébéniste et au sein de son entreprise familiale l’Artisan du voyage, il propose d’aménager des camions aux désirs de ses clients. Isolation, installation du panneau solaire, de la batterie, d’un réservoir d’eau…. Pour lui aussi, « en dehors du carburant, il n’y a pas besoin de se brancher, tout peut se faire avec le panneau solaire et la batterie, hors réseau ». La combi efficace, à défaut d’être branchée.
Mais tout a un budget, sans parler de..réelles contraintes..
Il ne suffit pas de simplement choisir et décider de changer de vie, mais il faut prévoir tout dans les moindres détails, et pas seulement..
Il y a, certes, l’achat du véhicule..neuf ou d’occasion, aménagé ou non..
Mais il faut surtout prévoir un budget de « roulement » et en consommations courantes..sans se ruiner pour cela..
Mon choix personnel s’est « orienté » dans la simplicité, avec le côté pratique, et pas dans cette « fausse « luxure inutile, ou encore « gadgets » non utiles..
Décision et achat
Nous avons décidés (choisis..), en 2010 (juin 2010..) d'acheter un camping-car, pour nous rendre en vacances, auprès de quatre de nos six petits-enfants, dans les Landes, à..Biscarrosse-plage, pour des raisons de..simplicité, logique, bien-être et bien-vivre, en confort simple (pas..spartiate ni faussement..), avec tout ce qu'il faut (ce dont on a réellement besoin..pas le..superflus..), et ainsi profiter pleinement de tout, paysages, endroits, nature, bref..tout..what's more ?..
Personnellement, j’ai réussi à trouver un bon compromis, pour aller en vacances, et chez nos petits-enfants, sans toutefois..me ruiner..
Photo ci-dessus d'un camping-car, modèle identique au nôtre, à savoir, un ''Challenger 102'' de chez Trigano VDL, et de 2005, avec seulement 60 000 km au compteur actuellement..
C'est un camping-car, sur porteur de type Citroën Jumper 2,8 L HDI de 9 cv fiscaux, et réellement économique, avec une consommation réelle de seulement 9 L/100km, mesuré et vérifié depuis le début.
Ce véhicule daté de juin 2005 (année constructeur..groupe ''Trigano-VDL''..) avait 32500 km affichés (réellement au compteur..pas..truqué..) et était proposé à 25 000 Euros..TTC..
Que vouloir de plus ?
Simply Life..Normal..Life...
La vie simple, la vie normale..
Photo ci-dessus de l’arrière du véhicule avec les supports à vélo (trois pour le notre et d’origine..).
Donc..le camping-car..
Photo ci-dessus d’un camping-car, exact modèle au nôtre, et avec la calandre, à l’avant, en blanc, et pas en noir, comme sur les modèles d’origine.
Mon épouse étant à la retraite depuis le 1er janvier de cette année(2016..), et moi-même depuis le 1er juin 2015, nous n'avons plus aucune contrainte réelle dans ce sens..normal.
Les vacances..autrement..
Pourquoi payer plus lorsqu'on peut..payer moins..
Pourquoi payer plus lorsqu'on peut payer moins... ?
Genèse de cette histoire
En mars 2010, nous avions appris que quatre de nos six petits-enfants allaient se retrouver loin de chez nous et à plus de..1000 km.
En effet, notre gendre, pour ce cas cité, s’est retrouvé affecté, sur le plan professionnel, dans les Landes, et à..Biscarrosse-plage !
Nous avons, de suite, cherché sur..the ’’Net’’, pour des locations, pour deux semaines en août ; sauf que, en s’y prenant courant – fin mars, et pour juillet et août, c’est presque..peine perdue…
Fort heureusement, j’ai réussi à trouver un appartement, pour la première semaine et sur place, et..une maison, pour la seconde et deuxième semaine, mais, à 15 km à l’est et dans la petite localité de Biscarrosse-le-vieux-bourg..
Malheureusement, sur le plan du travail, on m’a fait décaler mes congés.
Aussi, adieu les réservations, et surtout..plus rien..
Présentation générale
Voici, à la suite, des photos de l'intérieur (réel..) de notre camping-car..
Espace Jour
Sur ce modèle, photo ci-dessus, nous bénéficions encore du ''vrai'' coin repas avec banquettes et confortable, de plus, transformable en lit pour trois personnes; j'ai vérifié, dès le début ( je mesure 1,80m..), il reste encore dix centimètres d'espace de bout en bout...
Photo ci-dessus du coin cuisine, avec tout ce qu'il faut, une plaque gaz à trois feux, un évier, et le frigo suffisant ( comme à la maison, on fait les courses deux fois par moi, une fois tous les quinze jours, cela suffit amplement..).. et du rangement, tant sous le meuble évier qu'en hauteur..côté pratique.
Il s'agit des derniers et seuls..camping-car, avec encore, un coin
repas réel (digne de ce nom..), quatre à six places et transformable
en couchette (deux places allongées confortables..j'ai testé, et,
je mesure 1,80 m..il y a 1,90 m en tout en long..bord contre bord..).
Espace Nuit
Photo ci-dessus de l'emplacement nuit, avec le lit en long à la française, et en hauteur l'emplacement du téléviseur ( nous avons un écran plat pratique et suffisant..), mais, après tout, on ne va pas en vacances pour la télé, non ?
Photo ci-dessus, vue de l’emplacement du lit, à la Française, en partie arrière.
En partie gauche, la porte d'accès à la salle d'eau ou coin toilette, avec un lavabo, les W.C., et une cabine de douche avec porte circulaire coulissante..
A présent, une vue de l'intérieur, coin couchage, et vers l'arrière,
avec le lit en long (à la Française..), sur la gauche, la porte d'accès
au coin lavabo, W.C. et cabine de douche, et en hauteur (visible..),
l'emplacement du téléviseur, masqué par le volet d'occultation en gris argent..
Photo ci-dessus du logement et emplacement pour la télévision (volets gris argent..).
[Mais, je, enfin ,« nous », n’allons pas en vacances pour rester « cloîtrés » dans le véhicule (la cellule..), et regarder la télé à longueur de journée et sans fin..]
La salle d’eau..
(lavabos, w.c., et douche).
Photo ci-dessus de cette petite salle d'eau, coin toilette..avec suffisamment de place, sans être serré pour autant comme un hareng..
( il y a même une chasse d’eau actionnée électriquement pour l’évacuation vers la cassette chimique située dessous..)
La soute ou rangement..
Petite particularité, mais pratique et fonctionnelle..
Les différents rangements
Il existe une soute, à l’arrière et située sous le lit, et accessible soit par l’arrière par le biais d’une trappe, soit directement, depuis l’intérieur, en soulevant le lit.
Photo ci-dessus, d’une vue du dessous de lit et logement de la soute arrière, dont on aperçoit la trappe d’accès (située à l’arrière du véhicule..), au fond.
La partie caisson en bois, à côté de la trappe, est le logement des deux bouteilles de gaz, tant pour la cuisine et la plaque de cuisson que pour le chauffage et chauffage de l’eau chaude.
La partie, un peu comme une plaque de bois, côté inférieur droit, est une trappe d’accès au système de chauffage et pour l’eau chaude (un peu comme un cumulus..) appelé ’’Truma’’ boiler.
Ce camping-car a..aujourd’hui..14 ans et il est toujours comme neuf et aussi fringant qu’au début !
A présent les caractéristiques et données constructeur lors des test en présentation..
Espace Jour
Contrairement aux profilés actuels à la mode, on profite d'une vrai dinette avec deux banquettes en face à face dans le Challenger 102. Cela offre plusieurs avantages : disposer de 6 places carte grise pour circuler et de 4 places bien assises par rapport à la table qui elle garde une taille normale et un vrai plateau bien rectangulaire, et enfin un lit d'appoint relativement confortable.
On profite également du toit dôme bien agréable car donnant une luminosité importante en dinette. Spots et plafonnier basic fournissent l'éclairage la nuit tombée.
Espace Nuit
Le lit sur la dinette s'obtient facilement en baissant la table et en récupérant les dossiers des banquettes
Le lit arrière du Challenger 102 offre plus de confort grâce à son sommier à lattes et son matelas mousse.
Nous avons initialement ajouté un 5ième couchage dans le poste de conduite. Il s'agissait d'un lit-hamac vendu chez les accessoiristes et fixé au dessus des deux portes du porteur. Pas facile d'emploi, nous avons finalement opté pour une petite tente d'appoint facile à monter/démonter. On garde comme ça nos 5 couchages et notre Challenger 102 discret et passe-partout.
Cuisine
La cuisine est compacte mais offre assez de rangements pour partir à 4.
Salle de bain
La salle d'eau est spacieuse et possède même une douche séparée par une porte arrondi en plexi. Celle-ci a tendance a sortir de son logement avec le temps mais elle se remet facilement en place.
Rangements
Soute, coffre sous banquette de dinette, penderie et placards de pavillon constituent les différentes zones de rangements.
Avantages / Inconvénients
AVANTAGES |
INCONVENIENTS |
Camping-car discret et passe-partout |
Certaines boiseries un peu légères |
La vraie dinette 4 places |
Soute réduite avec la présence des bouteilles de gaz |
Prix attractif |
Petit frigo |
Salle d'eau bien conçue |
|
Données techniques
Longueur |
6m32 |
Nombre de Place Carte Grise |
6 |
Largeur |
2m25 |
Nombre de Couchage |
4 |
Hauteur |
2m72 |
Couchages |
130x200 |
Réfrigérateur |
97 litres |
Charge Utile |
534 kg |
Motorisation |
Fiat 2.8JTD |
Eau propre |
130 litres |
Puissance |
127 cv |
Eau Grise |
132 litres |
Voir le lien ci-dessous :
http://www.lemondeducampingcar.fr/occasion/essais/essai-profile-challenger-102-modele-teste-en-aout-2005.html
What's more about..confort ?
Que vouloir de plus, en matière de..confort ?..
La vie de nomade..
Bref..à chacun son « trip » comme mode de vie, ou encore choix en véhicule, pour des destinations simples, comme en mode « road-trip » et voyages un peu partout à travers le Monde..
"Vanlifers" accros aux réseaux sociaux et "camping-caristes" plus traditionnels ne partent pas toujours en vacances ensemble ; mais leur soif commune de liberté et l'engouement dont jouissent les vans profitent à l'ensemble du secteur.
Tout compte fait..Tout quitter pour vivre en Van ?..
Réflexion..
Au fait, pourquoi sommes-nous venus sur Terre ?..
La question reste posée...